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anti-national - Page 653

  • L’immigration peut-elle faire sauter Merkel ? - Journal du Mardi 19 Juin 2018

  • L’AQUARIUS : UN MODERNE NÉGRIER

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    L’information passe inaperçue, tant elle est banale. La moitié des 630 migrants de l’Aquarius veulent s’établir en France. C’est l’annonce faite par le gouvernement espagnol le 18 juin après qu’il a accueilli le navire dans le port de Valence, conformément à l’annonce qu’il avait faite quelques jours plus tôt.

    N’en déplaise aux bonnes âmes et autres bien-pensants, professionnels de la compassion, internationaux de la pleurnicherie et spécialistes de l’accueil par les autres, l’Aquariusest un « négrier ». Un navire en provenance des côtes africaines, où il est allé chercher ces personnes qui n’étaient pas en péril au milieu des eaux internationales, mais à proximité immédiate des côtes libyennes. Un navire qui a embarqué des centaines de malheureux, à qui le voyage depuis leur pays natal a dû coûter une fortune qu’ils n’ont pas, à moins qu’ils aient gagé leurs hypothétiques revenus futurs pour rembourser leurs passeurs. Un navire qui a mené jusqu’en Europe de gens qui n’ont rien à y faire, qui ne parlent pas nos langues et qui finiront au mieux assistés sociaux, au pire semi-esclaves au profit d’entrepreneurs sans scrupules.

    C’est d’une véritable traite qu’il s’agit. Cette traite justement dénoncée de nos jours, grâce à laquelle des armateurs peu regardants se sont enrichis, il y a quelques siècles, sur le commerce du bois d’ébène. Ces « migrants » sont le bois d’ébène moderne. Et notre société n’en a pas encore conscience.

    Monsieur Macron a fustigé l’attitude de l’Italie dans cette affaire. En refusant d’accueillir ce bateau dans ses ports, la péninsule a justement rappelé que les associations pro-migrants ne se contentaient pas de secourir les naufragés en passe de se noyer. Elles vont les chercher en Afrique et les transportent en Europe. Les Italiens ont également rappelé que les secours en mer relevaient de la responsabilité des États, et que ces derniers avaient la capacité de les organiser sans avoir recours à des ONG dont les motivations sont beaucoup moins charitables. En réalité, ces navires de passeurs sont les complices des mafias qui organisent, des deux côtés de la Méditerranée, un odieux trafic d’êtres humains.

    Un trafic d’autant plus odieux que ces personnes, qui viennent et resteront en Europe, n’ont rien à y faire. Certaines passeront en France, d’autres en Grande-Bretagne. Là, elles seront alimentées par notre système de solidarité, sans aucune possibilité de travailler, faute de maîtrise de la langue et des compétences élémentaires requises. Parmi elles, quelques islamistes qu’on nous dira modérés s’égailleront dans la nature pour y préparer la subversion de nos nations, ou un attentat qui tirera de nos bon samaritains incrédules quelques larmes de crocodile et une nouvelle extinction de la tour Eiffel.

    La presse unanime a salué la décision espagnole. En réalité, dans cette affaire, tout est communication. Dès lors que nos dirigeants libéraux et démocrates peuvent pointer du doigt l’attitude « scandaleuse » de l’Italie et de son gouvernement « populo-fasciste », pourquoi se priver d’une publicité à bon compte, quitte à piétiner allègrement la volonté des peuples qui n’en peuvent plus ? Et puis, qui se soucie de la volonté des peuples ? Ni les socialistes espagnols, ni le gouvernement français.

    Dans quelques jours personne n’en parlera plus. Et d’autres Aquarius accosteront sur les quais européens, dans l’indifférence la plus totale. Anesthésiés par le foot et la société de consommation, nos compatriotes ont le sommeil lourd. Jusqu’au jour du réveil, qui tarde à venir, mais qu’il faut craindre brutal. Hélas.

    http://www.bvoltaire.fr/laquarius-moderne-negrier/

  • Manifeste pour le renouveau de la France

    2810382302.jpgGeorges Feltin-Tracol

    Un an après l’élection d’Emmanuel Macron à la présidence de la République, Hervé Juvin publie son douzième livre, France, le moment politique (Éditions du Rocher, 2018, 285 p., 16,90 €). Il s’agit d’un vigoureux manifeste « pour que la France vive ! » selon son sous-titre.

    En témoin avisé des événements du monde, l’économiste et chef d’entreprise qui se déplace sur les cinq continents pour des motifs professionnels développe un ambitieux projet pour la France qu’il considère « comme porteuse des droits des peuples à disposer d’eux-mêmes, comme voix précieuse de ce qui dure, de ce qui résiste et de ce qui demeure (p. 278) ». Il est appréciable qu’un homme qui connaisse et comprenne les rouages de l’économie soutienne l’avènement d’une civilisation écologique en Europe. Il en explicite même les enjeux majeurs !

    Non, Hervé Juvin ne verse pas dans le moindre écolo-gauchisme. Il exprime au contraire une réalité toujours incomprise pour les petits-enfants des baba cools. « Seuls l’État et la Nation peuvent affronter la crise des ressources vitales qui vient (p.14). » Ainsi améliore-t-il l’engagement souverainiste et identitaire en annonçant que « l’union profonde des Français et des territoires de la France, c’est l’unité d’un combat pour la vie (p.20) ». Son écologie se veut nationale parce que « le combat pour les frontières, c’est le combat pour une société écologique, qui respecte chaque identité, chaque modèle social, chaque organisation économique. C’est le combat qui enrichit nos biens communs, contre leur exploitation commerciale, leur braderie touristique (pp. 21 – 22) ».

    Serait-ce pour autant la première manifestation tangible d’illibéralisme dans la République hexagonale des Lettres ? Probablement pas. « Pour que l’économie française renaisse, affirme Hervé Juvin, il faut engager une politique de nationalisme libéral (p.218). » À la suite des travaux pionniersdu Club de l’Horloge, on trouve donc des thématiques nationales-libérales républicaines, françaises et européennes, même si on relève parfois de fortes similitudes avec le programme présidentiel de Jean-Luc Mélenchon au sujet en particulier de l’inexploitation scandaleuse du deuxième domaine marin du monde. L’auteur pense que « la France bleue est un axe central de la renaissance nationale (p.28) ».

    Après Patrick Buisson, théoricien de la fameuse « droite hors les murs », ce sont de vraies munitions intellectuelles qu’offre en praticien averti Hervé Juvin. À Robert Ménard et aux « Amoureux de la France » de s’en saisir d’urgence !

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°83, diffusée sur Radio-Libertés, le 15 juin 2018.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/06/17/manifeste-pour-le-renouveau-de-la-france-6060317.html

  • Les graves accusations de Dupont-Aignan

    6a00d8341c715453ef022ad3542976200c-320wi.jpgCe 18 juin, sur l'antenne de Sud Radio, le député de l'Essonne intervenait sur le thème qu'il a clairement adopté, dès le premier jour de l'affaire de l'Aquarius. Celle-ci met évidemment mal à l'aise toute la classe politique conventionnelle de notre continent.

    Les craquements s'observent jusque chez nos cousins germains d'outre-Rhin. Ils ont commencé à se manifester dès le malencontreux "wir schaffen das" de Frau Merkel en août 2015. Mais depuis la constitution de la nouvelle grande coalition, Horst Lorenz Seehofer est parvenu à une transformation considérable de l'équilibre politique. La CSU bavaroise qu'il dirige n'est plus un simple appendice de la démocratie chrétienne. Elle constitue le troisième pilier du gouvernement fédéral à égalité avec la CDU et le SPD. Actuellement ministre de l'Intérieur son dirigeant peut se permettre, et il va jusqu'à mettre en demeure la chancelière de trouver une solution aux désaccords sur la question migratoire.

    La position restrictive de principe adoptée, sur ce sujet, par Dupont-Aignan n'est donc guère originale. Outre le gouvernement italien, tout un bloc géographique semble se dresser. Il va du Land de Bavière à la petite Slovénie en passant par la Hongrie et l'Autriche. C'est donc presqu'une Europe habsbourgeoise qui se dessine. Elle pourrait bien compter de façons significative dans le cadre de l'Europe strasbourgeoise après les élections de 2019. Et tant pis si cela doit déplaire à l'Europe bourgeoise[1].

    À l'antenne Dupont-Aignan reprenait dès lors une rhétorique qui ne détonne plus que dans les colloques et pseudo-débats officiels et artificiels de cette bien-pensance qui ne débat qu'avec elle-même. Selon les vrais sondages, le point de vue de NDA, sur ce point, agrée à quelque 80 % des Français. Il déclarait sans surprise

    Le 11 juin, déjà, il avait salué le refus par le gouvernement italien d'accueillir les 629 migrants de l'Aquarius. "Bravo Matteo Salvini !" avait-il proclamé.

    Le même jour, le parti "les républicains" avait suggéré de son côté de "poser la question de l'immigration de masse"[2]. Cette question se posant depuis quelque 40 ans, il nous semblerait grand temps d'y répondre.

    Restant dans la même logique le président de Debout la France, si le sort des migrants ne peut laisser indifférent, la France ne doit pas en accueillir davantage. "Quand on voit les pauvres migrants qui sont dans ce bateau, tout le monde a une pensée d'humanité mais on est dans du chantage humanitaire inacceptable, qui abouti à un appel d'air sans précédent en Europe", a-t-il affirmé. "Je refuse (de les accueillir), je pense qu'on devrait les renvoyer chez eux. La vraie humanité, c'est de s'occuper des pauvres qui sont dans notre pays, ceux qui n'ont pas de boulot, pas de logement, qu'ils soient Français d'ailleurs ou étrangers réguliers. Je pense qu'il y a urgence à s'occuper des malheureux qui sont sur notre sol, qu'il faut sauver le droit d'asile a-t-il encore insisté.

    On aurait été tenté de dire "rien de nouveau sous le soleil", si l'on ne tenait compte d'une accusation très grave qui mérite d'être creusée.

    Car Nicolas Dupont-Aignan ajoute : "mais là, c'est une immigration économique instrumentalisée par des passeurs et des ONG qui veulent détruire l'Europe",

    "Ces ONG, considère-t-il, sont les complices des passeurs puisqu'elles vont maintenant chercher les migrants à la limite des eaux territoriales libyennes. Ce qu'il faudrait faire, c'est tout simplement sauver ces malheureux, on ne peut pas les laisser se noyer, et les raccompagner immédiatement dans les ports les plus proches de Libye. Si on ne fait pas ça, on va alimenter les mafias qui instrumentalisent la misère humaine", a-t-il ajouté.

    Face à de telles affirmations très graves, ou bien on considère que la député de l'Essonne déraille, et alors pourquoi ne pas le faire bénéficier de la répression de la diffusion de fausses nouvelles prévue par la loi de 1881 ? Ou bien il dit vrai et alors on est en droit d'aller plus loin. On doit alors mettre en cause non seulement ces mafias. Elles ne sont pas inconnues des services de police. Il faut aussi dénoncer ceux qui les épaulent, dans la finance comme dans la classe politique de divers pays, dont deux au moins sont candidats à l'Union européenne.

    JG Malliarakis 

    Apostilles

    [1] On ose à peine la qualifier de luxembourgeoise par respect pour le grand duc et souverain légitime de l'affligeant Juncker.

    [2] Cf. Flash Actu du Figaro http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2018/06/11/97001-20180611FILWWW00178-migrants-lr-veut-poser-la-question-de-l-immigration-de-masse.php

    http://www.insolent.fr/

  • “Gros rouge qui tache”, le goût du pays réel?

    agora.jpgLe ministre de l’Intérieur italien Matteo Salvini a confirmé samedi qu’il entendait en finir avec le laxisme proprement  criminel consistant pour un  gouvernement   à accepter de se faire tordre le bras  pour accueillir des immigrés clandestins.  Il ne s’est pas contenté d’annoncer une campagne de recensement,  à des fins d’expulsion,   de la nombreuse population rom présente sur le sol italien, dont la présence massive est de plus en plus mal vécue par les de souche et les (vrais) touristes. Il a aussi  réitéré sur facebook sa fermeté contre les manœuvres du lobby immigrationniste : « Deux navires d’ONG battant pavillon des Pays-Bas (Lifeline et Seefuchs) sont arrivés au large des côtes libyennes, en attente de leur cargaison d’être humains abandonnés par les passeurs. » « L’Italie ne veut plus être complice du business de l’immigration clandestine, et ils devront donc chercher d’autres ports (non italiens) vers lesquels se diriger. »

    Fermeté de bon aloi  que ne contestera pas  Breizh info  qui publie un   article  sur le retour le 16 juin de l‘héroïque Malien  Mamoudou Gassama  à Bamako, la capitale de son pays. Un jeune homme élevé au rang de symbole par la macronie   mais qui est aussi celui   « de cette jeunesse africaine qui ne fuit ni la guerre, ni la faim, et qui n’était nullement menacé dans son pays (sinon il ne serait pas revenu samedi accueilli comme un prince) mais qui entend simplement  tenter l’aventure européenne  comme si chaque être humain était libre de se rendre partout dans le monde, comme si les frontières et les peuples n’existaient plus. Et l’arnaque sur les  Réfugiés qui fuient la faim et la guerre  de s’effondrer, arnaque qui sert de justificatif moral aux militants de l’ONG SOS Méditerranée pour justifier d’aller chercher des réfugiés au large des côtes africaines pour les amener en Europe comme encore dernière avec l’Aquarius. »

    L’arnaque ne fonctionne plus, ou de moins en moins, et  Le Monde le déplore vivement , la crise migratoire accélérant le délitement de l’abracadabrantesque Europe de Bruxelles: «l’errance en Méditerranée des 629 passagers de l’Aquarius (selon un sondage OpinionWay56 % des Français ne veulent pas qu’ils débarquent en France, NDLR)  illustre jusqu’à la caricature la division entre les pays membres de l’Union, l’impuissance à trouver des solutions consensuelles et le passage, en quelques années, de l’émotion à une forme d’indifférence, de la mobilisation à l’instrumentalisation. Le tout à moins d’un an des élections européennes de mai 2019, au risque d’alimenter la montée en puissance des formations d’extrême droite. »

    La crainte est bien là pour les tenants du vieux monde, de ce Système à bout de souffle,  crainte qu’exprimait  aussi la juppéiste  Virginie Calmels   hier  soir sur TF1. Elle était  invitée à réagir à son éviction  décidée par Laurent Wauquiez de son poste de numéro deux de LR , conséquence  de sa critique virulente  du tract élaboré par son parti,  Pour que la France reste la France,  qui acterait disait elle ces derniers jours une  « porosité avec le RN. »

    La bordelaise est revenue sur l’objet du délit sur le plateau de TF1: «un tract de gros rouge qui tache digne de Jean-Marie Le Pen il y a 30 ans » (sic) . « Ce qui est embêtant dans cette affaire, c’est l’image qu’on donne aux Français. J’ai essayé de croire au rassemblement tel que voulu par Alain Juppé quand il a fondé l’UMP ou par Nicolas Sarkozy qui a dynamisé Les Républicains. Et donc, je suis peinée aujourd’hui pour cette famille de droite à laquelle j’appartiens. »

    La peine de Mme Calmels est  peu partagée par les Français dont elle ne comprend pas les attentes et les  peurs légitimes. Nos compatriotes les plus au fait de l’actualité devraient aussi s’inquiéter des atteintes répétées contre les libertés d’informer et de s’exprimer.

    Le compte YouTube de la revigorante et excellente  chaîne de télévision sur internet  TV Libertés (TVL) a ainsi  été fermé sous la prétexte dilatoire d’une  « atteinte aux droits d’auteur»; «une mesure inédite et fausse. En effet, nous pouvons aisément faire valoir le droit de citation », a constaté  le directeur de la chaîne, Martial Bild.  Une décision « politique », « unilatérale, arbitraire et sans aucun avertissement préalable », qui a pour effet de priver ce média alternatif et indépendant  de 100.000 abonnés au moment même ou TVL « entamait une campagne de dons cruciale. »

    On se souviendra que les 100 000 abonnés également qui suivent  Alain Soral avaient  été eux aussi  priés d’aller voir ailleurs lorsque Youtube a fermé le compte de ce dernier le 5 juin  dernier suite  à sa condamnation  à deux peines d’emprisonnement avec sursis pour provocation à la haine. Mais le compte Youtube de l’essayiste avait été finalement  rétabli au bout de deux jours. Bruno Gollnisch s’inquiète de longue date  de cette volonté de répression  des idées dissidentes qui  s’inscrit dans un  climat plus  général de  verrouillage de l’information.    « Comptes Twitter ou Facebook suspendus ou fermés sans aucune justification, loi sur les Fake news, fermeture de la chaîne YouTube de @tvlofficiel… : le mandat de Macron marque un recul massif de nos libertés d’opinion et d’expression. Ça commence vraiment à faire peur ! » a relevé Marine.

    La présidente du RN parle d’or et cette censure de TVL  a été également dénoncée  par le président de DLF  Nicolas Dupont-Aignan ,  le président du PCD  Jean-Frédéric Poisson  ou encore  l’ex ministre LR  Thierry Mariani  qui a fustigé  un « nouvel ordre moral. »  Nouvel ordre moral dont a besoin le Nouvel ordre mondial pour nous imposer plus largement la dilution de nos souverainetés et identités  particulières.  Ce que les plus lucides à droite ont compris (ou commencent à comprendre), et il faut s’en réjouir. Lucidité rabaissée elle aussi avec mépris  au rang de ce gros rouge qui tache qui  incommode les papilles jupitériennes des élites  qui ont perdu le goût du pays réel.

    https://gollnisch.com/2018/06/19/gros-rouge-qui-tache-le-gout-du-pays-reel/

  • L’arnaque des immigrés qui fuient la faim et la guerre

    6a00d83451619c69e2022ad3544abe200c-320wi.pngLa presse ne se rend pas compte de ce qu'elle publie :

    Il n'a pas l'air si mal au Mali, notre immigré clandestin naturalisé ?

    "l’arnaque sur les « Réfugiés qui fuient la faim et la guerre » de s’effondrer, arnaque qui sert de justificatif moral aux militants de l’ONG SOS Méditerranée pour justifier d’aller chercher des réfugiés au large des côtes africaines pour les amener en Europe comme encore dernière avec l’Aquarius.

    6a00d83451619c69e2022ad39a1fb8200b-320wi.pngCar Mamoudou Gassama est le symbole de cette jeunesse africaine qui ne fuit ni la guerre, ni la faim, et qui n’était nullement menacé dans son pays (sinon il ne serait pas revenu samedi accueilli comme un Prince) mais qui entend simplement «tenter l’aventure européenne » comme si chaque être humain était libre de se rendre partout dans le monde, comme si les frontières et les peuples n’existaient plus.

    « Il y a cinq ans, le jeune homme de 22 ans a quitté son Mali natal pour tenter l’aventure européenne. Une aventure démarrée en cascade avec un périlleux voyage en Libye, puis sur la Méditerranée, et une vie de galère dans les camps de migrants en Italie avant de débarquer en France en septembre 2017.»,explique Afrika News.

    A noter qu’il a fallu plusieurs jours pour que les principaux médias mainstream en France ne reprennent l’information, signe que ce retour au pays pour faire la fête doit sérieusement ennuyer ceux qui n’ont que l’argument humanitaire pour justifier l’arrivée de millions d’Africains en Europe."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • LA MANIPULATION MÉDIATIQUE SUR "LA CRISE DES MIGRANTS"

  • Affaire Médine : l’acte de décès du « en même temps » d’Emmanuel Macron ? – Jérôme Barbet (Les Identitaires)

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    Une nouvelle fois, les identitaires ont joué leur rôle de lanceurs d’alerte.

    Au début du mois de juin, des militants ont révélé sur les réseaux sociaux que le rappeur islamiste « Médine » doit se produire les 19 et 20 octobre prochains au Bataclan, cette fameuse salle de concert du XIème arrondissement parisien où 90 personnes ont été froidement abattues par un commando djihadiste le 13 novembre 2015.

    Rapidement, de nombreux acteurs politiques de droite – du Front National à Laurent Wauquiez – ont protesté contre la tenue de ce concert. Ils ont été suivis par certaines associations de victimes qui ont réclamé à leur tour l’annulation du spectacle, et même par certains députés LREM.

    L’objet de la polémique est évident. Le rappeur Médine Zaouiche, qui porte le prénom d’une des villes saintes de l’islam où fut enterré Mahomet, a longtemps affiché une barbe imposante, à l’instar des compagnons du prophète.

    Le titre de son premier album évoque les attentats du 11 septembre 2001 qui avaient fait plus de 3 000 morts. Le deuxième album, sorti en 2005 et sobrement intitulé « Jihad », joue avec tous les codes de l’islam guerrier. La pochette est notamment barrée d’un imposant sabre vertical constituant le « J » de « Jihad ». On frissonne à l’idée de l’imaginer prononcer les paroles de sa chanson « Grand Médine » où il se compare à un combattant de l’Etat Islamique : « J’arrive sur tous les sites comme un djihadiste de Daesh ».

    Dans ce contexte, la programmation d’un spectacle de Médine sur une scène ensanglantée par des terroristes islamistes constitue une provocation inacceptable.

    Face à la controverse qui a pris une ampleur nationale, le gouvernement d’Emmanuel Macron se retrouve dans une posture délicate. Comme souvent dès que l’on aborde les thématiques identitaires, le pouvoir macroniste est très ennuyé. Il y a une limite à la conciliation des contraires. S’agissant du rappeur islamiste Médine et de son concert au Bataclan, il ne peut y avoir de « en même temps ».

    Ou bien ce spectacle est autorisé, ou bien il est interdit. Il faut prendre parti et trancher radicalement.

    Impossible de biaiser, de réconcilier les parties adverses, de ménager les uns et les autres.

    Mais le dilemme est sérieux.

    Faut-il interdire à Médine de se produire au Bataclan et donner raison à la « fachosphère », ou laisser faire et donner le sentiment de céder face à l’islamisme ?

    Différents signaux nous indiquent d’ores et déjà l’option privilégiée par l’exécutif.

    Sur Cnews, le porte-parole du gouvernement a adopté une position de principe : « La liberté de l’artiste est totale. » Avec ce relativisme irresponsable, le gouvernement accepterait donc que le « Djihad » soit revendiqué sur les lieux de l’attentat islamiste le plus meurtrier de l’Histoire de France.

    Ce serait profaner la mémoire des victimes et humilier notre pays au nom de « droits » extensibles à l’infini.

    Le Premier ministre Edouard Philippe, quant à lui, « assume pleinement » la subvention de la ville du Havre (attribuée lorsqu’il en était maire) au club de boxe de Médine.

    On comprend dès lors de quel côté penchent le Président et ses ministres.

    Cette fois il n’y aura pas de « en même temps ». Ou plutôt si. Avec Macron, nous aurons l’islamisation et en même temps, la soumission.

    Jérôme Barbet

    Texte repris du site de : Les Identitaires

    https://fr.novopress.info/

  • La fausse rumeur de l'attractivité

    6a00d8341c715453ef022ad3785038200d-320wi.jpgCe 11 juin, une rumeur flatteuse circulait sur tous les gros moyens de désinformation.

    Au même moment, notons-le, la république prétend légiférer contre les bobards[1]. La loi sur la presse de 1881 punit la diffusion de fausses nouvelles. Mais cela ne suffit pas à nos princes. Ce texte a, certes, beaucoup servi. Mais il n'a, dans la pratique, jamais été appliqué, sur ce terrain. Or, actuellement on prétend accréditer l'idée, évidemment fausse, d'un paradis hexagonal de l'initiative et de l'investissement.

    Cette post-vérité apparaît, par exemple, en première page du journal Le Parisien qui, depuis longtemps, n'ose plus se dire libéré. Le 23 mai le même journal avait consacré un papier à ce que la rédaction appelle "la fin du French bashing".

    L'expression relève de la langue qu'on pratique au sein de la gauche caviar, celle qui suit le Huffington Post dirigé en France par Anne Sinclair depuis 2012. Le recours insupportable au franglais permet de brouiller les idées.

    Et, en l'occurrence, le concept de "French bashing" permet de confondre allégrement deux attitudes.

    La première nous insupporte[2], s'agissant du dénigrement de notre pays en tant que tel, et de nos compatriotes. Quoi de plus exaspérant que ces Français qui déclarent que leurs concitoyens appartiennent à la catégorie des sots. Ils emploient d’ailleurs un mot plus grossier, et s'excluant eux-mêmes de cette évaluation.

    La seconde ne doit pas seulement être considérée comme logique, mais comme légitime, et même civique : elle se traduit par la critique de notre législation, de notre prétendu modèle et surtout de la fiscalité. On ne redressera la France qu'en passant au crible les maux dont elle souffre.

    Dans l'article précité, in cauda venenum, la conclusion mérite d'être retenue. Évoquant les points de blocage, son auteur souligne en effet, que :

    "La fiscalité tricolore élevée pour les sociétés décourage notamment l'implantation de sièges sociaux, souligne l'étude du cabinet EY. Nos handicaps restent pesants et lourds, insiste le cabinet EY[3] . Au chapitre des améliorations nécessaires, les patrons étrangers pointent, dans l'ordre : la compétitivité fiscale, la simplification administrative et la réforme du Code du travail. Ces obstacles, le nouveau président de la République entend les lever. Les entreprises étrangères verront-elles la France encore plus belle dans les années qui viennent ?"

    Joffrin fait aujourd'hui figure de porte-parole, dans la presse, de ce qui reste de gauche[4]. Et, dans son éditorial de Libération, il n'en rate jamais une. Il écrit donc, le 11, répercutant sans rire le bobard du jour, que "Paris, de plus, devient la capitale la plus séduisante au monde pour les capitalistes." A court terme, ajoute-t-il, "on se disputera pour savoir s’il s’agit d’un effet Macron ou d’un effet Hollande."

    La deuxième hypothèse lui paraît sans doute mieux étayée, au fond, puisqu'on prête, sur de très sérieuses garanties, à l'éditorialiste de Libération l'écriture du livre dont le président déchu aura contribué à rédiger le titre : "Les Leçons du pouvoir".

    On a, certes, du mal à se rallier à l'idée d'une troisième hypothèse. L'attraction de Paris ne saurait, en effet, résulter d'un effet Hidalgo : saleté de la voie publique, perspectives de la taxe foncière, évolution infernale de la circulation, insécurité accrue pour les touristes, finances délabrées d'une municipalité autrefois prospère etc. Cette ville jadis superbe a perdu beaucoup de ses attraits. Et cette information déborde évidemment les frontières.

    Joffrin veut nous convaincre que "les capitalistes aiment la France". Ah comme on aimerait pouvoir lui donner raison.

    Le malheur est qu'un véritable amour se conçoit à deux. Dans le secteur de l'opinion auquel il s'adresse, et en premier lieu sous sa plume, l'amour qu'il envisage n'est pas réciproque.

    Depuis le mythe du mur d'argent du gouvernement Herriot 1924-1926 jusqu'à la campagne de Hollande en 2012, la gauche a toujours misé électoralement sur la détestation de la finance. Le budget de l'État subventionne à hauteur de 4,5 milliards d'euros un audiovisuel public qui propage cette idéologie antiéconomique. Quoique camouflé sous d'autres noms cela s'appelle, en fait, le marxisme.

    Or, si l'on veut développer l'investissement, l'initiative et l'emploi, de manière féconde et intelligente dans notre pays, il serait nécessaire que les technocrates qui nous gouvernent prennent conscience que l'économie a besoin de ceux que l'idéologie déteste.

    JG Malliarakis 

    Apostilles

    [1] En novlangue on parle de fake news.

    [2] En tous cas elle m'exaspère et je ne manque jamais l'occasion de le dire aux déclarants.

    [3] Ce sigle désigne désormais l'ancien Ernest & Young, l'un des quatre plus importants consultants mondiaux

    [4] À ne pas confondre, en principe, avec Plenel, porte parole d'extrême gauche.

    http://www.insolent.fr/

  • Aquarius : Manifestation du SIEL en soutien au gouvernement italien

    Cette manifestation au eu lieu samedi à Paris.

    Serge Federbusch : Paris devient un réceptacle des flux migratoires.

    Eric Fouace : L’aveuglement du gouvernement Français sur la crise migratoire.

    Message de Renaud Camus : L’Europe, il ne faut pas l’abandonner à la submersion migratoire, il faut en refouler l’invasion.

    Sandra Fellous (apparentée UDI) : La France doit faire une pause dans l’immigration.

    Un parisien explique comment font les clandestins pour venir à Paris.

    Témoignage d’un français sur un nouveau chemin migratoire vers La Réunion.

    Karim Ouchikh apporte son soutien à la politique migratoire du gouvernement Italien.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html