culture et histoire - Page 1609
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Francs Tireurs Patriotes - Le volontaire
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COMMUNIQUE DE PRESSE 19 MARS 1962 : CRIME D’ETAT, CRIME CONTRE L’HUMANITE PLUS PERSONNE NE PEUT DIRE « JE NE SAVAIS PAS » !CONFERENCE DE PRESSE Le 8 décembre 2012, le Chef de l’Etat promulguait la loi 2012-1361 officialisant la date du 19 mars comme « jo
CONFERENCE DE PRESSE
Le 8 décembre 2012, le Chef de l’Etat promulguait la loi 2012-1361 officialisant la date du 19 mars comme « journée nationale du souvenir et de recueillement en mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d’Algérie et des combats de Tunisie et au Maroc ».
Je ne reviendrai pas sur les arguments juridiques présentés par les parlementaires opposés à cette loi qui fait doublon avec le décret N°2003-925 du 26 septembre 2003 instituant le 5 décembre comme « journée nationale d’hommage aux « morts pour la France » pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de Tunisie ». L’article 2 de la loi du 23 février 2005 associe l’ensemble des victimes civiles françaises « après le 19 mars 1962 » à cet hommage. L’arrêt N°689 du 15 octobre 2013 de la Cour d’appel de Rennes, en confirmant la mention « mort pour la France » de M. Paul Teuma assassiné et disparu le 5 juillet 1962 à Oran, reconnait désormais aux victimes civiles en Algérie cette mention même après le 2 juillet 1962, date officielle de l’indépendance de l’Algérie. Cet arrêt confirme qu’aucune date ne marque officiellement la fin des « actes de guerre » en d’Algérie.
Qu’est en réalité le 19 mars 1962 ? Un prétendu cessez-le-feu destiné à masquer un crime d’Etat suivi d’un crime contre l’Humanité. C’est ce qu’exprime clairement la 19e annonce de la campagne de presse « Vérité et Justice pour les Français rapatriés » parue dans Valeurs Actuelles du 13 mars dernier. Le 19 mars 1962 n’a d’équivalent historique que le 16 juillet 1942, commémoré dans le calendrier des cérémonies officielles chaque 22 juillet comme la « journée nationale à la mémoire des crimes racistes et antisémites de l’Etat français et d’hommage aux « Justes de France ». Les multiples amendements proposés lors des débats préparatoires à la loi du 23 février 2005, les propositions de résolution et les propositions de loi déposées par les parlementaires depuis, notamment la proposition de résolution N°1637 du 3 juin 2004 présentée par l’ensemble des parlementaires du groupe socialiste et apparentés, signée par M. François Hollande et M.Jean-Marc Ayrault, et la proposition de loi N°1258 du 8 juillet 2013 déposée par les députés de l’UMP, montrent la convergence de l’ensemble des partis politiques sur la nécessité de reconnaître le « crime d’Etat » du 19 mars 1962. Seule la vérité de l’Histoire permettra l’apaisement des mémoires voulu par tous.
Le 18 mars 2014, je présiderai un déjeuner-débat auquel nous avons convié le Chef de l’Etat, le Premier ministre, M. Kader Arif, ministre de tutelle des Français rapatriés, et Mme Rose-Marie Antoine, Directrice générale l’ONAC-VG, office devenu depuis le 1er janvier 2014 le « guichet unique » de tous les Rapatriés.
A ce jour, malgré la relance de leurs Cabinets, seule Mme Rose-Marie Antoine nous a fait part du droit de réserve que lui impose, en tant que haut fonctionnaire, le gouvernement. Nous comprenons que les préoccupations internationales actuelles et les difficultés économiques et financières récurrentes de notre Pays conduisent le Chef de l’Etat et le gouvernement à s’appliquer à eux-mêmes le nouveau concept de « silence gardé » défini par l’article 21.1 de la loi N°2013-1005, traduction de la sagesse populaire du proverbe « qui ne dit mot consent ». En l’absence totale de contestation des vérités qu’elles affirment publiquement depuis le 25 septembre 2008, les associations de la campagne de presse « Vérité et Justice pour les Français rapatriés » invitent les médias et les parlementaires à la conférence de presse que je présiderai demain,
mardi 18 mars 2014 à 15 heures, au Pavillon Elysée Lenôtre, 10, Avenue des Champs Elysées, 75008 Paris
19 mars 1962, aujourd’hui plus personne ne peux dire « je ne savais pas ».
Pierre DESCAVES Juriste, Ancien député, conseiller honoraire de Picardie Engagé volontaire à 19 ans en 1943 dans l’Armée d’Afrique Président de la Convention Nationale des Rapatriés
CONFERENCE DE PRESSE Coordination nationale de la campagne « Vérité et Justice pour les Français Rapatriés » Contact médias et parlementaires - Bernard Coll : 06 80 21 78 54
http://www.actionfrancaise.net/craf/?COMMUNIQUE-DE-PRESSE-19-MARS-1962
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[Vidéo] Les dynasties des rois de France : note de lecture de Christophe Réveillard
Note de lecture de Christophe Réveillard au sujet du livre Les dynasties des rois de France, paru dans la collection l’Histoire de France, des éditions Atlas Glénat (octobre 2013).
Les dynasties des rois de France : note de... par realpolitiktv -
Les Partisans Blancs chanté par le choeur de la Joyeuse Garde
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Il y a encore + de 30 000 esclaves de l'islam dans le Nord du Soudan - Libération d'esclaves au Sud
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Chronique de livre: "Vauban et l'invention du pré carré français" de Bernard Crochet
Il y a sept ans, déjà, nous fêtions le tricentenaire de la mort de Vauban en 1707. Le gouvernement français décréta l’année 2007 « année Vauban » et décida de faire inscrire son œuvre au patrimoine mondial de l’UNESCO. Malheureusement, l’absence de mémoire nationale et surtout de culture historique n’a pas permis à nos compatriotes de prendre la mesure de l’œuvre de Sébastien Le Prestre, marquis de Vauban.
Depuis cette période, un certain nombre de publications voient le jour. Parmi elles, les Editions OUEST-FRANCE ont édité un ouvrage illustré de 120 pages rédigé par Bernard Crochet, intitulé Vauban et l’invention du pré carré français.
Cet ouvrage est idéal pour se familiariser avec la vie et l’œuvre de Vauban et ce même pour les adolescents. Très richement illustré, il propose une grande quantité de documents qui permettent de se rendre compte du génie de celui qui finira sa vie maréchal (en 1703), le premier ingénieur militaire à recevoir cette distinction.
Plonger dans la vie et surtout l’œuvre de Vauban, c’est plonger au cœur du règne de Louis XIV et du "Grand Siècle". Ce règne qui fut capital pour l’histoire de France. Vauban fait parti de ses grands personnages de l’époque avec Colbert, contrôleur général des finances et secrétaire d’Etat à la Marine, Louvois, ministre de la Guerre ou encore « le Grand Condé » qui mena la Fronde des princes contre Louis XIV puis fut lieutenant-général de l’Armée Royale après la grâce royale que lui accorda le Roi-Soleil.
Pourquoi Vauban est-il considéré comme un personnage majeur à son époque, comme à la nôtre ?
Bien considéré par le roi alors qu’il ne se prive pas de le contredire et qu'il participa à la Fronde, un de ses livres sera d’ailleurs interdit, Vauban est aussi l’inventeur du pré carré à une époque où les conceptions territoriales héritées des féodalités laissent peut à peu place à des conceptions territoriales nationales. Vauban va, d’une certaine façon « baliser » notre hexagone à l'aide d'un réseau de fortifications bastionnées. Nombreuses sont les régions qui comptent des forteresses et des citadelles conçues ou modernisées par Vauban. Dans le Nord-Pas-de-Calais et en Belgique, nous pouvons citer Lille, Ypres, Bergues, Valenciennes, Le Quesnoy, Maubeuge, Saint-Omer, Arras, Douai, Cambrai et bien d‘autres encore… Ces fortifications qui s'organisaient selon une double ligne devaient permettre à la France de constituer et de protéger une frontière face aux rivaux : les Espagnols, les Habsbourg ou les Hollandais. Vauban a eu le génie de conseiller à Louis XIV de profiter de ses victoires pour échanger des territoires et constituer un pré-carré fortifié et protégé plutôt que de conquérir des territoires difficiles à maîtriser et qui fragiliseraient l’ensemble du royaume. Pour lui, mieux vaut un territoire modeste bien maîtrisé qu’un grand territoire mal maîtrisé dont les Espagnols sont un parfait exemple. Dans une lettre à Louvois du 23 janvier 1673, il défend "l’idée de bien fermer le royaume en respectant les frontières naturelles par un nombre limité de places fortes, bien fortifiées et bien pourvues, reliées entre elles". Vauban est un ingénieur doué d’un très grand raisonnement géographique, rare à son époque. En effet il façonne ses forteresses et choisi leur emplacement en tenant compte de la géographie physique : cours d’eau, relief, marais, distances, … C’est à cette période que commence à véritablement naître l’idée de « frontières naturelles ». Il va aussi considérablement rationaliser le système de défense du royaume de France en démantelant des forteresses mal placées et trop gourmandes en hommes pour fortifier des places bien plus stratégiques et qui garantissent l’efficacité du système de défense. Cette politique va également porter ses fruits le long des 3000 km de côtes du royaume de France où Vauban va implanter et moderniser des forteresses pour protéger notre littoral et empêcher les grandes flottes de l’époque (espagnole, anglaise ou hollandaise) d’accoster trop facilement.
Mais Vauban est aussi un stratège et participe aux nombreuses campagnes militaires victorieuses de la période comme par exemple la guerre de Dévolution (1672-1673), la guerre de Hollande (1672-1679) ou encore la guerre de la Ligue d’Augsburg où il jouera une grande partie contre son grand rival Hollandais, l’ingénieur militaire Menno Van Coehorn. Vauban s’empare de Namur en 1692 mais Van Coehorn aura sa revanche trois ans plus tard en reprenant la ville. Les grandes réussites militaires de Vauban feront naître un célèbre dicton : « Ville assiégée par Vauban, ville prise. Ville défendue par Vauban, ville imprenable ». Vauban définit des stratégies pour progresser vers les murailles par des systèmes de sape et de minages calculés. Dès 1672, il remet à Louvois son Mémoire pour servir d’instruction dans la conduite des sièges, il a alors 39 ans. Il base une grande partie de ses raisonnements sur son expérience. Vauban n’est pas un stratège de cabinet mais un homme de terrain qui mène des sièges et surveille personnellement l’édification de ses bastions. Il fait en sorte d’adapter la stratégie à l’usage de plus en plus important de l’artillerie et aura le soin de préserver au maximum la vie des soldats. Ainsi le royaume de France remportera de nombreuses victoires avec un minimum de pertes… on est encore loin des boucheries napoléoniennes. Vauban sera d’ailleurs surement l’un de ceux qui modèrera l’ardeur prométhéenne de son roi, au grand étonnement de nombreux rois et empereurs qui voyaient en Louis XIV un souverain arrogant et prétentieux et qui seront souvent surpris par sa modération lors de la négociation des traités.
Si le sujet vous intéresse, que vous voulez découvrir Vauban, approfondir cette recension, visualiser les nombreuses illustrations de l’ouvrage ou en savoir plus sur l’avant et l’après Vauban, notamment sur la pérennité de son œuvre au XVIIIe siècle et durant les guerres napoléoniennes, je vous conseille cet ouvrage.
Jean
Note du C.N.C.: Toute reproduction éventuelle de ce contenu doit mentionner la source.
Découvrir Vauban sur le site du réseau des sites majeurs Vauban -
Vendredi 4 avril, conférence de Jean-Yves Le Gallou sur “La tyrannie médiatique” à Angers
Pour sa seconde conférence, le cercle Andecavis vous invite à assister à une conférence de Jean-Yves Le Gallou sur “La tyrannie médiatique”, Salle Jean-Claude Langlois – 12 rue Thiers à Angers – le vendredi 4 avril 2014 à 20h30.Énarque, président de la fondation Polémia, co-fondateur du Club de l’Horloge et ancien député européen, Jean-Yves le Gallou est président depuis 2002 de la fondation Polémia, centre de réflexion dont le but est de « fournir des clés d’analyse des évènements en dehors de la grille d’interprétation du politiquement correct et du conformisme ambiant ». Il a écrit récemment “La tyrannie médiatique” (editions Via Romana) dans lequel il dénonce les rouages de la dictature des médias en France aujourd’hui.
“Les médias ne sont pas un contre-pouvoir. Ils ne sont pas davantage le quatrième pouvoir. Ils sont progressivement devenus le premier pouvoir : celui qui s’exerce sur les esprits. Plus inquiétant, ils semblent même prendre le contrôle des autres pouvoirs, intellectuels, politiques et judiciaires. Or journaux, radios, télévisions et même certains sites d’information en ligne ne sont ni indépendants, ni libres. Ils subissent la loi d’airain publicitaire des banques et des financiers, prisonniers des préjugés de ceux qui les font, la caste journalistique. C’est l’alliance du grand capital et de la pensée unique de salle de rédaction qui passent tout au crible de l’idéologie mondialiste : ouverture des frontières, dérégulation économique et financière, rejet des traditions, « antiracisme » et « mariage gay ». Pour rééduquer, ils conditionnent par la désinformation, la Novlangue, la censure, la diabolisation et le bobard sont leurs instruments, au mépris de l’identité, de la souveraineté, de la démocratie française et des libertés. J.-Y. Le Gallou reconstitue l’histoire et autopsie cette tyrannie des temps modernes ; il trace aussi les voies de son renversement : par le développement de l’esprit critique, la réinformation, l’essor des médias alternatifs sur Internet, l’abolition des lois liberticides, le développement de la démocratie numérique et de la démocratie directe. Pour redonner vie à une véritable liberté d’expression, il faudra bien chasser les assassins de l’information.”
(extrait de “La tyrannie médiatique”) -
La révolution chinoise, ce cauchemar absolu
La Chine fête les 120 ans de Mao. Le régime maoïste imposé par Mao Zedong et ses alliés, loin de libérer la Chine pour l’amener vers un socialisme utopique, plongea l’Empire du Milieu dans l’un des totalitarismes les plus impitoyables et sanglants du XXème siècle. Les historiens estiment qu’il fut responsable de dizaine de millions de morts. Frank Dikötter, historien néerlandais spécialiste de l’histoire chinoise, revient sur le fonctionnement de cette dictature implacable.
Votre précédent livre, «la Grande Famine de Mao», est le récit accablant de l’une des plus terribles catastrophes de l’histoire humaine: la famine déclenchée par Mao à la suite du Grand Bond en avant. Selon vos calculs, elle a coûté la vie à 45 millions de personnes. Dans votre dernier ouvrage, «la Tragédie de la libération. Une histoire de la révolution chinoise. 1945-1957», vous vous penchez sur la période précédente, celle de la prise du pouvoir par les communistes en 1949. Et, là encore, vous décrivez une décennie extrêmement sombre – contrairement aux idées reçues.
Ces idées reçues sont encore très présentes. Les débuts de la République populaire continuent d’être loués comme un «âge d’or» au cours duquel le régime communiste aurait remis sur pied un pays à vau-l’eau et initié de merveilleuses réformes; c’est plus tard que les choses se seraient gâtées, avec la fuite dans l’utopie du Grand Bond en avant à la fin des années 1950, puis de la Révolution culturelle dans les années 1960.
Or il suffit de se plonger dans les archives du PC chinois, accessibles depuis quelques années, pour comprendre à quel point cette image idyllique est fausse. Celles que j’ai consultées pour la période 1945-1957 montrent qu’au coeur de l’action de Mao et de ses amis on trouve une véritable politique de la violence – la violence extrême comme méthode de conquête du pouvoir, puis de consolidation d’un système totalitaire.
Cette violence extrême est à l’oeuvre dans plusieurs épisodes horrifiants de la guerre civile que vous décrivez, avec les troupes communistes n’hésitant pas à sacrifier des centaines de milliers de civils. Pourtant l’inhumanité n’était probablement pas réservée à un seul camp ?
Les nationalistes du Kuomintang n’étaient certes pas des enfants de choeur, ils ont eux aussi commis des crimes horribles. Mais je pense que l’APL (Armée populaire de Libération) a été encore plus impitoyable. Par exemple, lors du siège de Changchun en 1948 en Mandchourie, les généraux de Mao ont imposé un blocus total, empêchant la population civile d’en sortir. Le but était de transformer Changchun en «ville de mort» afin d’affaiblir la résistance des forces nationalistes. […]
La dékoulakisation soviétique a été elle aussi sanglante. Y a-t-il une différence ?
Oui, une différence capitale. Staline avait confié la mission de liquider les koulaks à ses services de sécurité. Mao, lui, fait exécuter son projet par les gens eux-mêmes, les obligeant à se salir irrémédiablement les mains. Or il s’agit d’une société où la vengeance joue un grand rôle. Tous les participants aux séances d’accusation vivent dans la hantise d’une punition de la part des victimes. S’enclenche ainsi un terrifiant cercle vicieux qui pousse les paysans à réclamer «préventivement» la tête des familiers des victimes, puis des proches de ces derniers, et ainsi de suite. […]
Lire l’intégralite de l’article sur le Nouvel Obs
http://histoire.fdesouche.com/3549-la-revolution-chinoise-ce-cauchemar-absolu
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Les archives de la Révolution française désormais accessibles sur Internet
Une plateforme dotée d’un moteur de recherche, développée par la BnF et l’université de Stanford, publie les archives de la Révolution française en huit tomes de débats parlementaires et 14.000 images.
La Révolution française numérisée en texte et en images. Pas moins de 82 tomes de retranscription de travaux des assemblées entre 1789 et 1794, accompagnés de 14.000 documents iconographiques publiés entre 1787 et 1799 sont désormais consultables sur une plateforme en ligne. «C’est un portail unique en son genre, explique Corinne Le Bitouzé, conservateur à la Bibliothèque nationale de France (BnF) qui a collaboré au projet. Il permet de faire des recherches qui combinent textes et images, ce qui créé une richesse unique pour les historiens de la Révolution française.»
La BnF a partagé sa masse documentaire, tandis que l’université de Stanford a apporté son savoir faire technique dans la conception de la plateforme. Le projet a nécessité plus de deux ans de collaboration entre les deux institutions. [...]
Accéder au site French Revolution Digital Archive.
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« Le progrès technique est-il un mieux ? »
Le Centre d’Études et de Prospective sur la Science (CEP) tient sa journée de conférences annuelle, ouverte à tous, sur le thème : « Le progrès technique est-il un mieux ? » le samedi 12 avril 2014, à l'auditorium du lycée La Salle Saint-Nicolas, 6 Rue Vaudétard, 92 132 Issy-les-Moulineaux.
Conférenciers :
- Claude Polin ("La technique avancée peut-elle libérer l'homme ?"),
- André Eggen ("L’être humain deviendra-t-il prisonnier de son génome ?"),
- Docteur François Plantey ("Sur les progrès de la médecine"),
- Dominique Tassot ("L'homme apprenti-sorcier").
Programme détaillé sur le site Internet du CEP.
Formulaire d’inscription à imprimer et renvoyer à l’adresse indiquée. Pour tout renseignement, courrier électronique à cep.colloques@gmail.com , ou téléphone : 01 70 25 14 45 (Maxime), doté d'un répondeur.