Dans la cacophonie européenne ambiante, la religion « droit de l’hommiste » se taille un franc succès lorsqu’il s’agit de s’apitoyer sur des images de tueries sanglantes en provenance de pays des mille et une nuit.
Concernant le Proche-Orient, l’ONU avertit : « Toute action devra recevoir l’aval du Conseil de Sécurité » et son secrétaire général, Ban Ki Moon demande du temps « afin que les inspecteurs puissent terminer leur travail à Damas » pour établir les faits.
De son côté, la Maison Blanche répète qu’elle ne cherche pas à destituer Bachar al Assad par une offensive militaire en Syrie et qu’elle « agira avec les alliés »…par des frappes « ciblées » ?
L’Histoire nous a enseigné que les anglo-américains sont passés orfèvres en matière de bombardements.
* 12-15 février 1945 à Dresde plus de 8.000 bombes explosives et 600.000 bombes incendiaires ont conduit 135.000 civils au royaume des cieux.
* 9-10 mars 1945 à Tokyo l’opération « Typhon de feu » fit 200.000 morts grâce au largage de 700.000 bombes M.29 (napalm).
* Le 6 août 1945, Hiroshima fut rayée de la carte et l’on dénombra 180.000 victimes.
* Le 9 août suivant 90.000 habitants de Nagasaki subirent le même sort.
* Durant la guerre du Viêt-Nam entre 1964 et 1975, des centaines de milliers de victimes furent anéanties par le fer, par le feu et par les produits chimiques, dont il reste encore des séquelles aujourd’hui.
* 23 mars 1999, c’est au tour de Belgrade de connaître les bombardements des avions de l’OTAN, dans l’opération « Force alliée », avec des milliers de victimes innocentes, tout au long des 25.000 sorties aériennes. La destruction de l’Ambassade de Chine conduira l’OTAN à s’excuser… de cette bavure.
* N’oublions pas les bombardements en Afghanistan depuis 2002, ni les deux guerres en Irak (1992 et 2003) déclarées sous de fallacieux prétextes avec une mise en scène pitoyable (armes de destruction massive, 4ème armée du monde, etc., etc.,).
* En mars 2011, par une vague résolution de l’ONU, destinée à protéger la population civile de Benghazi, les forces de l’OTAN -encore elles- aiguillonnées par les déclarations incendiaires de Nicolas Sarkozy, bombardent la Libye, étendent la guerre à tout le pays et obtiennent in fine le lynchage de Mouammar Kadhafi le 20 octobre 2011.
On assiste depuis des mois à une désinformation généralisée concernant les conflits et les manipulations des médias à propos des « révolutions de Jasmin », le « Printemps arabe » ou le bourbier du Proche Orient, afin de faire gober à Margot l’inverse de la réalité.
Et il est étrange que les yankees (et aussi leurs alliés du Golfe) s’obstinent à vouloir détruire les régimes qui existaient, quand on constate les résultats a posteriori en Tunisie, en Libye, en Égypte, et très certainement en Irak et en Afghanistan, sans parler du Kosovo…
Les marchands de canons et les gnomes de Wall Street ont encore de beaux jours devant eux, grâce au chaos organisé par le Nouvel Ordre Mondial !
http://www.francepresseinfos.com/2013/09/otan-egorgeurs-musulmans-meme-combat.html#more
culture et histoire - Page 1765
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OTAN + égorgeurs musulmans : même combat ! par Pieter KERSTENS
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La destruction de l'être
L’année scolaire qui s’ouvre est lourde d’orages, grevée de cyclones, inquiétante comme un nuage de sauterelles qui s’avance barrant l’horizon. Le moindre des dangers annoncés n’est pas la lancinante question du « genre » que l’idéologie qui a pris figure d’hommes pour nous gouverner s’apprête à décliner en d’habiles refrains anodins. On sait déjà la « désexuation » des jeux de l’école maternelle, laquelle portera d’ailleurs bientôt un nom moins discriminant, l’idiote éducation sexuelle pour sixièmes hilares, ou encore la révision générale des programmes d’histoire pour convenir à certaine égalité.
Mais précisément, quelle égalité ? Il ne faut pas oublier, ou l’apprendre en lisant Judith Butler, que le trouble, aussi provoqué que constaté, qui serait dans le genre comme le malaise dans la civilisation et comme le ver dans la pomme, est l’effet immédiat et direct du féminisme des années 60. C’est dire si la question n’est pas neuve, et si elle est insoluble. C’est dire encore si elle est justement présentée comme désirable parce qu’insoluble. L’immense travail, admirable d’ailleurs dans sa cohérence et la persévérance de ses réalisateurs, mené depuis plus d’un demi-siècle par certaine école dominante d’Occident, aura consisté non seulement dans la déconstruction de tous les rapports sociaux et économiques mais encore et surtout la construction, si l’on peut dire, d’un chaos nouveau dans l’intérieur même de l’humain. La motivation en est simple, et comme tout sophisme, d’apparences lumineuses : le défaut est déjà dans l’homme, il s’agit de le mettre au jour et de se repaître concomitamment de la déconfiture des systèmes anthropologiques censément rigides qui régnaient jusque-là.
En réalité, cet affrontement par où la pensée déconstructionniste croit abattre les ordres anciens, tels l’Église, le christianisme, le patriarcat, la bourgeoisie, tout ceci assimilé en un vague tas d’ennemis, est celui de « moderne contre moderne », comme disait Muray. Car il est bien vrai que le trouble, qu’on pourrait aussi dans un langage plus classique appeler le mal, est déjà dans l’homme. Et il est bien vrai encore que l’on ne naît pas femme, mais qu’on le devient. Le souci, c’est qu’il en est de même pour l’homme, en tant que sexe masculin. Nos féministes sont sûrs d’avoir fait un pas de géant en assurant les bonnes gens de ce truisme. Ils en déduisent, et c’est là le sophisme, que toute la civilisation, notamment chrétienne, a été bâtie pour voiler cette évidence, par le moyen puissant de l’asservissement des femmes. Que toute culture avait comme mission de déguiser cette domination, et sa cause qui est le manque d’assurance de chacun sur son identité.
Toute culture ou toute civilisation procède évidemment de ce donné naturel que l’humain naît dans un état non d’indétermination, mais de non-achèvement ; que son passage sur terre sera en grande partie dévoué à aller vers cet achèvement, inatteignable certes mais désirable. On se demande à quoi servirait un père qui ne dirait pas « deviens un homme, mon fils », et qui surtout ne lui en montrerait pas les moyens à sa disposition. Mais que l’homme ou la femme soient jetés dans le monde dans cet état de néoténie, c’est-à-dire de larves, n’implique en aucun cas qu’ils ne soient tenus de se conduire aussi bien que possible vers une plénitude de leur être.
Jacques de Guillebon La suite sur le site de La Nef
http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-destruction-de-l-etre -
Entretien d'Heidegger au Spiegel (1966)
Entretien au Spiegel
Fribourg-Zähringen (23.09.1966)
L’entretien a été traduit en français par Jean Launay et publié au Mercure de France en 1988 sous le titre Réponses et questions sur l’histoire et la politique.
Extrait de l’avant-propos
« Il a paru dans le numéro de l’hebdomadaire Der Spiegel du 31 mai 1976, quelques jours après la mort de Heidegger. » Heidegger « s’opposa résolument à une proposition qui lui fut faite d’avancer cette publication : « Il ne s’agit pas d’orgueil ni d’entêtement, mais seulement du souci de mon travail. La tâche de celui-ci est devenue avec les années toujours plus simple, ce qui, dans le domaine de la pensée, veut dire : toujours plus difficile. » »
Extraits de l’entretien (p. 44-52)
Spiegel : Il est bien évident, quand on regarde, que les hommes, en tout temps, sont incapables de maîtriser leurs outils ; un peu comme l’apprenti sorcier. Est-ce que ce n’est pas un peu trop pessimiste de dire : nous ne nous en sortirons pas avec cet outil assurément beaucoup plus grand qu’est la technique moderne ?
Martin Heidegger : Pessimisme, non. Pessimisme et optimisme sont dans le domaine de la réflexion que nous tentons en ce moment des prises de positions trop courtes. Mais surtout — la technique moderne n’est pas un « outil » et n’a plus rien à voir avec des outils.
Spiegel : Pourquoi devrions-nous être à ce point terrassés par la technique ?
Martin Heidegger : Je ne dis pas terrassés. Je dis que nous n’avons encore aucun chemin qui corresponde à l’être de la technique.
Spiegel : On pourrait cependant vous opposer tout à fait naïvement ceci : qu’est-ce qu’il s’agit de maîtriser ici ? Car enfin tout fonctionne. On construit toujours davantage de centrales électriques. La production va son train. Les hommes dans la partie du monde où la technique connaît un haut développement ont leurs besoins bien pourvus. Nous vivons dans l’aisance. Qu’est-ce qui manque ici finalement ?
Martin Heidegger : Tout fonctionne. C’est bien cela l’inquiétant, que ça fonctionne, et que le fonctionnement entraîne toujours un nouveau fonctionnement, et que la technique arrache toujours davantage l’homme à la Terre, l’en déracine. Je ne sais pas si cela vous effraie, moi, en tout cas, cela m’a effrayé de voir maintenant les photos envoyées de la Lune sur la Terre. Nous n’avons plus besoin de bombe atomique, le déracinement de l’homme est déjà là. Nous ne vivons plus que des conditions purement techniques. Ce n’est plus une Terre sur laquelle l’homme vit aujourd’hui. J’ai eu récemment un long entretien en Provence avec René Char, le poète et le combattant de la Résistance, comme vous savez. Dans la Provence on installe en ce moment des bases de missiles, et le pays est ravagé d’une façon inimaginable. Le poète, qu’on ne peut certainement pas soupçonner de sentimentalité ni de vouloir célébrer une idylle, me disait que le déracinement de l’homme qui a lieu là-bas signifie la fin, si une fois encore la pensée et la poésie n’accèdent au pouvoir sans violence qui est le leur.
Spiegel : Nous devons reconnaître que nous préférons être ici, et de notre vivant nous ne serons sans doute pas non plus obligés d’en partir ; mais qui sait si c’est la destination de l’homme d’être sur cette terre ? Il n’est pas impensable que l’homme n’ait aucune destination du tout. Mais en tout cas on pourrait voir aussi une possibilité de l’homme dans le fait que de cette terre il étende son emprise à d’autres planètes. Nous n’en sommes sûrement pas encore là d’ici longtemps. Simplement, où est-il écrit qu’il ait sa place ici ?
Martin Heidegger : D’après notre expérience et notre histoire humaines, pour autant que je sois au courant, je sais que toute chose essentielle et grande a pu seulement naître du fait que l ’homme avait une patrie (Heimat) et qu’il était enraciné dans une tradition. La littérature d’aujourd’hui, par exemple, est largement destructive.
Spiegel : Le mot « destructif » nous gêne ici, entre autres raisons parce que le mot « nihiliste » a reçu de vous-même et dans votre philosophie un sens dont le contexte est très étendu. Cela nous frappe d’entendre le mot « destructif » rapporté à la littérature, que vous pourriez très bien ou même devriez considérer comme faisant partie de ce nihilisme.
Martin Heidegger : J’aimerais dire que la littérature dont je parle n’est pas nihiliste dans le sens où je pense ce mot.
Spiegel : Vous voyez manifestement, et vous l’avez dit en ces termes, un mouvement mondial qui ou bien conduit, ou bien a déjà conduit à l’avènement de l’État absolument technique ?
Martin Heidegger : Oui !
Spiegel : Bien. Alors une question se pose, naturellement : l’individu humain peut-il encore avoir une influence sur ce tissu d’événements qui doivent forcément se produire, ou bien alors la philosophie peut-elle avoir une influence, ou bien les deux ensemble, dans la mesure où la philosophie conduit l’individu ou plusieurs individus à entreprendre une action définie ?
Martin Heidegger : Si vous me permettez une réponse brève et peut-être un peu massive, mais issue d’une longue réflexion : la philosophie ne pourra pas produire d’effet immédiat qui change l’état présent du monde. Cela ne vaut pas seulement pour la philosophie, mais pour tout ce qui n’est que préoccupations et aspirations du côté de l’homme. Seulement un dieu peut encore nous sauver. Il nous reste pour seule possibilité de préparer dans la pensée et la poésie une disponibilité pour l’apparition du dieu ou pour l’absence du dieu dans notre déclin ; que nous déclinions à la face du dieu absent.
Spiegel : Y a-t-il un rapport entre votre pensée et l’avènement de ce dieu ? y a-t-il là, à vos yeux, un rapport causal ? Croyez-vous que nous pouvons penser ce dieu de manière à le faire venir ?
Martin Heidegger : Nous ne pouvons pas le faire venir par la pensée, nous sommes capables au mieux d’éveiller une disponibilité pour l’attendre.
Spiegel : Mais pouvons-nous aider ?
Martin Heidegger : La préparation de la disponibilité pourrait bien être le premier secours. Le monde ne peut pas être ce qu’il est et comme il est par l’homme, mais il ne peut l’être non plus sans l’homme. Cela tient, d’après moi, au fait que ce que d’un mot venu de très loin, porteur de beaucoup de sens et aujourd’hui usé, j’appelle « l’être », est tel qu’il lui faut l’homme pour sa manifestation, sa garde et sa forme. L’essence de la technique, je la vois dans ce que j’appelle le Ge-stell, une expression souvent tournée en ridicule et peut-être maladroite. Le règne du Gestell signifie ceci : l’homme subit le contrôle, la demande et l’injonction d’une puissance qui se manifeste dans l’essence de la technique et qu’il ne domine pas lui-même. Nous amener à voir cela : la pensée ne prétend pas faire plus. La philosophie est à bout.
Spiegel : Dans le temps passé — et pas seulement dans le temps passé — on a tout de même pensé que la philosophie a beaucoup d’effets indirects, rarement des effets directs, mais qu’elle pouvait avoir beaucoup d’effets indirects, qu’elle a suscité de nouveaux courants. Si, à ne s’en tenir qu’aux Allemands, on pense aux grands noms de Kant, Hegel, jusqu’à Nietzsche, sans même parler de Marx, on peut faire la preuve que la philosophie, par des chemins détournés, a eu une énorme influence. Voulez-vous dire maintenant que cette influence de la philosophie a pris fin ? Et quand vous dites que l’ancienne philosophie est morte, qu’il n’y en a plus, est-ce que vous pensez en même temps que cette influence de la philosophie, si elle en a jamais eu, aujourd’hui en tout cas n’existe plus ?
Martin Heidegger : Une autre pensée pourrait avoir une influence médiate, mais aucune directe d’une façon qui ferait dire que la pensée « cause » un changement de l’état du monde.
Spiegel : Excusez-nous- nous ne voulons pas faire de philosophie- nous n-en sommes pas non plus capables- mais nous touchons ici la jonction entre politique et philosophie- c-est pourquoi vous voudrez bien nous pardonner de vous entraîner ici dans un pareil entretien. Vous venez de dire que la philosophie et l’individu ne pouvaient rien faire en dehors...
Martin Heidegger : ... de cette préparation de la disponibilité du se-tenir-ouvert pour la venue ou la défection du dieu. L’épreuve de cette défection n’est pas non plus rien, mais bien une délivrance de l’homme de ce que dans Être et Temps j’ai nommé l’échouement (Veifallenheit) auprès de l’étant. La réflexion sur ce qui est aujourd’hui fait partie de la préparation à la disponibilité que j’ai dite. [...]
Ici, l'intégralité de l'entretien en langue anglaise/a> -
La République Française aussi doit faire repentance de ses crimes contre l’humanité
Bernard Antony, président de l’AGRIF, communique :
"La visite du président allemand Joachim Gauck au village martyrisé d’Oradour-sur-Glane ne rappelle pas seulement un acte abominable de la barbarie nazie.
Pour les Français qui savent l’importance d’une mémoire plus longue et plus complète des horreurs perpétrées par les régimes totalitaires Jeunes-Turcs, nazis et jusqu’à nos jours dans les enfers communistes de Chine, d’Indochine et de Corée du Nord, que le débile ministre Montebourg confond incroyablement avec la libre Corée du Sud, l’actualisation du souvenir d’une extermination antérieure et très analogue à celle d’Oradour s’impose : celle du massacre de cinq cent soixante-quatre femmes et enfants des Lucs-sur-Boulogne en Vendée le 28 février 1794.
Ce massacre fut en effet emblématique de la mise en œuvre du plan d’extermination systématique de la Vendée et des autres lieux de résistance, comme la ville de Lyon, à l’établissement du totalitarisme jacobin, parfait modèle idéologique et référence constante des régimes précités.
Il faut saluer sur ce point majeur de la compréhension de l’histoire la remarquable préface au livre de Reynald Secher de l’avocat Gilles-William Goldnadel, vice-président du CRIF, observant l’irréfutabilité totalitaire des crimes contre l’humanité allant de Robespierre, Saint-Just et Bertrand Barère, avec leurs exécutants génocideurs, les Carrier et autres Tureau, à Hitler et Eichmann, et à la continuité meurtrière bientôt séculaire de Lénine, Staline et Trotsky à Mao, Pol-Pot et Kim-Jong-Un.
Hélas, les idéologues totalitaires de notre régime socialiste et au premier chef Vincent Peillon, continuent d’exalter imperturbablement le modèle jacobin si vanté d’ailleurs dans son « Histoire socialiste de la Révolution Française » par un Jean Jaurès à la fois robespierriste et négationniste, bien oublié sous cet aspect.
Or, comme l’Allemagne actuelle, la République Française aussi doit faire repentance de ses crimes contre l’humanité. Afin que l’on ne puisse jamais oublier que les lois de la République soi-disant issues de la « volonté générale », ce mythe fondateur du totalitarisme, ne peuvent être décidées et imposées au mépris de la loi morale.
L’AGRIF propose donc que soient désormais unis dans la même mémoire et la même repentance les souvenirs des massacres d’Oradour-sur-Glane et des Lucs-sur-Boulogne."
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In Memoriam - Alesia
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Des nouvelles phobies scolaire
Parmi les mission assignées à l’École figure désormais la lutte contre l’"homophobie", qu’il conviendrait d’élargir aux "transphobies" et autres "phobies" connexes, selon un rapport sollicité par la Rue de Grenelle. Morceaux choisis.
Les pouvoirs publics n’en finissent pas de désigner de nouveaux fléaux sociaux. Parmi ceux-ci figurent désormais les "LGBT-phobies". Lesquelles « doivent être abordées avec la même force et les mêmes convictions républicaines que le racisme, l’antisémitisme ou le sexisme par l’ensemble des acteurs de la communauté éducative », soutient Michel Teychenné, auteur d’un rapport commandé par le ministre de l’Éducation nationale, Vincent Peillon.
LGBT-phobieEn préambule, l’auteur propose la définition suivante de la "LGBT-phobie" : « peur, rejet ou aversion, souvent sous la forme d’attitudes stigmatisantes, de comportements discriminatoires ou de violences envers les lesbiennes, gays, bisexuels, transsexuel(le)s ». On devine qu’elle se décline sous des formes diverses. Moqueries et insultes seraient, parait-il, les plus répandues. Leur « banalisation » serait même observée « dès l’école primaire », où « l’emploi de mots comme "pédé" ou "enculé", par exemple, n’est d’ailleurs souvent pas conscientisé par le jeune ». Les instituteurs devront-ils expliquer aux élèves ce dont il retourne ? On leur souhaite bien du plaisir ! Selon le rapporteur, « une éducation sur les stéréotypes, les préjugés, les rôles ou l’identité peut être mise en place dès le plus jeune âge [...] afin de conduire à l’acceptation de la diversité humaine, y compris de la transidentité ou de la transgression du genre ». À l’école primaire, précise-t-il, « c’est au travers notamment de la diversité des familles, de l’homoparentalité, du refus des insultes et des discriminations que le sujet peut être abordé ». Soucieux d’« agir sur les représentations et les préjugés », il entend « valoriser des représentations positives des LGBT en assurant une meilleure visibilité de l’homosexualité et de la transsexualité à l’école ». Autre proposition, plus explicite : « sensibiliser à ces questions les éditeurs de manuels scolaires qui pourront notamment s’appuyer sur les travaux et les recommandations de la Halde ». Laquelle regrettait, par exemple, que nulle mention ne soit faite, dans les manuels de SVT (sciences de la vie et de la terre), des comportements homosexuels observés parfois chez les animaux.
La suite sur le blog du journal d’un eurosceptique désabusé
Article publié dans L’Action Française 2000
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Des-nouvelles-phobies-scolaire
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Eric Zemmour et Alain Soral - vrais rebelles contre faux révolutionnaires (best of)
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Petite bibliographie sur la Révolution Conservatrice allemande
GENERALITES
-Armin MOHLER : La Révolution Conservatrice allemande (1918-1932), Pardès, Puiseaux, 1993 (Première édition 1950).
-Dominique VENNER : Histoire d’un fascisme allemand, les corps-francs du Baltikum et la Révolution Conservatrice, Pygmalion/Gerard Watelet,Paris, 1996.
-Stefan BREUER : Anatomie de la Révolution conservatrice, Editions de la Maison des Sciences de l’Homme, Paris, 1996.
-Louis DUPEUX : Aspects du fondamentalisme national en Allemagne de 1890 à 1945 et essais complémentaires, Presses Universitaires de Strasbourg, 2001.
-Louis DUPEUX (sous la direction de) : La « Révolution Conservatrice » dans l’Allemagne de Weimar, Editions Kime, Paris, 1992.
-Barbara KOEHN (sous la direction de) : La Révolution conservatrice et ses élites intellectuelles, Presse Universitaires de Rennes, 2003.
-Paul LACOSTE : La Révolution Conservatrice allemande (1918-1932), Imperium, Epinay sur Orge, 1997.
-Edmond VERMEIL : Doctrinaires de la Révolution allemande 1918-1938, Nouvelles Editions Latines, Paris, 1948.
-Robert STEUCKERS (éditeur) : in Vouloir n°8 nouvelle série, Révolution Conservatrice, automne 1996.
-Robert STEUCKERS : La « Révolution Conservatrice » en Allemagne, 1918-1932 in Vouloir ancienne série n°59/60, novembre-décembre 1989, p : 11-16.
-Luc PAUWELS : Armin MOHLER et la « Révolution Conservatrice » in Vouloir ancienne série n°63/64, Printemps 1990, p : 13-19.
-Alain de BENOIST (entretien avec) : in Eléments n°70, printemps 1991, p : 24-37.
-Giorgio LOCCHI : Die Konservative Revolution in Deutschland 1918-1932 in Nouvelle Ecole n°23, automne 1973, p : 94-107.
-Erwin BUCHEL : Armin MOHLER, l’historien de la « Révolution Conservatrice » in Nouvelle Revue d’histoire n°8, septembre-octobre 2003, p : 22-23.
LES JEUNES CONSERVATEURS
-Oswald SPENGLER : Le déclin de l’Occident, 2 volumes, Gallimard, Paris, 1948.
-Oswald SPENGLER : Prussianisme et socialisme, Actes Sud/ Hubert Nyssen, Arles, 1986.
-Oswald SPENGLER : L’homme et la technique, Idées, Gallimard, Paris, 1969.
-Oswald SPENGLER : Années décisives, Copernic, Paris, 1980.
-Oswald SPENGLER : Écrits et pensées, Copernic, Paris, 1980.
-Robert STEUCKERS (éditeur) : Dossier Spengler in Orientations n°1, janvier 1982, p : 14-25.
-Thomas MANN : Considérations d’un apolitique, Grasset, Paris, 1975 (réédition 2002).
-Denis MAGNE : Thomas MANN ou la domination des contraires in Nouvelle Ecole n°41, Automne 1984, p : 11-44.
-Laurent SCHANG : La jeunesse « apolitique » de Thomas Mann in Nouvelles de Synergies Européennes n°33, mars-avril 1998, p : 21-22.
-Carl SCHMITT : La notion de politique/ théorie du partisan, Champs/Flammarion, Paris, 1992.
-Carl SCHMITT : Terre et mer. Un point de vue sur l’histoire mondiale, Labyrinthe, Paris, 1985.
-Carl SCHMITT : Du politique, « légalité et légitimité » et autres essais, Pardès, Puiseaux, 1990.
-Carl SCHMITT : Machiavel-Clausewitz, droit et politique face aux défis de l’histoire, Krisis, Paris, 2007.
-Carl SCHMITT : La dictature, Seuil, Paris, 2000.
-Carl SCHMITT : Théologie politique, Gallimard, Paris, 1988.
-Alain de BENOIST : Carl Schmitt actuel-« Guerre juste, terrorisme, état de guerre, Nomos de la terre », Krisis, Paris, 2007.
-Arthur MOELLER VAN DEN BRUCK : Le troisième Reich, Fernand Sorlot, Paris, 1981.
Arthur MOELLER VAN DEN BRUCK : La révolution des peuples jeunes, Pardès, Puiseaux, 1993.
-Alain DE BENOIST : Arthur MOELLER VAN DEN BRUCK, une « question à la destinée allemande » in Nouvelle Ecole n°35, Hiver 1979-1980, p : 40-73.
-Giselher WIRSING : L’âge d’Icare, de la loi et des frontières de notre temps, PanEuropa, Paris, 2003 (édition originale 1944).
LES NATIONAUX-REVOLUTIONNAIRES/NEO-NATIONALISTES
-Ernst JUNGER : Orages d’acier, Livre de poche, Paris, 1989.
-Ernst JUNGER : Le boqueteau 125, Christian Bourgois (nouvelle traduction), Paris, 1995
-Ernst JUNGER : La guerre comme expérience intérieure, Christian Bourgois, Paris, 1997 (nouvelle traduction de La guerre, notre mère).
-Ernst JUNGER : Feu et sang, Christian Bourgois, Paris, 1998.
-Ernst JUNGER : Lieutenant Sturm, Viviane Hamy, Paris, 1991.
-Ernst JUNGER : Le travailleur, Christian Bourgois, Paris, 1989.
-Ernst JUNGER : Sur les falaises de marbre, Gallimard, Paris, 1979.
-Alain de BENOIST : La figure du travailleur entre dieux et titans in Nouvelle Ecole, n°40, automne 1983, p :11-61.
-Alain de BENOIST (Editeur) : in Nouvelle Ecole, n°48, année 1996, Ernst JUNGER.
-Robert STEUCKERS (Editeur) : in Vouloir n°4 nouvelle série, printemps 1995, Ernst JUNGER 100 ans.
Robert STEUCKERS (Editeur) : in Nouvelles de Synergies Européennes, Hommage à Ernst JUNGER, n°33, mars-avril 1998, p : 2-10
-Isabelle GRAZIOLI-ROZET : JUNGER, Qui suis-je ?, Pardès, Grez-Sur-Loing, 2007.
-Isabelle GRAZIOLI-ROZET : Hommage à Ernst JUNGER in Eléments n°92, Juillet 1998, p : 4-8.
-Philippe BARTHELET (Sous la direction de) : Ernst JUNGER, Les Dossiers H, L’Âge d’Homme, Paris/ Lausanne, 2000.
-Ernst VON SALOMON : Les cadets, UGE/10-18, Paris, 1986.
-Ernst VON SALOMON : Les réprouvés, Christian Bartillat, Paris, 2007.
-Ernst VON SALOMON : Histoire proche, essai sur l’esprit corps-franc, Porte Glaive, Paris, 1987.
-Ernst VON SALOMON : Le questionnaire, Gallimard, Paris, 1982.
-Ernst NIEKISCH : « Hitler, une fatalité allemande » et autres écrits nationaux-bolcheviks, Pardès, Puiseaux, 1991.
-Thierry MUDRY : L’itinéraire d’Ernst NIEKISCH in Orientations n°7, septembre-octobre 1986, p : 34-37.
-Paul BAHN : L’itinéraire de Friedrich HIELSCHER, 1902-1990 in Nouvelle Ecole n°53-54 (Le Fascisme), année 2003, p : 170-182.
-Robert STEUCKERS : Friedrich-Georg JUNGER (1898-1977), la perfection de la technique, Synergies Européennes, Bruxelles, 1996.
-Robert STEUCKERS : L’itinéraire philosophique et poétique de Friedrich-Georg JUNGER in Vouloir n° 45/46 ancienne série, janvier-mars 1988, p : 10-12.
LES VOLKISCHEN/ FOLCISTES
-Ludwig FERDINAND CLAUSS : L’âme des races, L’homme Libre, Paris, 2001.
-Ludwig FERDINAND CLAUSS : David et Goliath in Etudes et Recherches nouvelle série, n°2, quatrième trimestre 1983, p :17-23.
-Hans F. K. GUNTHER : Platon, eugéniste et vitaliste, Pardès, Puiseaux, 1987.
-Hans F. K. GUNTHER Religiosité indo-européenne, Pardès, Puiseaux, 1987.
-Hans F. K. GUNTHER Mon témoignage sur Adolf Hitler, Pardès, Puiseaux, 1990.
-Hans F. K. GUNTHER Les peuples de l’Europe, Editions du Lore, 2006.
-Hans F. K. GUNTHER La race nordique chez les Indo-Européens d’Asie, L’Homme Libre, Paris, 2006.
-Otto RAHN : La cour de Lucifer, Pardès, Puiseaux, 1994.
-Robert STEUCKERS : L’œuvre de Hermann Wirth (1885-1981) in Vouloir n°101/102/103/104 ancienne série, avril-juin 1993, p : 53-55.
-Nicholas GOODRICK-CLARKE : Les racines occultistes du nazisme. Les Aryosophistes en Autriche et en Allemagne, 1890-1935, Pardès, Puiseaux, 1989.
LES BUNDISCHEN
-Karl HOFFKES : Wandervogel révolte contre l’esprit bourgeois, ACE, Saint-Etienne, 2001 (nouvelle édition augmentée).
-Alain THIEME : La jeunesse « Bundisch » en Allemagne au travers de Die Kommenden (janvier 1930-juillet 1931), ACE, Saint-Etienne, 2003.
-Walter FLEX : Le pèlerin entre deux mondes, Porte Glaive, Paris, 1996.
-Hans BLUHER : Wandervogel, histoire d’un mouvement de jeunesse, tome 1, Les Dioscures, Paris, 1994.
-Luc SAINT-ETIENNE : La sexologie politique de Hans BLUHER, GRECE, Paris, 1994.
LE LANDVOLKBEWEGUNG/ MOUVEMENT PAYSAN
-Ernst VON SALOMON : La ville, Gallimard, Paris, 1986.
-Michelle LE BARS : Le mouvement paysan dans le Schleswig Holstein 1928-1932, Peter Lang, Berne, 1986.
DIVERS
-Robert STEUCKERS : Conception de l’homme et Révolution Conservatrice, Heidegger et son temps in Nouvelle Ecole n°37, Printemps 1982, p : 55-75.
-Robert STEUCKERS : Le mouvement métapolitique d’Engelbert PERNERSTORFER à Vienne à la fin du XIXème siècle, précurseur de la « Révolution Conservatrice » in Nouvelles de Synergies Européennes n°55/56, avril-juillet 2002, p : 21-35.
-Stefan GEORGE : Dichtungen/Poèmes, édition bilingue, Aubier/Flammarion, Paris, 1969.
-Stefan GEORGE : L’étoile de l’alliance, Editions de la Différence, Paris, 2005.
-Jean-François THULL : Claus SCHENK Graf von Stauffenberg, un aristocrate dans la tourmente in Le Baucent, n° 19, mai-juin 2000, p : 25-30.
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-Alain de BENOIST : Le paradigme de la culture humaine in Les idées à l’endroit, Editions Libres/Hallier, Paris, 1979, p : 215-249.
-Ferdinand TONNIES : Communauté et société, Retz, Paris, 1977.
-Armin MOHLER : Le « style » fasciste in Nouvelle Ecole n° 42, Eté 1985, p : 59-86.
-Martin KIESSIG : Ludwig KLAGES et son temps in Vouloir ancienne série n°59/60, novembre-décembre 1989, p : 17-19.
-Thierry MUDRY : Le « socialisme allemand », analyse du télescopage entre nationalisme et socialisme de 1900 à 1933 en Allemagne in Orientations n°7, septembre-octobre 1986, p : 21-30.
-Thierry MUDRY : La figure du partisan, approche historique in Le Partisan Européen, n°7-8, Vendémiaire-Brumaire 1986, p :10-22.
-Thierry MUDRY : Le « socialisme allemand » de Werner Sombart in Orientations n°12, été 1990-hiver 1990-91, p : 22-27.
-Julien Freund : La décadence, Sirey, Paris, 1984. -
Le nationalisme face aux "Compagnons de route" du mondialisme messianique
Conférence du 27 avril 2013, donnée suite à notre entretien du matin sur "Église, Maçonnerie et actualités"?
La conférence dure 1h12:52, le reste du temps est destiné aux questions-réponses.Lien permanent Catégories : actualité, culture et histoire, international, lobby, tradition 0 commentaire -
Vae victis - Ce soir...