Jacques Chirac les qualifiait de "technostructures" ; François Mitterrand, quand il s'est rendu compte qu'il s'était fait piéger (1), avait mis les choses au point dans sa dernière déclaration publique : Le 15/5/95, il accordait au Monde une interview (édition du 29 août), dans laquelle il mettait en exergue l'importance de l'Histoire, véritable culture de l'homme politique, mais il rejettait sur l'historien la responsabilité de l'interprétation... étonnant testament. Ces technostuctures s'expriment dans les médias par la voix ou la plume de journalistes soi-disant qualifiés jusqu'à nier l'évidence.
L'évidence : oubliées dans les archives de la Bibliothèque Nationale, quatre cartes anciennes nous indiquent les véritables emplacements de Bibracte et de Gergovie. J'en fais état dans mes articles publiés. L'internet en a diffusé des extraits irréfutables que les autorités en poste de responsabilités ne peuvent ignorer. M. Vincent Guichard, archéologue, président du centre archéologique européen, M. Matthieu Poux, archéologue, ne peuvent les ignorer, et pourtant....