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culture et histoire - Page 1606

  • Compte-rendu de la soirée de solidarité du samedi 5 avril 2014

    Les militants et sympathisants du Cercle Non Conforme (réseau MAS) se sont retrouvés samedi soir avec les membres de l’association Zenit pour une conférence intitulée « Souveraineté populaire, solidarité nationale, fraternité européenne ».

    Les camarades de l’association Zenit ont débuté la conférence en présentant leur position sur le thème du soir, leur association, leur travail au sein de Solidarité Identités et en répondant à diverses interrogations du public.

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    Puis les deux responsables du projet Entraide Solidarité Famille ont expliqué et présenté les projets du MAS dans l’aide aux familles et ont également éclairé le public sur d’autres actions de Solidarité Populaire, l’association du MAS en charge de l’action sociale.

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    Très belle soirée marquée par une sincère et belle camaraderie européenne et qui nous aura permis de récolter de nombreux dons qui seront utilisés pour les Français en grande précarité.

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    Le Cercle Non Conforme http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • De Napoléon à Louis XVIII

    Le Figaro Magazine - 28/03/2014
    En 1814, Talleyrand gagne le tsar au retour des Bourbons.
         Le 31 mars 1814, il y a deux cents ans, Alexandre Ier, tsar de toutes les Russies, entrait dans Paris en vainqueur. La veille encore, on s'était battu à Pantin et à Montmartre. C'était la fin de la campagne de France. Deux mois durant, Autrichiens, Prussiens, Russes, Britanniques et Suédois avaient affronté un Napoléon qui avait retrouvé l'énergie et le génie stratégique de sa jeunesse, comme le rappellent les témoignages réunis par l'historien Jean-Joël Brégeon (1). Vaincus à Montmirail, à Champaubert, à Montereau et à Reims, les coalisés l'avaient quand même emporté, leurs troupes ayant pour elles le nombre et l'expérience, et la volonté d'en finir, tandis que l'Empereur s'était battu avec les débris de la Grande Armée et des conscrits inexpérimentés, et que la lassitude pointait dans un pays qui, à l'issue de vingt années de guerre, aspirait à la paix.
         La suite n'était pas écrite d'avance : les souverains alliés n'étaient pas d'accord entre eux sur le sort à réserver à la puissance occupée. Talleyrand, ancien ministre des Relations extérieures, désormais brouillé avec Napoléon, estime que le rétablissement des Bourbons serait accepté par les vainqueurs comme par les Français, une fois leurs réticences dissipées. Le diplomate commence par en convaincre le tsar qui loge chez lui, rue Saint-Florentin, tout en lui exposant que cette nouvelle orientation politique ne doit pas émaner de l'étranger. Le 3 avril, le Sénat vote donc la déchéance de Napoléon et, deux jours plus tard, fait appel au comte de Provence (Louis XVIII), qui est invité à devenir « roi des Français (...) par le voeu de la nation ».
         Talleyrand a imposé une solution française, mais Alexandre Ier s'y est rallié, et amènera les autres souverains à cette solution, parce que le tsar, homme des Lumières, a reçu l'assurance que la Restauration ne serait pas la restauration de l'Ancien Régime. Cet épisode est connu, mais Marie-Pierrre Rey, une spécialiste de la Russie, l'éclaire d'un jour nouveau (2). C'est un paradoxe : l'institution d'une monarchie libérale, en France, en 1814, a été rendue possible par la rencontre du Diable boiteux, qui avait servi tous les régimes, et du tsar, qui était un autocrate.
    Jean Sévillia http://www.jeansevillia.com/index.php?page=fiche_article&id=327
    (1) Histoire de la campagne de France. La chute de Napoléon, de Jean-Joël Brégeon, Perrin, 400 p., 21 €.
    (2) 1814. Un tsar à Paris, de Marie-Pierre Rey, Flammarion, 332 p., 22 €.

  • etre vae victis

  • "Quand l'esprit est parti, la chair se décompose ! C'est vrai des sociétés comme des hommes"

    Dans le dernier Politique Magazine, Hilaire de Crémiers estime que, quel que soit le jeu de chaises musicales effectué par Hollande, le régime vit ses dernières heures de décomposition :

    P"Hollande ne peut plus gouverner. Quoi qu'il fasse et quelque « truc » qu'il invente, il est dorénavant dans l'impossibilité pratique de réussir personnellement à redresser la situation ; en aurait-il l'intention, il n'a plus la capacité de faire aboutir quelque projet que ce soit, sur tous les points où les Français sont en attente des réformes nécessaires. Lui et son gouvernement d'idéologues, en deux ans, n'auront fait que casser la France davantage, détruire les familles, briser les liens sociaux, épuiser les patrimoines, accabler les entreprises, tuer même l'esprit d'entreprendre, décourager les braves gens, appauvrir le peuple, désespérer la jeunesse qui n'est plus éduquée, ni formée, ni élevée, abandonnée aux sinistres pitreries d'un prétendu grand maître éducateur, aggraver les souffrances matérielles et morales des Français dont cette petite bande de paltoquets sans cœur, sans envergure d'esprit, centrés sur leur « moi » de médiocres politiciens aussi prétentieux que vains, se moque éperdument.

    D'ailleurs, pour aller jusqu'au bout de ce qu'il convient de signaler,Hollande était tout simplement aux ordres de quelques pervers « friqués »dont il est inutile de donner les noms, ses amis intéressés, pour certains ses copains de toujours, d'autant plus de gauche qu'ils se sont constitué des fortunes sans scrupule.Ce sont eux qui ont fait sa campagne électorale de 2012 et qui en ont assuré la trésorerie, sans que personne n'ait osé se pencher sur ce point litigieux, « l'affaire Cahuzac » servant opportunément de rideau de fumée.Hollande est donc totalement lié à cette clique d'hommes qui se croient tout permis, tandis qu'eux l'ont berné, le soutenant comme la corde soutient le pendu, l'ayant utilisé pour faire passer leur ensemble de lois et prêts à le lâcher à son triste sort de pauvre type, le nœud coulant au col, dans les semaines qui viennent, comme on jette un mouchoir souillé, dont on ne peut plus se servir, et comme lui, d'ailleurs, le grand humaniste, jette les femmes après usage.

    Telle est la réalité du gouvernement de la France aujourd'hui. Les Français en comprennent assez pour en avoir le dégoût.C'est l'explication principale du vote-sanction des dernières élections municipales. Ce point essentiel n'a pas été assez souligné, les commentaires s'attachant toujours à des justifications grossières et superficielles.Ce n'est pas seulement un gouvernement d'une nullité évidente qui est rejeté, ce sont des comportements, des manières d'être, des mauvaises mœurs, des mensonges et, enfin, des institutions qui ne représentent plus les Français et qui ne sont plus que des instruments au service d'appareils partisans, donc des procédés de gouvernement aussi scandaleux que néfastes, en un mot un régime dans sa totalité avec ses modes de fonctionnement et ses hommes stipendiés qui sont condamnés. Tant mieux !

    L'abstention massive, le discrédit où s'enfonce le Parti socialiste, la montée du Front national sont des signes qui ne doivent pas tromper. Le PS n'est jamais qu'un parti de « bobos » qui réussit encore à duper - mais de moins en moins - quelques électeurs qui s'imaginent être de gauche par sentimentalisme mal placé.

    [...] L'homme qui aura cédé au goût du pouvoir, s'y perdra, allant de murs branlants en murs branlants et découvrant partout des trous béants que personne ne voudra ni ne pourra combler. Quand l'esprit est parti, la chair se décompose ! C'est vrai des sociétés comme des hommes.

    Les élections européennes en mai, par un nouveau séisme d'amplitude plus forte, ébranleront encore davantage ce système déjà dévasté. [...] Dans tous les cas de figure envisagés, quel horizon politique pour la France ! Une agonie du système entretenue à dessein par une classe politique qui en vit. Alors que la France en meurt."

    Michel Janva

  • Interview de Pascal Marchand, spécialiste de la géopolitique de l'Europe et de la Russie

  • Le Centre Lesdiguières reçoit le jeudi 10 avril 2014 Hilaire de Cremiers sur "De la crise économique à la crise politique"

  • "L'Imperium contre le mondialisme" - entretien avec Gabriele Adinolfi

  • Vers l’abrogation de la liberticide loi Fabius-Gayssot ? Deux QPC validées

    Lors de deux procès distincts, le directeur de Rivarol Jérôme Bourbon et l’historien Robert Faurisson et leurs avocats avaient posé deux questions prioritaires de constitutionnalité (QPC), dénonçant l’inconstitutionnalité de la loi dite Fabius-Gayssot interdisant la recherche historique sur la Seconde Guerre mondiale et criminalisant la contestation de la prétendue “Shoah”.

    Plusieurs QPC relatives à cette loi avaient été posées par le passé. Aucun n’avait été validée par un tribunal. Ces deux dernières QPC viennent de passer ce premier cap : le tribunal les a validées et elles ont été transmises hier à la Cour de cassation. Cette dernière doit maintenant l’examiner et, le cas échéant, la transmettre au Conseil constitutionnel qui devra se prononcer sur la constitutionnalité de la loi. 

    Entre autres personnalités, l’ancien ministre de la Justice Robert Badinter, lui-même juif et membre du PS, avait déclaré, en 2010 :

    « Le Parlement n’a pas à dire l’histoire. Le parlement fait l’histoire, il n’a pas à la dire, ni à la fixer. Les lois mémorielles, que j’appelle des lois compassionnelles, qui sont faites pour panser des blessures, apaiser des douleurs – et je comprends ça parfaitement – mais elles n’ont pas leur place dans l’arsenal législatif. La loi est une norme. La loi a pour fonction de réglementer une société de prévoir son avenir. Elle n’a pas à prendre parti dans une querelle historique ou tout simplement à affirmer un fait historique même indiscutable. J’ajoute, il faut bien le prendre en compte : la Constitution ne le permet pas. Je le dis clairement, elle ne le permet pas […].
    Rien ne permet au regard de la constitution au législateur de s’ériger en tribunal de l’histoire. Rien. »

    Pour voir la suite et la video