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culture et histoire - Page 1420

  • Répéter que le libéralisme serait un péché paraît anachronique

    De Bernard Antony dans La Nef :

    A"[...] Le vocable libéralisme a surgi au début du XXe siècle, défini dans les dictionnaires d’alors comme la doctrine des « libéraux » ; ces derniers étant définis comme… « les adeptes du libéralisme » ! Le mot récent se greffait sur celui de « libéral » remontant au XIIe siècle dans la signification positive de « généreux », de choses dignes d’un homme libre. Le mot et la valeur de « liberté » ne remontant pas à la Révolution mais à l’Évangile, étaient donc sémantiquement au cœur du libéralisme.

    Nous nous souvenons qu’un vigilant doctrinaire, de tempérament un brin inquisitorial, nous écrivit un jour pour nous faire part de ce qu’il notait notre inquiétante habitude de trop nous référer à la liberté, valeur « maçonnique » selon lui. Nous lui répondîmes par une seule ligne : « La vérité vous rendra libre », évidence de ce que la liberté est une grande valeur chrétienne, et non maçonnique, si on ne la sépare pas de la vérité, de l’amour, de la charité.

    Mais l’embêtant avec le libéralisme, celui des premiers libéraux, c’est qu’il n’a pas été fondé sur l’accouplement à la vérité mais au contraire à la doctrine de la relativité de la notion de vérité.Le libéralisme à ses débuts s’est donc lié philosophiquement au relativisme et pratiquement au déni du fait que l’intelligence peut accéder à la vérité.[...] Le relativisme, très logiquement, a fait bon ménage avec l’individualisme et, sans paradoxe, avec l’étatisme, en tant qu’idéologie de l’État garant du « contrat social » passé entre les individus. On ne peut guère réfléchir sur tout cela sans revenir à Jean-Jacques Rousseau, sur la tombe duquel Napoléon Ier se demandait : « N’aurait-il pas mieux valu pour l’humanité que cet homme n’ait jamais existé ? »Car libéral et individualiste au départ, le libéralisme rousseauiste engendrant l’étatisme jacobin et impérial, s’est mué en machine à tuer les libertés.

    [...] Certes le relativisme philosophique et religieux débouchant sur le nihilisme relève d’un péché contre l’esprit, il est un libertinage de l’intelligence.Mais le libéralisme n’est pas de nos jours, sauf par un tout petit nombre, généralement compris dans ce sens. En fait la difficulté c’est que faute d’un terme plus adéquat, il désigne le plus souvent la revendication des nécessaires libertés économiques et sociales face à l’étatisme socialiste ou libéral-socialiste et eurocratique. Il faut d’ailleurs observer que pour ne pas apparaître comme ennemi des libertés, la plupart des personnalités politiques non d’extrême gauche veillent à n’attaquer que « l’ultra-libéralisme », de même que la doctrine sociale de l’Église (comprendre « la doctrine politique ») ne condamne que « le nationalisme exacerbé ».

    Reste d’ailleurs à se demander, en analysant les attaques contre « l’ultra-libéralisme » formulées par certains partis, s’il ne vaut pas mieux attaquer surtout plus précisément le carcan libéral-socialiste, étatique et eurocratique de nos institutions, destructeur de la vitalité économique, répressif de bien des libertés fondamentales.

    Aussi, répéter aujourd’hui que le libéralisme en soi serait un péché, me paraît quelque peu anachronique, quelque peu « à côté de la plaque ». Car en fait de « péché », et certes sans oublier les perversions du capitalisme, avec le nazisme, le communisme et l’islamisme, on a tout de même connu et on connaît des péchés bien pires contre la vérité, la liberté, la dignité humaine.

    Et puis l’intelligence politique ne consiste-t-elle pas tout de même à considérer les mots tels qu’ils sont communément compris faute de quoi on risque nous-mêmes de n’être pas entendus ?

    En matière philosophique et morale,il nous semble qu’il vaut mieux attaquer le relativisme, concept bien plus explicite et de surcroît sans cesse brillamment dénoncé par Benoît XVI, alors que celui de libéralisme évoque encore très positivement pour certains à la fois la liberté et les libertés ou encore des activités libérales et peut-être une forme de sociabilité, et plus encore le maintien de ce qui doit demeurer libre. Et ce, en une époque où les institutions nationales et supranationales sont surtout bureaucratiquement socialistes, paralysantes des libertés d’entreprendre, imposant idéologiquement leur police de la pensée au service de la désintégration nihiliste, morale et sociale.

    Aussi, le libéralisme étant tellement décrié de l’extrême gauche à l’extrême droite, nous éprouvons quelquefois l’envie réactive de le défendre au moins dans l’ordre économique. Mais certes, pour les raisons évoquées précédemment, le terme n’est pas satisfaisant. Hélas on n’arrive pas à bien le remplacer. Certains évoquent les courants « libertariens américains » (cela ne signifie pas libertaire), sympathiques à certains égards dans leur refus de l’omnipotence et de l’omniprésence de l’État. D’autres nous conseillent que plutôt que de nous dire « libéraux », avec toute l’ambiguïté du terme, nous pourrions à l’occasion utiliser le terme de « libertophiles » exprimant notre ferveur pour la liberté et les libertés fécondes ? Cela ne suscite pas non plus notre enthousiasme.

    Mais l’important n’est-il pas surtout de réanimer sans cesse la doctrine catholique de la liberté qui procède de la vérité et dont découlent les devoirs, les droits et ces libertés si nécessaires à une civilisation du respect de la vie et de la dignité humaine ?"

    Michel Janva

  • Destinée de la monarchie en Grande Bretagne

    Ce 31 janvier le quotidien conservateur britannique The Telegraph annonçait la publication de deux biographies consacrées au prince de Galles. Il ne s'agit aucunement de reportages mondains, encore moins de ces ragots dérisoires prétendument sensationnels, à laquelle on semble trop souvent réduire, de ce côté-ci de la Manche, la famille royale d'Angleterre.

    Il s'agit, au contraire, de livres fort sérieux, publiés respectivement par la rédactrice en chef de Time Magazine, Mme Catherine Mayer, et par un ancien directeur de la communication et de la stratégie du 10 Downing Street, Alister Campbell, proche conseiller de Tony Blair.

    Car, à 66 ans, l'héritier présomptif de la glorieuse Couronne d'Édouard le Confesseur, a eu le temps depuis tant d'années de se passionner pour de nombreux centres d'intérêt. La galanterie française m'interdisant de souligner ici que Sa Gracieuse Majesté sa mère n'est âgée que de 88 ans, qu'elle ne règne que depuis 62 ans, et ne devrait rencontrer aucune difficulté à dépasser, avec l'aide de Dieu, la durée du règne de Victoria étiré de 1837 à 1901. De plus en plus amené à exercer, parmi les 16 royaumes et les 53 pays du Commonwealth, plus quelques autres, ce métier harassant de la représentation, le prince ne bénéficie pas du compte de pénibilité.

    Au-delà des sottises médiatiques il apparaît que le fils d'Élizabeth est un grand homme, doué d'une forte personnalité, et c'est peut-être ce qui lui rendra difficile son métier de Roi. Soyons cependant certains que la relève sera assurée, par lui ou par ses fils, comme elle l'a toujours été, même aux heures les plus mouvementées de sa Maison.

    Dans ce film américain à grand spectacle consacré en 1963 aux "55 jours de Pékin", une image forte méritait qu'on la retienne. On y voit les ambassadeurs de France et de Grande-Bretagne – l'excellent David Niven – contraints de jeter des livres au feu, se débarrassant sans regret des histoires respectives de leurs nations alors encore rivales. L'épisode se passe pendant la guerre dite des Boxers, en 1900, donc entre la crise de Fachoda de 1898 et l'Entente Cordiale de 1905. Aujourd'hui on peut se demander si on disposerait même, dans les hautes sphères de notre république nombriliste, d'une connaissance de l'Histoire de l'Angleterre, indispensable cependant pour comprendre la nôtre.

    En France, en effet, sous l'Ancien Régime, nous avons adulé nos rois, sans doute au-delà de toute raison. Même au malheureux Charles VI, on pardonna sa "petite reine", Odette de Champdivers qui, pour le divertir, introduisit à la cour le jeu de cartes. C'est la rupture de cet attachement passionnel à la royauté, en particulier entre 1790 et 1792, qui a rendu si difficile par le passé, l'idée de rétablir raisonnablement une monarchie constitutionnelle.

    En Angleterre, au contraire, on peut soutenir que c'est d'abord l'institution que l'on a toujours respectée, comme ciment de la nation, y compris aux pires moments, y compris au XVIIIe siècle quand le roi ne parlait même pas la langue de ses sujets. Cette force civique admirable n'interdit certes pas d'aimer, mais elle ne s'en embarrasse pas.

    Cette puissance conservatrice a son histoire… qui mérite plus qu'une visite !

    Sayous+coningsby- celle du XVIIe siècle avec les "Deux Révolutions d'Angleterre" par Edmond Sayous

    - celle de l'apparition du parti conservateur au XIXe siècle, à découvrir avec le roman à clef "Coningsby"par Benjamin Disraëli

    Profitez de l'offre spécialeque vous proposent les Éditions du Trident !

    http://www.insolent.fr/

  • La laïcité est-elle vraiment une valeur de la République ?

    La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen énonce dans son article 10 : « Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre établi par la loi. » Puis, un peu plus d’un siècle plus tard, la loi de 1905 sur la séparation de l’Église et de l’État dans son article 1er déclare : « La République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes … »

    La laïcité prend sa source juridique dans ces deux textes. Elle est le résultat d’une continuelle déreligiosité aboutie finissant dans une libéralisation des esprits. Cependant, parce qu’elle est une neutralisation spirituelle de la société, elle propose une vision éclatée et donc horizontale du monde qui, parce qu’elle s’échappe de toute transcendantalité, brise l’unité des hommes. En effet, en leur laissant le choix de l’appréhension du sens ontologique de leur destinée, elle crée leur dispersion, pour ne pas dire leur désunion. Mais aussi, en se mettant à l’écart des religions qui, jusque-là, se confondaient avec la force politique en place, elle ouvre les portes, sur le territoire où elle s’exerce, par l’indifférence due à sa neutralité, à l’invasion possible d’autres religions. De par sa faute, elle a laissé ainsi, sans controverses possibles, s’épanouir dans notre pays cette religion récente et d’importation pour nous : l’islam. Et en ce sens, on peut dire que la laïcité n’est absolument pas une valeur de la République mais plutôt la mère de notre vulnérabilité, pour ne pas dire, demain, de notre esclavage. Et cela d’autant plus qu’elle a été tout logiquement et parallèlement un facteur contributif non négligeable du déclin du christianisme qui, longtemps, a participé à notre identité.

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  • François Hollande : un effort de vérité sur le génocide vendéen ?

    Lu ici :

    "François Hollande vient d’appeler la Turquie à faire un « effort de vérité » sur le génocide arménien : « il est temps de briser les tabous » a clamé le Président de la République « française ».

    Comment ne pas être indigné par une telle hypocrisie ? Car s’il est un homme qui ne peut, en matière de génocide, donner une leçon aux Turcs, c’est bien celui qui préside la République. Comment peut-on faire preuve d’une telle duplicité ? Comment peut-on appeler les Turcs à briser leurs « tabous »,  tout en ignorant  cyniquement les siens. Cela révèle l’homme. Faut-il lui rappeler quelques faits d’histoire ? Alors voilà :

    En 1789 les trois pays les plus peuplés du monde sont la Chine, l’Inde… et la France !

    Avec ses 28 millions d’habitants la France est le pays le plus peuplé d’Europe. Dès 1795 la Russie nous ravit cette première place. Nous serons dépassés par l’Allemagne en 1866 puis par la Grande-Bretagne en 1911… De tous les peuples d’Europe nous sommes le seul dont la démographie s’infléchit au XIXe siècle. Pourquoi ?

    Historiens et démographes nous expliquent que tout change « en profondeur », pour notre pays, dès les années 1790. On observe un « tournant démographique ». Le taux de natalité passe de 38.8 pour mille avant 1789 à 32.9 pour mille en 1800. On se marie moins et la fréquence des naissances illégitimes doublent en 20 ans. Pourquoi ?

    Parce qu’il s’est passé une grande saignée. La République a inventé la guerre de masse et notre jeunesse repose dans des fosses communes de l’Egypte à la Russie. Mais ce n’est pas tout : la République a aussi inventé le massacre de masse : le « système de dépopulation » disait Graccus Babeuf en 1794, le génocide dirions-nous plutôt aujourd’hui.

    La République élimine tout ce qui s’oppose à elle : « Nous ferons un cimetière de la France plutôt que de ne pas la régénérer à notre manière » avait dit Carrier. Alors on tue à la baïonnette, au couteau, à la massue, au fusil… Alors on égorge, on noie, on guillotine… On assassine des hommes, des femmes, des enfants, des bébés, des prêtres, des nobles, des paysans, des artisans… (80% des victimes appartiennent au Tiers Etat). L’historien Pierre Chaunu pourra écrire que « la révolution française a fait plus de morts en un mois au nom de l’athéisme que l’Inquisition au nom de Dieu pendant tout le Moyen Age et dans toute l’Europe ».

    En Vendée, la République planifie un génocide systématique. Le génocide possède ses théoriciens (Danton, Robespierre, St Just, Carnot, Barère…), ses maîtres d’œuvre (Carrier, Westermann, Turreau…), son « plan » (les « colonnes infernales »). Des décrets vont être votés qui visent ouvertement à « exterminer cette race rebelle » (Barère).Le décret du 01 août 1793 prévoit la déportation des femmes, des enfants et des vieillards. Le décret du 01 octobre 1793, plus radical, prévoit l’extermination de tous les habitants de la Vendée sans distinction d’âge ou de sexe.

    Alors les colonnes républicaines tuent tout « sans distinction » (Caffin, commandant adjoint de la 3e colonne), même « les filles, les femmes et les enfants » (Cordelier, commandant de la 5e colonne).    On allume les fours dans les villages et on y jette vivant les femmes et les enfants, même ceux des « patriotes ». Rien qu’au Petit Luc les soldats de la République tuent 110 enfants de moins de sept ans. Le général Grignon, commandant la 2e colonne se vante de tuer chaque jour « 2000 vieillards, hommes femmes et enfants ». On va même chercher les malades dans les hôpitaux ! Le général Westermann, le « boucher de la Vendée », écrira à la Convention (décembre 1793) : « Il n’y a plus de Vendée. Elle est morte sous notre sabre libre (sic) avec ses femmes et ses enfants (…) Suivant les ordres que vous m’avez donné, j’ai écrasé les enfants sous le pied des chevaux, massacré les femmes, qui au-moins pour celle-là, n’enfanteront plus de brigands. Je n’ai pas un prisonnier à me reprocher. J’ai tout exterminé ». Hoche écrira en 1796 queplus de 600 000 Français ont péri en Vendée.

    Si nous cumulons massacre des « indésirables », génocide vendéen, boucherie des guerres de la Révolution et de l’Empire (indissociables), la République a causé 2 millions de morts (Sédillot), soit davantage que les deux guerres mondiales réunies. 2 millions sur 28 millions ! Deux millions de personnes plutôt jeunes, surtout des hommes ! On comprend mieux la baisse du taux de natalité qui va suivre, les naissances illégitimes (plus moyen de se marier), et le tassement démographique du XIXe siècle. [...]"

    Michel Janva

  • Un jour un texte ! La guerre, un esprit offensif par le Général WEYGAND (2)

    « La civilisation française, héritière de la civilisation hellénique, a travaillé pendant des siècles pour former des hommes libres, c'est-à-dire pleinement responsables de leurs actes: la France refuse d'entrer dans le Paradis des Robots. » Georges Bernanos, La France contre les robots.

    Notre premier ministre a déclaré que la France est en guerre. Mais l'ennemi est chez nous, au sein même de la population française. Il ne s'agit plus d'envoyer des professionnels, formés et aguerris combattre loin de nos terres, mais de se battre contre un ennemi sournois et impitoyable, qui use pour ses attaques de toutes nos libertés et des droits des citoyens français. Avant de faire une telle déclaration, encore eût-il fallu cultiver au sein du peuple français les valeurs qui font la force morale des nations. Cette nouvelle rubrique a pour objet de proposer des textes pour aider tout un chacun à réfléchir sur des sujets précis et si possible, d'actualité, aujourd'hui : la guerre, Un esprit offensif par le Général WEYGAND (2)

    « Il n'y a pas d'armée capable de vaincre si elle n'est animée d'un esprit offensif, principal facteur de sa valeur combative. Le devoir des cadres est de former des unités pénétrées de cet esprit.

    Est-il besoin de redire le mal, la dose de faiblesses apportée à la défense du pays par la notion si souvent mise en avant, d'une armée défensive. Ce qui ne veut à proprement parler rien dire. Car offensive et défensive ne s'opposent nullement ; ce ne sont pas des qualités, ce sont des formes de combat aussi indispensables l'une que l'autre. Aucune opération offensive ne peut se passer d'actions d'ordre défensif dans certaines parties du front, extérieures au front d'attaque, ou à certains moments sur ce front lui-même pour assurer la possession du terrain conquis. De même aucune stratégie initialement défensive, aucune opération défensive ne peut atteindre son objet sans passer, le moment venu, à l'attaque. La troupe doit donc être rompue à la pratique des meilleurs procédés d'attaque et de défense.

    Mais elle doit être animée du plus pur et plus vif esprit offensif, d'un esprit guerrier, c'est-à-dire d'une volonté opiniâtre de dominer l'adversaire ; quel que soit le succès obtenu, vouloir l'étendre encore ; quel que soit l'avantage gagné par l'ennemi, ne pas l'en laisser jouir en sécurité. Que celui-ci sente en face de lui une volonté de pénétration, de réaction, vigilante, agressive, opiniâtre, qui le tienne toujours sous une menace.

    Une troupe animée de cet esprit offensif est prête à faire plus qu'on ne lui demande. Plus forte ou plus faible, elle est toujours redoutable à l'ennemi, parce que jamais soumise à sa volonté. Esprit d'ailleurs en plein accord avec les qualités instinctives reconnues de tout temps au soldat français, auxquelles le combat moderne donne les plus fréquentes occasions de s'exercer. Mais instinct qu'il faut réveiller s'il s'est assoupi, et cultiver sans relâche, car c'est l'essentiel de l'instruction d'une troupe pour le combat. L'instructeur doit créer dans ses exercices une atmosphère de guerre, faire apparaître des situations appelant de nouvelles dispositions et donner à ses cadres l'occasion de les orienter dans le sens offensif. »

    Général WEYGAND

    Extrait de : « Forces de la France »

    Editions contemporaines Boivin et Cie – 1951

    Lois Spalwer http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Parution d’un livre sur l’immigration : « Les politiques doivent sauver la France »

    Ce petit livre à prix réduit est un essai à destination du grand public, pour sensibiliser au problème de l’immigration massive.

    Avec son sous-titre « Remplacer les immigrés par des expatriés », il propose une première solution avec une base sémantique. Il s’agit bien de donner une place aux « expatriés », comme cela aurait du être fait depuis 50 ans, et non aux « immigrés ».
    A l’heure de la tuerie du 7 janvier, ce livre rappelle opportunément les paroles de Mgr Nona (archevêque de Mossoul) en août 2014 : « Notre souffrance est un prélude à ce que vous-mêmes souffrirez dans un futur proche« .

    Les politiques doivent sauver la France, François de Chassey. 56 pages, Éditions des Cimes, 5 €. Disponible ici.

    http://www.contre-info.com/