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Le théâtre de Néron a récemment été découvert à quelques mètres seulement du Vatican, au cours de fouilles réalisées pour la construction d’un parking dans la cour du Palazzo della Rovere. Il se trouve dans une zone historiquement liée aux jardins d’Agrippine, mère de l’empereur Caligula.

Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (1)
Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (2)
Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (3)
Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (4)
Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (5)
Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (6)
par Fabrice Garniron
Retour sur un mythe médiatique
Bellicisme et russophobie médiatiques
La russophobie : de quoi cette passion collective est-elle le nom ? Bellicisme à outrance, haine de l’Autre au nom du Bien, force du préjugé officialisé, surenchères guerrières et bonne conscience inébranlable, indignation sélective derrière les bons sentiments : la russophobie, autant de passions mauvaises encore une fois au rendez-vous de l’Histoire … comme en 14. À cette différence près que les postures haineuses d’aujourd’hui s’accompagnent d’une certitude : celle de ne pas avoir à payer le prix du sang. Et, autre nouveauté, le discours belliciste se déploie tous azimuts, envahit les coins et les recoins de l’opinion, alors que le pays n’est pas occupé, ni menacé de l’être, ni même officiellement en guerre. Étrange situation que cette mise en condition sans la menace qui la justifierait un tant soit peu. Étrange phénomène qu’une rhétorique de guerre sans guerre directe.

Le roi Louis IX a acheté à Byzance de précieuses reliques dont la couronne d’épines, portée par le Christ lors de Sa Passion.
Négociées par l’intermédiaire des marchands vénitiens, les précieuses reliques, au nombre de vingt-deux, gagnent la capitale en procession. Sur le chemin, les chroniques rapportent la présence d’une foule immense de fidèles venus se recueillir. On parle d’un million de personnes !


Le 23 juillet dernier en Espagne, le Premier ministre socialiste Pedro Sanchez provoquait des législatives anticipées dans l’espoir de rebondir après un scrutin régional désastreux pour son parti mais perdait son pari : le Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE) était en effet devancé par le Parti Populaire (PP), lequel n’avait toutefois pas obtenu la majorité absolue espérée avec son allié Vox, réputé par les médias d’ultra droite et auquel des sondages sans doute truqués promettaient un score mirifique, ce qui a effrayé beaucoup d’électeurs. Toujours en fonction car la situation ne s’est toujours pas décantée, Pedro Sanchez a pris sa revanche le 17 août avec l’élection de sa candidate, la socialiste Francina Armengol, à la présidence du Congrès des députés grâce aux voix des sept députés de Junts per Catalunya (JxCat, Ensemble pour la Catalogne), parti représentant le courant le plus dur du nationalisme catalan et dirigé de Bruxelles où il vit exilé depuis 2017, après l’échec d’une tentative de sécession de la Catalogne, par le leader indépendantiste Carles Puigdemont.