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avortement et euthanasie - Page 20

  • La République a besoin de sacrifices humains

    La République a besoin de sacrifices humains

    Communiqué de l’Association catholique des infirmières et professionnels de santé :

    1)    ABOLITION DE LA CLAUSE DE CONSCIENCE des médecins et soignants ; laquelle leur permet de refuser de pratiquer un avortement ou l’euthanasie. C’est certainement pour les services médicaux la clause la plus sensible. Il s’agit d’obliger notamment les médecins, les sages-femmes et infirmières à faire des actes contre leur conscience. C’est ce que Hitler avait exigé notamment dans les camps de concentration où il y avait des femmes prisonnières enceintes, sans parler des éliminations physiques notamment des malades. Le tout se situant dans le cadre de l’eugénisme afin de purifier la race.

    Or le droit à l’objection de conscience existe dans la loi Veil art. 8, le code de la Santé publique, le code de déontologie. Le Conseil de l’Europe a finalement adopté une résolution n°1763 intitulée « Le droit à l’objection de conscience dans le cadre des soins médicaux légaux »De plus, par la loi du 9 décembre 1905 et l’article 1er de sa CONSTITUTION (1958 et 2008), la FRANCE reconnaît de la même manière la LIBERTÉ DE CONSCIENCE et de CULTE et la neutralité de l’État et des personnes publiques en matière religieuse.

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  • Avortement : dire l'indicible

    La 13e édition de la marche parisienne pour la vie s'est distinguée cette année par la jeunesse de ses participants et une nouvelle liberté bienvenue, lors des prises de parole officielles l'indicible a été dit : l’avortement tue.

    Avec ses 50 000 participants revendiqués, relégués par la préfecture dans les avenues tranquilles, reliant la porte Dauphine à la place du Trocadéro, la Marche pour la vie a pourtant enfin percé l'omerta médiatique. Du sujet sur LCI en passant par la dépêche somme toute honnête de l'AFP au « papier » du Point (illustré, il est vrai, par une image de la Marche 2018 !) l'éventail était large. L'avortement est de nouveau un sujet. C'est peut-être là le premier le plus grand succès de cette Marche elle rend témoignage à la vérité - ce qui est un bien et une exigence en soi - en rappelant à une culture qui l'a largement occultée que cette vérité existe.

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  • Interruption médicale de grossesse pour détresse psychosociale : la voie vers l'infanticide ?

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    Un communiqué du MNR

    Dans la nuit du 31 juillet au 1er août, lors de l'examen du projet de loi bioéthique en deuxième lecture, l'Assemblée Nationale désertée (101 députés présents sur 577) a adopté un amendement porté par les socialistes, permettant l'IMG (interruption médicale de grossesse) pour « détresse psychosociale ».

    Comme l'IMG est permise au-delà des douze semaines de l'IVG, cela revient à permettre un avortement jusqu'à la veille de l’accouchement.

    Ainsi, sous la pression des mouvements ultra-féministes, continue la folle dérive concernant la législation sur l'avortement. On peut d'ailleurs se demander comment ceux qui ont voté ce texte peuvent le concilier avec l'interdiction de la peine de mort...

    Il reste à espérer que les sénateurs rejetteront cet amendement lors du nouvel examen prévu.

    Avec tous les vrais défenseurs de la vie, affirmons notre opposition à cette course folle vers la destruction de toutes les barrières morales protégeant le début de la vie.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/08/20/interruption-medicale-de-grossesse-pour-detresse-psychosocia-6258530.html

  • Une bonne synthèse pour faire connaître la loi ni bio, ni éthique

    Une bonne synthèse pour faire connaître la loi ni bio, ni éthique

    Une de nos lectrices vient de nous adresser une note très complète sur la loi appelée par antiphrase “bioéthique” (vous savez, ce “texte équilibré”, adopté après un “débat apaisé”, comme dirait notre vénéré président orwellien!).

    Vous pouvez la télécharger ici. Mais surtout, faites-la suivre à votre entourage. Ces derniers jours, j’ai été éberlué de constater à quel point les Français, même généralement d’accord avec nous sur la défense de la dignité humaine et de la culture de vie, ignoraient les monstruosités qui figurent dans ce texte. Je rappelle que le texte n’est pas encore adopté définitivement et que, si la majorité des Français était au courant de ce qu’il contient, il est certain qu’il ne passerait pas. Alors à nous de faire connaître la réalité!

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    https://www.lesalonbeige.fr/une-bonne-synthese-pour-faire-savoir-ce-quil-y-a-dans-la-loi-ni-bio-ni-ethique/

  • Véronique Lévy veut convoquer un Nuremberg pour juger les coupables de l’avortement, le génocide des enfants à naître, par Pierre-Alain Depauw. (redif)

    Source : https://www.medias-presse.info/

    En cette fin de mois de juillet, Véronique Lévy, sœur de Bernard-Henri, vient encore de se fendre d’un texte qui ne va pas faire plaisir à son frère.

    Je convoque un nouveau Nuremberg où seront jugés ceux qui ont légalisé l’attentat contre l’espèce humaine car contre DIEU

    Désormais je porterai le voile du Désert, le long voile des hommes bleus, les princes des dunes infinies. Mon masque ne sera pas un masque mais un voile, un voile INVIOLABLE.
    Je le porterai en signe de deuil. Mais aussi en signe de l’Hymen virginal avec le Créateur !

    Qui rendra la vie aux 10 millions d’enfants exterminés dans le sein de leur mère, congelés, disséqués ou fabriqués ex utéro pour alimenter l’industrie des lobbies de la technoscience? Qui rendra la vue, les oreilles à ces coeurs de pierre qui légiférèrent, légalisèrent ce génocide aux larmes interdites? En facilitent désormais l’accès et les modalités? Suppriment la liberté de conscience des soignants, le délai de réflexion des mineures et allongent le délai légal d’aspiration foetale à 14 semaines ?

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  • Avortement : Le cap du totalitarisme barbare est-il dépassé ?, par Jean Pierre Denis.

    3795001252.15.jpgSource : https://www.actionfrancaise.net/

    La réponse de Jean Pierre Denis à la censure arbitraire.

    «  Les chrétiens de gauche qui se sont toujours tenus pudiquement à l’écart des courants pro-vie dont ils parlent en ce pinçant le nez, (car pour eux ils représentent l’abomination de la désolation) sont rattrapés par la patrouille pour avoir seulement nuancé leur approbation de l’ivg. Libé ce journal connu pour son objectivité, incapable de porter des jugements définitifs sur ceux qui ne s’inscrivent pas dans sa propre mouvance idéologique, a été choisi par les GAFA pour exercer le contrôle de l’expression publique sur les réseaux sociaux. «  Libé  » est pris en flagrant délit de «  flinguage  » à vue sans sommation.

    Il faut dire que la loi bioéthique votée en catimini pendant que les français, dont la majorité s’en fiche royalement, sont sur les plages, atteint des sommets  : Il ne s’agit plus d’avortement, mais d’infanticide.

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  • Avortement pour « détresse psychosociale » : le pertinent témoignage d’une jeune mère (video)

    Suite à l’adoption par le parlement d’une loi monstrueuse permettant l’avortement volontaire jusqu’à 9 mois de grossesse au motif bizarre de « détresse psychosociale », une jeune mère témoigne intelligemment à propos de cette notion :

    http://www.contre-info.com/avortement-pour-detresse-psychosociale-le-pertinent-temoignage-dune-jeune-mere-video

  • Les catholiques et l’avortement

    Les catholiques et l’avortement

    Dans la torpeur estivale et avec un hémicycle aux trois quarts vide, les députés ont voté la légalisation de l’infanticide avec des “garde-fous” si ténus que l’on peut dire que cette légalisation vaut en toute situation (je veux bien sûr parler de ce que la novlangue qualifier “d’interruption médicale de grossesse” pour “détresse psychosociale”).

    Au même moment, un lecteur m’a fait découvrir un article universitaire relatif au débat sur la “dépénalisation” de l’avortement à titre expérimental (la loi Giscard-Chirac-Veil de 1974). Bien sûr, nous savons tous comment on est passé en 50 ans d’une logique de dépénalisation à une logique de “droit fondamental”, où ce sont désormais les défenseurs de la vie qui peuvent être sanctionnés par la “justice”. Mais il est fascinant – et terrifiant – de constater la responsabilité des catholiques dans le vote de la loi Veil. Alors que le vote fut serré, plusieurs théologiens de renom (et habitués, comme par hasard, des médias “bien-pensants”!) légitimèrent pas des arguties tordues une “réforme de la législation” et les évêques hésitèrent à rappeler nettement la doctrine catholique. Seule Rome parla clairement, mais elle était trop loin pour avoir une réelle influence sur le débat politique.

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  • « Arrêter une vie n’est pas une solution à la détresse psychosociale », par Emmanuel Sapin.

    Source : https://fr.aleteia.org/

    Chirurgien pédiatre et néonatalogiste, le professeur Emmanuel Sapin décrypte le mécanisme de transgression continue des lois de bioéthique. Il montre comment les principales mesures du texte adopté par les députés en seconde lecture s’inscrivent dans une logique de relativisme idéologique qui, au nom de considérations humanistes, transforme le mal d’hier en bien aujourd’hui.

    PMA sans père, embryons-chimères, avortements tardifs… à chaque révision de loi de bioéthique, le législateur affronte des situations préoccupantes qu’il a créées sans en mesurer les conséquences. La loi définissant comme bien ce qui est permis, ce qui était défendu lors de la loi précédente devient permis. Les frontières sont sans cesse repoussées. Co-auteur de la première chirurgie fœtale réalisée en Europe, le pédiatre Emmanuel Sapin dénonce, en particulier dans le projet de loi voté par les députés, la fausse solution du recours à l’avortement pour libérer une mère en état de détresse psychosociale.

    Aleteia : Quelle est la mesure qui vous paraît la plus discutable dans le texte voté ?

    Emmanuel Sapin : En premier lieu, à cause des conséquences sur la place du père pour l’enfant, la mesure la plus discutable est l’ouverture de la PMA « pour toutes », qui conduit à une dissociation programmée de la notion et de la réalité de la paternité — biologique et éducative — si ce n’est sa disparition, et d’autre part les problèmes liés à la filiation. Il est d’ailleurs paradoxal que simultanément sont ouvertes les possibilités de demande de levée de l’anonymat. Et la prochaine fois, sous l’argument de la discrimination, s’ouvrira la voie de la GPA.

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  • Lâcheté ordinaire

    tc3a9lc3a9chargement-2-1.jpgLa législation permet, d’ores et déjà, de pratiquer une « interruption médicale de grossesse » jusqu’à l’accouchement, en cas de péril pour la mère [une situation évidemment distincte de l’IVG, autorisée jusqu’à la douzième semaine de grossesse]. Entre deux vies, celle de la mère et celle de l’enfant à naître, juste avant la naissance, la loi autorise ainsi à sacrifier la seconde pour sauver la première. Toutefois, un amendement présenté par des députés socialistes et LREM, dans le cadre de la discussion actuelle autour du projet de loi  bioéthique, chamboule l’équilibre ainsi défini en étendant la notion de péril à « une détresse psycho-sociale ». Cette extension soulève d’infinies questions. Qui est habilité à définir la notion de détresse psycho sociale, éminemment subjective? La menace d’un suicide de la mère, par exemple, autorise-t-elle à tuer l’enfant à naître? Oui, de toute évidence, selon ce texte. Mais quelle différence fondamentale existe-t-il entre un enfant, un quart d’heure avant la naissance et un quart d’heure après? L’être est parfaitement constitué au moment de la naissance et en interaction avec sa mère – comme le savent tous les parents. Le droit de mettre fin à son existence, pour des raisons de détresse de la mère, se justifierait-il par l’absence d’une conscience apparente? Mais alors, il en est exactement de même pour l’enfant né depuis quelques heures, voire, depuis un ou deux mois! Bref, tout en évitant les grands mots et comparaisons historiques, comment ne pas  constater que le rapport à la civilisation et au respect de la vie humaine et de l’enfance est en jeu  dans ce débat? Or, à quel phénomène assistons-nous jusqu’à présent? Un silence assourdissant, total, obtus, de la classe politique sur le sujet, dans son ensemble, de l’extrême gauche à l’extrême droite, des religions, autorités morales et de tous les intellectuels ou supposés tels. Pourquoi? Inconscience, désinvolture, détachement, dans la torpeur d’août? Non, ils sont parfaitement au courant, comme nous. Triomphe de la lâcheté, de la couardise: terrorisés à l’idée de passer pour des réactionnaires ou conservateurs, ils se taisent et la tête dans le sable, comme des autruches, font semblant de n’avoir rien vu. C’est la lâcheté, comme bien souvent, qui nous perdra.

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    https://maximetandonnet.wordpress.com/2020/08/04/lachete-ordinaire/