Alors que la France fait face à l’une des pires crises sanitaires de son histoire, La Marche pour la Vie s’indigne du retour précipité du projet de loi visant à l’extension du délai d’avortement ainsi que la suppression de la clause de conscience du personnel soignant .
avortement et euthanasie - Page 17
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Retour du projet de loi IVG au Sénat le 20 janvier : même en pleine crise sanitaire, rien n’arrête l’idéologie humanicide!
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L’héritage pro-vie du président Donald Trump
Nicolas Bauer estime que l’héritage pro-life de la présidence Trump sera difficilement détricotable par l’administration Biden :
[…] Le 22 octobre 2020, 35 États des Nations-unies ont signé la Déclaration de consensus de Genève sur la promotion de la santé de la femme et le renforcement de la famille. Ces États de toutes les régions du monde ont été réunis à l’initiative des États-Unis, en marge de l’Assemblée mondiale de la santé à Genève (OMS). En s’appuyant sur le droit international, cette Déclaration rappelle que le droit à la vie est inhérent à la personne humaine, que l’enfant a besoin d’une protection spéciale avant sa naissance et que
« l’avortement ne devrait, en aucun cas, être promu comme méthode de planification familiale ».
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La souffrance des victimes de l’avortement
La Fondation polonaise “Pour le Droit à la Vie” met en ligne des courtes vidéos sur la réalité de l’avortement. Certaines sont sous-titrées en français, comme celle-ci sur la souffrance des enfants victimes d’avortement. Il faut préciser que certaines images et certaines descriptions sont difficilement soutenables – mais c’est, hélas, l’effroyable réalité de ce “crime abominable” que dénonçait Vatican II:
https://www.lesalonbeige.fr/la-souffrance-des-victimes-de-lavortement/
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Remboursement de l’avortement : l’administration américaine sanctionne la Californie
L’administration Trump a annoncé mercredi 16 décembre des sanctions financières à l’égard de la Californie, à hauteur de 200 millions de dollars, parce que cet État démocrate oblige les assurances santé à couvrir le coût des interruptions volontaires de grossesse, ce qui est contraire à la loi fédérale.
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Deuil National… en mémoire des 10 millions d’enfants avortés : à quand une politique de la vie ?
Nicolas Tardy-Joubert, nouveau Président de la Marche pour la Vie, publie une tribune dans Valeurs Actuelles, à l’occasion de la journée de deuil concernant l’ancien président (le jour même de la sacro-sainte laïcité…) :
Une journée de deuil national a été décrétée ce 9 décembre 2020 pour commémorer le décès de Valéry Giscard d’Estaing. Il s’était présenté à la Présidentielle en 1974 face à Mitterrand. Candidat dynamique, X, ENA, ancien ministre de l’Economie, il avait un parcours exceptionnel.
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Giscard : l’avortement volontaire légalisé, si proche de l’infanticide à la naissance des anciens Romains, a été une régression de civilisation
Communiqué de SOS TOUT-PETITS :
Le récent décès du Président Giscard d’Estaing donne lieu à toutes sortes de commentaires plutôt laudatifs à son égard ; certains, dans le domaine économique notamment, peuvent être approuvés par beaucoup (gestion des crises économiques, choix du TGV, développement des centrales nucléaires,…).
Il n’en va pas de même de la loi d’avortement de 1975 dont il a été le principal promoteur, avec Jacques Chirac et Simone Veil. Le divorce par consentement mutuel est une facilité qui a concouru aussi, avec cette loi d’avortement, à la dissolution de nombreuses familles et à la détresse des enfants, avec la destruction de la morale chrétienne traditionnelle.
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Mort de Giscard. N'ayons pas la mémoire courte.
L'avis de Jean-François TouzéQuel que soit l'âge auquel elle survienne, la mort d'un homme est toujours regrettable.Mais au milieu des hommages et des éloges, souvenons-nous que Valéry Giscard d'Estaing ce fut 48 ans d'ambitions effrénées suivis de 7 ans de "démocratie libérale avancée", de gestion dilettante de l'Etat, de laxisme judiciaire, de préférence économique de classe, de faiblesse et de dépendance internationales, de lois "progressistes", d'engrenage immigrationniste, qui entraînèrent le début de la dislocation morale, sociétale, politique et identitaire française et ouvrirent tout naturellement la porte à l'arrivée au pouvoir d'un socialisme plus que radical. Ce fut ensuite 39 années de rancœur, d'introspection psychologique, de romans grotesques, 17 ans de fauteuil de complaisance à l'Académie française et un long reste de vie marqué de tentatives ridicules de retour au sommet et d'engagement nationalicide européo-mondialiste.De tout ce fatras subsiste quand même le haut fait de Kolwezi grâce au REP du colonel Erulin.Sa disparition sera bien sûr pour nos compatriotes qui ont vécu les années 60 et 70 l'occasion de se laisser aller à une vague d'émotion et de nostalgie. N'ayons pour autant pas la mémoire courteDieu ait son âme. Mais sa mémoire est de celles que la France ne doit pas honorer. -
Empêtrée dans des décennies de mensonge sur le respect de la Vie, la France va-t-elle pouvoir dire la vérité sur le” pseudo-vaccin” contre le covid 19
Communiqué de Laissez les Vivre Sos Futures Mères :
Non, ce n’est pas un vaccin mais une thérapie de modification de l’A.D.N. Le professeur Alexandra Henrion-Caude vient de lâcher le mot devant le professeur Grimaldi qui s’attendait juste à un débat sur les effets secondaires dudit vaccin auquel il aurait opposé un discours tout prêt sur la théorie bénéfice-risque. Merci au Salon Beige d’avoir immédiatement retransmis cette révélation divulguée sur Cnews. La généticienne a osé, elle a lâché l’explication donc, maintenant, normalement, personne de bonne foi ne pourra plus parler de vaccin. Elle a merveilleusement expliqué en une minute, avec sa simplicité et sa fraîcheur de femme, ce que l’avocat Robert Francis Kennedy avait démontré hier en plusieurs pages, qui restent néanmoins fort pertinentes. Oui, ce traitement est dangereux et, en aucun cas, il ne faut le nommer vaccin.
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Terres de Mission n°191 : Au service des enfants à naître et des femmes en détresse
L’abbé Claude Barthe, fin connaisseur des arcanes vaticanes, revient pour « Terres de mission » sur l’affaire Becciu, du nom du cardinal Becciu qui était l’un des hommes les plus puissants de la curie et qui vient de « tomber » (jusqu’à perdre ses prérogatives cardinalices et notamment sa capacité de voter au prochain conclave) pour une affaire d’investissement immobilier particulièrement « discutable ».
Noëlia, animatrice de l’association SOS Mamans, qui aide les femmes des rues à garder leur enfant (et qui a déjà sauvé en 20 ans plus de 1 500 bébés de l’avortement), présente ensuite cette œuvre magnifique.
Pour finir, Guillaume de Thieulloy donne quelques conseils de lectures : »La basilique du sacré Cœur de Montmartre » de l’historien Patrick Sbalchiero (Artège), « La France a besoin d’un roi » de l’abbé Michel Viot (Via Romana), et « Vigano et le Pape » du vaticaniste italien Marco Tosatti (Presses de la Délivrance). -
Un vaste « Plan conso » pour la culture de mort (texte de 2015)
Derrière ses airs de fourre-tout, la loi sur la santé est avant tout une nouvelle étape vers la mise en place de la culture de mort universelle. À croire que c'est la priorité numéro un du mandat de François Hollande. Il s'agit de décliner la culture de mort en divers produits de consommation courante, pour la mettre toujours davantage à la portée du consommateur, car c'est cela aussi la démocratie.
La loi sur la santé a été adoptée en première lecture par l'Assemblée nationale par 311 voix contre 241, après avoir bénéficié d'une procédure accélérée. Au milieu de multiples considérations techniques, de dispositions poussant le système de santé français vers encore davantage de socialisme, le texte vise à apporter aux lois en vigueur des modifications qui ont pour objectif de faciliter l'accès à l'« IVG » et à la contraception. Mais encore à affirmer que « nul ne peut être exclu du don de sang en raison de son orientation sexuelle ». Ou à mettre en place des « salles de shoot » expérimentales. Ou encore à rendre systématique le prélèvement d'organes sans consultation des familles des défunts présumés donneurs s'ils ne s'y sont pas clairement opposés de leur vivant.