Alors que l’Assemblée nationale vient de voter en première lecture l’allongement à 14 semaines du délai pour recourir à l’IVG, un sondage IFOP/Alliance VITA révèle que, pour 92 % des Français, l’avortement laisse des traces psychologiques difficiles à vivre.
En avril 2016, Boulevard Voltaire était allé à la rencontre de jeunes femmes ayant vécu leur IVG comme une épreuve douloureuse et traumatisante. Enjointes de se taire, elles vivent ce tabou comme une double peine. Un témoignage plus que jamais d’actualité.