culture et histoire - Page 326
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La source de la Magie ou le fluide des Mages - Mana, Ch'i, Ki, Prana...
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Parution très prochaine du n°60 (printemps 2022) de la revue Synthèse nationale
N°60, Printemps 2022
94 PAGES, 12,00 € (+ 5,00 € DE PORT)
Sortie le 8 juin 2022
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P 2 ÉDITORIAL Roland Hélie
P 6 QUELQUES ENSEIGNEMENTS DE LA PRÉSIDENTIELLE Didier Lecerf
P16 TOUT CELA FINIRA MAL Bernard Germain
P 28 JE NE REGRETTE RIEN La chronique de Charles-Henri d'Elloy
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Pour que vive le Christ Roi ! Le bienheureux José del Rio (Catherine Escrive)
Catherine Escrive, journaliste, est une spécialiste des sujets hispano-américains.
José del Rio (1913-1928) est le plus jeune martyr des treize Cristeros qui ont été béatifiés à Guadalajara. Ce jeune garçon fauché à l’âge de 14 ans est une belle âme à présenter en exemple à la jeunesse. C’est donc un excellent choix de lui avoir consacré un livre dans une collection de livres catholiques destinés aux jeunes gens.
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Le centenaire de Léon Bloy Un belluaire devant les porchers 1/2
Il y a tout juste cent ans, en novembre 1917, Léon Bloy disparaissait, laissant derrière lui une ouvre de feu. Rien ne le résume mieux que les titres qu'il avait lui-même donnés aux extraits de son Journal publié de son vivant : Le Mendiant ingrat, Quatre ans de captivité à Cochons-sur-Marne, Le Pélerin de l'Absolu...
Rabelais prouve le caractère « hénaurme » de Léon Bloy, tant d'un point de vue méthodologique que fondamental. Tout d'abord, dans la plus pure pensée bloyenne, le temps n'a pas d’être, à la différence de l’éternité divine il faut, pour le comprendre, s'habituer à vivre autant que possible sous le régime de l’éternel, de l’infini et de l’absolu : ainsi la bataille de la Marne, selon lui, a-t-elle été remportée grâce à la prière d'une petite fille qui n'est pas encore née. Nous sommes donc invités à faire fi de ce qui, pour des esprit superficiels, relèverait de l'anachronisme.
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Regards nouveaux sur Nietzsche 5/5
La philosophie de Nietzsche s'élabore ainsi au départ de lectures très diverses, des spéculations scientifiques ou parascientifiques de son temps aux prises de positions littéraires et aux modes culturelles et artistiques. Chez les Frères de Goncourt et chez Flaubert, il découvre un engouement décadent pour les petits faits, couplé à un manque de "force" navrant. Il critique l'équilibre jugulant d'un certain classicisme répétitif et imitateur et loue la profusion du baroque.
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De la guerre (John Keegan)
Sir John Keegan (1934-2012), historien de la guerre, a enseigné pendant vingt-six ans à l’Académie royale militaire de Sandhurst.
Ce volumineux ouvrage regroupe Anatomie de la bataille, L’Art du commandement et Histoire de la guerre, trois livres fondamentaux pour quiconque s’intéresse à l’art de la guerre.
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ROBERT SURCOUF : un corsaire breton d'exception
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Le livre "Jean Picollec l'atypique" honoré d'un article dans Presse Edition
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Je servais Lucifer sans le savoir (Serge Abad-Gallardo)
Serge Abad-Gallardo est un ancien haut fonctionnaire territorial qui a passé plus de vingt ans au sein des loges maçonniques du Droit humain, une émanation du Grand Orient, avant de quitter cette secte.
Par son témoignage personnel et sa grande culture maçonnique, Serge Abad-Gallardo démontre que, depuis trois cents ans, la franc-maçonnerie s’efforce de saper tous les acquis de deux mille ans de christianisme. La cible de la franc-maçonnerie est clairement désignée, c’est le catholicisme. C’est un véritable « combat spirituel » qui s’opère. Car il y a chez les hauts grades de la vénération pour Lucifer. Selon l’auteur, cet aspect est méconnu des francs-maçons des trois premiers grades. Mais il est pour lui devenu évident que la franc-maçonnerie utilise sciemment une doctrine luciférienne dans le cadre de sa révolte contre Dieu et contre son Eglise.
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Regards nouveaux sur Nietzsche 4/5
L'innocence du devenir
Pour Pfotenhauer, Nietzsche n'avait nullement l'intention de valoriser le discours pseudo-scientifique ou pseudo-esthétique des "physiologistes" communs, vulgaires. Il ne cherchait nullement à avaliser leurs contradictions, à accepter leurs incohérences, à partager leurs sensations de plaisir ou de déplaisir. Son intention était, écrit Pfotenhauer, de défier directement l'esthétique établie. L'expression "physiologie de l'art" constitue une contre-façon de "philosophie de l'art", dans la mesure où l'art, selon les critères traditionnels, s'évalue philosophiquement et non physiologiquement. Cette parodie se veut un rejet de toutes les conceptions philosophico-esthétiques des décennies précédentes.