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avortement et euthanasie - Page 62

  • Marche pour la vie du 22 janvier : départ en car de Nantes

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    Michel Janva

  • La Manif Pour Tous accueille Alain Juppé à Bordeaux

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    Durant son meeting, Alain Juppé n'a pas parlé une seule fois de la famille...

    Michel Janva

  • L'avortement reste une des préoccupations majeures des Américains

    Impensable en France où débattre au sujet de l'avortement est presque interdit :,

    "Présidentielle américaine : l'immigration et l'avortement en tête des recherches sur Google (...) Les préoccupations des citoyens américains ne correspondent pas toujours aux thèmes de campagne les plus abordés par les candidats à la Maison Blanche. L'outil mis en place par Google News Lab et Pitch interactive permet de d'observer par exemple que l'avortement est régulièrement en première position ces dernières heures (...) 

    Les thèmes les plus recherchés sont souvent les plus tranchés comme le suggère le graphique ci-dessous :

    L'avortement fait partie des thèmes les plus polémiques entre les deux candidats. Hillary Clinton est une fervente partisane de ce droit. Elle avait déclaré que "nous avons besoin de protéger l'accès à un avortement légal et sûr, pas simplement dans les principes mais en pratique."  De son côté, Donald Trump est moins clair sur sa position mais il suit la ligne du parti républicain exprimée en juin dernier. "Nous affirmons l'aspect sacré de la vie humaine, et affirmons que l'enfant non né a un droit fondamental à la vie qui ne peut pas être enfreint."  Il serait contre l'avortement légal sauf en cas de viol ou d'inceste selon le Washington Post."

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    Philippe Carhon

  • Entrave à l'avortement : Alliance VITA dénonce l’irresponsabilité du gouvernement

    Alliance VITA dénonce la précipitation avec laquelle le gouvernement, relayé par le PS, s’acharne sur la question de l’avortement par l’instauration d’un nouveau délit d’entrave numérique, en accusant des « faux sites Internet » de tromper les femmes. 

    Ce texte, qui sera examiné le 1er décembre en procédure accélérée, indique qu’il s’agit de sites Internet qui « détournent les internautes d’une information fiable et objective ». Alliance VITA, dont le service d’écoute SOS Bébé (www.sosbebe.org) a été cité par le gouvernement, dénonce la manière dont il tente de censurer les opposants à la banalisation de l’avortement en ciblant les sites qui informent les femmes sur les alternatives à l’IVG.

    Pour Alliance VITA, la question de l’objectivité de l’information est réellement en jeu. Caroline Roux, coordinatrice des services d’écoute, souligne que :

    « En réalité, l’information des pouvoirs publics en matière d’IVG s’est dégradée depuis 15 ans. Ils ont renoncé à indiquer aux femmes, qui consultent en vue d’une IVG, les aides aux femmes enceintes auxquelles elles auraient droit. Le gouvernement sur son propre « site officiel » n’en fait aucune mention. De plus sur ce site, un prétendu expert affirme qu’il n’y a pas de séquelles psychologiques à long terme après un avortement. Cela va à l’encontre de notre expérience et de ce que vivent un certain nombre de femmes. Le sondage IFOP « les Français et l’IVG », publié fin septembre, révèle la sensibilité des Français sur ce sujet.  La Haute Autorité de Santé regrette le manque d’évaluation sur ce point.  L’immense majorité des femmes souhaite une véritable politique de prévention de l’IVG. Il est donc irresponsable de cacher la réalité d’un acte qui n’a rien d’anodin dans la mesure où c’est, à chaque fois, le destin de vies humaines qui est en jeu. Et nous accompagnons des femmes qui en endurent souvent des conséquences difficiles, dans la solitude. » 

    Tugdual Derville, délégué général :

    « Au-delà du scandale que constitue, dans le contexte que nous connaissons, le fait de décider un état d’urgence législatif sur un sujet nécessitant discernement, recul et vrai débat, il est irresponsable de mettre sur la sellette notre service d’écoute.Depuis plus de 20 ans, il fait un travail de service public déserté par les pouvoirs publics. Notre site SOS Bébé a été cité à maintes reprises par les médias depuis qu’a éclaté la polémique lancée par Madame Rossignol, sans que nous ayons été appelés par ses services pour connaître les informations qui seraient en cause, ou s’intéresser à notre expérience de terrain. Nous avons demandé un rendez-vous à la ministre qui n’a toujours pas répondu. L’urgence est d’instaurer un débat dépassionné sur les conditions d’une véritable politique de prévention de l’avortement, spécialement pour les femmes confrontées à des grossesses inattendues. »

    Alliance VITA a lancé une pétition contre, d’une part, la censure gouvernementale et d’autre part, pour une meilleure information sur les aides financières et sociales aux femmes enceintes. Celle-ci a déjà recueilli plus de 30 000 signatures. L’association dévoilera prochainement sa nouvelle campagne nationale de sensibilisation destinée à pallier le défaut d’information gouvernemental sur ce sujet sensible.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le délit d'entrave numérique à l'avortement est contraire aux droits de l'homme

    Selon Andreea Popescu, ancien juriste à la CEDH :

    "[...] Les femmes sont-elles vraiment incapables de cerner l’information qui circule sur internet ? Qui décidera si telle ou telle information est fausse ou erronée et selon quels critères ? L’État ? De quel droit ? De quel droit il restreindra la liberté de toute personne de communiquer et de recevoir des informations et le droit des femmes d’avoir accès librement à des informations ? Quel est le vrai but de cette proposition ?

    Sous prétexte de fausseté, comme l’avoue le Rapport relatif à l’accès à l’IVG du Haut Conseil à l’Égalité entre les femmes et les hommes, il semble que le but est de censurer, de réduire au silence, de dissuader et d’annihiler les groupes qui s’opposent à l’avortement et qui proposent aux femmes enceintes d’autres solutions que l’avortement. Sont visés notamment les services d’écoutes IVG et les autres acteurs qui encouragent et promeuvent des solutions alternatives à l’avortement. Parmi eux, nous mentionnons : les structures d’orientation et d’information, comme les associations, les structures hospitalières (publiques ou privées), les centres médico-sociaux, les gynécologues, les médecins généralistes, les pharmaciens et tout autre personne qui par tout moyen de communication et d’action, notamment par internet, par les plateformes téléphoniques, par voie électronique proposent aux femmes d’autres solutions que l’avortement.

    Ainsi, en adoptant le « délit d’entrave numérique à l’IVG » on établit, d’une certaine manière, le monopole de l’État sur la question de l’avortement en France et on réprime toute information, expression, manifestation et opposition de la part des minorités morales. Sa portée est tant politique que morale. Et il est contraire aux droits de l’homme.

    [...] Il est bien entendu hors de question de protéger la violence sous couvert des droits de l’homme. Néanmoins, compte tenu de la jurisprudence bien établie de la CEDH, cette proposition est une restriction grave des droits de l’homme, notamment du droit à la liberté d’expression du discours contre l’avortement et du droit de la femme d’avoir accès à des informations et finalement d’éclairer son consentement face à un choix si radical comme l’avortement. Et cela pour les raisons développées en ce qui suit.

    1. Le droit à la liberté d’expression - le droit de communiquer et de recevoir des informations (article 10 de la Convention)

    [...]

    2. Le droit des femmes à l’accès aux informations en vertu de leur droit à l’intégrité physique et morale (article 8 de la Convention)

    [...]

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/11/le-d%C3%A9lit-dentrave-num%C3%A9rique-%C3%A0-lavortement-est-contraire-aux-droits-de-lhomme.html

  • L'avortement pour tous c'est la politique étrangère de la France

    Lu dans l'Action Française 2000 :

    "L’action extérieure de la France « sur les enjeux de population, de droits et santé sexuels et reproductifs » fait l’objet d’une « stratégie » pour 2016-2020 qui vient d’être présentée le 4 octobre. « Aujourd’hui encore », déplorent Jean-Marc Ayrault, ministre des Affaires étrangères et du Développement international, et André Vallini, secrétaire d’État chargé du Développement et de la Francophonie, « plus de trois cent mille femmes dans le monde meurent chaque année de complications liées à la grossesse ou à l’accouchement » ; ce serait même la première cause de mortalité des adolescentes en Afrique. « Il ne s’agit pas seulement de donner accès à des services de planification familiale ou à des produits contraceptifs », expliquent-ils, « mais de soutenir des politiques de développement fondées sur les droits individuels, à travers l’amélioration de la législation et des politiques familiales et l’évolution des normes sociales ».

    Priorité donnée à l’Afrique

    Huit pays focalisent plus particulièrement l’attention du Quai d’Orsay : Bénin, Côte d’Ivoire, Guinée, Mali, Niger, Séné- gal, Tchad et Togo. En 2014, dans un cadre bilatéral, 55 millions d’ euros ont été consacrés à la « santé sexuelle et reproductive ».Les sommes transitant via des canaux multilatéraux sont plus importantes : 330 millions d’ euros cette année-là. Le ministère des Affaires étrangères (MAE) rapporte, par exemple, que « la France finance des projets au Cameroun, au Sénégal et au Togo qui visent à lutter contre les violences liées au genre en milieu scolaire » ; « ces projets contribuent au déploiement d’environnements scolaires sûrs, inclusifs et propices à l’égalité entre les filles et les garçons », se félicite-t-il, sans autre précision. Long d’une trentaine de pages, son « rapport de stratégie » s’avère tout aussi indigent quant à l’exposé des motifs susceptibles de légitimer pareille politique. S’ agit-il de promouvoir des valeurs ? Le Gouvernement hésite à l’ assumer, récusant toute volonté d’« ingérence » ; « garantir des droits sexuels et reproductifs [...] c’est sauver des vies », se justifie-t-il. S’ agit-il plutôt de contribuer au développement de l’Afrique ? «La pression démographique qui pèse sur les secteurs sociaux (éducation, emploi, santé) et sur la gestion du foncier (géographie et dynamique du marché agricole) est un facteur d’ instabilité (conflits sociaux, migrations internes, insécurité alimentaire) et fragilise la gouvernance des États », souligne effectivement le MAE.

    Enjeux démographiques

    « La croissance démographique [...] est bien sûr une promesse pour l’avenir, mais aussi un facteur de risque pour la stabilité du continent où la prévalence des grossesses adolescentes est la plus importante du monde », expliquent encore Jean-Marc Ayrault et André Vallini. [...]"

    Michel Janva

  • La France championne d'Europe de l'avortement

    Cécile Edel, présidente de Choisir la vie et Virgnie Mercier étaient dimanche 16 octobre sur Radio Courtoisie dans l'émission de Thierry Delcour pour évoquer les actions de Choisir la Vie ainsi que le délit d'entrave numérique ainsi qu'une rétrospective des lois portant atteinte à l'enfant à naître.

    Pour ceux qui ne le savaient pas, la France est championne d'avortements et de consommation d'antidépresseurs... Mais il n'y a pas de traumatisme post-avortement...

    L'émission peut être réécoutée ici (à partir de la 20e minute).

    Michel Janva

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  • Marie Talleu - La Manif Pour Tous à Paris - 16 octobre 2016

  • i média S03E36 - Traitement médiatique de la manif pour tous, entre caricature et fausses fenêtres.