Scandale dans l’Union: la cour constitutionnelle polonaise a décrété que certains articles de sa constitution devaient primer sur le droit européen… Pour Thierry Breton : quand on n’est pas d’accord il faut partir. Un drôle de chantage.
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Scandale dans l’Union: la cour constitutionnelle polonaise a décrété que certains articles de sa constitution devaient primer sur le droit européen… Pour Thierry Breton : quand on n’est pas d’accord il faut partir. Un drôle de chantage.
Alors que l’hôpital est en crise, Olivier Véran, ministre de la Santé, a révélé qu’environ 15.000 soignants avaient été suspendus, refusant l’obligation vaccinale. Le 16 septembre, il y en avait 3000.
Olivier Pichon
Il est des périodes dans l’histoire où un pays croit en lui et affiche une rigueur en gestion publique, ajoutée à un sens de la souveraineté économique ; ce fut le cas, toutes choses égales par ailleurs, de la France des Trente Glorieuses. Tout se passe aujourd’hui comme si le renoncement était la seule loi qui prévale. Alors, comme en biologie, les organismes affaiblis sont la proie de toutes sortes de prédations et de parasitismes.
Les talibans ont rencontré pour la première fois, à Doha, lors du G20 extraordinaire et virtuel organisé pour la circonstance par l’Italie, des délégations américaines et européennes.
La Commission européenne s’est engagée à verser un milliard d’euros aux Afghans et aux pays voisins qui ont accueilli des migrants afghans. Pourquoi tant de générosité de la part de l’Europe ?
Réponse de Jérôme Rivière, député européen, au micro de Boulevard Voltaire.
La Commission européenne s’est engagée à verser un milliard d’euros aux Afghans et aux pays voisins de l’Afghanistan qui ont accueilli une partie des réfugiés. C’est généreux…
Dans Valeurs Actuelles, le père Danziec se pose la question :
Pour une dernière ligne droite, elle s’annonce des plus sinueuses. La météorite Zemmour bouleverse depuis quelques semaines l’atmosphère politique. Les lois de la relativité sondagière divisent la communauté démocratique et interrogent les observateurs attentifs. Comme il semble remonter à une autre époque ce mois de mai 2017, conclusif d’une campagne et d’une élection présidentielles non ordinaires – épisodes à répétition de l’affaire Fillon, Marine Le Pen pour la première fois au second tour, l’extrême gauche à plus de 20%, un jeune homme élu qui promettait une présidence jupitérienne pour finalement, dans les faits, lui préférer celle d’un Janus habité par le “en même temps”.
Arnaud Blin est un spécialiste de l’histoire de la guerre et de la stratégie. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet.
Si l’on considère que la guerre est un art, les quinze chefs de guerre dont ce livre dresse le portrait ont porté celui-ci à son apogée, chacun usant de moyens et de techniques propres à son environnement culturel, avec un style et une touche personnels qui font toute la singularité de leur génie individuel.
La société de surveillance qui se met en place scelle-t-elle la fin du projet libéral de « société ouverte » ? Non, répond Guillaume Travers dans un nouvel ouvrage sorti aux éditions de la Nouvelle Librairie, elle en est au contraire l’aboutissement logique.
C’est la raison pour laquelle les libéraux promouvront tôt ou tard toutes les méthodes techniquement possibles de contrôle social : puçage des populations, reconnaissance faciale, modifications géniques, 5G, etc.
Avec la période des conquêtes s’affirme un second aspect du développement en question : l'assignation, à titre de fief, des terres conquises, avec la contrepartie de l'engagement de fidélité. Dans un espace qui débordait celui d'une nation déterminée, la noblesse franque, en rayonnant, servit de facteur de liaison et d'unification. Théoriquement, ce développement semble se traduire par une altération de la constitution précédente ; la seigneurie apparaît conditionnée ; c'est un bénéfice royal qui implique la loyauté et le service. Mais, en pratique, le régime féodal correspond à un principe, non à une réalité figée ; il repose sur la notion générale d'une loi organique d'ordre, qui laisse un champ considérable au dynamisme des forces libres, rangées, les unes à côté des autres ou les unes contre les autres, sans atténuations et sans altérations le sujet en face du seigneur, le seigneur en face du seigneur en sorte que tout liberté, honneur, gloire, destin, propriété se fonde sur la valeur et le facteur personnel et rien, ou presque, sur un élément collectif, un pouvoir public ou une loi abstraite.