culture et histoire - Page 134
-
La MUSIQUE au MOYEN ÂGE
-
Georges Cadoudal, l’abbé Perrot et Breiz Atao vus par un journal allemand
-
L'Affaire Louis Malvy : Entre corruption et intelligence avec l'ennemi ?

Louis Malvy, député radical-socialiste du Lot, est choisi en 1914 comme ministre de l'Intérieur, poste qu'il conserve dans les ministères Briand et Ribot jusqu'en 1917. Cette année-là, Léon Daudet, directeur du journal royaliste L'Action française, adresse au Président de la République Raymond Poincaré une lettre accusant Malvy de trahison. A la demande de ce dernier, la lettre est lue devant les députés par Paul Painlevé, président du Conseil et ministre de la Guerre, le 4 octobre 1917.
-
31 janvier 1328 : mort de Charles IV le Bel
Charles IV de France, dit Charles le Bel, né le 15 juin 1294 au château de Creil (Oise), fut roi de France de 1322 à 1328. Dernier fils de Philippe le Bel, et n’ayant pas eu de descendant mâle, il fut le quinzième et dernier roi de la dynastie dite des Capétiens directs.
Sa succession engendra une grave crise dynastique et fut un élément déterminant dans le déclenchement de la guerre de Cent Ans. -
13 février 1820 : l’assassinat du duc de Berry
Le 13 février 1820, Charles Ferdinand de Bourbon, duc de Berry et second fils de Charles X, âgé de 42 ans, s’écroule sur les marches de l’Opéra, rue de Richelieu, à Paris. Il vient d’être frappé d’un coup de couteau par un ouvrier républicain, Louis Louvel. Par son geste, il espérait mettre fin à la dynastie des Bourbons.
Le prince mortellement blessé expira le lendemain à six heures du matin, en ayant pardonné à son assassin qui sera guillotiné le 7 juin 1820. -
Le scandale des décorations : Les dessous de l’affaire

Cette affaire de trafic d’influence est la première d'une longue liste d'affaires politico-financières qui toucha le personnel de la troisième République et qui conduisit aux émeutes du six février 1934 durant lesquelles les parisiens, exaspéraient par la corruption du personnel politique, crieront « A bas les voleurs ! ». Connue au début sous le nom d’Affaire Caffarel, elle deviendra au fil des investigations le Scandale des décorations qui coutera sa place au Président de la République, Jules Grévy.
-
Éternel Tabarly : le livre hommage au grand navigateur breton
-
Pour célébrer le solstice d’hiver
Les fêtes « traditionnelles » de Noël et du Nouvel An perdent peu à peu leur signification religieuse, pour devenir simples prétextes à des réunions gastronomiques ou à des échanges de cadeaux futiles. Le vieux culte païen du « Soleil invaincu » a été transformé une première fois par les chrétiens en célébration de la naissance de l’enfant-dieu. Cette fête se trouve désormais de plus en plus désacralisée et dénaturée par les marchands. Il importe de retrouver le sens d’une véritable Tradition, qui plonge ses racines dans le passé le plus ancien de tous les peuples européens.
Tout naturellement, cette fête d’hommage et de confiance au Soleil, célébrée lors de la nuit la plus longue de l’année, a pris une force particulière dans les pays où l’hiver était le plus rude, le plus froid, le plus noir. La tradition du solstice d’hiver s’est maintenue plus longtemps dans un univers où la mauvaise saison a toujours pris la forme d’une véritable tragédie.
-
La Révolution bolchévique – Ière partie

1917-2017 – Cent ans après, l’histoire cachée de la révolution bolchévique
Le premier Romanov venait du Monastère Ipatiev, le dernier Romanov a été tué dans la villa Ipatiev, ce n’est pas un hasard, les stratèges de certains événements aiment les rituels.
Lorsqu’on parle des derniers Romanov, les gens les associent inévitablement à la révolution bolchévique, et puisque ”la campagne publicitaire” qui a accompagné la révolution a toujours été très efficace depuis les premières années du XXe siècle, les gens ont été amenés à penser que les Romanov étaient des oppresseurs alors que les bolchéviques étaient les défenseurs de l’équité sociale, mais ce n’était pas le cas.
-
Cardinal Lavigerie : Lanceur d'alerte contre l'esclavage en Afrique en 1888

Si on veut faire un bilan de la colonisation, faisons le jusqu’au bout. Certes, elle n’a pas eu que des effets bénéfiques, mais reconnaissons qu’elle a mis fin à l’esclavagisme oriental sur tout le continent africain. Le premier épisode de cette histoire reste la campagne d’opinion lancée par le cardinal Lavigerie en 1888 qui aboutira à un accord entre tous les pays européens visant à supprimer l’esclavagisme en Afrique.


