
La préfecture de police de Paris a annoncé jeudi l’interdiction, sur instruction de Gérald Darmanin, d’une marche aux flambeaux prévue samedi par la mouvance d’ultradroite, en raison de “risques forts de troubles à l’ordre public”.
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La préfecture de police de Paris a annoncé jeudi l’interdiction, sur instruction de Gérald Darmanin, d’une marche aux flambeaux prévue samedi par la mouvance d’ultradroite, en raison de “risques forts de troubles à l’ordre public”.
Notre actualité serait-elle la même si la véritable Histoire de Charles Martel était encore enseignée dans les écoles ? Forcément non! (Voir les extraits d’un livre d’Histoire de l’école publique du primaire, des années 50 en fin d’article)
Voici l’Histoire vraie de la France qui a forgé son âme en repoussants les assauts de l’Islam en Fille aînée de l’Eglise, depuis les derniers Mérovingiens :
Les musulmans sont entrés pour la première fois en 714 dans ce qui était la France de l’époque. Ils se sont emparés de Narbonne, qui est devenue leur base pour les 40 années suivantes, et ont pratiqué des razzias méthodiques. Ils ont ravagé le Languedoc de 714 à 725, détruit Nîmes en 725 et ravagé la rive droite du Rhône jusqu’à Sens. En 721, une armée musulmane de 100.000 soldats mit le siège devant Toulouse, défendue par Eudes, le duc d’Aquitaine. Charles Martel envoya des troupes pour aider Eudes. Après six mois de siège, ce dernier fit une sortie et écrasa l’armée musulmane, qui se replia en désordre sur l’Espagne et perdit 80.000 soldats dans la campagne. On parle peu de cette bataille de Toulouse parce qu’Eudes était mérovingien. Les Capétiens étaient en train de devenir rois de France et n’avaient pas envie de reconnaître une victoire mérovingienne. Les musulmans ont conclu alors qu’il était dangereux d’attaquer la France en contournant les Pyrénées par l’est, et ils ont mené leurs nouvelles attaques en passant à l’ouest des Pyrénées.
Se situant dans le prolongement des œuvres de Richard Wagner, de Nietzsche, de la révolution conservatrice allemande et de Heidegger, la pensée de Giorgio Locchi en constitue la relecture critique et créatrice. Face aux mythes et aux idéologies égalitaires qui structurent le monde occidental depuis plusieurs siècles, Wagner et Nietzsche ont eu la volonté de poser un nouveau « commencement » et d’acheminer l’Europe vers sa régénération. C’est ainsi qu’il faut voir dans le Ring et Parsifal, la représentation d’un mythe fondateur par lequel naquit et prit forme une nouvelle tendance historique que Nietzsche a ensuite poursuivie et approfondie. Cette nouvelle tendance, c’est la tendance surhumaniste.
Philosophe, journaliste et essayiste, Giorgio Locchi (1923-1992) fut l’une des figures tutélaires de la Nouvelle Droite, tutélaires mais lointaines, effet du temps. Raison pour laquelle il fallait la désensabler. C’est l’objet des deux ouvrages qui sont aujourd’hui édités par la Nouvelle Librairie dans la collection Agora de l’institut Iliade : « Wagner, Nietzsche et le mythe surhumaniste » et « Définitions ». L’occasion de renouer avec un auteur fascinant qui fut un maître à penser. Son fils, Pierluigi Locchi, répond à toutes nos questions. Première partie.
ÉLÉMENTS : Beaucoup de lecteurs ignorent jusqu’à l’existence même de Giorgio Locchi, pouvez-vous resituer qui était-il ? Sa vie, ses combats, ses passions ?
PIERLUIGI LOCCHI. Je répondrai à votre question en évoquant quelques étapes clés de sa vie.
« Berthe au grand pied » est un livre atypique dans la littérature française du XXIè siècle, écrit à la manière du Moyen Âge, le texte est joliment agrémenté de photos polychromes de documents d’époque. Il s’agit d’une fiction légendaire, ancienne, renouvelée dans les règles de l’art, trop vite lue; vivement recommandée, même et surtout aux lecteurs un peu blasés. E.D.
Interview de Rémi Usseil, auteur de Berthe au grand pied.
Emilie Defresne: Berthe au grand pied, est-ce votre première œuvre littéraire?
Rémi Usseil: Oui, mais il ne s’agit pas du premier projet par lequel je cherche à faire connaître nos épopées médiévales. Je tiens depuis plusieurs années un blog, Matière de France, consacré à la présentation de ces textes. Cette activité m’a permis de faire des rencontres et a fini par m’ouvrir des portes.