Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

avortement et euthanasie - Page 58

  • Marion Maréchal Le Pen sur l’avortement : ce « n’est pas un droit fondamental, c’est une loi d’exception »

    Devant la caméra de LCI, Marion Maréchal Le Pen admet que l’avortement est un sujet tabou mais qu’elle ne renoncera pas à ses convictions. Et continue à se demander «s’il est normal » qu’il soit « remboursé intégralement ».

    On peut remercier Marion Maréchal Le Pen de maintenir mordicus, et malgré des pressions au sein même du Front National, que l’avortement ne devrait pas être remboursé intégralement.

    Cependant on peut aussi déplorer l’attitude politique qui consiste à s’appuyer sur la loi Veil, considérée positivement, sur la légalité de l’avortement, pour défendre le non-remboursement total de l’IVG.

    Pour rappel l’avortement c’est une Interruption Volontaire d’une Vie humaine !

    Lire la suite

  • L'avortement dans l'histoire du droit romain (Damien Viguier)

  • Avortement : Marion Maréchal Le Pen ne lâche rien

    Invitée d'Europe 1, Marion Maréchal-Le Pen est revenue sur la question du remboursement de l'avortement, qui provoque l'hystérie du système politico-médiatique et de Florian Philippot.

    "Je m’en tiens à la position qui était celle du Front national en 2012. Et à partir de là, c’est l’occasion pour Marine Le Pen de rappeler qu’elle ne souhaitait pas intégrer cette partie-là à son programme, voulant éviter, je pense, et probablement à juste titre, un sujet qui est malheureusement profondément tabou en France". "J’ai des convictions, je n’en changerai pas, même si elles ne sont pas forcément majoritaires en France". "Je ne pense pas que Marine Le Pen ait changé de position".


    Marion Maréchal-Le Pen : "Je ne pense pas que... par Europe1fr

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le tabou majeur du politiquement correct : l'avortement

    D'Eric Letty dans le dernier numéro de Monde & Vie :

    6a00d83451619c69e201b8d246c033970c-800wi.jpg"La « vérité » démocratique est si relative, évolutive et changeante, qu’un acte comme l’avortement, qui voilà quarante ans était considéré et puni comme un crime, est regardé aujourd’hui comme un droit « fondamental », si précieux que non seulement l’opposition, mais la simple recherche d’une alternative à la mort de l’enfant devient délictueuse. Ce « sujet de société », qui est un enjeu de civilisation, représente aujourd’hui le tabou majeur du politiquement correct.

    Lors de la primaire de la droite, Alain Juppé, fort de l’appui du tribunal médiatique, a agressé sur ce thème François Fillon, qui jurait pourtant, la main sur le cœur, avoir voté toutes les lois socialistes aggravant le carnage des enfants français. Malgré ces gages, il s’était rendu suspect en déclarant que « philosophiquement » et « compte tenu de [sa] foi personnelle » il n’approuvait pas l’avortement, sans pour autant vouloir y porter atteinte: « Je suis capable de faire une différence entre ces convictions et l’intérêt général ». En somme, l’ancien premier ministre est convaincu en son for interne que cet acte est intrinsèquement mauvais, mais non moins persuadé en son for externe – qui s’accorde merveilleusement avec sa carrière politique – qu’il est excellent pour l’intérêt général. Admirable grand écart ! En 1945, les accusés du procès de Nuremberg auraient dû penser à cette fine distinction : Auschwitz, j’étais contre, mais en mon for interne…

    On a récemment vu aussi Marine Le Pen désavouer sa nièce Marion, « coupable » d’avoir annoncé qu’en cas de victoire à la présidentielle le Front national reviendrait sur le remboursement de l’avortement, qui range la grossesse au rang des maladies graves et traite l’enfant à naître comme une tumeur pernicieuse. « Que les choses soient très claires, je ne remettrai pas en cause l’accès à l’IVG, de quelque manière que ce soit », a rectifié sur TF1 la présidente du Front national. Nous en prenons note.

    La gauche, elle, s’acharne contre la vie. En janvier dernier, elle avait supprimé le délai de réflexion qui précédait un avortement. Onze mois plus tard, elle fait voter une loi liberticide – une de plus –, condamnant le prétendu « délit d’entrave à l’avortement » sur Internet, pour censurer toute opposition à son idéologie mortifère et empêcher de dissuader les jeunes mères de laisser tuer leur enfant dans leur sein. Le caractère totalitaire de ce projet a inquiété même des journalistes de gauche aussi peu suspects d’être « pro-vie » que ceux de Charlie Hebdo.

    Mgr Pontier, président de la Conférence des évêques de France, a également protesté dans une lettre adressée à François Hollande. Le gouvernement en déroute de ce président déchu est pourtant parvenu à faire voter ce texte par les chambres grâce à l’abstention de nombreux parlementaires prétendument de droite, tandis que les centristes bêlaient au cul des socialistes.

    Cette nouvelle offensive coïncide avec le début de l’Avent. Est-ce un hasard ? La furie avec laquelle Marisol Touraine et Laurence Rossignol accomplissent leur œuvre létale ne peut pas s’expliquer seulement par des mobiles politiques. On devine là une intention religieuse. En organisant le massacre des innocents, c’est Dieu que ces hérodiennes cherchent à tuer. La marche pour la vie organisée le 22 janvier prochain donnera l’occasion aux défenseurs des enfants à naître de riposter en montrant qu’ils ne se laissent pas intimider. Dire non au totalitarisme, c’est déjà résister."

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Cette discorde au FN a le grand mérite de clarifier bien des choses

    Dans Les 4 Vérités, Guillaume de Thieulloy évoque la discorde au sein du FN. Extrait :

    "[...] Toujours est-il que l’opposition entre le FN « canal historique », représenté par Marion Maréchal, et le « néo-FN », représenté par Florian Philippot, est à son comble. Le second veut tout axer sur l’économie (avec un programme, hélas, très à gauche) et la défense de la souveraineté française. Le premier est bien plus attaché aux libertés économiques et veut également défendre l’identité de la France.

    Marine Le Pen pourrait parfaitement jouer les deux partitions – « marcher sur les deux jambes de l’identité et de la souveraineté », comme disait joliment un cadre du parti. Au lieu de quoi, refusant depuis des mois, semble-t-il, de débattre avec ses principaux lieutenants de la stratégie de la campagne, elle a laissé s’envenimer une querelle potentiellement mortelle pour le FN.

    Sa nièce, se trouvant seule en mesure de résister à la sorte d’OPA de M. Philippot sur l’appareil du parti – et sur les investitures aux législatives –, paraît prendre son autonomie.

    En la déclarant « seule et isolée au sein du FN », Florian Philippot a réveillé une « bronca » qui couvait. D’autant que Marion ne faisait que rappeler la doctrine officielle du FN sur l’avortement.

    Sa tante a déclaré – avant de tenter, trop tard, de le faire effacer d’internet – qu’elle n’avait défendu cette position que par concession tactique pour prendre le contrôle du parti. Si c’est le cas, ce n’est pas très rassurant sur le crédit que l’on peut apporter à ses promesses actuelles. En tout cas, Marine Le Pen a tout intérêt à parler vite, et en chef. Sans quoi, le FN risque fort d’exploser prochainement. Et elle a tout intérêt à donner davantage de poids à Marion Maréchal qui « colle » beaucoup mieux à l’électorat et à l’évolution de la société française que son rival. Sans quoi le FN risque fort de ne pas être au deuxième tour..."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • De 2002 à 2016, l'évolution du FN et de Marine Le Pen sur l'avortement

    Retracé par Eugénie Bastié dans Le Figaro. Extraits :

    "Dès 2002, la fille de Jean-Marie Le Pen prenait ses distances avec la ligne officielle du parti d'extrême droite qui prévoyait l'abrogation des lois pro-IVG. «L'avortement, mettant en cause un tiers, l'enfant à naître, ne peut être tenu pour légitime ; quant à la Nation, elle doit pourvoir à sa continuité dans le temps. Allant donc contre le Bien commun de notre pays, les lois sur l'IVG seront abrogées», précisait le programme de 2002 Pour un avenir Français. Marine Le Pen s'y disait déjà opposée [...]

    [2006] Dans son autobiographie À contre-flots , publiée en 2006Marine Le Pen précise sa position sur l'IVG. [...]

    En mars 2012, en pleine campagne pour l'élection présidentielle, Marine Le Pen avait estimé sur France 2 que les «avortements de confort» semblaient «se multiplier». [...] En 2012, le programme du Front national prévoyait d'ailleurs un volet sur ce thème: «Le libre choix pour les femmes doit pouvoir être aussi celui de ne pas avorter: une meilleure prévention et information sont indispensables, une responsabilisation des parents est nécessaire, la possibilité d'adoption prénatale doit être proposée, une amélioration des prestations familiales pour les familles nombreuses doit être instaurée». [...]

    [2016] Marine Le Pen estime désormais que ses électeurs «seront sévères si on tombe dans des bisbilles, sur des sujets en plus qui leur apparaissent, au regard de tout ce que je viens de dire, lunaires». Dans le projet officiel mis en ligne sur le site Internet du parti (qui n'est pas le programme définitif de 2017), il n'y a pour le moment rien sur le sujet."

    Au-delà du caractère sacré de la vie, il va être difficile de lutter contre le grand remplacement sans lutter contre l'avortement. Mais il est vrai que Marine Le Pen ne croit pas au grand remplacement.

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Parlons d’avenir

    Et un de plus : le très sectaire Vincent Peillon a confirmé cette fin de semaine son entrée en lice dans la primaire de la gauche au moment ou la sénatrice socialiste Marie-Noëlle Lienemann annonçait elle son retrait. Cette candidature Peillon est la dernière manœuvre en date du tandem François Hollande-Jean-Christophe Cambadélis pour savonner la planche de Manuel Valls. Si personne ne croit sérieusement en sa capacité de remporter la présidentielle, voire d’être présent au second tour, il s’agit aussi (surtout) de le marginaliser encore plus lorsque l’heure de la recomposition du PS aura sonné après la défaite annoncée en 2017… Un Valls déjà concurrencé sur le terrain du social-libéralisme par Emmanuel Macron. L’ex de la banque Rothschild et ancien ministre de l’économie, fustigé comme un candidat hors-sol, un «hologramme» a dit M.  Bayrou, a réussi samedi sa démonstration de force. 15000 fans avaient fait le déplacement porte de Versailles pour l’entendre exposer son livre-programme sur un mode extatique…

    Invité ce matin de RTL, l’ancien Premier ministre Dominique de Villepin a assuré qu’«Emmanuel Macron peut bousculer le jeu pour ceux qui sont aujourd’hui en tête, tant Marine Le Pen que François Fillon». Il apparaît surtout que l’envolée de Macron (nous verrons si elle se confirme dans les semaines à venir), est plus susceptible de tailler des croupières à M. Fillon qu’à la candidature de Marine. La présidente du FN a d’ailleurs opportunément rappelé hier, également sur le plateau de RTL,  les similitudes entre les programmes des deux hommes.

    Question existentielle pour le Système et ses candidats des différentes écuries, le déclassement des Français, notamment des classes moyennes,  cette paupérisation accélérée de catégories populaires, conduit-elle mécaniquement au vote Le Pen et FN? Interrogé dans Le Monde, l’écrivain Edouard Louis, sensation médiatique lors de la sortie de son roman, Histoire de la violence, dans lequel il décrivait son viol par un jeune ressortissant marocain,  a eu droit au questionnement rituel. «Blanc, trentenaire masculin, peu diplômé : tel est l’électorat dominant qui a porté le populiste Donald Trump à la Maison Blanche. Quelle réflexion cela vous inspire-t-il quant à notre propre pays?»  M. Louis, issu d’un milieu très modeste, y a été de son analyse : «  Trump, le Brexit, le FN, tout ça est le produit d’un même phénomène : l’exclusion. Une grande partie de ceux que j’ai côtoyés dans mon enfance vote aujourd’hui pour le FN, et quand ils le font, ils disent : c’est parce que Le Pen est la seule à parler de nous. Le vote pour Trump et le FN est comme une tentative désespérée pour exister dans le regard des autres. Si la politique ne se transforme pas, si les exclus se sentent encore plus exclus parce que personne ne parle d’eux, si une large partie de la littérature continue à s’intéresser seulement à la bourgeoisie blanche, ce phénomène s’amplifiera.»

    Si la littérature est dans cette optique très marginale pour expliquer ledit phénomène, ce sont les politiques menées depuis des décennies, sous mainmise idéologique de l’euromondialisme, qui sont les causes de cette tiers-mondisation de notre pays, dans tous les domaines. À l’aune des enjeux déterminants pour l’avenir de notre pays, Marine a eu raison  de rappeler sur RTL la nécessaire unité d’un camp national et patriotique rassemblé autour de la défense des mêmes fondamentaux : souveraineté, libertés et identités nationales.

    Questionnée sur les positions divergentes exprimées sur l’IVG par Florian et Marion, la candidate à la présidentielle a noté qu’«Il y a des millions de patriotes français qui attendent et qui ne nous pardonneront pas de tomber dans ce genre de chicayas»; «en 2012, j’ai évoqué ce sujet (la dénonciation des avortements de confort, NDLR) comme une forme de concession en réalité à ceux qui avaient fait le choix de Bruno Gollnisch. Aujourd’hui, ce débat est tranché, je n’ai plus de concession à faire».

    La position de Bruno Gollnisch, son attachement aux valeurs helléno-chrétiennes de notre civilisation, à la promotion d’une politique d’accueil de la vie, et plus largement en faveur des familles et de la natalité françaises est en effet notoire. Mais cette question n’est pas entièrement subordonnée à des considérations morales, philosophiques ou religieuses.

    Le FN a souvent noté qu’aux 220000 IVG pratiquées chaque année en France, correspondent un nombre équivalent d’immigrés s’installant en France, au titre notamment du regroupement familial. Une véritable prime au phénomène de substitution de population  sur de larges portions de notre territoire, qui alimente d’autant l’exclusion des Français. La (très) relative bonne santé démographique de notre pays ne tient principalement qu’à cette immigration massive de populations peu malthusiennes dans leur comportement…

    Nous savons aussi, et de nombreuses  études le montrent, qu’il n’y a pas toujours de corrélation exacte entre des politiques restrictives en matière d’IVG et une natalité dynamique. À ce sujet des pays aux législations très différentes sur l’avortement, se trouvent parfois dans des situations  démographiques  semblablement préoccupantes. C’est le cas notamment de l’Italie, de l’Espagne, de la Pologne, de l’Allemagne, de la Hongrie…

    Il n’y a pas pour autant de fatalité à cette peste blanche, cet hiver démographique des Européens, analysé et pronostiqué par Pierre Chaunu il y a déjà quarante ans. Et c’est là ou un Front National au pouvoir peut inverser ce processus mortifère en prenant des mesures concrètes. Oui, il est possible de faire reculer le recours à l’IVG, sans pour autant l’interdire, comme a su le faire la Croatie. Oui, il est possible de prendre des mesures incitatives à la natalité autochtone, comme l’ont fait avec des résultats encourageants la Russie de Vladimir Poutine ou tout dernièrement la Hongrie de Viktor Orban, grâce aux aides financières et matérielles conséquentes apportées aux familles, aux allègements fiscaux importants dès le premier enfant et proportionnels suivant le nombre de naissances dans un couple.

    Comptons sur Marine Le Pen pour proposer dans son projet présidentiel, qui sera rendu public en février, des mesures fortes en faveur de la pérennité du peuple français, des familles françaises, cellules de base de la société, attaquées en tant que telles dans ses fondements par les adversaires des États nations enracinés. Ce n’est pas un des moindres enjeux des années décisives à venir.

    http://gollnisch.com/2016/12/12/parlons-davenir/

  • La campagne d’Hillary Clinton a été la plus chère de l’histoire américaine

    Une somme colossale, pour un échec cuisant. La campagne présidentielle de la candidate démocrate Hillary Clinton a coûté la somme record de 1,2 milliard de dollars, rapporte le New York Post, relayé par RTL, soit le double de celle de Donald Trump, qui a dépensé 600 millions pour arriver jusqu’à la victoire.

    Ce chiffre impressionnant, qui additionne toutes les dépenses du camp démocrate dans cette course à la Maison Blanche, en fait la campagne électorale la plus coûteuse de l’histoire politique des Etats-Unis.

    Seuls 839.000 dollars restants 

    Le New York Post précise que la campagne Clinton a dépensé 131,8 millions de dollars (près de 124 millions d’euros), pendant les dernières semaines avant l’élection, se retrouvant avec 839.000 dollars restants entre les mains, au 28 novembre. Le magnat de l’immobilier, lui, a dépensé 94.5 millions de dollars entre les 20 octobre et 28 novembre, pour terminer avec 7,6 millions restants.

    Fait historique dans une campagne américaine: le milliardaire a investi 66 millions de dollars issus de ses deniers personnels dans cette campagne.

    Source

    http://www.contre-info.com/la-campagne-dhillary-clinton-a-ete-la-plus-chere-de-lhistoire-americaine

     

  • Marion Maréchal Le Pen recadre Florian Philippot

    Via le JDD :

    "Maintenez-vous, malgré les vives critiques de Florian Philippot, votre proposition de revenir sur le remboursement intégral et illimité de l’avortement?

    Je ne vois pas ce qui pourrait me faire changer d’opinion. J’aurais aimé un peu plus de respect de la part de Florian Philippot. Il parle de moi dans les médias en disant "cette personne" ; je trouve cette appellation assez inadéquate. Il y a un minimum de bienséance et de respect mutuel à avoir. Rien ne pouvait justifier une telle agression.

    Florian Philippot suggère que vous êtes minoritaire…

    Quand on définit la ligne du FN ou qu’on décide d’un changement stratégique, on le fait dans les instances du parti ; on ne le fait pas tout seul sur BFMTV! J’accepte l’idée qu’au FN, certains puissent être issus de parcours différents. Je rappelle que Florian a pris des positions sur lesquelles il était minoritaire au sein du Front, notamment sur la campagne gouvernementale de lutte contre le SIDA qui m’apparaissait, à moi, très gênante, pour les enfants mais aussi pour les homosexuels. La majorité, au FN, ne partage pas du tout ce choix.

    Comment apprécier ce qui est majoritaire ou pas, au sein de votre parti?

    La seule unité de mesure, c’est l’élection de Marine Le Pen au congrès de 2011. Elle a été élue sur un programme qui est sans ambiguïté sur ce sujet de l’IVG. Qu’elle veuille écarter un certain nombre de sujets pendant la campagne, c’est son droit. Mais ce congrès demeure l’unité de mesure majeure. Et je rappelle que je suis arrivée première à ce congrès. C’est donc que je ne suis ni minoritaire ni isolée."

    Puis à propos de François Fillon :

    Capture d’écran 2016-12-11 à 10.27.40

    CzYpKjVW8AA425z

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html