culture et histoire - Page 417
-
Laurent de Médicis | Les Médicis: le pouvoir en héritage Part. 1.
-
Qui écrivait et qui lisait au Moyen Âge?
-
Qui écrivait et qui lisait au Moyen Âge?
-
Les éditions Atelier Fol'fer sont reprises par Francephi, le groupe de Philippe Randa
Les éditions de l’Atelier Fol’Fer, fondées en 2005, viennent d’être reprises par Philippe Randa. C’est une excellente nouvelle ! En effet, tous ceux qui ont acquis par le passé un livre paru sous cette enseigne ont pu constater la grande qualité des ouvrages, signés par nombre d’auteurs aussi courageux que talentueux.
-
◘ Entretien avec R. Steuckers sur la réception de l’œuvre de J. Evola en Belgique 2/8
Je rencontre Eemans dans une Galerie de la Chaussée de Charleroi
Tout cela a, vaille que vaille, formé un petit réseau. Mais il faut avouer, avec le recul, qu’il n’a pas véritablement fonctionné, mis à part des échanges épistolaires et quelques contributions à Totalité (une recension, un seul article et une traduction en ce qui me concerne…). Rapidement, G. Gondinet deviendra le seul maître d’œuvre de l‘initiative, en prenant en charge tout le boulot et en recrutant de nouveaux collaborateurs, dont celle qui deviendra son épouse, Fabienne Pichard du Page.
-
Entretien avec R. Steuckers sur la réception de l’œuvre de J. Evola en Belgique 1/8
Q. : Monsieur Steuckers, comment avez-vous découvert Julius Evola ? Quand en avez-vous entendu parler pour la première fois ?
RS : Dans la Librairie Devisscher, au coin de la rue Franz Merjay et de la Chaussée de Waterloo, dans le quartier “Ma Campagne”, à cheval sur Saint-Gilles et Ixelles. “Frédéric Beerens”, un camarade d’école, un an plus âgé que moi, avait découvert Les hommes au milieu des ruines dans cette librairie, l’avait lu, et m’en avait parlé tandis que nous faisions la queue pour commander d’autres ouvrages ou quelques manuels scolaires. Ce fut la toute première fois que j’entendis prononcer le nom d’Evola. J’avais 17 ans. Nous étions en septembre 1973 et nous étions tout juste revenus d’un voyage scolaire en Grèce.
-
L'arbre des Sephiroth et le livre de la création - Kabbale et Symbolisme
-
Evola et Nasser
En poursuivant une recherche dont nous avons donné les premiers résultats il y a quelques années dans un essai inclus dans notre livre Avium voces (Edizioni all’insegna del Veltro, Parma 1998, pp. 67-87), dans le numéro de juin du bulletin informatique La Nazione Eurasia (numéro spécial pour le trentenaire de la mort de Julius Evola) nous avons publié un essai intitulé Evola et l’Islam. De la tentative de reconstruire organiquement la vision évolienne de la tradition islamique a résulté un cadre qui, s’il apparaît parfois inexact dans quelques détails et souvent conditionné par une perspective plutôt personnelle, constitue toutefois, en fin de compte, une représentation inspirée par la reconnaissance évolienne de ce qu’est essentiellement l’islam : une manifestation de l’esprit traditionnel dont on ne peut pas négliger la « révolte contre le monde moderne ».
-
Idéalisme pratique – Le plan Kalergi pour détruire les peuples européens
Le comte Richard Coudenhove-Kalergi (1894-1975), homme politique, essayiste, historien et philosophe, né d’un père austro-hongrois et d’une mère japonaise, est l’un des premiers à avoir proposé un projet moderne d’union européenne selon une vision mondialiste, immorale, nomade et métissée.
-
LES FRANCS-MAÇONS
Il a souvent été question de savoir si la franc-maçonnerie était une secte ou non. Par bien des aspects on peut répondre que oui. Le secret qui existe dans leurs réunions, l'intervention occulte dans de nombreuses affaires de la société, l'engagement total que cela implique d'où la dépersonnalisation de leurs membres, tout laisse à penser que l'on y trouve toutes les caractéristiques d'une secte. Mais cela semble secondaire vis à vis des fondements philosophiques et métaphysiques sur lesquels repose la franc-maçonnerie.