Par ce communiqué :
"Les HOMMEN Protect Kids, radicalement du côté des enfants, défendent et continueront de défendre les droits des plus faibles. Depuis bientôt un an, des bénévoles de la résistance HOMMEN se sont levés aux quatre coins de France pour combattre les idéologies ambiantes à grand coup de réalités naturelles incontestables. Loin d'une opposition temporaire à un texte de loi ou d'une simple protestation, c'est un véritable combat qu'il s'agit de continuer activement. Vous êtes responsables.
Les HOMMEN vous appellent à participer à la Marche pour la Vie le 19 janvier prochain à Paris. Tous les enfants doivent être défendus. Il est temps. Vous êtes les gardiens de la nature et de ses lois, vous êtes les soldats de la vérité, et les idéologies sectaires ne peuvent rien contre vous ! N'oubliez jamais que la victoire du mal, c'est l'inaction des hommes de bien ! La résistance du dimanche, c'est terminé. Venez. Nous, nous serons là. On vous attend."
Leur site http://hommen-officiel.fr/
avortement et euthanasie - Page 130
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Les Hommens rallient la Marche pour la vie
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Les associations qui soutiennent la Marche pour la vie
Après les évêques, voici les membres de la société civile qui soutiennent la Marche pour la vie du 19 janvier :
Florence Allard, auteur de « Le traumatisme post avortement », Gynécologue
Jean Christophe André Dumont président de Jurivie ( Belgique)
Jean Paul André Dumont président de Pro Vita (Belgique)
Bernard Antony président de l'AGRIF
Jean Philippe Audouy président de l'Association Familiale Louis et Zélie Martin
Rémy Bague président de la Life Parade
Henri Blocher, Professeur & Doyen honoraire à la Faculté de Théologie évangélique de Vaux sur Seine
Bourcier de Carbon, Démographe
Béatrice Bourges présidente du Collectif pour l'Enfant
Elisabeth Bourgois, Infirmière et écrivain
Antony Burckhardt, porte-parole de la Marche pour la Vie de Bruxelles
Carlo Casini, Président du Mouvement pour la Vie Italien et Député Européen
Le Comité d'accueil de l'enfant et d'aide aux Futures Mères
La Confédération Nationale des Associations familiales Catholiques
Jean-Pierre Dickès, Président de l'association catholique des Infirmières (A.C.I.M.) et éditeur des Cahiers Saint Raphael
Jacques Dupaquier, Membre de l'Institut, Historien
Alain Escada, président du Collectif "Papa, maman et moi" (Belgique)
Fédération Nationale de la famille Française
Femina Europa
Les Femmes et les enfants d'abord
Secours aux futures
Fondation Jérôme Lejeune
François Foucart, journaliste à France Inter puis à Radio Notre-Dame
Pierre Gastal, Femmes enceintes en difficulté
Christophe Geffroy, Directeur de la Rédaction de La Nef
Astrid Ghislain, Jeunes pour la vie
Ivan Gobry, Professeur des facultés
Pierre Goube de Laforest, Président du Centre d’Etudes sur la Reconnaissance de la Personne Humaine
Alain Guillo, UNEC
Yves Guyomar, Œuvre Chrétienne de la Cité Vivante
Joël Hautebert, Président de l'association Objection, Professeur des Universités
Jacques Hindermeyer, Institut national de réadaptation (fondateur) Professeur de médecine des facultés
Bernard Huck Faculté de Théologie évangélique de Vaux sur Seine Doyen
Institut d'études politiques Léon Harmel (IPLH)
Wilbert Kreiss Professeur de théologie Luthérienne en retraite
Henri Lafont Président de l'Association des Médecins pour le Respect de la Vie
Jean Legrand, Association pour le développement démographique
Birthe Lejeune, Vice-présidente de la Fondation Jérôme Lejeune
Jean Marie Le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune
Denis Lensel Journaliste & écrivain
Angela de Malherbe Centre d'Education pluridisciplinaire de la Personnalité Teen Star
Patrice Martineau Auteur compositeur
Roger Martineau Auteur compositeur
Philippe Maxence, Rédacteur en chef du bimensuel L’Homme Nouveau et écrivain
Rosny Minvielle, Professeur des facultés de droit
Elisabeth Montfort, Conseil Régional d'Auvergne; Ancien député européen, Conseillère régionale
Association Notre Dame de Kabylie
Papa Maman et Nous
Piero Pirovano, Président de Solidarité (Italie)
Samuel Potier Président de Fidelis Santé
Promouvoir
Reconquète
Michel Rouche, Professeur émérite à La Sorbonne
Jeanne Smits, directeur de Présent
SOS la Vie
Liliane Stevenson, Union Mondiale des Organisations Féminines Catholiques
Denis Sureau, Directeur de la Publication de « L'Homme Nouveau », « Chrétiens dans la Cité », « Transmettre »
Anne Sophie Tampe, Jeunes témoins de la Vie Humaine
Jean de Taurier, président du Pèlerinage Notre Dame de Chrétienté
Jean Louis Thes, Institut de Politique Familiale
Alain Toulza, Comité d'initiative pour la Dignité Humaine
La Trêve de Dieu
Union pour la Vie
Paul Wells, Faculté de Théologie réformée d'Aix en Provence
J C Willke, Président International Right To Life Federation
Gero Winkelmann, Doctors for Life (Allemagne)
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32 évêques soutiennent la Marche pour la vie
Voici les évêques qui ont officiellement apporté leur soutien à la Marche pour la vie du 19 janvier à Paris, parmi lesquels Mgr de Kérimel, évêque de Grenoble, en charge d'un groupe de travail au sein de la Conférence des évêques de France sur l'avortement :
Mgr Aillet, Diocèse de Bayonne, Lescar et Oloron
Mgr Arhanasios, Diocèse des Coptes Orthodoxes de France
Mgr Aubry, Diocèse de Saint Denis de la Réunion
Mgr Bagnard, évêque émérite, Diocèse de Belley-Ars
Cardinal Barbarin, Diocèse de Lyon
Mgr Batut, auxiliaire de Lyon
Mgr Benoit Gonin, Diocèse de Beauvais, Noyon et Senlis
Mgr Breton, évêque émérite, Diocèse d'Aire et Dax
Mgr Castet, Diocèse de Luçon
Mgr Cattenoz, Diocèse d'Avignon
Mgr Centène, Diocèse de Vannes
Mgr Coppenrath, évêque émérite, Diocèse de Papeete
Mgr Delmas, Diocèse d'Angers
Mgr Dognin, auxiliaire du diocèse de Bordeaux et Bazas
Mgr Fihey, évêque émérite, Diocèse de Coutances
Mgr Fort, évêque émérite, Diocèse d'Orléans
Mgr Frikart, évêque auxiliaire émérite, Diocèse de Paris
Mgr Jacolin, Diocèse de Mende
Mgr de Kerimel, Diocède de Grenoble, responsable au sein de la CEF du Groupe de travail sur le phénomène social de l'avortement
Mgr Kratz, auxiliaire du diocèse de Strasbourg
Mgr Lebrun, Diocèse de Saint Etienne
Mgr Le Saux, Diocèse du Mans
Mgr Le Vert, Diocèse de Quimper et Léon
Mgr Nourrichard, Diocèse d'Evreux
Mgr Perrier, évêque émérite, Diocèse de Tarbes-Lourdes
Mgr Poulain, évêque émérite, Diocèse de Périgeux
Mgr Ravel, Diocèse aux Armées
Mgr Rey, Diocèse de Fréjus-Toulon
Mgr Riocreux, Diocèse de Basse Terre
Mgr Séguy, évêque émérite, Diocèse d'Autun, Chalon et Mâcon
Mgr Séjourné, évêque émérite, Diocèse de Saint Flour
Mgr Thomazeau, évêque émérite, Diocèse de Nice
A venir, les autres soutiens de cette marche.
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Instinct de mort socialiste (suite) : le fanatisme des avortueurs contre la liberté d’expression et d’information
COMMUNIQUÉ DE LA FONDATION JÉRÔME LEJEUNE
Avortement banalisé au Parlement : il faut dire NON !
Des modifications cruciales votées en catimini
Des évolutions législatives relatives à l’avortement sont en cours au Parlement. Ces modifications, enfouies dans un projet de loi qui ne concerne pas le sujet (Egalité Femmes/Hommes), interviennent sans débat. Des amendements qui banalisent l’avortement viennent d’être votés en commission (avant le débat en séance publique prévu le 20 janvier) :
En supprimant la notion de « détresse de la femme », l’avortement va devenir un droit (alors qu’il est aujourd’hui une dérogation). Cet acte contraire au respect de la vie, dépénalisé dans certaines circonstances, va devenir un acte comme un autre. Pour le constitutionnaliste Bertrand Mathieu « sur le plan des principes, c’est un véritable bouleversement » (voir l’interview intégrale sur le site de La Croix, et les principaux extraits ci-dessous*) Le délit d’entrave de l’avortement est étendu au domaine de l’information. Cela aura pour effet de risquer d’interdire les plateformes d’écoute des femmes enceintes et les sites internet qui avertiraient des dangers de cette pratique. [...]
LA SUITE ICI => http://hfo.r.mailjet.com/nl/0uiy/x178i.html?a=6aHj4T&b=78b688a0&c=0uiy&d=92749dbc&e=8eb1c70b&email=fmarcilhac%40netcourrier.com
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Instinct-de-mort-socialiste-suite -
Vincent Lambert : l’étau se resserre
Tout, dans l’affaire Vincent Lambert, jeune tétraplégique de 37 ans, de nouveau menacé de mort par l’équipe de gériatrie qui le soigne par retrait de son alimentation, concourt pour montrer que l’euthanasie est déjà entrée dans les mœurs médicales françaises. Si l’application de la loi Leonetti à un homme encore jeune qui n’est pas malade, juste profondément handicapé, incapable d’exprimer ce qu’il ressent, est contestable en droit, elle paraît parfaitement normale au médecin qui veut passer à l’acte, à Jean Leonetti lui-même qui a appuyé la décision du Dr Eric Kariger, à une responsable d’éthique d’un grand hôpital et centre de soins palliatifs comme l’hôpital Cochin à Paris, le Dr Véronique Fournier.
Oui, on peut tuer un patient tétraplégique, qui n’est pas en fin de vie, qu’il soit capable ou non d’exprimer sa volonté, en le privant de nourriture – considérée comme un « traitement médical » qui maintient « artificiellement » la vie – quand bien même l’administration par sonde se fait simplement pour éviter les fausses routes, et que tous les organes de l’intéressé fonctionnent normalement. Oui, on peut le faire, dit en substance le Dr Véronique Fournier dans une récente interview au Monde, il faut même le faire mais – pour ne pas être trop barbare, pour ne pas retarder la survenue de la mort – à condition de couper aussi l’hydratation. Curieux : les travaux préparatoires de la loi Leonetti recommandaient de ne pas supprimer l’hydratation du patient, justement parce que la mort par soif est présentée comme trop cruelle.
Il y a eu le cas d’Hervé Pierra, dont l’agonie abominable a incité le responsable de l’unité de soins palliatifs où se trouvait ce jeune tétraplégique, le Dr Bernard Devalois, à réclamer lui aussi que l’on puisse ajouter au processus des « soins palliatifs adaptés ». Mais toujours dans le but de tuer.
Vincent Lambert, lui, avait survécu au printemps à 31 jours de retrait d’alimentation, parce qu’il recevait encore 500 ml de liquide chaque jour, avant d’être sauvé in extremis par un référé-liberté engagé par ses parents, qui s’opposaient à sa mise à mort volontaire.
Aujourd’hui, l’affaire va vers un nouveau paroxysme, puisque le Dr Kariger, ayant obtenu l’accord de la femme de son patient, a engagé une nouvelle « procédure collégiale » prévue pour décider de l’euthanasie, l’illégalité de la première ayant été constatée par le tribunal de Châlons-sur-Saône au printemps.
Entre-temps, le Dr Kariger a multiplié les interventions dans la presse pour justifier le « processus de fin de vie ». Avant la consultation « collégiale » qui s’est déroulée le 9 décembre, il avait déjà déclaré – c’était le 16 octobre dans Libération – : « Il faut arrêter. » Se disant prêt à aller « devant la justice » pour faire « consolider ce choix ». Aussi la rencontre du 9 décembre était-elle d’avance programmée comme une formalité destinée à justifier la mise à mort.
Les parents de Vincent Lambert, devant cette certitude et cette manipulation ont, par la voix de leur avocat, demandé la récusation du Dr Kariger, juge et partie, qui a systématiquement refusé de prendre en compte leur volonté et qui s’est refusé à ce que son patient soit accueilli dans un centre spécialisé pour les personnes dans son état. Refus net du médecin. C’est à tel point que le responsable de ce service de neurologie de Nancy, le Pr Ducrocq, s’est trouvé seul, le 9 décembre à Reims à la réunion dite collégiale, pour défendre la vie de Vincent, pour le simple motif qu’il n’est pas en fin de vie. Devant un panel d’une dizaine, peut-être une vingtaine de médecins défendant le choix de Kariger. Une mascarade. On attend d’ici à Noël la « décision collégiale » qui en découlera. Tout laisse prévoir qu’elle consistera en un choix de passage à l’acte rapide.
Le Figaro de samedi publie un remarquable résumé de la situation par notre consœur Delphine de Mallevoüe qui, en employant les mots justes, met le doigt sur la réalité française : nonobstant tous les débats, propositions de lois et autres panels citoyens, on peut aujourd’hui sans craindre des poursuites évoquer publiquement « l’euthanasie » programmée d’un homme jeune.
Elle donne également la parole au Dr Bernard Jeanblanc, chef de service d’une unité de polyhandicapés, qui vient de voir Vincent Lambert. « Si on euthanasie un patient comme Vincent Lambert, quid des 1 500 autres qui sont comme lui ? On les élimine ? Sur quels critères ? Parce qu’ils sont handicapés ? Qu’ils ne servent à rien ? (…) Comment le Dr Kariger, qui reconnaît l’incapacité objective de Vincent à communiquer, peut-il soutenir avec une telle force de conviction qu’il a exprimé un refus de vivre ? (…) On ne peut baser un arrêt de mort sur des suppositions, c’est très grave ! A plus forte raison quand il s’agit de “faire mourir” et non de “laisser mourir”. »
Article extrait de Présent du mercredi 18 décembre 2013
http://leblogdejeannesmits.blogspot.fr/ ... serre.html -
Sous la pression de lois liberticides, la Marche pour la vie devient une Marche pour tous
Tous le 19 janvier à Paris, car il s'agira de manifester pour défendre la Vie ET la liberté d'expression de TOUS :
"L'année 2013 va bientôt s'achever. Elle aura été une année de combats sur tous les fronts, une année de belle résistance mais aussi une année de ce fait éprouvante pour chacun d'entre nous.
Malgré tout, nous ne devons rien lâcher en 2014 et surtout ne rien lâcher en ce qui concerne le Respect de la Vie, cause si nécessaire et urgente et pourtant trop souvent "désertée".
Nous ne devons d’autant rien lâcher qu’à partir du 20 janvier, sera en discussion à l’assemblée nationale, un projet de loi sur l’égalité entre les femmes et les hommes, (projet de loi n° 717 déposé le 3 juillet 2013) qui, s’il est voté, modifiera profondément la liberté d’expression et d’action des associations défendant le Respect de la Vie. Dans ce projet, il est question en effet d’étendre le délit d’entrave à l’avortement afin de sanctionner toute personne, tout site, tout document qui ne délivrera pas d’information sur l’avortement.
Nous ne devons pas nous taire et je vous demande de vous battre encore davantage pour faire barrage à ce projet de loi ! La grande Marche pour la Vie est une occasion unique qui vous est ainsi offerte pour défendre le droit fondamental à la vie de tout être humain mais également celui de la liberté de pensée et d’expression.
2014, souhaitons-le ardemment, sera sous le signe du respect de l'embryon, le plus fragile d'entre nous tous, en débutant ainsi l’année, le 19 janvier 2014 par cette GRANDE MARCHE ANNUELLE POUR LA VIE.
Je compte vraiment sur chacun d'entre vous pour tout faire pour que cette Marche soit une démonstration de force de tous ceux qui œuvrent pour le Respect de la Vie.
Vous pouvez distribuer des tracts, coller des affiches, des autocollants : n'hésitez pas à en demander ! Vous pouvez transférer ce message à vos amis, en parler autour de vous...
Il ne nous reste qu'un mois pour nous mobiliser !
Sans vous, sans nous, l'embryon sera le grand oublié…alors, ne laissons pas cela se produire!
Je vous en remercie de tout cœur et vous souhaite une très belle fête de Noël, qui nous porte à l’Espérance". -
L'avortement en passe de devenir un "droit" comme un autre
Le projet de loi sur l'égalité des femmes et des hommes, examiné aujourd'hui en commission des lois, vient de faire l'objet d'un amendement socialiste (voté également par deux députés UMP). Alors que la loi Veil limitait la possibilité d'avorter (en tout cas sur le papier) à des cas de "situation de détresse", il suffira désormais que la femme enceinte ne "veu[ille] par poursuivre une grossesse". Une modification qui «introduit l’idée que l’IVG serait un droit comme un autre», déplore Philippe Gosselin, député UMP et membre de l'Entente parlementaire pour la famille.
Une nouvelle preuve, s'il en fallait, que l'exception mène toujours à la banalisation.
Le projet de loi sera débattu à l'Assemblée nationale à partir du 20 janvier, sur cette nouvelle base. De quoi nous motiver davantage encore à participer la veille à la Marche pour la vie !
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Des cars pour la Marche pour la vie du 19 janvier
- Alsace : départ de Sélestat - contact : francis-kruch@gmail.com
- Indre-et-Loire : départ de Tours - contact : chefdechapitre@chapitresaintgatien.fr
- Maine et Loire - contact : chefdechapitre@chapitresaintgatien.fr
- Doubs : départ de Besançon - contact : phmfmeyer@orange.fr
- Moselle - contact : jean.pirnay@orange.fr
- Loire-Atlantique : départ de Nantes - contact : samuel@famille-potier.com
- Puy de Dome - contact : b.gouriten@gmail.com
- Saône et Loire : départ de Charolles, Epinac, Le Creusot, Paray, Chalon - contact : lionel.prevot@transport.alstom.com
- Vendée : départ de La Roche sur Yon - contact : marchepourlavie85@gmail.com
- Indre : départ de Châteauroux
- Ardèche : départ de Aubenas - contact : père.bernard@fmnd.org
- Loire : départ de Saint Etienne
- Ain : départ de Bourg en Bresse
Vous pouvez organiser d'autres cars en vous inscrivant ici.
Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Lejeune, a apporté son soutien à la Marche pour la Vie.
Nous pouvons vous annoncer également la présence d'une délégation hongroise le 19 janvier.
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19 janvier : la Marche pour la vie recrute des volontaires
Afin de permettre au plus grand nombre de participer à cet évènement majeur qui marquera le début d’une année 2014 militante, la Marche pour la vie recherche des bonnes volontés pour :
- aider à faire venir vos amis de toute la France ! En organisant des tractages autour de vous : Dans vos écoles, vos associations, vos paroisses, vos familles, vos groupes d’amis. En organisant des cars depuis toutes les régions de France.
- aider le « jour J » en assurant diverses missions.
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Euthanasie : les paranos de Dieu font le ménage !
Tout médecin rencontre au moins une fois dans sa carrière confrères ou infirmières qui se prennent « pour Dieu le père »...
Ludivine Chambet, aide-soignante d’une maison de retraite de Chambéry, est mise en examen et écrouée pour avoir empoisonné neuf pensionnaires. Trois seulement en ont réchappé. Six autres, non !
Tout médecin rencontre au moins une fois dans sa carrière confrères ou infirmières – plus rarement aide-soignantes – qui se prennent ainsi « pour Dieu le père » et décident souverainement qui est « au bout du rouleau » ou qui doit continuer encore son existence, recevoir des soins palliatifs… ou non !
Le plus troublant est que ceux-ci estiment « en leur âme et conscience » que « les autres » font de l’acharnement thérapeutique et qu’ils s’arrogent le droit de s’élever contre. En quelque sorte, ils s’estiment investis du devoir d’exécuter une mission, persuadés qu’elle est d’ordre divin, ou fondée en éthique, même ceux et celles qui ne croient pas plus que cela en dieu ou en diable. « Il s’agit, en fait, d’un conflit de conscience éthique où un individu paranoïaque s’estime meilleur juge que le médecin ou le confrère qui, jusqu’à présent, a dirigé les soins du malade », témoigne le Dr Bernard Plouvier, ancien chef de service hospitalier, spécialisé en médecine interne. « Ces individus de structure mentale paranoïaque s’estiment investis de la mission de “faire le ménage” : c’est-à-dire de mettre fin, par une décision unilatérale, à des soins qu’ils jugent inutiles et donc d’interrompre une vie qu’ils estiment “invivable”. Parmi eux, beaucoup d’hospitaliers qui estiment que les médecins généralistes ont trop fait durer la survie du patient. »
Depuis l’arrestation de l’aide-soignante de Chambéry, les médias cherchent pourtant à comprendre ce qui a motivé cette jeune femme de trente ans à commettre ses actes irréparables. Est-ce la longue agonie de sa mère leucémique ? Sa fille en aurait été traumatisée. Ceci expliquerait cela.
Seul hic, le vice-procureur chargé de l’affaire décrit Ludivine Chambet comme une jeune femme « sereine », aux propos cohérents. De son côté, son oncle explique que « c’était pas quelqu’un de méchant. Je ne pense pas qu’elle aurait fait ça pour leur faire du mal. »
Du mal ? À l’exception de quelques rares et autoproclamés « possédés », est-ce qu’un seul dictateur, un seul tortionnaire, un seul serial killer a jamais reconnu avoir agi pour « faire le mal » ? Tous affirment toujours avoir fait œuvre de salubrité publique parce que tel était leur devoir…
Si le débat sur l’euthanasie reste d’actualité et déclenche toujours les passions, il n’en est pas de même de ceux qui décident seuls de la vie et de la mort de leur semblable et passent à l’acte au nom d’une morale qui n’appartient qu’à eux.
Une morale qui n’est ni celle des partisans ni celle des opposants de l’euthanasie : elle est celle de tout criminel, conscient de ses actes, mais faisant fi des repères communs à ses semblables.Et ils deviennent, de fait, les pires ennemis des partisans d’une « fin de vie dans la dignité » qui, eux, ne conçoivent celle-ci qu’entourée de toutes les garanties possibles, non seulement familiales, mais plus encore médicales et judiciaires. Voire religieuses.
Philippe Randa