En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
À chaque débat budgétaire, la même mécanique se met en place : pour combler des déficicits qui se creusent année après année, les responsables politiques dégainent de nouvelles taxes. Face à ce réflexe désormais installé dans le paysage parlementaire, Charles Gave, financier et essayiste, appelle à rompre avec ce qu’il considère comme une illusion dangereuse : selon lui, aucune hausse d’impôt n’a jamais permis à un pays de renouer durablement avec la prospérité.
Il est important de le marteler même si cela ne fait pas plaisir.
Le vrai sujet de notre pays c’est l’évaporation fiscale de 1 712 milliards d’euros chaque année. Chaque année.
Nous dépensons collectivement 1 712 milliards d’euros soit 26.338 euros par Français sur la base de 65 millions d’habitants, ou encore pour que vous compreniez bien 105 353 euros pour une famille de 4 personnes.
Douche froide, sur la Maison ronde. Après des années d’audiences rayonnantes, France Inter fait grise mine. Les chiffres Médiamétrie sont tombés et la sentence est sans appel : la radio publique a perdu près d’un demi-million d’auditeurs, en une petite année. Une première baisse depuis quatre ans. Grâce au nombre de ses émetteurs à travers le territoire et à son absence de publicité, France Inter reste en tête des audiences, mais son statut de leader paraît de plus en plus contesté.
En braquant des prostituées, le quatuor aussi violent qu’imprudent croyait s’attaquer à des cibles faciles. Des poules aux oeufs d’or débordant de liquidités, qui ne déposeraient pas plainte. Leurs butins ? En réalité, dérisoires : quelques centaines d’euros et deux téléphones, au mieux.C’est devant la Cour d’assises des Hauts-de-Seine que ces quatre individus au lourd casier judicaire vont devoir s’expliquer.
Von der Leyen, qui a été ministre fédérale allemande de la Défense, a décidé de créer ses services secrets. C’est la traduction de la réalité du fonctionnement de l’UE et de la Commission européenne qui arrive en fin de vie. Ursula von der Leyen, qui est la présidente de la Commission européenne non élue par les habitants des pays européens, prouve la dérive non démocratique de la plateforme bruxelloise. La petite élite du pouvoir politique de l’UE s’enferme dans un bunker.
Boualem Sansal a été libéré suite à l’intervention du président allemand, qui a conditionné son aide à l’Algérie à cette libération, mais Macron, comme à son habitude s’approprie sans honte le succès de cette opération. C’est selon lui, « le fruit des efforts constants de la France ». Souvenez-vous, la trêve à Gaza, c’était lui déjà ! Quand verrons-nous un dirigeant le remettre vertement à sa place ? Pendant ce temps il nous a refait le cirque des champs Élysée vidés du peuple, en ne s’exonérant pas de la facétie de saluer les arbres. C’est donc ce personnage que nos parlementaires s’échinent à garder à la tête de l’État. N’importe quel clinicien verrait dans ces comportements des signes inquiétants de stabilité ou d’égo qui seraient jugés comme incompatibles avec les fonctions de Président. Si l’on rajoute à cela les dons qu’il fait à l’étranger sans aucun contrôle du parlement et ses déclarations rapportées sur le fait qu’il a « lâché le manche de la politique intérieure », cela donne suffisamment d’arguments pour le destituer. Oui mais non ! Comprenez-vous, le monsieur d’à peine 11% bénéficie du soutien indéfectible de Larcher, qui le protège on ne sait trop pourquoi, si ce n’est à envisager que tout ce petit monde se tient par la barbichette et que le premier qui la tirera se fera détruire instantanément.