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culture et histoire - Page 1416

  • Les négateurs de l’identité française

     En employant le 23 février 2015 l’expression « Français de souche » (pourtant dans un sens péjoratif) François Hollande a déclenché un tollé chez les tenants du politiquement correct et les défenseurs d’une souveraineté hors sol. Guaino a condamné et Marine Le Pen a pris ses distances. Le débat n’est pas nouveau. En janvier 2007 Polémia avait publié une étude critique sur les « négateurs de l’identité française ». Il nous a paru utile de la remettre en ligne.

    En voyage en Algérie, en 2006, Zinedine Zidane a déclaré « Je suis fier d’être algérien ». Pendant ce temps-là, en France, la classe politique se rallie à une conception désincarnée de la nation portée par les négateurs de l’identité française.

    Explications :

    1/ En présentant, le 31 décembre 2006, ses vœux pour 2007, Jacques Chirac a appelé au « rassemblement autour des valeurs qui font la France : la liberté, l’humanisme, le respect, et notamment le respect de la diversité et des différences, la laïcité, le combat contre le racisme, l’antiracisme, le communautarisme ». Par-delà les pieuses intentions, cette définition laisse dubitatif :

    – parce que bien d’autres nations peuvent aussi faire leurs ces valeurs, à l’exception peut-être de la laïcité ;

    – ensuite, parce que la France « qui vient du fond des âges », selon l’expression du général De Gaulle, n’a pas toujours fait siennes ces valeurs-là : ainsi la France de l’Ancien Régime, « fille aînée de l’Eglise », connaissait le gallicanisme mais ignorait la laïcité ; et, plus près de nous, la France jacobine et républicaine a souvent cherché à éradiquer la diversité et les différences de ses provinces.

    2/ Ainsi cette définition purement idéologique de la nation est loin d’être intellectuellement satisfaisante même si elle a été forgée par les philosophes Dominique Schnapper et Alain Finkielkraut, dans le cadre de la commission de la nationalité créée en 1987 par Jacques Chirac.

    Reste qu’étant la quintessence du politiquement correct, elle tend à s’imposer à l’ensemble du champ politique… Front national compris, semble-t-il.

    Ainsi Marine Le Pen, présentant le 11 décembre 2006 la campagne d’affiches de son père mettant en image une jeune femme d’origine maghrébine ou ultramarine, a ainsi justifié ce choix d’image médiatiquement porteur : « La candidature de rassemblement du peuple français débarrassé des spécificités religieuses, ethniques ou même politiques, c’est la candidature de Jean-Marie Le Pen. »

    Qu’un président de la République ou un candidat à cette fonction soit dans une logique de rassemblement et adopte une démarche attrape-tout peut se comprendre. Pour autant, il paraît difficile de définir un peuple ou une nation indépendamment de ses origines ethniques, religieuses, culturelles ou historiques. Car alors que lui reste-t-il de spécifique ?

    C’est pourtant la démarche adoptée par les négateurs de l’identité française, qui procèdent à une déconstruction en cascade de la nation.

    3/ Faisant bien naturellement sien le tabou de l’ethnie, Ségolène Royal a déclaré le 29 septembre 2006 : « Etre français, c’est le drapeau et la Sécurité sociale (…) ; il faut arrêter de parler des Français de souche comme s’il existait des Français de feuillage ou de branchage. » Ce qui revient à nier à la nation (alors même que l’origine étymologique du mot « natio » renvoie à la naissance) toute notion d’origine. Ce qui aujourd’hui encore est une erreur juridique puisque le principal mode d’accès à la nationalité française reste la filiation, principe selon lequel « naît Français l’enfant né de parents français ». Et ce principe reste particulièrement important au moment où, dans le cadre d’une économie mondialisée, des millions de Français s’expatrient sans perdre le droit à la nationalité française ni pour eux-mêmes ni pour leurs enfants, y compris lorsque ceux-ci naissent sur un sol étranger.

    Ce poids des origines a d’ailleurs été paradoxalement rappelé par une personnalité sportive qui a longtemps été présentée comme un modèle de réussite et d’intégration : né à Marseille, marié à une Française, père d’enfants français, Zinedine Zidane s’est déclaré, le 12 décembre 2006 lors de son voyage en Algérie, pays où il n’a jamais vécu mais dont sa famille est originaire, « fier d’être algérien ». En bref, français de nationalité, il se sent algérien de souche. Pourquoi donc cette notion devrait-elle être interdite aux Français d’origine ?

    4/ De la même manière, il n’est guère raisonnable de vouloir « débarrasser » l’identité française de la catholicité. Non qu’il ne soit pas possible d’être français en appartenant à une autre religion ou en ayant cessé d’adhérer au dogme catholique lorsqu’on a été baptisé, mais tout simplement parce que l’identité de la France s’est nourrie du catholicisme. Les cathédrales, les églises, les chapelles et les oratoires marquent les paysages. La littérature, la peinture, la sculpture françaises sont aussi profondément imprégnées de catholicisme. Et celui-ci a repris à son compte bien des traditions antérieures, helléniques ou celtiques, qu’on retrouve dans la théologie (la foi et la raison), le culte marial et celui des saints. Les cathédrales et les églises occupent d’ailleurs de très anciens lieux sacrés, ce qui n’est pas le cas des mosquées, des synagogues ou des pagodes qui ne puisent pas aux mêmes racines géographiques et symboliques.

    5/ Se « débarrasser » des origines ethniques et religieuses de la France conduirait aussi inéluctablement à se « débarrasser » de son histoire car celle-ci y est intimement liée.

    Si la France cessait d’être une « nation européenne et chrétienne », elle ne pourrait plus sans autoculpabilisation évoquer les périodes majeures de son histoire : les croisades qui l’ont opposée au monde musulman ; les grandes découvertes qui l’ont conduite à transformer le monde en le colonisant.

    6/ La culture française est elle-même inséparable des origines européennes et chrétiennes de la France : ce sont les mythologies antiques et les textes chrétiens qui ont fourni leurs sources d’inspiration principales aux artistes et aux écrivains depuis plus de dix siècles. Y renoncer reviendrait à faire table rase d’un prodigieux héritage ! C’est pourtant ce qui commence à se faire dans certains secteurs de l’Education nationale (?) où des textes classiques susceptibles de choquer « les minorités visibles », par leurs libertés de ton ou leurs références, sont progressivement censurés.

    7/ L’organisation de la vie et des jours est aussi structurée par l’héritage européen et chrétien, qu’il s’agisse du calendrier, avec les fêtes chrétiennes rythmant l’année en fonction du cycle des saisons et des traditions ancestrales ; ou des plaisirs de la table, avec le double rôle du cochon, mets traditionnel, et du jeûne du vendredi consacré au poisson. Cet apport se retrouve aussi dans la langue, dont le vocabulaire et les expressions idiomatiques expriment aussi l’héritage multiséculaire de la France. Au nom de quoi faudrait-il y renoncer ?

    8/ En clair, « débarrasser » la nation française de toute référence aux origines et à la religion, c’est la déconstruire complètement, et donc la détruire. Cette démarche est d’ailleurs parfaitement irréaliste. On peut verbalement prétendre nier le rôle des origines ou de la religion. On ne peut empêcher les hommes et les femmes de se regrouper par affinités spirituelles, culturelles ou musicales. Les entreprises et les commerces sont le lieu de la mixité ethnique et religieuse mais les loisirs, les écoles et les quartiers sont, que cela plaise ou non, le lieu de regroupements par affinités et donc bien souvent par origine.

    Une anecdote est à cet égard révélatrice. Le président socialiste de la Région a soumis le schéma régional d’aménagement de l’Ile-de-France à un jury populaire : une cinquantaine de représentants d’associations diverses ont été réunis pendant quarante-huit heures dans un grand hôtel et ont donné, encadrés par des techniciens, leur avis sur les projets d’aménagement de la région qui leur étaient soumis. Beaucoup de bonnes intentions et de conformisme dans leurs réponses sauf sur un point : le refus de toute « mixité (ethnique ou sociale) imposée ».

    9/ Il serait temps que les hommes et les femmes politiques se libèrent du carcan de l’idéologie dominante et des dogmes des négateurs de l’identité. Il y a un peu plus d’un siècle, dans une période de troubles et d’interrogations, Renan avait développé une thèse équilibrée de la nation. Equilibrée, parce qu’elle refusait tout déterminisme absolu en laissant une part au choix, à la volonté individuelle. Pour autant, dans l’esprit de Renan la nation ne se réduisait pas à un « plébiscite de tous les jours ». Celui-ci ne venait que couronner ces données fondamentales qu’étaient à ses yeux l’origine, la religion, la langue, l’histoire, la géographie.

    Il est temps d’en revenir à cette définition de bon sens ! Il faut faire sauter le tabou de l’ethnie et de la religion !

    Jean-Yves Ménébrez, 05/01/07

    http://www.polemia.com/les-negateurs-de-lidentite-francaise/

  • Une osmose entre le SAC et les caïds

    La commission d'enquête parlementaire sur les activités du service d'ordre gaulliste, constituée en 1982, estimera que "le SAC n'a jamais cessé d'être une association accueillante pour les malfrats et les truands en mal d'impunité".
         L'appartenance de tel ou tel voyou au SAC est difficile à prouver puisque les fichiers des adhérents, tenus secrets, n'ont jamais été retrouvés. Mais, sans prétendre à l'exhaustivité, on peut citer quelques-uns des foyers de la collusion, particulièrement marquée durant les années 60, entre ce service d'ordre et la pègre, dont quelques caïds corses.
         A Paris, les frères Zemmour, maîtres des boîtes de nuit, leur associé Riwen Liwer et le truand Roger Bacry servent de colleurs d'affiches et d'agents électoraux aux candidats gaullistes. Ils bénéficieront de protections jusqu'au début des années 70. Les Zemmour ont pour avocat Pierre Lemarchand, le recruteur des "barbouzes" anti-OAS. Lorsque Roger Bacry investit dans le trafic de drogue, au début des années 70, il s'associe avec Joseph Signoli, gérant dubar Le Consul, à Paris, un des lieux de rendez-vous des membres parisiens du SAC. Lui-même proche de ce service d'ordre, Signoli est en lien avec les figures de la Corsican Connection, notamment en Amérique latine, et ne sera arrêté qu'au printemps 1972.
         A Lyon, le SAC est dirigé par Jean Augé, le parrain de la ville, qui bénéficie de puissantes relations policières et politiques. Ancien résistant, membre des services secrets de De Gaulle pendant la guerre, barbouze anti-OAS, "Petit Jeannot" a été radié des fichiers du grand banditisme grâce à ses amis gaullistes. Arrêté pour port d'armes, Jean Augé est soutenu devant un tribunal par deux de ses protecteurs, un officier du SDECE et le commissaire principal Dominique Simoni. Il tombera sous les balles d'autres truands, dans un règlement de compte lyonnais, le 19 juin 1973. Parmi ses lieutenants figurent quelques membres du SAC, dont Léon Caratjas, Louis Andréucci et Gavin Coppolani, ainsi que les frères Étienne et Ange Mosca, deux proxénètes corses. Ces derniers participent au trafic de drogue organisé, entre Marseille et Bastia, par Jean-Baptiste Croce, et ne tomberont dans les filets de la police qu'en 1973.Les principaux membres du "gang des Lyonnais" d'Edmond Vidal, démantelé en 1974, sont aussi des piliers du SAC.
         A Grenoble, le SAC est également tenu par le caïd de la ville, le Corse Mathieu Mattéi, cousin d'Alexandre Sanguinetti.Tenancier du bar Le Gobelet, Mattéi règne sur la prostitution dans la région jusqu'à son exécution en juin 1968, probablement par des tueurs aux ordres de Jean Augé. Sa compagne est arrêtée en novembre 1969, à Cannes avec 50 kilos d'héroïne cachés dans sa Lancia. 
         A Marseille, deux complices de Croce, Joseph Mari et Jospeh Marro, sont membres du SAC. Autre pilier historique de la Corsican Connection, le Corso-Marseillais Gabriel Graziani qui se rendait naguère au Canada et à Cuba pour voir ses amis Croce et Mondoloni, est proche de l'organisation gaulliste. Il sera arrêté à Lyon en 1977, dans le cadre d'une affaire de hold-up à la Caisse d'épargne. L'un des quartiers généraux des membres du SAC à Marseille n'est autre que le bar Chez Toto, propriété de Philippe Pasqualini, alias "Toto", qui sera suspecté de trafic de drogue. A la fin des années 60, le responsable officiel du SAC marseillais est le militant Gérard Kappé, mais son véritable patron n'est autre que Constantin Tramini, hôtelier, spécialiste du racket, qui tente de prendre la relève des Guérini après leur déclin en 1967. Une fois Tramini abattu en octobre 1972, c'est son ancien bras droit, Daniel Boggia, autre encarté du SAC, qui essaiera de s'affirmer comme parrain, jusqu'à son exécution en novembre 1973.
         A Aix-en-Provence, le Corse pied-noir Sauveur Padovani, patron de la pègre locale depuis son arrivée en 1967, dirige la cellule du SAC, recrutant des militants pour les campagnes électorales de l'UNR dans les bars fréquentés par les malfrats. "A Aix, cette hiérarchie parallèle SAC-milieu était respectée du haut en bas de l'échelle, écrit l'historien François Audigier. Si le chef du SAC aixois était une figure de la criminalité locale, le militant de base relevait plutôt de la petite délinquance." Impliqué dans le meurtre, en juillet 1969, de la gouvernance d'un vicomte, à Puyricard (Bouches-du-Rhône), Padovani est condamné à huit ans de prison.
         A Nice, le caïd Angelin Bianchini est l'un des dirigeants locaux du SAC. Proche des thèses de l'Algérie française, lié aux nouveaux truands pieds-noirs, Bianchini assure le service d'ordre des assises nationales de l'UNR, qui se tiennent dans sa ville en 1964. Après son arrestation en 1965, il se retire du jeu. C'est Urbain Giaume, allié des Guérini, très lié à la mairie de Nice tenue par Jacques Médecin depuis septembre 1965, qui reprend les rênes du SAC. Et le responsable départemental, Marcel Galvani, est l'ami de deux malfrats, Jean Audisio et Pierre Lahovary, qui seront arrêtés en avril 1970 pour trafic de drogueavec des cartes du SAC en poche. Devant la commission d'enquête parlementaire, l'inspecteur Claude Chaminadas rapport qu'il avait appris en 1969 que certains membres d'un réseau de trafiquants "transportaient de l'héroïne aux États-Unis en utilisant pour ce faire une carte tricolore qu'ils présentaient aux frontières", et que certains d'entre eux "auraient appartenu au SAC".
         La direction de la police judiciaire dénombrera un total de 65 affaires impliquant 106 membres du SAC entre 1960 et 1982, trafic d'armes ou de stupéfiants, ainsi qu'à des crimes de droit commun. Dans leur rapport de 1982, les députés estimeront qu'il ne s'agissait pas seulement d'errements personnels, mais bien du produit d'un mode de recrutement particulièrement laxiste.
    Jacques Follorou, Vincent Nouzille, Les parrains corses

  • La culture du néant

    Axel Rovkam, fondateur des veilleurs, dans Liberté politique :

    "En Orient comme en Occident, le néant semble prendre le dessus. De part et d’autre, il s’agit de rompre avec la racine de l’homme pour le faire entrer dans un projet politique qui cherche à se justifier sur le plan spirituel, un projet humain à prétention divine.

    Ces projets maléfiques défient la nature profonde des personnes, en s’attaquant à leur culture — ce par quoi elles sont précisément humaines.

    Ces deux projets idéologiques ont un ennemi commun : la culture d’une civilisation, la particularité d’un peuple, la singularité d’une personne, la Parole forgée par l’expérience individuelle.

    Ceux qui sont à l’Est détruisent les œuvres d’art et les lieux de mémoire et ceux qui sont à l’Ouest les méprisent et les dénaturent.

    Ceux qui sont à l’Est imposent le mariage par la force, ceux qui sont à l’Ouest le vide de sa substance.

    Ceux qui sont à l’Est suppriment la liberté de conscience et tuent les hommes libres pour les réduire au silence, ceux qui sont à l’Ouest s’enivrent dans le bruit et tuent les sans-voix quand ils sont aussi des « non-désirés ».

    Deux écueils, une même tentation, soumettre l’homme à la volonté de l’homme. Les idéologies ne supportent pas l’homme tel qu’il est. Au mieux elles le façonnent, au pire elles le tuent. Plus que jamais, l’homme a besoin de suivre la volonté de Celui qui l’aime comme il est, pour ce qu’il est."

    Louise Tudy

  • JULIUS CÉSAR ET L’ART DE LA GUERRE

    Il est  l’auteur du de Bello Gallico, mais aussi du de Bello Civili contre Pompée, César, chef de guerre c’est 1 192 000 morts, du moins d’après Pline l’ancien. Mais ses conquêtes militaires ne furent rien pour César, sa seule aspiration était Rome…

    Avec Yann Le Bohec, spécialiste de l’antiquité romaine, professeur émérite de l’université Paris-Sorbonne (Paris IV).

    http://theatrum-belli.org/julius-cesar-et-lart-de-la-guerre/

  • Le mouvement de destruction de la réalité chrétienne de notre pays

    Editorial de Philippe Maxence, pour L'Homme Nouveau :

    Une-1585-blog"L’odieux crime perpétré par l’État islamique envers 21 coptes a bouleversé le monde entier. Personne au monde n’a caché leur qualité de chrétiens et le Pape François les a qualifiés de martyrs. Seule, la France, républicaine et laïcarde, s’est singularisée. À tel point que L’Œuvre d’Orient a réagi avec force, exigeant « que l’appartenance religieuse chrétienne des victimes ne soit pas escamotée. Elle demande que cela soit clairement mentionné dans les communiqués de la Présidence de la République et que la France présente ses condoléances au Patriarche copte. » Moins sanglante dans sa portée, la loi Macron, qui désorganise étatiquement l’économie sans laisser aux professions la liberté de s’organiser et au travail de s’effectuer, participe du même mouvement de destruction de la réalité chrétienne de notre pays, soumis à la dictature de l’impératif financier. Les conséquences seront de longue portée, entraînant à terme une temporalité différente avec des dimanches devenus des jours ordinaires.

    Dans Théologie de l’Histoire (DMM), le Père Calmel rappelait que l’Histoire se comprend vraiment à la lumière de l’Apocalypse et que, malgré son renouvellement incessant, elle « présente cependant des caractères fixes et immuables, notamment l’évangélisation que rien ne saurait arrêter ; ensuite l’hostilité tantôt ouverte, tantôt sourde et contenue, du Dragon et des deux Bêtes contre la Femme ; enfin la victoire du Christ et des bienheureux. » Nous sommes en ces temps. C’est le Christ qui vainc, malgré nos défaites apparentes."

    Michel Janva