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avortement et euthanasie - Page 130

  • Conférence de Jean-Marie Le Méné

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  • Propagande officielle pour l'avortement dans les écoles

    Encore une bonne raison de venir demain à la Marche pour la vie (14h30 à Denfert-Rochereau) :

    "Par arrêté du ministre de l'éducation nationale, en date du 30 décembre 2013, l'association Mouvement français pour le planning familial, qui apporte son concours à l'enseignement public, est agréée pour une durée de cinq ans. L'agrément est étendu à ses associations départementales."

    Michel Janva

  • Décodeur n°36 – Amendements IVG dans le projet de loi Egalité Femmes-Hommes

    L’EVENEMENT

    A partir du lundi 20 janvier 2014, l’Assemblée nationale va examiner en première lecture le projet de loi pour l’égalité entre les femmes et les hommes, dans lequel plusieurs amendements concernant l’IVG ont été introduits par des parlementaires.

    L’objectif principal est de transformer l’IVG, liée jusqu’à présent à une situation de détresse, en un « acte médical comme un autre ».  Mais la suppression de l’état de détresse est une façon de nier la réalité de ce que vivent les femmes lors des grossesses difficiles : elles se retrouvent trop souvent confrontées à un choix à sens unique, faute de vraie politique de prévention pour celles, nombreuses, qui souhaitent pouvoir poursuivre leur grossesse et être soutenues dans ce sens (voir sondage IFOP, février 2010).

    LE CHIFFRE

    Avec 222 500 avortements par an, la France compte 15,1 IVG pour 1 000 femmes en âge de procréer, soit le double du taux observé en Allemagne (taux de 7,2).

    Ce chiffre s’explique par le « paradoxe contraceptif français » : près des 3/4 des femmes (72%) qui recourent à l’IVG étaient sous contraception quand elles ont découvert leur grossesse.

    La suite ici

  • Sens Commun appelle l'UMP à réagir contre l'avortement

    Communiqué de Sens Commun, mouvement créé par des cadres de LMPT ayant rejoint l'UMP :

    "À compter du 20 janvier, l’Assemblée nationale débattra en première lecture du « projet de loi pour l’égalité entre les femmes et les hommes ». Entre autres dispositions, ce projet entend changer la loi Veil de 1975 en supprimant la notion de « situation de détresse » inscrite au cœur de celle-ci. La technique du gouvernement est éprouvée. Après la loi Taubira du mariage et de l’adoption pour les personnes de même sexe, qui, au nom de l’égalité, met sur le même plan toutes les formes d’unions, sans aucune prise en compte des différences et des réalités sexuelles, on recommence avec l’IVG. C’est toujours en invoquant avec emphase et émotion l’égalité que l’on coupe progressivement la politique du réel.

    Le constat est pourtant simple à poser : oui ou non, l’IVG est-elle une opération banale, un évènement que nous partageons avec joie, bonheur et enthousiasme ? À l’évidence non, c’est un événement pénible, pour ne pas dire dramatique. Il faut le réaffirmer parce que les gens le savent et rejettent les euphémismes et la langue de bois. Des politiques de tous bords le disent en coulisse. Mais la plupart n’osent élever la voix, de peur qu’on les taxe de réactionnaires ou, pire, qu’on les accuse de s’attaquer à l’IVG. Inversement des réalités – les chantres de la bien pensance en ont le secret -, puisqu’il s’agirait pourtant justement de défendre l’esprit de la loi ! Simone Veil l’a très clairement défini (lien vers la vidéo de son discours à l’assemblée http://www.ina.fr/video/I07169806 ) : « L’avortement doit rester l’exception… Aucune femme ne recourt de gaieté de cœur à l’avortement. Il suffit d’écouter les femmes : c’est toujours un drame et cela restera toujours un drame. »

    L’interruption volontaire de grossesse n’est pas une décision anodine, un geste sans conséquence, une situation sans détresse. Le nier, c’est nier la réalité dont des milliers de femmes témoignent chaque jour sur des centaines de forums internet. Si nos gouvernants veulent vraiment défendre les droits de la femme, qu’ils s’attachent plutôt à mettre en œuvre les moyens humains et matériels pour accompagner celles qui traversent ces moments difficiles. Qu’ils leur offrent le droit à l’écoute, à un soutien, au dialogue et même, sacrilège du politiquement correct, à des voies alternatives à l’IVG. Au sein de l’UMP, Sens Commun appelle tous les parlementaires et élus à faire entendre sur ce sujet une voix de courage et de conviction, une voix qui s’appuie sur les faits et non sur l’idéologie. La reconquête et l’alternance ne se feront pas sur la compromission."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • La vie sauvée de Vincent Lambert

    Communiqué de l’AGRIF :

    L’AGRIF salue avec émotion la décision du tribunal administratif de Châlons-en-Champagne reconnaissant, ce jeudi 16 janvier, le « droit à la vie de Vincent Lambert », qui était sous le coup d’un arrêt de mort par suppression de son alimentation et de son hydratation au motif que la qualité de sa vie relationnelle ne s’améliorerait plus et qu’il n’aurait pas voulu vivre en cet état.

    La dignité et le respect de la vie humaine sont ainsi sauvegardés. Cette décision marque un coup de frein à la folie euthanasique contre laquelle l’AGRIF s’oppose au nom de son combat pour le respect de l’identité humaine, contre tout « racisme » et contre la discrimination à l’égard des faibles et des vulnérables.

    Tétraplégique et en état de conscience minimale, Vincent Lambert est gravement handicapé depuis cinq ans mais il n’est pas « en fin de vie » ni même malade : il est dans l’incapacité d’exprimer sa volonté.

    L’AGRIF souligne que l’ordonnance de Châlons-en-Champagne vient contredire l’avis quasi unanime des médias qui ont lourdement pris parti, au long de ces derniers mois, pour l’arrêt de mort pesant sur Vincent Lambert. Concert auquel s’est joint le Dr Eric Kariger, du CHU de Reims, déjà auteur de la première décision par laquelle Vincent Lambert s’est vu refuser toute nourriture pendant 31 jours au printemps dernier, avant qu’une première ordonnance du tribunal administratif ne vienne constater, dans l’urgence, l’irrespect par le Dr Kariger de la « procédure collégiale » que la loi Leonetti sur la fin de vie lui imposait de suivre.

    L’AGRIF note que les partisans de la décision du Dr Kariger se sont appuyés non sur la lettre de la loi, mais sur son interprétation a posteriori par Jean Leonetti, qui a répété dans les médias ces derniers jours que sa loi rend possible l’arrêt des soins pour les personnes profondément handicapées qui ne se trouvent pas en fin de vie, en vue de les faire mourir.

    L’AGRIF se félicite de ce que cette manœuvre de promotion de l’euthanasie par omission n’ait pu aboutir.

    Elle salue le rôle joué par Me Jérôme Triomphe, son avocat coordinateur, aux côtés de Me  Jean Paillot, avocat à Strasbourg, le Pr Xavier Ducrocq, neurologue et membre du comité d’éthique du CHU de Nancy, et le Dr Bernard Jeanblanc dont la structure se dévoue au service de personnes lourdement handicapées, comme Vincent Lambert, dans l’entier respect de leur vie.

    Elle rappelle que l’éventualité de l’utilisation « euthanasique » de la loi Leonetti avait été solennellement dénoncée, dès 2007, par un document cosigné de Mgr André Vingt-Trois, aujourd’hui cardinal de Paris, et du grand rabbin de Paris David Messas, aujourd’hui disparu.

    L’AGRIF s’honore d’avoir soutenu dans l’affaire Vincent Lambert la position que commande notre devoir d’humanité, et qui se résume en ces quatre mots : « Tu ne tueras pas. »

    Jeanne Smits

    Vice-présidente de l’AGRIF

    http://www.contre-info.com/la-vie-sauvee-de-vincent-lambert#more-31046

  • Avortement : revenir sur une loi mauvaise est un progrès, une avancée humaine

    Très bon article de Sabine Faivre sur Liberté Politique :

    Sabine-Faivre"Le récent projet de loi relatif à l'avortement déposé par le gouvernement espagnol, qui durcit les conditions d'accès à l'IVG, a fait voler un tabou en éclat : celui de la réversibilité des lois.

    Cet événement tant décrié par l'intelligentsia de gauche, relayée abondamment par des médias partisans, constitue un revirement majeur dans l'histoire des démocraties, et dans l'histoire tout court. Pour la première fois, grâce à l'Espagne, il apparaît que nulle loi n'est écrite dans le marbre, que nulle loi n'est irréversible.

    Dès lors les partisans de la libéralisation de l'IVG, ceux qui nous gouvernent, ainsi que les lobbies qui les soutiennent, ne pourront plus invoquer la fameuse « marche de l'histoire » pour justifier l'extension des lois en matière de santé reproductive. Ce fameux sens de l'histoire, jusque dans les débats récents, servait d'argument imparable aux partisans du mariage gay, de la PMA et de la GPA.

    Il n'y a de sens de l'histoire que celui que nous construisons. L'Espagne nous donne une belle leçon de démocratie. Car revenir sur une loi mauvaise est un progrès, une avancée humaine.

    La loi sur l'IVG fait partie de ces lois mauvaises que nul ne se serait aujourd'hui risqué à dénoncer ouvertement, à moins de passer pour d'obscur intégriste totalement déphasé avec son temps.

    Car nous disait-on, la Modernité nous donne le droit de décider où et quand je veux un enfant. Ce en quoi les adversaires de l'avortement seraient d'accord, à la nuance près que cette phrase s'entend avant la conception d'un enfant, et non lorsque l'enfant est déjà conçu.

    Cela nous oblige à nous pencher sur le système français, et sur les lois récentes qui ont conduit, encore récemment, à transformer l'IVG en un acte banal, courant, et dénué de toute connotation anxiogène.

    Le gouvernement a pensé, comme pour le mariage gay, qu'en supprimant les mots, ils supprimeraient aussi la réalité vécue.

    Lire la suite "Avortement : revenir sur une loi mauvaise est un progrès, une avancée humaine"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • L’utilisation « euthanasique » de la loi Leonetti avait été solennellement dénoncée

    Jeanne Smits, vice-présidente de l'Agrif, commente la décision du tribunal de laisser Vincent Lambert en vie :

    "L’AGRIF salue avec émotion la décision du tribunal administratif de Châlons-en-Champagne reconnaissant, ce jeudi 16 janvier, le « droit à la vie de Vincent Lambert », qui était sous le coup d’un arrêt de mort par suppression de son alimentation et de son hydratation au motif que la qualité de sa vie relationnelle ne s’améliorerait plus et qu’il n’aurait pas voulu vivre en cet état.

    La dignité et le respect de la vie humaine sont ainsi sauvegardés. Cette décision marque un coup de frein à la folie euthanasique contre laquelle l’AGRIF s’oppose au nom de son combat pour le respect de l’identité humaine, contre tout « racisme » et contre la discrimination à l’égard des faibles et des vulnérables.

    Tétraplégique et en état de conscience minimale, Vincent Lambert est gravement handicapé depuis cinq ans mais il n’est pas « en fin de vie » ni même malade : il est dans l’incapacité d’exprimer sa volonté.

    L’AGRIF souligne que l’ordonnance de Châlons-en-Champagne vient contredire l’avis quasi unanime des médias qui ont lourdement pris parti, au long de ces derniers mois, pour l’arrêt de mort pesant sur Vincent Lambert. Concert auquel s’est joint le Dr Eric Kariger, du CHU de Reims, déjà auteur de la première décision par laquelle Vincent Lambert s’est vu refuser toute nourriture pendant 31 jours au printemps dernier, avant qu’une première ordonnance du tribunal administratif ne vienne constater, dans l’urgence, l’irrespect par le Dr Kariger de la « procédure collégiale » que la loi Leonetti sur la fin de vie lui imposait de suivre.

    L’AGRIF note que les partisans de la décision du Dr Kariger se sont appuyés non sur la lettre de la loi, mais sur son interprétation a posteriori par Jean Leonetti, qui a répété dans les médias ces derniers jours que sa loi rend possible l’arrêt des soins pour les personnes profondément handicapées qui ne se trouvent pas en fin de vie, en vue de les faire mourir.

    L’AGRIF se félicite de ce que cette manœuvre de promotion de l’euthanasie par omission n’ait pu aboutir.

    Elle salue le rôle joué par Me Jérôme Triomphe, son avocat coordinateur, aux côtés de Me  Jean Paillot, avocat à Strasbourg, le Pr Xavier Ducrocq, neurologue et membre du comité d’éthique du CHU de Nancy, et le Dr Bernard Jeanblanc dont la structure se dévoue au service de personnes lourdement handicapées, comme Vincent Lambert, dans l’entier respect de leur vie.

    Elle rappelle que l’éventualité de l’utilisation « euthanasique » de la loi Leonetti avait été solennellement dénoncée, dès 2007, par un document cosigné de Mgr André Vingt-Trois, aujourd’hui cardinal de Paris, et du grand rabbin de Paris David Messas, aujourd’hui disparu.

    L’AGRIF s’honore d’avoir soutenu dans l’affaire Vincent Lambert la position que commande notre devoir d’humanité, et qui se résume en ces quatre mots : « Tu ne tueras pas. »"

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  • Un de nous appelle à manifester à Paris dimanche

    L'initiative citoyenne qui a recueilli près de 1 900 000 signatures pour défendre l'embryon dans l'Union européenne appelle à marcher pour la vie dimanche à Paris :

    "Depuis plusieurs mois les citoyens européens se réapproprient l’enjeu du respect de la vie, grâce à deux mobilisations qui ont remporté un grand succès : l’initiative citoyenne Un de nous (ONE OF US), qui s’oppose aux financements de programmes européens détruisant des embryons humains, et la mobilisation contre le rapport Estrela visant à faire de l’avortement un droit.

    Les tensions sont vives au sein de l’Europe : le gouvernement espagnol vient de présenter un projet de loi relatif à la « protection de la vie de l’enfant conçu et des droits de la femme enceinte » visant à limiter l’avortement notamment en cas de suspicion de handicap. La France, à l’inverse, s’apprête à voter à partir du 20 janvier des dispositions banalisant encore plus l’avortement.

    Par ailleurs, la ministre des droits de la femme, Mme Najat Vallaud-Belkacem, vient d’affirmer (sur France 3 le 11 janvier) que « le droit à l’avortement » fera partie du débat des prochaines élections européennes car selon elle il s’agit d’une liberté fondamentale menacée.

    C’est pourquoi le collectif UN DE NOUS appelle à participer à la Marche pour la vie. Plusieurs représentants européens d’UN DE NOUS seront présents à Paris le 19 janvier pour marcher avec les Français."

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  • Vallaud-Belkacem ou l'extrême légèreté de l'être, par Éric MUTH

     

    La marocaine Vallaud-Belkacem se dit " choquée " à la limitation de l'avortement en Espagne. Je dirais que son attitude est plutôt choquante, bénéficiant de la double nationalité et, étant restée conseillère du roi du Maroc, naturellement elle n'ira jamais proposer l'avortement dans son pays de peur de se faire emprisonner.
    L'humain n'est pas sa tasse de thé et elle n'a qu'un droit : celui de se taire.
    Cette ministre fait de la politique juste pour la gloire sans aucune moralité ni conduite. Elle ferait mieux de s'occuper des vraies femmes à l'étranger, celles qui sont soumises au dictat des hommes dans son pays au nom d'une religion. Comment ne pas être choquée par l'IVG à 14 semaines et plus ?¢
    Étant adepte de la « théorie du genre », tout lui est permis. C'est une opportuniste comme tous ses amis au gouvernement y compris le Président de la république. Au lieu d'idéaliser la Femme, la porte-parole du gouvernement la condamne à n'être qu'un objet de plus. Tuer des enfants n'est sûrement pas son problème, de même que sa compagne Taubira avec son « mariage sauvage ».
    L'avortement n'est pas un droit, le mariage gay ne sera jamais une Loi.