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avortement et euthanasie - Page 131

  • 2013 : une année noire pour la médecine prénatale

    Le docteur Patrick Leblanc, coordinateur du Comité pour sauver la médecine prénatale (CSMP) qui regroupe plus d'un millier de professionnel de la grossesse, publie une tribune dans le Quotidien du Médecin "2013 : une année noire pour la médecine prénatale". Extrait :

    T"À l’occasion des journées du Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF), réunies du 11 au 13 décembre au CNIT-la Défense, le Comité pour sauver la médecine prénatale affirme que 2013 est à marquer d’une pierre noire. Cette année a vu le développement du dispositif qui conduit à l’élimination de masse des enfants trisomiques avant leur naissance. Aucun professionnels, institutionnels, responsables politiques n’a eu le courage de dénoncer la commercialisation d’une nouvelle technique et l’instauration d’un fichage de données personnelles relatives à ce dépistage. Ces évolutions, qui comme les précédentes sont présentées, bien entendu, comme des progrès, vont contribuer à la fuite en avant des dérives eugénistes touchant les bébés trisomiques avant leur naissance. Pour rappel, en France 96 % des enfants détectés trisomiques pendant la grossesse sont éliminés. [...]

    Grâce à ces soutiens institutionnels, un industriel français vient de lancer en novembre la commercialisation de ce test. Et depuis plusieurs mois les médecins spécialistes de la grossesse font l’objet de sollicitations électroniques et téléphoniques répétitives de la part de prestataires de service vantant la technique de DPNI. On les sollicite pour les faire entrer dans des enquêtes d’opinion (contre rémunération !) utiles pour déterminer le coût de ces tests acceptable par leurs patientes. Plus de 820 000 femmes enceintes par an, un système de santé structuré autour de la notion d’égal accès, et une mentalité eugéniste ancrée depuis 20 ans : le marché français s’annonce particulièrement juteux pour les firmes de génie génétique.

    Le 3ème acte déterminant de l’année émane du ministère de la Santé. Il n’est pas anodin car il témoigne de la future administration comptable du diagnostic prénatal. Par arrêté ministériel du 27 mai 2013, un fichier national a été mis en place pour recueillir l’ensemble des données du dispositif de détection prénatale de la trisomie 21. Ce fichage a pour objectif d’évaluer annuellement le système. Ainsi chaque foetus diagnostiqué trisomique sera fiché au niveau national. Un tel recensement renforce l’idée que la naissance des enfants atteints de cette pathologie est due à une erreur de la technique ou à la volonté des parents. On ne peut pas faire plus inhumain et culpabilisant.

    [...] Le Comité pour sauver la médecine prénatale espère que 2014 sera l’année de l’acceptation de la trisomie comme pathologie médicale et non comme malédiction sociétale. Il ne ménagera pas sa peine pour le faire savoir. C’est une question d’humanité."

    Les professionnels de la grossesse, qui vivent au quotidien la détection prénatale de la trisomie 21, s’inquiètent de son développement et de la mentalité eugéniste qui en résulte. Ils dénoncent le silence des autorités professionnelles et politiques sur la recherche scientifique visant à améliorer la vie des personnes trisomiques. Ils espèrent que l’année 2014 sera l’année de l’acceptation médicale de la trisomie 21 et non plus le déni d’une malédiction sociétale. Le ministre, Najat Vallaud-Belkacem, qui devrait être présente vendredi 13 décembre aux journées du CNGOF, entendra-t-elle cette voix ?

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Décryptage des méthodes du lobby de l'euthanasie

    Tribune de Guillaume Bernard dans Valeurs Actuelles, qui décrit les phases successives employées par le lobby de l'euthanasie pour tenter de légaliser l'assassinat des personnes malades (cliquer sur l'image pour l'agrandir) :

     

    E http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Belgique : les Veilleurs debout contre l’euthanasie

    Depuis le 6 octobre, les Veilleurs debout veillent deux fois par semaine devant le Parlement belge à Bruxelles. S’ils veillent à cet endroit, c’est parce qu’ils ont conscience de la gravité de ce qui se trame derrière la façade devant laquelle ils sont postés. En effet, les sénateurs belges s’apprêtent à voter l’élargissement de la loi sur l’euthanasie. Les mineurs pourraient, dès lors, faire appel à cet acte de mort.

    jeudi sénat Belgique

    Cela fait onze ans que l’euthanasie est en vigueur dans notre pays. Assez longtemps pour l’avoir vécu comme une mauvaise expérience. L’argument de compassion qu’utilisent les parlementaire est que « la souffrance n’a pas d’âge ». Les enfants peuvent souffrir autant, voire plus que certains adultes et pourtant il leur est impossible de demander la mort. La logique pourrait se tenir, outre le fait que les mineurs sont considérés comme n’étant pas assez responsables pour prendre une décision. La logique est fausse, parce que biaisée dès son fondement. Non, la mort n’est pas la solution à la souffrance, elle l’élimine sans la résoudre. Seul l’amour peut accompagner réellement le patient et sa famille. Ceci n’est bien sûr pas un appel à oublier les traitements médicaux, mais à concilier avec justesse ses moyens et l’aspect humain.

    Conscients de cette situation inhumaine, les Veilleurs debout ont voulu agir. Quoi de plus symbolique qu’une veille pacifique devant le Parlement, institution censée travailler au bien de la nation ? En nous tenant à cet endroit, nous voulons veiller sur toute la nation, sur tous les malades. Ils ont davantage besoin de soutien que d’injections létales ! Par cette action, les Veilleurs veulent atteindre un double objectif : dans un premier temps, donner une visibilité à l’opposition grandissante au sein de la population belge, mais aussi réveiller les consciences.

    Tous nous avons tendance à nous accommoder de la situation actuelle, n’étant pas directement confrontés à cette souffrance. Cependant, le poison s’infiltre tout doucement et nous devons rester vigilants ! N’oublions pas que d’autres propositions d’élargissement de la loi nous attendent. L’élargissement, initialement destiné aux mineurs et personnes démentes, s’est finalement concentré seulement sur les mineurs. La proposition concernant les personnes démentes a été reportée à plus tard, « quand les mentalités seront prêtes ».

    En nous taisant, nous nous rendons complices de cette proposition-ci, mais également de toutes celles qui arriveront ! La loi n’est pas encore passée. Nous pouvons donc utiliser ce court terme qui nous reste pour contester cet élargissement de la loi. N’hésitez donc pas à rejoindre les Veilleurs, ou mieux encore : lancez d’autres moments, endroits pour veiller et faites-nous-en part, que nous puissions relayer ! Laissez marcher votre imagination, votre courage, et laissez parler votre conscience !

    Anne-Chantal André-Dumont dans Boulevard Voltaire

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/belgique-les-veilleurs-debout-contre-leuthanasie_92874.html#more-92874

  • L’Initiative européenne « Un de Nous » renforcée par le rejet d'Estrela

    Grégor Puppinck, Président du Comité européen de l’Initiative Citoyenne « Un de Nous » félicite et remercie chaleureusement toutes les personnes et institutions, ainsi que les députés et groupes politiques, qui se sont mobilisés pour faire barrage au projet de résolution Estrela et pour adopter une autre résolution.

    "Le projet de résolution Estrela était extrême ; présenté sous couvert de promotion de la santé, il portait violement atteinte au droit à la vie et à la dignité de tout être humain, à la liberté de conscience des personnels de santé, aux droits éducatifs des parents et des enfants,  ainsi qu’au droit européen. Son rejet consécutif à l’adoption d’une résolution alternative est à l’honneur de la majorité du Parlement européen.

    Le projet de résolution Estrela avait notamment pour objectif de poser le fondement d’un « droit à l'avortement » imposable aux Etats au titre des droits de l’homme; il visait aussi à définir en ce sens la politique extérieure de l’Union  européenne à l’approche de négociations internationales sur ce thème. La résolution finalement adoptée rejette ces objectifs et réaffirme clairement que « la définition et la mise en œuvre des politiques relatives aux SDSG [santé, droits sexuel et génésiques] et à l'éducation sexuelle dans les écoles relèvent de la compétence des États membres ».

    Le vote de ce jour est un signal positif fort pour la suite de la procédure législative, devant la Commission et le Parlement européen, introduite par l’Initiative Citoyenne « Un de Nous ». En effet, la Résolution alternative finalement adoptée réaffirme que les questions liées à l’avortement et aux politiques de santé relèvent de la compétence des Etats membres. Ceci est en accord avec la « Proposition législative Un de Nous » qui demande à l’Union européenne de respecter à cet égard la souveraineté des Etats en mettant un terme au financement public européen de l’avortement dans le monde et de la recherche destructrice sur l’embryon en Europe.

    La victoire de ce jour témoigne de la dynamique « citoyenne » qui se manifeste à travers l’Europe en faveur de la défense de la vie, de la famille et de la liberté de conscience. Cette mobilisation, dont témoignent aussi les deux millions de signataires de « Un de Nous », est un mouvement de fond durable porté par la volonté de préserver la vie, la liberté et la dignité humaines, et de témoigner qu’une autre politique est possible et nécessaire, en particulier s’agissant du soutien à apporter aux familles et aux femmes enceintes.

    A cet égard, 75% des avortements sont causés par des difficultés d’ordre socio-économiques, liées notamment aux ressources financières, au logement, ou à l’emploi. Plutôt que d’encourager l’avortement comme unique solution à ces difficultés, les Etats devraient assumer leurs obligations sociales et économiques et accorder une « protection et une assistance aussi larges que possible (..) à la famille » et « aux mères pendant une période de temps raisonnable avant et après la naissance des enfants » comme l’exige notamment le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels (art. 10).

    La résolution alternative adoptée évoque en conclusion la possibilité pour l'Union européenne de contribuer à promouvoir les « meilleures pratiques » au sein des États membres relatives à la santé et à l'éducation. Les 1.250.000 avortements pratiqués chaque année dans l’Union européenne révèlent l’ampleur de l’échec des politiques nationales en matière de prévention de l’avortement. Ces politiques doivent être totalement revues afin de favoriser l’acceptation et l’accueil de la vie."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/

  • Victoire ! Le rapport Estrela rejeté au Parlement européen !

    Les députés européens ont rejeté aujourd'hui le rapport Estrela sur la "santé et les droits reproductifs et génésiques". Ils ont voté pour la proposition alternative du Parti populaire européen (PPE, droite), par 334 voix pour et 327 voix contre. Celle-ci renvoie le sujet à la compétence des Etats membres, mettant en valeur le principe de subsidiarité bafoué par le rapport.

    Furieuse de voir sa promotion de la culture de mort ainsi repoussée, Edite Estrela a qualifié le vote d'"obscurantisme et d'action hypocrite qui nie les droits des femmes" :

    Estrela 2

    Une victoire des citoyens qui se sont mobilisés partout en Europe contre l'influence des lobbies féministes et homosexualistes. Rappelons que le rapport d'Edite Estrela impliquait la reconnaissance d'un supposé "droit à l'avortement", la restriction du droit à l'objection de conscience pour les professionnels de la santé, la PMA pour tous, ainsi qu'une éducation sexuelle promouvant la masturbation des enfants et l'image des homosexuels et transsexuels.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/12/victoire-le-rapport-estrela-rejet%C3%A9-au-parlement-europ%C3%A9en-.html

  • Elle saute par la fenêtre pour fuir l'avortement

    L'avortement, un choix ? Pas vraiment. A l'entrée d'une clinique en Grande Bretagne, une mère est abordée par des personnes pro-vie qui dialoguent succinctement avec elle et lui donnent un prospectus. Elle leur confie qu'elle est forcée à avorter. Son entourage familial invective les pro-vie et la font entrer dans l'établissement.

    Les pro-vie décident de se mettre tous ensemble à prier. Quelques minutes plus tard, la mère les appelle par téléphone de l'intérieur de la clinique et les supplie de l'aider. Ils appellent donc la police qui en arrivant interroge sa famille. La mère profite de cette diversion pour se sauver par la fenêtre au rez-de-chaussée, et courir vers les Pro-vie qui l'amènent dans leur centre d'accueil à proximité et prennent soin d'elle.

    Il n'y a pas qu'en Chine qu'il y a des avortements forcés.

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  • Le lobby de l’avortement tente d’intimider le témoin d’un scandale

    Lu sur C-Fam :

    "Un défenseur des droits de l’homme accuse le lobby de l’avortement d’avoir intimidé un témoin prêt à témoigner en public des effets mortels d’un contraceptif de longue durée qu’on injecte aux femmes africaines.

    L’audience programmée devant le congrès américain aurait pu ébranler la politique internationale des Etats-Unis dans le domaine du planning familial. C’est pourquoi le directeur du Rebecca Project, Imani Walker, sous pression du Planning familial, a fait saisir à la dernière minute l’ordinateur d’un de ses principaux témoins, la directrice politique du Rebecca Project Kwame Fosu, et envoyé au congrès des emails informant ces derniers que Mme Fosu avait été licenciée. Celle-ci s’est livrée au Friday Fax dans une interview exclusive.

    D’après elle, pour en arriver là, Walker a subi pendant trois ans les attaques incessantes des « idéologues des droits reproductifs ». Les pressions ont commencé après la publication d’un rapport sur les violations des droits de l’homme perpétrées dans le cadre des programmes de planning familial. Mme Fosu est l’auteur de Depo Provera: Deadly Violence Against Women.( Depo Provera : Une violence mortelle à l’égard des femmes)

    Les médecins africains auraient été payés pour injecter à des milliers de femmes sans méfiance un contraceptif de longue durée dans le cadre d’un essai médical financé en partie par USAID et par la Fondation Gates, explique Mme Fosu. Les lobbyistes, qui rassemblent des gros donateurs issus de l’industrie reproductive, craignent que ce type de révélation amorce le recul des droits reproductifs.

    Au nombre des abus perpétrés par l’industrie pharmaceutiques, les médecins et les fondations puissantes, on compte d’une part des expérimentations non éthiques sur des femmes africaines, d’autre part, un usage généralisé du contraceptif injectable Depo Provera sur des millions de femmes africaines victimes de pauvreté. Ce actes ont été commis malgré en toute connaissance des effets secondaires, dont la liste a été publiée par le Food and Drug Administration and National Institutes Health. « Ce sont des gens comme moi, qui se targuent d’êtres progressistes et qui heurtent les femmes parce qu’ils veulent que tout le monde n’ai qu’une manière de penser : l’avortement, c’est-à-dire se débarrasser des grossesses par tout moyen », a expliqué Mme Fosu.

    Le député William Lacy Clay, membre important du « Black Caucus » du congrès américain (un groupe de députés afro-américains), a expliqué que son bureau avait reçu plusieurs appels du Planning familial pour calomnier Kwame Fosu. Le Planning, distributeur de Depo Provera le plus important, perçoit des millions de dollars du gouvernement américain pour s’occuper de l’administration du médicament aux Etats-Unis et à l’étranger. William Clar informait en septembre des dirigeants sur la manière de désinformer les femmes, en particulier en Afrique, sur les complications associées au Depo Provera. [...]

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  • Gender - Fortes réactions contre le texte "Estrela" au Parlement Européen

  • Une méta-étude chinoise confirme le lien avortement-cancer du sein

    La publication d'une nouvelle étude chinoise sur le lien entre l'avortement provoqué et le cancer du sein va changer la donne dans un monde où l'on a préféré jusqu'ici le passer sous silence : méta-analyse d'autant plus intéressante qu'elle montre un accroissement du risque selon le nombre d'avortements subis.

     

    Le Dr Joel Brind, professeur d'endocrinologie au Baruch College de l'Université de New York, l'a déclaré à LifeSite en soulignant que les partisans de l'avortement devraient se montrer très inquiets des résultats de l'étude puisque des « millions et des millions de femmes en Asie » ont été ainsi affectées par une opération supposée « sans danger » pour elles, tout en notant que chaque constat des effets dangereux de l'avortement est systématiquement minimisée ou discréditée.

     

     

    Dans ce cas précis, ce sera difficile. C'est dans la revue scientifique Cancer Causes and Control que les résultats de la méta-étude ont été publiés d'après des recherches de Yubei Huang et autrres du département d'épidémiologie et de biostatistiques de l'hôpital universitaire d'oncologie de Tianjin. Les chercheurs se sont lancés dans leur enquête après avoir noté que le taux de cancers du sein, traditionnellement plus bas chez les femmes chinoises que chez les femmes occidentales, s'est accru « de manière alarmante » depuis deux décennies, au même rythme que le resserrement de la politique de l'enfant unique imposée par les autorités.

     

     

    Cette politique entraîne de nombreux avortements, y compris des avortements forcés : depuis les années 1980, plus de 336 millions d'enfants à naître ont été avortés en Chine.

     

     

    Les chercheurs ont analysé 36 études du lien entre avortement et cancer du sein. Chez les femmes ayant eu un avortement, le risque de développer une telle tumeur était 44 % plus important que chez celles n'ayant jamais avorté. Pour deux avortements, le risque s'accroissait de 76 %, pour trois avortements, il atteignait 89 %.

     

     

    Une étude réalisée en 1996 par Joel Brind avait évalué l'accroissement du risque lié à l'avortement à 30 %, avec certes moins de recul.
  • Instinct de mort : Hollande prépare la légalisation de l' euthanasie

    La « conférence citoyenne » sur la fin de vie fait polémique

    La « conférence citoyenne », organisée par le comité d’éthique, donnera lieu à un avis publié lundi prochain, sur fond de controverse quant à la méthode. Ces travaux doivent éclairer la réflexion avant la présentation d’un projet de loi, sans doute mi-2014.

    C’est une nouvelle étape dans le débat sur la fin de vie. Lundi 16 décembre, la « conférence citoyenne » organisée cet automne par le Comité consultatif national d’éthique (CCNE) prendra fin, avec la publication d’un avis, ou plutôt d’une synthèse des travaux menés dans ce cadre. Durant quatre week-ends, 20 citoyens tirés au sort par l’Ifop selon des critères de diversité se sont réunis à huis clos pour réfléchir ensemble, avec l’aide d’experts, aux grands enjeux de la fin de vie. On connaîtra donc dans quelques jours le fruit de leur réflexion.

    CRITIQUE DE LA MÉTHODE

    Certains ont critiqué la méthode. Dans son blog régulier publié sur la-croix.com, Bertrand Galichon, président du CCMF (Centre catholique des médecins français), déplore « une conférence citoyenne limitée à quelques “happy few” », du « vite fait, bien fait  ! Et après quid  ? Quelle confiscation de la parole citoyenne a été prévue  ? », interroge-t-il, provocateur. De son côté, le député UMP Jean Leonetti considère que le temps imparti était trop limité et regrette qu’il n’y ait eu qu’un seul panel citoyen, et non plusieurs, comme lors des états généraux de 2009 sur la bioéthique. [...]

    La suite sur La Croix

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Instinct-de-mort-Hollande-prepare