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avortement et euthanasie - Page 130

  • Accepter l’avortement est un « ticket d’entrée » dans le monde politique

    Dans Présent, Jeanne Smits a réagi aux propos de Florian Philippot sur l'avortement :

    "[...] A l’heure d’écrire, il n’y a eu aucune mise au point de la part des autres instances dirigeantes du parti, pour plusieurs raisons. Philippot est chargé de la stratégie et de la communication du FN, c’est donc lui qui donne la ligne et qui l’exprime. Par ailleurs, même si Marine Le Pen a fait par le passé des déclarations contre les « avortements de confort » et le remboursement de l’« IVG », elle n’a jamais fait mystère de son refus de revenir sur la loi Veil (aujourd’hui largement dépassée par des mesures encore plus favorables à l’avortement).

    A l’époque de la « dédiabolisation » du FN, qui a effectivement bien fonctionné et qui a rendu ce parti, financé comme les autres sur les fonds publics, omniprésent dans les médias, nous l’écrivions : accepter l’avortement était un « ticket d’entrée » dans le monde politique.

    On savait cependant que des responsables du Front national continuaient d’afficher leur refus de l’avortement légal – ainsi Bruno Gollnisch participait-il aux Marches pour la vie à Paris, entouré d’élus et d’autres figures du parti.

    Mais les déclarations de Florian Philippot balaient – ou voudraient balayer – tout cela. Alors même que la loi proclamant solennellement que l’avortement est un droit – avec pour objectif et conséquence logique de bâillonner toute opposition, d’interdire tout acte visant à avertir les femmes de la vérité sur ce « choix » – n’est même pas encore devant l’Assemblée nationale, il le dit, lui.

    L’avortement n’est-il donc pas un sujet ? L’immigration n’est-elle pas venue compenser, n’est-elle pas présentée comme la seule solution dans un pays où les enfants manquent par millions, sacrifiés sur l’autel infernal du refus de la vie ? Quelle sécurité espérer dans un pays qui sacralise l’égoïsme et le droit d’écraser autrui dans la plus grande violence de toutes, qui permet l’élimination du plus faible des êtres humains par sa mère elle-même ? Sa mère, qui est le plus souvent elle-même victime de ce geste que la société divinise, instrumentalisée au service d’un système qui recherche le mal et la mort ?

    Quelle démocratie, quelle nation ? Une nation est le lieu qui voit chaque jour naître son avenir : aujourd’hui la France permet, encourage, rembourse le génocide de ses enfants. Ce n’est assurément pas le seul « sujet », mais il est au cœur de la crise dont nous savons qu’elle est morale bien avant d’être sociale.

    Et parmi toutes les décisions malfaisantes, les décisions désespérantes qu’aligne le gouvernement socialiste – dans une belle continuité politique par rapport à d’autres formations politiques qui ont payé leur « ticket d’entrée » en sacrifiant à la culture de mort – celles qui portent sur les « sujets de société » sont tout sauf de l’« enfumage ». Elles relèvent d’un choix délibéré qui ancre encore plus profondément la France du côté de la Révolution. Elles délimitent le cadre dans lequel nous vivons, rendant impossible toute réforme de fond qui permette à la France de renouer avec son passé de nation civilisée.

    Et aujourd’hui, miracle ! de plus en plus d’évêques en sont conscients et le disent, jusqu’à Mgr Pontier qui pour être président de la conférence épiscopale n’en est pas moins évêque, a souligné dans son message de Noël que le projet de modification de la loi sur « l’IVG » incite quasiment les femmes « à ne se poser aucune question quant à l’élimination de l’être qu’elles portent en leur chair ».

    Cette tragédie du génocide français crie vengeance, parce que l’homme ne définit pas sa propre mesure et qu’il n’est pas la fin de toutes choses, et qu’à l’imaginer, il se place dans une posture de révolte fondamentale dont le salaire est la destruction, la tyrannie et la mort.

    Que faire lors des élections prochaines ? En tenir compte. Tous les candidats du FN n’ont pas payé leur « ticket d’entrée ». Pour les autres, se rappeler ce qui s’est fait en Espagne : le mouvement pro-vie a pesé en étant entier et net, en réclamant avec ténacité (et il continue) « l’avortement zéro ». Parce que la vie de la France comme nation en dépend aussi."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/12/accepter-lavortement-est-un-ticket-dentr%C3%A9e-dans-le-monde-politique.html

  • Le FN de Florian Philippot et l’avortement ou l’art de savoir tenir sa langue

    En début de la veillée de Noël, nous apprennions qu’un dénommé Florian Philippot, vice –président du Front national, avait déclaré sur RTL que « Il n’y a aucune restriction du droit à l’avortement dans le projet du Front national » ; info qui sera reprise sur le site du Figaro et dans la version papier de ce journal.

    Apparemment cette prise de position est différente de celle de Marie Le Pen, présidente du FN qui durant sa campagne pour les présidentielles, avait bien mis en avant la nécessité de limiter les avortements de « confort » et ceux liés aux « circonstances économiques ». Quant au président d’honneur, Jean-Marie Le Pen, il s’est réjoui du revirement de la situation en Espagne où cette pratique est désormais strictement limitée. Il serait bon que les violons s’accordent.

    Si pour M. Philippot cette question est secondaire, elle ne saurait l’être pour des millions de Français catholiques. Il en est de même du mariage des homosexuels ; même si le gouvernement « fait diversion sur ces questions ». Ils ont de quoi être choqués. Combien de voix cette simple réflexion va-t-elle faire perdre au FN ?

    Les catholiques en sont d’autant plus choqués que cette affirmation tombe le jour où le Fils de Dieu s’est fait homme et que le mot de Noël vient de natalis qui signifie « la naissance ».

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  • Les médecins néerlandais plus timorés face à l'euthanasie

    Aux Pays-Bas, ce n'est pas tant le caractère définitif (et homicide) de l'euthanasie qui fait actuellement hésiter un nombre croissant de médecins de famille au seuil de l'administration de la piqûre létale, que la peur du gendarme. Qui est donc coupable de cet état de fait qui inquiète les responsables de la clinique de fin de vie ouverte au printemps de 2012 ? Eh bien, c'est l'inspection des services de santé, qui a « surréagi » dans l'affaire du médecin de Tuitjenhorn, Nico Tromp, accusé d'avoir procédé à une euthanasie illégale, soumis à une enquête diligentée par le ministère public et qui s'est finalement suicidé en octobre.
    Le quotidien de gauche Het Parool rapporte aujourd'hui que de nombreux médecins qui pratiquaient des euthanasies sans états d'âme sont aujourd'hui plus « timorés », citant que cas d'un généraliste qui avait quasiment bouclé la procédure au « bénéfice » d'un de ses patients et qui, au bout du compte, n'a pas eu le « cran » de pratiquer le geste lui-même. Inquiet à l'idée de s'exposer à d'éventuelles poursuites judiciaires, il avait renvoyé le malade vers la clinique de fin de vie et c'est l'un des trente médecins faisant partie des équipes volantes de cette dernière qui a administré la mort.
    Le directeur de la clinique, Steven Pleiter, s'en irrite. Tous les critères de l'euthanasie légale avaient été respectés dans ce cas précis, explique-t-il. Il était donc inutile de s'en remettre aux services de la clinique basée à La Haye.
    Une dérive qui se constate dans la nature des renvois de plus en plus fréquents vers les spécialistes de l'euthanasie (ou les escadrons de la mort, si vous préférez) : de 4 % de malades en phase terminale de cancer parmi la « clientèle », la première année, on est passé à 12 % désormais, alors même que l'euthanasie est facilement acceptée par les médecins dans ce cas.
    « Nous craignons que les médecins de famille ne trouvent cela finalement plus facile de renvoyer ces cas vers nous, ça leur évite d'avoir à faire l'euthanasie eux-mêmes », souligne un porte-parole de la clinique de fin de vie (Levenseindekliniek). « Cela nous contrarie. Nous existons précisément pour venir en aide aux cas plus complexes : les personnes souffrant de démence ou d'une maladie qui n'est pas immédiatement terminale, comme la maladie de Charcot ou la sclérose en plaques, ou encore les personnes souffrant d'une affection psychiatrique ou qui estiment avoir achevé leur vie. »
    Est-ce à dire que la clinique de fin de vie se spécialise dans les cas litigieux, afin de contourner la loi ou de rendre ses critères plus souples ? Cela paraît assez évident…
    Du côté des médecins généralistes, on se lamente aussi. Bart Meijman, président du Cercle des médecins de famille d'Amsterdam, n'est pas étonné de voir les renvois se multiplier. « Les médecins qui sont un peu moins sûrs d'eux, qui iront plus facilement rechercher un soutien dans les directives officielles, sont devenus plus craintifs. Il faut espérer que cela se tasse… » Pour cela, il faut que l'inspection des services de santé cessent d'affoler les médecins en transmettant les affaires au procureur sans les entendre, au risque de faire envoyer « quinze hommes de la police judicaire devant leur porte d'entrée ».
    La certitude de l'impunité est décidément un puissant moteur de la culture de mort !

  • Avortement : l’Espagne retrouve le chemin de l’humanité

    L’Espagne rétablit le droit à la vie en reconnaissant la valeur intrinsèque de la personne humaine en devenir, qui n’est pas une chose.

    Le gouvernement espagnol appliquera, en 2014, une mesure inscrite dans son programme visant à modifier les lois socialistes de 1985 et de 2010 qui avaient instauré un avortement parmi les plus permissifs au monde : jusqu’à 14, voire 22 semaines. Mais une fois encore, on peut constater le totalitarisme rampant qui règne dans nos médias : « l’Espagne recule », « un retour en arrière », « marche arrière », « régression », « le gouvernement s’attaque au droit à l’avortement », « atteinte au droit des femmes », « perte d’un acquis fondamental », etc…

    À l’inverse, on pourrait dire, par exemple, que l’Espagne rétablit le droit à la vie, qu’elle restaure le droit de l’enfant à naître, qu’elle effectue un indéniable progrès en reconnaissant la valeur intrinsèque de la personne humaine en devenir, qui n’est pas une chose dont un autre être humain puisse disposer à son gré. On pourrait encore se féliciter de la fin d’un privilège, celui de la femme, de décider seule d’une vie qui est aussi issue d’un homme qu’on a de plus en plus tendance à reléguer au rôle de géniteur intermittent dans une vie d’éternel adolescent égoïste.

    Le prétendu droit à l’avortement n’a rien de fondamental. Il ne figure nullement dans les principes du droit. C’est ce qu’on appelle un « droit positif », expression momentanée du rapport de force que l’idéologie féministe est parvenue à imposer

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  • Le soutien des communautés à la Marche pour la vie

    Après les évêques et les associations, voici les communautés et les ecclésiastiques qui soutiennent la Marche pour la vie du 19 janvier :

    • père Daniel Ange, Jeunesse et Lumière
    • père Philippe Barbier, Pères et frères Coopérateurs paroissiaux du Christ Roi
    • Abbé John Berg, supérieur de la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre
    • Abbé Emmanuel Berger, Berceau de sainte Anne, Curé de paroisse à Apt
    • Père Bernard, supérieur de la Famille Missionnaire de Notre-Dame
    • Abbé Amaury Cariot, Diocèse de Pontoise, Responsable Communication
    • Dom Louis Marie, père abbé de l'Abbaye Sainte Madeleine du Barroux
    • Abbé Philippe Laguérie, supérieur de l'Institut du Bon Pasteur
    • Abbé Hubert Lelièvre, Fraternité de prière l'Evangile de la Vie
    • Mère Marie Magdaleine, supérieure de la Famille Missionnaire de Notre-Dame
    • Marques-Gonçalves Manuel recteur du Sanctuaire Notre-Dame de Fatima (à Paris) 
    • Abbé Vincent Ribeton, supérieur du District de France de la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre
    • Abbé Gérard Trauchessec, Institut de Christ Roi souverain prêtre
    • Mgr Gilles Wach, supérieur de l'Institut de Christ Roi souverain prêtre

    Michel Janva

  • Les Hommens rallient la Marche pour la vie

    Par ce communiqué :

    "Les HOMMEN Protect Kids, radicalement du côté des enfants, défendent et continueront de défendre les droits des plus faibles. Depuis bientôt un an, des bénévoles de la résistance HOMMEN se sont levés aux quatre coins de France pour combattre les idéologies ambiantes à grand coup de réalités naturelles incontestables. Loin d'une opposition temporaire à un texte de loi ou d'une simple protestation, c'est un véritable combat qu'il s'agit de continuer activement. Vous êtes responsables.

    Les HOMMEN vous appellent à participer à la Marche pour la Vie le 19 janvier prochain à Paris. Tous les enfants doivent être défendus. Il est temps. Vous êtes les gardiens de la nature et de ses lois, vous êtes les soldats de la vérité, et les idéologies sectaires ne peuvent rien contre vous ! N'oubliez jamais que la victoire du mal, c'est l'inaction des hommes de bien ! La résistance du dimanche, c'est terminé. Venez. Nous, nous serons là. On vous attend."

    Leur site http://hommen-officiel.fr/

  • Les associations qui soutiennent la Marche pour la vie

    Après les évêques, voici les membres de la société civile qui soutiennent la Marche pour la vie du 19 janvier :

    Florence Allard, auteur de « Le traumatisme post avortement », Gynécologue
    Jean Christophe André Dumont président de Jurivie ( Belgique)
    Jean Paul André Dumont président de Pro Vita (Belgique)
    Bernard Antony président de l'AGRIF
    Jean Philippe Audouy président de l'Association Familiale Louis et Zélie Martin
    Rémy Bague président de la Life Parade
    Henri Blocher, Professeur & Doyen honoraire à la Faculté de Théologie évangélique de Vaux sur Seine
    Bourcier de Carbon, Démographe
    Béatrice Bourges présidente du Collectif pour l'Enfant
    Elisabeth Bourgois, Infirmière et écrivain
    Antony Burckhardt, porte-parole de la Marche pour la Vie de Bruxelles
    Carlo Casini, Président du Mouvement pour la Vie Italien et Député Européen
    Le Comité d'accueil de l'enfant et d'aide aux Futures Mères
    La Confédération Nationale des Associations familiales Catholiques
    Jean-Pierre Dickès, Président de l'association catholique des Infirmières (A.C.I.M.) et éditeur des Cahiers Saint Raphael
    Jacques Dupaquier, Membre de l'Institut, Historien
    Alain Escada, président du Collectif "Papa, maman et moi" (Belgique)
    Fédération Nationale de la famille Française
    Femina Europa
    Les Femmes et les enfants d'abord
    Secours aux futures
    Fondation Jérôme Lejeune
    François Foucart, journaliste à France Inter puis à Radio Notre-Dame
    Pierre Gastal, Femmes enceintes en difficulté
    Christophe Geffroy, Directeur de la Rédaction de La Nef
    Astrid Ghislain, Jeunes pour la vie
    Ivan Gobry, Professeur des facultés
    Pierre Goube de Laforest, Président du Centre d’Etudes sur la Reconnaissance de la Personne Humaine
    Alain Guillo, UNEC
    Yves Guyomar, Œuvre Chrétienne de la Cité Vivante
    Joël Hautebert, Président de l'association Objection, Professeur des Universités
    Jacques Hindermeyer, Institut national de réadaptation (fondateur) Professeur de médecine des facultés
    Bernard Huck Faculté de Théologie évangélique de Vaux sur Seine Doyen
    Institut d'études politiques Léon Harmel (IPLH)
    Wilbert Kreiss Professeur de théologie Luthérienne en retraite
    Henri Lafont Président de l'Association des Médecins pour le Respect de la Vie
    Jean Legrand, Association pour le développement démographique
    Birthe Lejeune, Vice-présidente de la Fondation Jérôme Lejeune
    Jean Marie Le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune
    Denis Lensel Journaliste & écrivain
    Angela de Malherbe Centre d'Education pluridisciplinaire de la Personnalité Teen Star
    Patrice Martineau Auteur compositeur
    Roger Martineau Auteur compositeur
    Philippe Maxence, Rédacteur en chef du bimensuel L’Homme Nouveau et écrivain
    Rosny Minvielle, Professeur des facultés de droit
    Elisabeth Montfort, Conseil Régional d'Auvergne; Ancien député européen, Conseillère régionale
    Association Notre Dame de Kabylie
    Papa Maman et Nous
    Piero Pirovano, Président de Solidarité (Italie)
    Samuel Potier Président de Fidelis Santé
    Promouvoir
    Reconquète
    Michel Rouche, Professeur émérite à La Sorbonne
    Jeanne Smits, directeur de Présent
    SOS la Vie
    Liliane Stevenson, Union Mondiale des Organisations Féminines Catholiques
    Denis Sureau, Directeur de la Publication de « L'Homme Nouveau », « Chrétiens dans la Cité », « Transmettre »
    Anne Sophie Tampe, Jeunes témoins de la Vie Humaine
    Jean de Taurier, président du Pèlerinage Notre Dame de Chrétienté
    Jean Louis Thes, Institut de Politique Familiale
    Alain Toulza, Comité d'initiative pour la Dignité Humaine
    La Trêve de Dieu
    Union pour la Vie
    Paul Wells, Faculté de Théologie réformée d'Aix en Provence
    J C Willke, Président International Right To Life Federation
    Gero Winkelmann, Doctors for Life (Allemagne)

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  • 32 évêques soutiennent la Marche pour la vie

    Voici les évêques qui ont officiellement apporté leur soutien à la Marche pour la vie du 19 janvier à Paris, parmi lesquels Mgr de Kérimel, évêque de Grenoble, en charge d'un groupe de travail au sein de la Conférence des évêques de France sur l'avortement :

    Mgr Aillet, Diocèse de Bayonne, Lescar et Oloron
    Mgr Arhanasios, Diocèse des Coptes Orthodoxes de France
    Mgr Aubry, Diocèse de Saint Denis de la Réunion
    Mgr Bagnard, évêque émérite, Diocèse de Belley-Ars
    Cardinal Barbarin, Diocèse de Lyon
    Mgr Batut, auxiliaire de Lyon
    Mgr Benoit Gonin, Diocèse de Beauvais, Noyon et Senlis
    Mgr Breton, évêque émérite, Diocèse d'Aire et Dax
    Mgr Castet, Diocèse de Luçon
    Mgr Cattenoz, Diocèse d'Avignon
    Mgr Centène, Diocèse de Vannes
    Mgr Coppenrath, évêque émérite, Diocèse de Papeete
    Mgr Delmas, Diocèse d'Angers
    Mgr Dognin, auxiliaire du diocèse de Bordeaux et Bazas
    Mgr Fihey, évêque émérite, Diocèse de Coutances
    Mgr Fort, évêque émérite, Diocèse d'Orléans
    Mgr Frikart, évêque auxiliaire émérite, Diocèse de Paris
    Mgr Jacolin, Diocèse de Mende
    Mgr de Kerimel, Diocède de Grenoble, responsable au sein de la CEF du Groupe de travail sur le phénomène social de l'avortement
    Mgr Kratz, auxiliaire du diocèse de Strasbourg
    Mgr Lebrun, Diocèse de Saint Etienne
    Mgr Le Saux, Diocèse du Mans
    Mgr Le Vert, Diocèse de Quimper et Léon
    Mgr Nourrichard, Diocèse d'Evreux
    Mgr Perrier, évêque émérite, Diocèse de Tarbes-Lourdes
    Mgr Poulain, évêque émérite, Diocèse de Périgeux
    Mgr Ravel, Diocèse aux Armées
    Mgr Rey, Diocèse de Fréjus-Toulon
    Mgr Riocreux, Diocèse de Basse Terre
    Mgr Séguy, évêque émérite, Diocèse d'Autun, Chalon et Mâcon
    Mgr Séjourné, évêque émérite, Diocèse de Saint Flour
    Mgr Thomazeau, évêque émérite, Diocèse de Nice

    A venir, les autres soutiens de cette marche.

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  • Instinct de mort socialiste (suite) : le fanatisme des avortueurs contre la liberté d’expression et d’information

    COMMUNIQUÉ DE LA FONDATION JÉRÔME LEJEUNE

    Avortement banalisé au Parlement : il faut dire NON !

    Des modifications cruciales votées en catimini

    Des évolutions législatives relatives à l’avortement sont en cours au Parlement. Ces modifications, enfouies dans un projet de loi qui ne concerne pas le sujet (Egalité Femmes/Hommes), interviennent sans débat. Des amendements qui banalisent l’avortement viennent d’être votés en commission (avant le débat en séance publique prévu le 20 janvier) :

    En supprimant la notion de « détresse de la femme », l’avortement va devenir un droit (alors qu’il est aujourd’hui une dérogation). Cet acte contraire au respect de la vie, dépénalisé dans certaines circonstances, va devenir un acte comme un autre. Pour le constitutionnaliste Bertrand Mathieu « sur le plan des principes, c’est un véritable bouleversement » (voir l’interview intégrale sur le site de La Croix, et les principaux extraits ci-dessous*) Le délit d’entrave de l’avortement est étendu au domaine de l’information. Cela aura pour effet de risquer d’interdire les plateformes d’écoute des femmes enceintes et les sites internet qui avertiraient des dangers de cette pratique. [...]

    LA SUITE ICI => http://hfo.r.mailjet.com/nl/0uiy/x178i.html?a=6aHj4T&b=78b688a0&c=0uiy&d=92749dbc&e=8eb1c70b&email=fmarcilhac%40netcourrier.com

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Instinct-de-mort-socialiste-suite