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avortement et euthanasie - Page 15

  • IVG à 14 semaines : quand L’IDÉOLOGIE met en DANGER les femmes

    Aliette Espieux


    Aliette Espieux, porte-parole de la Marche Pour La Vie, décrypte la loi d’Albane Gaillot sur l’avortement.

    L’Assemblée nationale a accepté, mardi 30 novembre 2021, d’allonger jusqu’à 14 semaines le délai légal de recours à l’Interruption Volontaire de Grossesse mais a, en revanche, refusé de supprimer la clause de conscience spécifique à l’avortement. Le texte est pour l’heure entre les mains du Sénat.


    https://fr.novopress.info/

  • L’avortement, première cause de décès dans le monde

    L’avortement, première cause de décès dans le monde

    La société Worldometer a publié le 31 décembre un rapport montrant que l’avortement a été la première cause de décès dans le monde en 2021 avec 42,6 millions de morts. Cela élève l’avortement au niveau d’un génocide.

    Les décès, toutes causes confondues, se sont élevés à 101,5 millions de personnes : ceux dus à l’avortement à 42,6 millions.

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  • Mortalité en France depuis l’an 2000

    Mortalité en France depuis l’an 2000

    D’après les chiffres de l’INSEE accessibles ici, voici l’évolution de la mortalité en France métropolitaine depuis l’an 2000 (et en attendant les chiffres de 2021) :

    Soit une hausse de 43 754 décès entre 2019 et 2020 (+6,5%), de 33 238 entre 2018 et 2020 (+4,8%), de 25 224 entre 2017 et 2020 (+3,6%)…

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  • Aliette Espieux : « Des équipes jeunes de la génération pro-vie se montent partout en France ! »

    Si la thématique de l’ n’est quasiment jamais abordée par les candidats à la présidentielle, elle n’en demeure pas moins d’actualité : le 19 janvier prochain, le  devra se prononcer sur l’allongement de 12 à 14 semaines du délai légal pour avorter. Pour Boulevard Voltaire, c’est l’occasion d’interroger Aliette Espieux, porte-parole de la Marche pour la vie, une  qui, tous les ans, rassemble les opposants à l’avortement. Elle est fixée, cette année, le dimanche 16 janvier 13 h 30 à Paris.

    Marc Eynaud
  • A force d’encourager l’avortement, la France voit ses maternités en crise

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    Le Canard Enchaîné évoque la crise des maternités, passées de plus de 1300 en 1975, année de la légalisation de l’avortement, à moins de 500 aujourd’hui :

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  • Les magouilles des députés européens ont des chances de porter une adversaire de l’IVG à la tête du Parlement de Strasbourg. Un miracle !*

    Décidément, les voies du Seigneur sont bien impénétrables si l’on considère les grandes manœuvres de ces derniers jours, à Strabourg, alors que l’échéance du départ de David Sassoli, le président du Parlement européen, approche. Mardi 14 décembre, le sujet a animé nombre de débats entre eurodéputés. Car, quarante-deux ans après avoir porté à la tête de l’institution Simone Veil, qui venait de légaliser l’interruption volontaire de grossesse en France, les parlementaires européens sont tentés d’y élire une autre femme, la Maltaise Roberta Metsola, membre du Parti populaire européen (PPE, droite) qui n’a jamais caché son opposition à l’avortement !

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  • La politique d’avortement de masse conduit au désastre

    La politique d’avortement de masse conduit au désastre
    Communiqué de l’Association des Chrétiens Protestants et Évangéliques pour le Respect de la Vie:
    Après le vote des députés portant de 12 à 14 semaines le délai pour avorter, les Chrétiens Protestants et Évangéliques prennent date, l’étape suivante étant le délai à 16 semaines, au même motif que les avortantes hors délai seront amenées à avorter hors frontières, alors même que les progrès de l’imagerie médicale et la véritable connaissance, niée sciemment par la représentation nationale, devrait en convaincre un nombre croissant à garder leur enfant.
    Depuis le vote du 17 janvier 1975, la politique d’avortement de masse n’a cessé de marquer des points, au mépris des mesures d’aide aux femmes enceintes en difficulté socio-économique, faisant ainsi l’épargne des dépenses à charge de l’État et de la supposée solidarité nationale, mais les conduisant au désastre. Force est de constater que la principale cause de l’avortement est la loi elle-même.
    «   Voici quel a été le crime de Sodome, ta soeur…elle ne soutenait pas la main de la malheureuse et de l’indigente. » (Éz. 16,49)
    Dr François Volff, Président, et Pasteur Jean Pira, vice-Président

  • La période de réflexion avant un avortement sauve des vies

    La période de réflexion avant un avortement sauve des vies

    Lu sur IFN :

    Le délai de réflexion que les lois de certains pays imposent aux mères avant l’avortement fonctionne dans un nombre important de cas. La confirmation vient d’Irlande. Selon les chiffres publiés par le ministère de la Santé, environ 20 % des femmes qui avaient initialement demandé un avortement ont changé d’avis.

    La règlementation irlandaise, en vigueur depuis janvier 2019, stipule qu’il doit y avoir un délai de réflexion d’au moins trois jours entre la première consultation et l’intervention chirurgicale pour retirer le bébé de l’utérus. C’est le cas si vous avez l’intention d’avorter au cours du premier trimestre de la grossesse, c’est-à-dire dans le délais légal pendant lequel un avortement est autorisé sans motif précis. Pour les avortements au cours des deuxième et troisième trimestres, en cas de diagnostic de malformation du foetus ou de risque pour la santé de la mère par exemple, la loi n’exige aucun délai de réflexion.

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  • Violences faites aux femmes : les pressions pour les obliger à avorter

    Violences faites aux femmes : les pressions pour les obliger à avorter

    Confrontées à une grossesse imprévue, non désirée, nombre de femmes subissent harcèlement et pressions pour les conduire à avorter.  Pressions et harcèlement sont des réelles violences faite aux femmes qui la subissent et sont reconnues comme telles par la loi. (Code pénal – Section 3bis – Art 222-33-2-2)

    L’avortement est trop souvent imposée par les hommes sous le prétexte qu’ « un enfant ça se fait à deux ». Or les hommes ne portent pas les enfants, ils ne ressentent pas les symptômes de la grossesse comme les femmes. Pour certains hommes, confrontés à une grossesse imprévue, l’avortement est une solution d’autant plus facile que ce n’est pas eux qui le subissent.

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  • L’ industrie cosmétique se range du coté des partisans de l’avortement

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    De plus en plus de pays dans le monde – ils sont désormais 41 – interdisent l’expérimentation animale pour les cosmétiques. Dernièrement, c’est le Mexique qui a adopté une loi en septembre et qui a mis en oeuvre l’interdiction avec 103 votes positifs au Sénat. La législation mexicaine est désormais l’une des plus strictes de la planète, interdisant la production, la commercialisation et l’importation de cosmétiques testés sur des animaux. Ces pratiques deviennent ainsi une infraction pénale et sont passibles de peines allant de deux à sept ans d’emprisonnement.

    Des groupes de pression tels que Humane Society International/Mexique et l’organisation non gouvernementale Te Projeto y ont contribué. L’adoption de l’interdiction de l’expérimentation animale pour les cosmétiques a été précédée d’une campagne tambour battant, dont le point culminant a été la sortie du court métrage d’animation Sauver Ralph, une histoire larmoyante destinée aux adultes et aux enfants, qui a été vue plus de 150 millions de fois sur Internet et obtenu plus de 730 millions tags uniquement sur TikTok. S’en est suivi une pétition en faveur de l’adoption de la loi, qui a recueilli les signatures de 1,3 million de Mexicains.

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