Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

avortement et euthanasie - Page 130

  • Ludovine de La Rochère soutient la Marche pour la vie

     

    Le Salon Beige a interrogé Ludovine de La Rochère, présidente de La Manif pour Tous.

     

    La Marche pour la Vie a lieu le 19 janvier prochain. Ludovine de La Rochère, quelle est votre position sur la Marche pour la Vie ?

     

    LJe considère, pour ma part, que marcher pour la vie, c’est magnifique ! Moi qui défend la famille, au cœur de laquelle est la vie, je considère naturellement qu’il faut la défendre la vie. Et cette année d’autant plus que, dans les jours prochains, le Parlement va débattre d’un projet de loi sur l’égalité homme/femme dans lequel a été inséré un amendement visant la suppression dans la loi Veil de la notion de « détresse de la femme », suppression qui en fait actera un « droit à l’IVG ».

     

    Nos gouvernants n’ont de cesse, décidément, d’aller toujours plus loin contre la vie alors même que bien d’autres pays, comme l’Espagne, ont pris conscience de toutes les souffrances qui en résultent pour la société, par les femmes, concernées au premier chef, par leurs proches, mais aussi par les nombreux soignants dont la vocation, rappelons-le, est de... soigner.

     

    Depuis des années, nous sommes confrontés en France à un tabou majeur, celui des conséquences psychologiques de l’IVG, même si, parfois, une fenêtre s’ouvre, comme avec la publication du livre du célèbre psychiatre Stéphane Clerget : « Quel âge aurait-il aujourd’hui ? »

     

    Je note, à ce sujet, que la récente campagne « J’ai avorté et je vais bien » montre à quel point, précisément, les femmes qui ont avorté en souffrent ! Mais cette réalité étant niée, la détresse des unes et des autres est d’autant plus grave. D’ailleurs les féministes, qui ne cessent de se plaindre de la difficulté à trouver des médecins qui pratiquent des IVG, devraient avoir l'honnêteté d'explorer les raisons profondes…

     

    Autre tabou majeur : l’échec que représentent les 200 000 IVG pratiquées chaque année en France. Comment expliquer un nombre aussi important ? Comment expliquer que ce chiffre n’ait jamais baissé depuis tant d’années ? Et pourquoi augmente-t-il chez les toutes jeunes filles ?...

     

    UVoilà des questions majeures que nos gouvernants et autorités de santé devraient assumer de se poser, au lieu de se cacher, depuis des années, suivant la politique de l’autruche.

     

    Oui, je souhaiterai que la France aide les femmes à accueillir leur enfant. Oui, c’est essentiel pour les familles. C’est pourquoi je considère que ce combat est complémentaire de celui de La Manif Pour Tous.

     

    Respect de la vie et respect de la famille : dans les deux cas, nous privilégions les droits des plus vulnérables avant les revendications des adultes.

     

    Continuons donc à nous impliquer généreusement dans nos engagements respectifs, sans les confondre, mais sans ignorer les valeurs communes qui les relient.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • 3 évêques déjà annoncés à la Marche pour la vie

    Mgr Aillet , Mgr Cattenoz et Mgr Benoît-Gonnin ont annoncés leur venue à la Marche pour la vie à Paris le 19 janvier.

     

    Le père Daniel-Ange a également annoncé sa participation :

     

    "J'aurais la joie de me rendre à la marche pour la vie. J'espère que les mots d'ordre porteront aussi sur les atrocités de l'euthanasie et du suicide assisté. D'une telle urgence ! Ardente et lumineuse nouvelle année".

    Michel Janva

  • David Bereit sera à la Marche pour la vie

    David Bereit, directeur national des 40 days for Life viendra en France exprès pour la Marche pour la vie.

    4Par ailleurs, Frédéric Pichon, président du cercle des avocats contre la répression policière, a rejoint le comité de soutien de cette Marche.

    Michel Janva

  • Carte des cars pour la Marche pour la vie du 19 janvier

    Ici => http://enmarchepourlavie.fr/carte-des-cars

  • Espagne : les pro-vie réclament "l'avortement zéro"

    Jeanne Smits explique comment les associations pro-vie en Espagne ont réussi à faire accoucher le projet de loi restreignant l'avortement :

    "[...] Le réseau des associations et personnes pro-vie en Espagne, pour une large part fédérée par le site de pression « citoyenne » HazteOir, n’a jamais hésité à appeler un chat, un chat en effet. Pas de circonlocutions lorsqu’il s’agit de dire ce qu’est une « interruption volontaire de la grossesse », comme on l’appelle en Espagne ; ils n’ont cessé de rappeler au parti de Mariano Rajoy que chaque jour qui passait laissait tuer plusieurs centaines de petits être humains dans le ventre de leurs mères et aujourd’hui que l’avant-projet de loi d’Alberto Ruiz-Gallardon, ministre de la justice, est enfin connu et a été adopté en conseil des ministres, ils reviennent encore à la charge en soulignant que chaque instant perdu laisse se poursuivre le massacre.

    Politique des petits pas ? Très peu pour eux : ils parlent clair… mais savent en même temps se réjouir avec prudence en voyant que plusieurs mesures prévues par l’avant-projet vont pouvoir limiter le nombre d’avortements, si la loi est adoptée.

    On notera les points les plus spectaculaires de l’avant-projet : rétablissement des conditions d’accès à l’avortement, et donc suppression du délai des 14 semaines où toute femme peut librement mettre fin à sa grossesse aux termes de la loi Zapatero, et durcissement de celles qui existent toujours pour les avortements plus tardifs. Ainsi l’avortement eugénique (pour cause de malformation grave ou maladie grave du fœtus) est-il explicitement exclu du champ des conditions. Est maintenu en revanche le risque pour la santé physique ou psychique de la mère, ce dernier critère devant être attesté par deux médecins n’ayant aucun lien avec la clinique d’avortement où elle recherche l’intervention, ce qui n’était pas le cas jusqu’à présent et ouvrait la porte à l’abus au sein de l’abus premier de l’atteinte à la vie. Le risque psychique pouvant être invoqué dans le cas d’une grossesse à problème : l’attente d’un enfant trisomique, par exemple…

    De même les mineures ne pourront plus, si la loi est adoptée, accéder anonymement à l’avortement.

    Mais si cette repénalisation doit marquer clairement que l’avortement n’est pas un geste anodin, elle garde le principe de sa possibilité en certains cas. [...]

    Et donc, pendant que les féministes et autres politiques « convenables », c’est-à-dire acceptés par le système, s’étranglent d’indignation devant l’avant-projet Ruiz-Gallardon, de nombreux groupes pro-vie espagnols n’hésitent pas à exprimer leur déception en réclamant, comme toujours, « l’avortement zéro ».

    D’aucuns seraient tentés de dire qu’ils ne savent pas se contenter du possible, du « positif ». Mais voilà, ils n’ont jamais fait autre chose, et s’ils avaient édulcoré leurs demandes qui visent tout simplement à empêcher tout assassinat légal de l’enfant à naître on n’aurait probablement même pas l’avant-projet actuel.

    Que demandent-ils donc ? Pour l’instant : mieux et davantage.

    La vigilance d’abord : même si l’avant-projet est « bien engagé », note HazteOir (qui compte des centaines de milliers de sympathisants), cela est « insuffisant ». « La pression du lobby de l’avortement peut encore le faire dérailler. » Le texte doit passer en effet entre les mains du Consejo Fiscal, organe d’Etat chargé de veiller à l’unification de l’action du ministère public, du Conseil général du pouvoir judiciaire et du Conseil d’Etat : « Ils peuvent l’améliorer, si nous le demandons ensemble », souligne HazteOir qui lance une pétition à cet effet.

    La pétition demande quatre choses :

    1. Que le texte comprenne un plan d’aide à la femme enceinte, avec une dotation budgétaire correspondante.

    2. Qu’il fasse sortir l’avortement de l’enveloppe des services du Système public de santé.
    3. Que le consentement informé comporte la remise à la mère d’une échographie de son enfant.

    4. Que le texte ne comporte plus la « passoire » de la loi de 1985 en supprimant l’avortement pour « risque pour la santé de la mère ».

    Ce sont des « citoyens éveillés et actifs » qui vont obtenir que la loi Aido (la loi d’avortement du gouvernement Zapatero) soit reléguée dans l’histoire, souligne le site, mais il ne s’agira alors que d’une « première bataille » gagnée : « Nous n’avons pas encore atteint notre but, l’avortement zéro. Le changement demeure toujours trop fragile et les partisans de l’avortement feront tout leur possible dans les prochains mois pour qu’il n’aboutisse pas. »"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Jogging belge à Bruxelles pour dire non à l’extension de l’euthanasie

    Quelques Veilleurs debout belges ont organisé samedi dernier en fin de soirée un jogging devant le Parlement belge à Bruxelles pour dire non à l’extension de l’euthanasie. Voici quelques photos:
    jogging bruxelles
    jogging bruxelles3

    La suite ....

  • Une belle histoire pour finir l’année : celle d’un bébé qui a survécu à la RU 486

     

    C’est en Angleterre que se passe cettehistoire qui se termine bien, un peu douce-amère… Il y a trois mois et demi, Shannon Skinner, 19 ans, de Knowles près de Bristol, découvrait qu’elle était enceinte – pour la deuxième fois. Avec son petit copain, Anthony Hunt, elle élevait déjà leur premier enfant qui avait alors neuf mois. Trop tôt, trop vite : ce deuxième bébé arrivait à un mauvais moment, où le couple rencontrait des problèmes : fallait-il accueillir une nouvelle vie dans ces conditions tout sauf idéales ?

     

     

    Shannon et Anthony discutent, se posent des questions, et finissent par opter pour un avortement médicamenteux. Les comprimés et le suivi seront fournis par une clinique spécialisée dans la suppression des toutes petites vies : Marie Stopes International. Et Shannon – c’est elle qui le raconte } pleure son bébé.

     

     

    Mais voilà qu’elle continue de souffrir de nausées matinales, et qu’elle ressent des mouvements en son sein. Les médecins qu’elle consulte assurent que ce sont des effets secondaires de l’avortement médicamenteux. De toute façon, dans la foulée de l’« IVG », Marie Stopes l’a persuadée d’accepter un implant contraceptif, alors ?

     

     

    Mais Shannon Skinner se pose toujours des questions, fait un test de grossesse à domicile, qui s’avère positif. Quelques semaines se sont déjà écoulées depuis qu’elle a pris ses comprimés de RU 486 ; son médecin lui explique que cela est « normal » après un avortement, et prescrit lui-même un test qui sera négatif.

     

     

    Le 20 décembre, se sentant toujours mal, elle retourne chez le médecin. Cette fois, il confirme qu’elle est enceinte. Et suggère qu’il s’agit d’un raté de l’implant : ce serait donc la troisième grossesse de Shannon… Le lendemain, elle fait vérifier l’affaire et découvre que c’est en réalité l’avortement qui a raté : le bébé qu’elle porte, une petite fille, en est à vingt semaines !

     

     

    Mais va-t-elle bien ? C’est l’angoisse de la jeune maman : quel peut être l’état de santé d’un bébé qui a subi un avortement médicamenteux capable de causer des anomalies, et les doses d’hormones contraceptives libérées par l’implant ? Une échographie pratiquée la veille de Noël montre que tout va pour le mieux, mais l’échographiste douche bientôt l’optimisme de sa patiente en annonçant sombrement en s’autorisant à lui dire que la petite pourrait bien développer des anomalies fonctionnelles plus tard.

     

    Bref, le corps médical essaie de se prémunir, n’est-ce pas ? Plusieurs médecins vont se charger de dire à Shannon qu’elle a encore trois semaines pour « choisir », puisque l’avortement est légal en  Grande-Bretagne jusqu’à 24 semaines…

     

     

    Mais avec son ami, Shannon ne se sent pas le cœur de faire cela au bébé, qui a déjà survécu à tant de périls. « Nous avons décidé de garder le bébé, car nous pensons que ce serait pas bien d’avorter à ce stade. C’est évidemment un petit battant, et nous ne voulons pas lui faire davantage de mal. »

     

     

    La naissance de cette petite fille-miracle est prévue pour le 7 mai, elle est enfin la bienvenue.

     

     

    En attendant ses parents se sont plaints à Marie Stopes International, qui s’est contenté de publier un communiqué expliquant que « très occasionnellement, la pilule abortive peut ne pas fonctionner ». L’organisation assure qu’elle en avertit les femmes afin qu’elles puissent faire vérifier si leur avortement médicamenteux s’est fait avec succès « afin qu’un nouveau “traitement” puisse être demandé si nécessaire ».

     

     

    Mais l’acharnement meurtrier a lui aussi ses ratés !

     

     

     

    © leblogdejeannesmits

  • L'équivalent de la population de Lille exterminée chaque année

    Homélie prononcée par Monsieur le Chanoine Gérard Trauchessec, ICRSP, le 28 décembre en la fête des Saints Innoncents :

    "L’Evangile retenu pour la messe de ce jour relate le massacre des enfants qui n’avaient pas plus de deux ans ordonné par Hérode. Sans doute le total des innocentes victimes de Bethléem et des environs ne dépassa-t-il pas la vingtaine. Toutefois ce sang versé engendra bien des souffrances dans les cœurs de celles et ceux qui avaient perdu un être cher !

    Aujourd’hui encore se produisent de tels massacres de par le monde et à une beaucoup plus grande échelle dans une indifférence quasi généralisée. En effet pour la France seule ne déplore-t-on pas 225.000 avortements par an, selon les chiffres communiqués par l’Institut National des Statistiques, soit l’équivalent de la population d’une ville comme Lille, soit 600 avortements par jour !

    De tels crimes abominables, ainsi qualifiés il y a 50 ans par le Concile Œcuménique Vatican II, appellent réparation. C’est la raison de notre présence en ce sanctuaire érigé à cette intention à l’initiative du regretté Docteur Christian-Michel Doublier-Villette et des Croisés du Sacré – Cœur.

    La centaine de petites croix blanches qui l’entourent, depuis 1997, représente chacune 10 millions d’enfants avortés, soit un milliard d’enfants comme il est écrit sur le socle de la croix érigée, la même année, auprès de la chapelle placée sous le vocable de Saint Joseph, père nourricier de la Sainte Famille, comme le rappellent les vitraux.

    Ces chiffres communiqués d’une part par l’Institut National des Statistiques et d’autre part par l’Organisation des Nations Unies ne sont pas majorés. Espérons qu’ils ne sont pas minorés ! 16 ans après ceux communiqués par l’Organisation des Nations Unies combien de victimes faudrait-il ajouter ?

    D’année en année il semble toujours plus nécessaire de venir en pèlerinage en ce lieu de mémoire et d’offrir le Saint Sacrifice de la messe - le plus beau et le plus efficace qui soit puisqu’il renouvelle invisiblement mais réellement le sacrifice de la croix - en réparation  de ces meurtres et pour implorer la miséricorde divine envers tous ceux et toutes celles qui, de près ou de loin, ont participé à ces abominations.

    En effet le Seigneur ne veut pas la mort du pécheur mais qu’il se convertisse. En chacune de ses apparitions Notre Dame ne nous demande-t-elle pas de prier pour la conversion des pécheurs ? Alors prions pour la nôtre et celle des autres afin que la vie soit respectée du premier instant de la conception à la mort naturelle comme l’a demandé le Bienheureux Jean-Paul II dans son admirable encyclique Evangelium vitae qu’il nous faut lire, méditer et diffuser.

    Si l’Eglise nous invite à fêter, le 8 décembre l’Immaculée Conception de la Très Sainte Vierge Marie, depuis la promulgation du dogme, le 8 décembre 1854, par le Bienheureux Pie IX, c’est parce qu’Elle reconnaît son existence humaine dès cet instant dans le sein de Sainte Anne.

    De nos jours la science a prouvé qu’il y a un nouvel être humain dans le sein maternel dès le premier instant de la conception et pas seulement quelques cellules dont on pourrait disposer librement. Le rejet du rapport Estrela, au début de ce mois, par le parlement européen est une victoire encourageante pour tous ceux qui militent pour le respect de la vie. Toutefois il faut rester très vigilants pour que le résultat de ce vote ne soit pas détourné comme d’autres l’ont été !

    Au centre de la conférence des Evêques de France, le Cardinal Poupard déclarait le 13 décembre : « La baisse croissante de la fécondité européenne s’accompagne d’une promotion de l’avortement et même de la tentative, en Belgique, de légaliser une euthanasie de mineurs que même la barbarie nazie n’avait pas osé afficher. » Conférence pour le 50eme anniversaire de la mort de Robert Schuman.

     

    Lire la suite "L'équivalent de la population de Lille exterminée chaque année"

    Michel Janva

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Petite méditation philosophique

    Elle nous est proposée par l'Abbé de Tanouarn. Elle traite de l'athéisme et de la morale. Répondant à une critique de Christine Tasin, l'abbé pose une distinction particulièrement intéressante entre les athées "mystiques" et les "rationalistes athées".

    Concernant les premiers, extraits.

    "Pour Feuerbach, c'est l'homme qui est Dieu : "Toute conscience de soi est une conscience de soi de Dieu". On retrouve là quelque chose de l'élan sublime de Spinoza, l'athée qui parle de Dieu presque à chaque ligne de son Ethique, parce que pour lui l'exercice de la raison est un exercice absolu et donc divin. Spinoza est dans une forme de rationalisme, c'est vrai, mais alors un rationalisme sublime où la Raison n'est pas la petite comptable qui vient vous avertir que le jeu est fini et que, circulez il n'y a rien à voir, rien à savoir, rien à croire, mais où cette Raison est plutôt comme une image plausible du tout dans la moindre déduction, une image tellement belle qu'elle parvient à faire oublier l'existence concrète et toujours imprévisible. Ces athées là, auquel le Tout donne une sorte de vertige, peuvent être particulièrement accessibles à l'amour. Pourquoi ? Parce qu'ils ne calculent plus rien."

    Et les seconds.

    "Mais c'est dans Albert Camus, officiellement athée que je sache (ou alors on n'écrit pas l'Etranger), que j'ai trouvé la condamnation la plus forte du rationalisme : "Ceux qui prétendent tout savoir et tout régler finissent par tout tuer. Un jour vient où ils n'ont pas d'autre règle que le meurtre, d'autre science que la fausse scolastique qui de tout temps servit à justifier le meurtre" (Deuxième réponse à Emmanuel d'Astier). Ceux qui réduisent le jaillissement baroque du réel à leurs cases mentales, soumettant le réel au rationnel, ont forcément la posture du meurtrier en puissance. Du réel, ils n'aiment ni les démentis, ni les impuissances, ils n'aiment rien. Ils n'aiment pas, ils calculent."

    On peut constater que ce second développement est particulièrement opératoire pour le temps présent. La mise en oeuvre des idéologies, négatrices du réel, passe par la tentative de soumission de celui-ci à la raison déifiée, et aboutit invariablement aux "grands cimetières sous la lune": ceux des révolutions, hier chez nous, ailleurs toujours, et ceux des innocentes  victimes, par millions, de l'avortement.

    Paula Corbulon

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/