culture et histoire - Page 198
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Le VIN au MOYEN ÂGE au XII et XIIIe siècle. Avec Gal MARC PAITIER. Ép. 2/3
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Les SUISSES, la vengeance des Suisses (Ép. 3/3)
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Gueule Cassée. Un livre d’Yvon Ollivier sur la Grande guerre des Bretons.
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Tervuren, quel est le rôle d’un musée ?
Depuis des années lecteur assidu du magazine gratuit Science Connection publié cinq fois par an par la Politique scientifique fédéralei, j’ai pour la première fois chiffonné et jeté au panier cette excellente publication, non qu’elle ait démérité mais à cause des propos ahurissants et inacceptables repris dans l’article du directeur général actuel du nouveau AfricaMuseumii Monsieur Guido Grysels dans le numéro 59 de janvier – février 2019.
Ce musée, monstrueuse mutation de l’anciennement dénommé Musée Colonial de Tervuren, vient de rouvrir après cinq ans de fermeture pour rénovation.
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José Antonio Primo de Rivera, le politicien-poète du XXe siècle
Ceux-là mêmes qui, au début de la guerre civile espagnole, ont assassiné José Antonio Primo de Rivera (1903-1936), le fondateur de la Phalange, ont eu la folle idée de le tuer symboliquement une deuxième fois quatre-vingt-sept ans plus tard. C’est ainsi qu’après avoir retiré la dépouille de Franco du mausolée du Valle de los Caídos, l’actuel gouvernement socialo-communiste, qui n’entend rien au respect dû aux morts, vient de refaire le coup avec José Antonio. Ayant exhumé sa dépouille du tombeau où elle reposait dans l’imposante Basilique du mausolée, ils l’ont déposée dans un cimetière quelconque de Madrid. À cette occasion, notre collaborateur Javier Portella évoque, depuis l’Espagne, la figure de José Antonio Primo de Rivera et retrace les grandes lignes de la pensée de ce « politicien-poète ».
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21 juin 1973 : Ordre nouveau introduisait le problème de l'immigration dans le débat politique français
Au début des années 1970, la droite nationale française n'était pas, c'est le moins que l'on puisse dire, au top de sa splendeur. Cependant, avec courage et panache, un jeune mouvement maintenait en vie l'idéal nationaliste. Ce mouvement, c'était Ordre nouveau... Durant son existence éphémère (1969-1973), Ordre nouveau suscita tout ce qui, dans les décennies qui suivirent, devait amener la droite nationale aux portes du pouvoir, à savoir le Front national et le combat contre l'immigration incontrôlée.
C'est justement la dénonciation de cette immigration, si juteuse à la fois pour le grand patronat et pour les organisations marxistes, qui attira sur Ordre nouveau les foudres du Système. En effet, le 21 juin 1973, au Palais de la Mutualité à Paris, ON organisait la première grande réunion publique sur le thème "Halte à l'immigration sauvage !". La soirée fut épique cliquez ici. et cliquez là... Une semaine plus tard, le 28 juin, le gouvernement prononçait sa dissolution. C'était il y a 50 ans... Et, depuis, la situation n'a pas cessé d'empirer.
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Léopold II : “une popularité que j’achèterais en trompant le pays sur ses vrais intérêts pèserait sur ma conscience d’un poids que je ne veux pas supporter”
La stature majestueuse et l’air imposant et sûr de lui donnaient au Souverain une allure vraiment royale. Louis de Lichtervelde, pour le décrire, s’en réfère à une première impression de jeunesse et nous dit :
“Vêtu d’une tunique sombre que relevaient les tresses d’or aux épaules, Léopold II attirait d’emblée tous les yeux. Il promenait sur la foule un regard perçant qui se détendait dès que l’ovation populaire montait autour de son carrosse superbement attelé. Malgré tout le mal qu’on disait de lui dans les journaux et ailleurs, sa présence déchaînait toujours des scènes d’enthousiasme.”
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Les premiers peuples des Plaines de la période ancienne à l’arrivée des Européens (George E. Hyde)
George E. Hyde (1882-1968) fut longtemps un emblématique doyen des historiens américains spécialistes des Indiens des Plaines. Sa trilogie sur l’histoire des Sioux, ainsi que son travail sur l’histoire des Cheyennes sont des références en la matière.
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« Trangression » : Jean-Yves Le Gallou fait l’éloge de deux trotskystes !
Transgression est le titre du livre que viennent de publier Pierre Cassen et Bernard Germain, deux anciens trotskystes, pour expliquer leur passage du « camp du bien » au « camp du mal ». Un livre à lire pour comprendre. Jean-Yves Le Gallou – qui n’est évidemment pas trotskyste – a préfacé l’ouvrage des deux vainqueurs de la bataille de Callac où les immigrationnistes ont été mis en échec. Nous mettons ce texte à la disposition de nos lecteurs.
J’ai croisé bien des trotskystes dans ma vie politique.
Ce ne fut pas toujours sympathique.
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Il chantait lors du Rendez-vous avec nos Chères Provinces du 23 avril dernier en Mayenne. Un entretien avec Louis-Antoine
Entretien avec le chanteur Louis-Antoine, auteur, compositeur et interprète (louisantoine@netc.fr)
(Propos recueillis par Fabrice Dutilleul)
Quel est votre parcours qui vous a amené aujourd’hui à vouloir contribuer par votre œuvre au renouveau nationaliste et catholique ?
J’ai grandi dans une famille de classe moyenne, parents fonctionnaires et plutôt marqués à gauche, il faut le dire. N’ayant pas reçu le baptême enfant, j’ai eu un début de conversion avorté à l’âge de 10 ans. D’autant qu’au début des années lycée, j’étais sous l’influence de ce que j’appellerai la sphère mediatico-artistique gauchiste (Canal + [Groland, Les Guignols, Barthès,…] La chanson dite contestataire [type Renaud, Tryo, Les Fatals Picards…]).