
Léonie Touvet est une jeune femme de 21 ans, étudiante en lettres, très engagée dans le scoutisme et l’évangélisation, passionnée d’écriture, de théâtre et de musique. Utrique Fidelis, destiné à la jeunesse, est son premier roman.
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Léonie Touvet est une jeune femme de 21 ans, étudiante en lettres, très engagée dans le scoutisme et l’évangélisation, passionnée d’écriture, de théâtre et de musique. Utrique Fidelis, destiné à la jeunesse, est son premier roman.

Ils vous avaient peut-être échappé. Cet été, nous vous proposons de lire ou relire les meilleurs articles publiés cette année par BV.
Cet article a été publié le 19/11/2022.
À l'heure où, après les émeutes historiques de début juillet, on s'interroge sur la capacité de la France à assurer le bon déroulement des Jeux olympiques de Paris l'an prochain, le choix du bonnet phrygien comme mascotte de la manifestation interroge. Un symbole républicain ? Révolutionnaire ?
Avec la présentation, auprès du grand public, de la future mascotte pour les Jeux olympiques de Paris, en 2024, représentant un bonnet phrygien, il est bon de s’intéresser à l’histoire de ce symbole trop souvent réduit à celui de la Révolution française et des terribles sans-culottes.

Le 8 août, Oliver Anthony, un trentenaire américain originaire de Farmville en Virginie, a publié sur YouTube une vidéo de sa chanson « Rich Men North of Richmond ». 37 millions de vues plus tard, sa ballade folk au texte engagé se range au sommet du classement Billbord, une première pour un artiste qui n’a auparavant jamais figuré dans un hit-parade.

Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (1)
Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (2)
Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (3)
Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (4)
Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (5)
Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (6)
par Fabrice Garniron
Retour sur un mythe médiatique
Bellicisme et russophobie médiatiques
La russophobie : de quoi cette passion collective est-elle le nom ? Bellicisme à outrance, haine de l’Autre au nom du Bien, force du préjugé officialisé, surenchères guerrières et bonne conscience inébranlable, indignation sélective derrière les bons sentiments : la russophobie, autant de passions mauvaises encore une fois au rendez-vous de l’Histoire … comme en 14. À cette différence près que les postures haineuses d’aujourd’hui s’accompagnent d’une certitude : celle de ne pas avoir à payer le prix du sang. Et, autre nouveauté, le discours belliciste se déploie tous azimuts, envahit les coins et les recoins de l’opinion, alors que le pays n’est pas occupé, ni menacé de l’être, ni même officiellement en guerre. Étrange situation que cette mise en condition sans la menace qui la justifierait un tant soit peu.

Un 26 août 2013, le commandant Hélie Denoix de Saint Marc nous quittait, à l’âge de 91 ans. (Photo des obsèques du Commandant de Saint Marc à Lyon, du Cercle algérianiste).
Né à Bordeaux le 11 février 1922, Hélie de Saint Marc a été élevé dans un mélange de tradition et de liberté, issu d’une noblesse de robe catholique attachée au droit et à la terre. Fils d’un héros de la Grande Guerre, cadet d’une fratrie de sept enfants, le jeune Hélie, au sortir de ses études au collège jésuite bordelais Saint-Joseph-de-Tivoli, hésite entre les voeux monastiques et l’armée. C’est la seconde option qui l’emporte. Hanté par les martyrs chouans, les pionniers de l’aventure coloniale et la geste naissante de l’Aéropostale, il fait sienne la devise de Guynemer : “Faire face”.

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