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avortement et euthanasie - Page 65

  • Mum, Dad & Kids : il manque 39 000 signatures

    L'initiative Mum, Dad & Kids vise à protéger, au niveau européen, le mariage homme-femme et la filiation père-mère-enfant. 

    Il s’agit, autrement dit, de mettre un coup d’arrêt aux tentatives de plus en plus nombreuses et pressantes d’imposer directement ou indirectement le mariage gay, la PMA sans père et la GPA aux Etats-membres de l’Union européenne qui ne les ont pas légalisés d’eux-mêmes.

    Mum, Dad & Kids progresse bien : 7 pays ont maintenant dépassé, et même doublé pour certains, le seuil national requis. Mais il manque encore 39.000 signataires pour la France alors que la date limite est le 10 décembre à minuit ! La mobilisation est urgente ! 

    Signez dès maintenant (3 minutes suffisent) et faites signer autour de vous : c'est urgent et essentiel ! 

    www.mumdadandkids.eu

    A ce sujet, deux infos importantes :

    · Pour soutenir Mum, Dad & Kids, vous devez notamment indiquer un numéro de pièce d'identité : il s'agit de certifier que vous êtes une personne qui existe bien, cette initiative citoyenne européenne suivant des conditions règlementaires strictes, qui rendront son succès possible. Mais soyez rassuré : cette information n'est pas enregistrée, PERSONNE n'y aura JAMAIS accès.

    · Vous pouvez signer en ligne ou, si vous préférez, télécharger et imprimer le formulaire pour l'envoyer par La Poste à l'adresse indiquée.

    La Manif Pour Tous, partenaire de Mum, Dad & Kids, vous remercie d'avance de votre soutien et de votre relais.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Mum, Dad & Kids : Prendre la parole, ça prend 3 minutes

    http://www.mumdadandkids.eu/

    Michel Janva

  • Avortement : quand l’idéologie libertaire se fait totalitaire

    Le totalitarisme pro-avortement va encore frapper. Le 1erdécembre va être examinée, à l’Assemblée, un projet de loi prévoyant d’élargir aux sites Internet le « délit d’entrave » à l’avortement. En ligne de mire : Les Survivants, un collectif d’agit-prop visant à sensibiliser la société au tabou absolu de l’avortement – un tabou dont on dissimule la scandaleuse réalité derrière le sigle neutre IVG.

    Est-ce à dire qu’être contre l’avortement n’est plus possible ? Le gouvernement souhaiterait-il empêcher toute contestation, toute opinion défavorable à l’avortement ? Marisol Touraine, le ministre de la Santé, s’en défend, bien sûr :

    « Une opinion explicitement exprimée relève des principes de liberté d’expression et d’opinion qu’il ne s’agit pas de remettre en cause. En revanche, induire délibérément en erreur, intimider et/ou exercer des pressions psychologiques ou morales afin de dissuader de recourir à l’IVG, comme le font certains sites Internet, se situe sur un tout autre terrain. »

  • I MEDIA S03E42 : IVG: délit d’entrave numérique, délit d’opinion.

  • Avortement : Trop de femmes ont souffert de ne pas savoir, et donc de ne pas choisir

    Tribune de la jeunesse en marche dans Valeurs Actuelles :

    "[...] L’objectif est bien idéologique et nous, cette génération pour qui l’IVG devrait être une évidence indiscutable, voudrions prendre le problème différemment : par les femmes. Le débat n’est plus idéologique lorsque l’IVG touche une soeur, une femme, une fille ou une mère… Il devient très concret, et parfois très blessant. Alain Juppé rappelait lors du dernier débat, en successeur fidèle de Simone Veil, que l’avortement était « toujours un drame ». Et c’est bien parce que nous le considérons comme tel que nous posons la question : n’est-il pas de notre devoir de tout faire, toujours, pour l’éviter ?

    Le gouvernement a cru bon, ces deux dernières années, de supprimer le notion de détresse, puis de rendre facultatif le délai de réflexion, avant d’étendre, et c’est sa dernière mesure, le « délit d’entrave à l’avortement » au domaine numérique. Le texte est clair, il vise à condamner les sites internet accusés d’ « induire délibérément en erreur, intimider et/ou exercer des pressions psychologiques ou morales afin de dissuader de recourir à l’IVG. » Sauf que les sites cités par le ministre de la Santé Marisol Touraine ne veulent ni intimider, ni culpabiliser : ils veulent éclairer des consciences qui ont un choix particulièrement difficile à faire. Dire ce qu’est l’IVG peut en effet être dissuasif, mais c’est avant tout la réalité de ce que ces femmes s’apprêtent à faire. Le débat est donc bien celui de la liberté bien plus que celui de l’IVG lui-même.

    Trop de femmes ont souffert de ne pas savoir, et donc de ne pas choisir. L’interruption de grossesse n’a pas été volontaire, justement, dans bien des cas. Les forums de discussions regorgent de témoignages d’une profonde tristesse…Nous refusons de nous résoudre à voir pleurer des femmes qui auraient aimé faire autrement si elles avaient su, si elles avaient trouvé la force, si on les avait aidé à se défaire de la pression de leur entourage, si… quelqu’un avait été là, tout simplement.

    Le droit international impose de penser une réduction du nombre d’avortements et seule la France n'y parvient pas en Europe. Dans notre pays, chaque année, il y a encore et toujours 220.000 avortements ! Peut-on raisonnablement continuer à hurler au fascisme sur ceux qui se contentent  de proposer des alternatives ? Il n’y a pas de sens progressiste de l’histoire qui tienne en face d’histoires particulières de femmes parfois profondément blessées qui se multiplient. [...]

    Faut-il que ce soit nous qui rappelions l’article 11 de la déclaration universelle des Droits de l’Homme : « tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinion et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontière, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit.»

    Quoi que vous choisissiez de faire et quand bien même les députés voteraient cette loi, nous l’affirmons : nous continuerons à parler malgré les risques parce que nous refusons cette énième restriction de nos libertés."

    Léopoldine Chambon, journaliste
    Axel Rockvam, fondateur des "Veilleurs"
    Emile Duport, CEO de Newsoul, porte-parole des "Survivants"
    Vivien Hoch, comité "Défense Vie"
    Charles de Meyer, directeur de cabinet de la mairie d'Orange
    Arthur du Tertre
    Gonzague de Chantérac, attaché parlementaire et chargé d'enseignement en Droit constitutionnel
    Samuel Lafont, consultant en (stratégie de) communication
    Charlotte d'Ornellas, journaliste
    Audrey Levavasseur, collaboratrice parlementaire et déléguée générale adjointe du PCD

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Démocrature : Les députés adoptent un « délit d’entrave numérique »

    4685978lpw-4685976-jpg_3663410.jpgLa liberté d’expression se réduit comme peau de chagrin et tous les domaines qui devraient être libres de discussion car non consensuels sont touchés. On sait que la recherche historique est très encadrée, et que simplement poser des questions gênantes (sans même esquisser de réponse) peut suffire pour être condamné par la loi Gayssot. En matière d’identité, formuler une simple remarque ou exprimer un sentiment de gêne face à l’invasion que la France subit peut vous faire condamner pour « incitation à la haine ». C’est désormais la dénonciation argumentée sur internet de l’assassinat des enfants à naître qui risque de mener à la prison.

    En effet, les députés socialistes ont adopté une loi qui punira jusqu’à 2 ans de prison ferme et 30.000 € d’amende, quiconque, concernant l’avortement, n’aura pas relayé les bobards du planning familial, à savoir que tuer un bébé qu’une femme a dans son ventre est formidable (car le ventre de la femme lui appartient et elle est libre d’en faire ce qu’elle veut) et ne lui porte aucun cas de conscience. Qu’on en juge : Parmi les sites explicitement visés par cette loi, il y a celui-ci IVG.net, site dont on ne voit pas bien où il dit des mensonges ! La loi n’est pas encore en vigueur -elle doit également être adoptée par le sénat-, mais ne doutons pas qu’elle arrivera à être promulguée, d’autant que les députés de droite ont très mollement combattu ce nouvel affront à la liberté d’expression. En effet, parmi les députés seul le maire d’Orange, Jacques Bompard a opposé une vive résistance avec 53 amendements, d’autres s’y opposant plus mollement, tels M. Marechal Le Pen, J.F Poisson, et une poignée de députés « Les républicains ».

    On notera que F. Fillon a brillé par son absence, bien qu’il soit député ! En fait, tout semble indiqué que, même élu président, il ne fera rien pour abroger la loi. Et c’est bien l’objectif des socialistes : Faire passer le maximum de leurs lois mortifères car ils savent que, même s’ils perdent les futures élections, leurs lois continueront à rester en vigueur car les nouveaux élus n’auront pas le courage de s’y attaquer. A l’alternance suivante, les socialistes, reprenant le flambeau, iront de nouveau plus loin, et c’est comme ça que le pays va de mal en pis, l’élection de la droite permettant -au mieux et pas toujours- un moratoire des mauvaises lois, moratoire interrompu quand la gauche accède de nouveau aux affaires.

    Le seul moyen de s’en sortir serait de trouver un candidat qui abrogerait toutes ces lois (aussi bien les lois liberticides au niveau de la liberté d’expression que les lois sociétales telles la loi sur le mariage pour tous, la loi sur l’avortement etc, etc.) Mais force est de constater, hélas, qu’on n’en trouve pas, au moins parmi ceux qui ont des chances de l’emporter !

    http://www.contre-info.com/

  • Une nation qui condamne à mort ses propres enfants, est déjà condamnée

    Communiqué de SOS Tout-Petits

    6a00d83451619c69e201b7c8b70d96970b-800wi.jpg"Ce jeudi 1er décembre, l’Assemblée nationale examine en première lecture la proposition de loi du groupe socialiste concernant le « délit d’entrave numérique à l’IVG ». Malgré le tabou que l'on veut imposer, cette initiative illustre, avec différents autres événements survenus depuis le début de l'année, que, depuis 40 ans, l'avortement est resté un sujet de société des plus sensibles. Nous dénonçons, tout d'abord, la culpabilité de l'État français dans la promotion, depuis des dizaines d'années, de l'avortement de masse. Nous dénonçons aussi l'imposture totalitaire de la censure des sites Internet qu'une telle loi impliquerait.

    Nous constatons donc, sans surprise, que la Liberté semble être une entité à géométrie variable : elle n'est jamais utilisée par ses plus virulents défenseurs que dans le dessein exclusif de servir le Mal. Ceci ne nous empêchera pas bien évidemment de brandir la « liberté d'expression » et le « libre choix », pour mettre les élites politiques face à leurs propres contradictions. Mais nous tenons à réaffirmer notre position : jamais la liberté ne pourra être considérée comme une fin en soi; jamais nous n'accepterons qu'au nom de la liberté, soit mise sur un pied d'égalité la vie d'un enfant innocent, et sa mise à mort.

    Nos objectifs sont clairs : il ne s'agit pas simplement de l'accès à une information authentique sur l'avortement. Il s'agit du respect de la Vie de sa conception à sa mort naturelle, et donc de l'abrogation pure et simple de la loi Veil, ce qui ne serait pas envisageable sans des réformes vraiment sociales qui pourraient, plutôt que rembourser les avortements, accueillir et soutenir les femmes enceintes en détresse. La loi Veil de 1975, nous le voyons aujourd'hui, n'a instrumentalisé la détresse des femmes que dans l'optique d'instaurer petit à petit de façon généralisée l'odieux sacrifice des innocents.

    Nous ne sommes pas dupes des puissances occultes qui vampirisent depuis des siècles la vie politique française, dans une guerre toujours plus ouverte contre Dieu. Car c'est bien l'un des plus grands maux de notre société que l'absence de Dieu : une nation qui condamne à mort ses propres enfants, est déjà condamnée. Refuser la nature humaine à une catégorie de personnes est caractéristique des totalitarismes matérialistes les plus sanglants du XXème siècle; le Pape Jean- Paul II, témoin de ces heures sombres, nous avait prévenu : "Aujourd'hui encore vaut ce principe: les droits de Dieu et les droits de l'homme sont respectés ensemble ou ils sont violés ensemble".

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Journal du Jeudi 1er décembre - Société / Délit d’entrave, le jour du vote

  • La fondatrice d’ivg.net s'explique sur son action

    En février dernier, le site le Rouge et le Noir donnait la parole à Marie Philippe, fondatrice d'un des sites visés par la loi liberticide du gouvernement, ivg.net :

    Le gouvernement dénonce votre site avec un acharnement surprenant, comment l’expliquez-vous ?

    Il est difficile d’expliquer rationnellement cette hargne contre nous. Que faisons-nous exactement ? Nous donnons une information très complète sur les conséquences de l’avortement aux femmes tentées d’y recourir, de ses risques physiques et psychologiques. Cela peut conduire effectivement à dissuader des femmes tentées par l’IVG. Ne devrions-nous pas au contraire être encouragés ? Mais non ! Car l’idéologie prime chez nos gouvernants. Ils veulent imposer leur conception dévoyée de la femme, de son rôle dans la société, de la maternité et de la dignité de la personne humaine. L’homme doit pouvoir jouir le plus possible de la vie et de son corps, et cela sans entrave. Un seul bémol émis dans ce beau concert libertaire n’est pas admissible.

    Le gouvernement est allé jusqu’à payer pour améliorer le référencement du site gouvernemental et à appeler les internautes à cliquer pour l’y aider. Le discours public sur l’avortement est-elle devenue la chasse gardée du gouvernement ?

    Il y a un discours officiel qui n’aime pas la contradiction. Il y a en fait une véritable remise en cause des véritables droits de la femme. En particulier, celui de ne pas recevoir d’incitations ou de pressions à réaliser un avortement. Jusqu’en 2001, « l’incitation à l’avortement » n’était pas admissible et était même punissable pénalement. L’article L. 647 du code de la Santé Publique disposait, dans son deuxième alinéa, qu’étaient susceptibles de poursuites pénales (avec peine d’emprisonnement de deux mois à deux ans), ceux qui, sauf dans les publications réservées aux médecins et aux pharmaciens, auront « fait de la propagande ou de la publicité directe ou indirecte » pour des établissements pratiquant l’avortement ou pour des « médicaments, produits et méthodes » permettant une interruption volontaire de grossesse. Dans ce même article, était pénalement répréhensible le fait de provoquer - d’inciter - une femme à avorter, et ce, même dans les conditions légales.

    De répréhensible pénalement et moralement, cette incitation est aujourd’hui complètement admise et passée dans les mœurs. Elle est courante et complètement impunie depuis que la loi Aubry du 4 juillet 2001 a supprimé purement et simplement cette frêle barrière de protection de la femme.

    Vous cherchez à faire connaitre aux femmes en détresse les autres solutions possibles à leur situation et notamment les aides dont elles pourraient bénéficier si elles décidaient de garder leur enfant. Est ce votre spécificité par rapport au site gouvernemental ou au planning familial ?

    Pour les tenants de la culture de Mort, la femme, dès qu’elle envisage un avortement, doit avoir le choix entre faire une IVG par aspiration ou une IVG par médicament. Nous, nous disons clairement aux femmes qu’elles ont le choix. En particulier celui de ne pas faire d’avortement. Nous leur donnons des raisons de croire en l’avenir et de voir au delà du court terme, des difficultés du moment. Nous mettons en avant la beauté de la maternité et ses joies attendues. Nous abordons les aspects psychologiques. Nous écoutons toutes les détresses. Nous savons combien sont fréquentes les pressions exercées par les parents, le conjoint, le « petit ami ». En fait la femme actuelle subit une nouvelle domination masculine qui est effroyable. La femme est devenue un objet à qui le « copain » et la société impose une nouvelle norme comportementale. La cellule familiale traditionnelle unie par les liens protecteurs du mariage est attaquée. La société conditionnée par les lois et les gouvernements démissionnaires ou idéologues ne veut plus exercer le rôle protecteur qu’elle doit avoir vis-à-vis de l’enfant né ou a naître comme vis-à-vis de la mère de famille ou de la future mère même célibataire.

    Comment expliquez-vous que le financement public des structures permettant aux femmes de garder leur enfant ou de le mettre à l’adoption soit dérisoire voir inexistant ?

    L’avortement est devenu une solution simple et peu coûteuse face aux problèmes sociaux ou à la question du handicap de l’enfant à naître. Une mère célibataire est coûteuse. Un enfant handicapé encore plus. L’ivg médicamenteuse (si elle se passe bien…) coûte un peu plus de 200 euros. Aussi on ne doit plus s’étonner de voir cette pression morale qui est exercée des qu’il y a un « risque » pour la santé de l’enfant à naître. Aujourd’hui l’avortement est encouragé officiellement par le gouvernement comme en témoigne la « promotion » qui est faite au moyen du site qui lui est consacré - « ivg.gouv.fr » - où n’y figure pas la moindre mise en garde. Bien au contraire, on adhère au registre de la « déculpabilisation ». On y relève surtout des contre-vérités symptomatiques d’un parti pris anormal pour un organisme public comme celle en particulier qui consiste à dire que l’ivg médicamenteuse, comme celle de l’ivg chirurgicale, consiste à « expulser l’œuf ». Nulle part sur ce site on ne parle d’embryon alors qu’il s’agit du terme scientifique et médical approprié qui devrait être utilisé dans un site gouvernemental élaboré par le Ministère de la Santé ! Une entreprise privée dans un tel cas serait sans doute passible de poursuites pour « publicité mensongère  (...)"

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    Philippe Carhon http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html