culture et histoire - Page 247
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Le cinéma doit il mourir pour sauver la planète
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1870 : l'année décisive qui provoque la chute du Napoléon III, avec Thierry Lentz
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Quand la fiscalité provoquait la révolte …
Fureurs antifiscales au 17e siècle …
Poitiers, novembre 1624. Dans la nuit et dans le froid, le peuple de la ville s’assemble, des petits groupes ne cessent de se joindre aux premiers arrivants, la foule grossit, gronde, hurle. Soudain, des coups de feu éclatent, venant de nulle part, en direction de la maison du notaire royal. Puis la foule, enragée, se dirige vers l’auberge où sont descendus les commis chargés de percevoir de nouveaux impôts sur les vins vendus au détail, de gros cailloux sont lancés contre les fenêtres de leur chambre.
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LITTÉRATURE NATIONALISTE : Le Forum du PdF - 12/01/2023 (Jonathan Sturel et Bruno Hirout)
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Pourquoi la Chine ne s’est pas effondrée comme l’URSS ?
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La révolte des Bonnets Rouges
Bonnets rouges et bonnets bleus…
La création de taxes indirectes imposées par les plus hauts sommets de l’Etat à des provinces jusqu’alors exemptées ne va jamais de soi.
Ainsi, en Bretagne, en 1675 (sous le règne de Louis XIV) l’obligation d’un timbre fiscal sur les actes notariés, de nouvelles taxes sur le tabac et sur la marque de vaisselle d’étain provoquent une des plus violentes révoltes de l’époque moderne, bien que très locale. Les troubles éclatent à Rennes en avril. Une foule menaçante saccage les bureaux de tabac et du papier timbré au palais de justice. Le mouvement s’étend rapidement à Nantes, Dinan, Vannes… Les paroisses entrent dans le mouvement et pendant trois mois les autorités demeurent incapables de maîtriser cette marée.
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#128 - Jean-Baptiste Forray pour son livre "Au coeur du grand déclassement"
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Honneur à ceux qui sont morts en Indochine
le général Giap Deux fils de maréchaux de France, 20 fils de généraux, 1300 lieutenants, 600 autres officiers, 75 000 sous-officiers et hommes de troupes sont morts en Indochine.
Mais de ces huit années de terrible guerre bien des réalités sont tues aujourd’hui. Toute la grande presse et le gouvernement socialiste à travers le ministre des affaires étrangères M Laurent FABIUS (discours du samedi 4 octobre : « c’était un grand ami de la culture française ») ont fait unanimement l’éloge du général Vo N’Guyen GIAP.
Mais c’est oublier le traitement qui fut réservé au 35000 prisonniers français par les « Viets » sous les ordres de ce même général.
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L’État avant la nation, avec Thierry Dutour