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culture et histoire - Page 507

  • Retour sur les penseurs des Lumières

    Les Lumières ? Économie de marché, promotion de l’égoïsme, du vice et du profit…

    Interrogée par Radio Maria, je reviens sur un sujet maintes fois traité : ma découverte de ce que fut la philosophie des Lumières.

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  • Evola, une éthique chevaleresque au service de l’Europe 3/3

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    Le contre-modèle de l’Empire, auquel Evola a consacré quelques-unes de ses meilleures pages, est tout aussi parlant. L’empire romain-germanique a incontestablement mieux respecté l’organicité de la société que l’État-nation. Mais il l’a mieux respectée dans la mesure où son pouvoir était, non pas absolu et inconditionné, mais au contraire relativement faible, où la souveraineté y était partagée ou répartie, et où le pouvoir se souciait moins d’imposer sa « forme » aux différentes collectivités locales que de respecter le plus possible leur autonomie.

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  • Chasse aux sorcières à Marseille : Franck Ferrand mis à l’index !

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    Décidément, la liberté d’expression n’est pas la tasse de thé d’une certaine gauche. Marsactu, journal local d’investigation, nous apprend que la ville de  « supprime son podcast avec Franck Ferrand, jugé trop à droite ». Jean-Marc Coppola, adjoint chargé de la culture, croyant justifier cette décision, a déclaré à l’AFP : « Ce n’est pas le contenu de ces podcasts qui pose problème, c’est leur auteur », ajoutant : « Je ne souhaite pas que la ville de Marseille soit associée à ce personnage, qui porte des valeurs qui divisent. »

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  • Evola, une éthique chevaleresque au service de l’Europe 2/3

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    Maurras et Evola : royauté nationale et royauté sacrée

    Evola défend une monarchie d’inspiration métaphysique, par quoi il faut entendre, non pas tant une monarchie “de droit divin”, au sens classique de cette expression, qu’une monarchie fondée sur des principes dérivant eux-mêmes de ce qu’Evola appelle la « Tradition primordiale ». Cette « Tradition primordiale » reste à mes yeux aussi nébuleuse qu’hypothétique, mais là n’est pas la question. Ce qui est sûr, c’est que J. Evola se fait de la monarchie une idée assez différente de celle de la plupart des théoriciens royalistes contemporains. Une étude comparative des idées de Charles Maurras et d’Evola, étude qui n’a pas encore été réalisée, serait de ce point de vue des plus utiles.

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  • Evola, une éthique chevaleresque au service de l’Europe 1/3

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    Spiritualité et politique

    C’est à mon avis une relation problématique. Contrairement à d’autres théoriciens de la Tradition, comme René Guénon, Frithjof Schuon ou Coomaraswamy, Evola a au cours de sa vie presque constamment pris position sur les problèmes politiques, not. dans ses articles de journaux ou de revues. De ce point de vue, des livres comme Gli uomini e le rovine ou Orientamenti sont également significatifs. Cette particularité est à mettre en rapport avec sa volonté de s’affirmer comme un “guerrier” (kshatriya) plutôt que comme un “prêtre”, et aussi avec son affirmation, si contraire aux vues de Guénon, selon laquelle le guerrier ou le roi est porteur, au sein des sociétés traditionnelles, d’un principe spirituel de dignité égale à celle du sacerdoce.

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  • Terres de Mission n°201 : Quand le gouvernement fichait les officiers catholiques

    Eglise universelle : La Conférence des Evêques de France et la Forme Extraordinaire du Rite Romain

    En avril 2020, la Congrégation pour la doctrine de la foi a lancé une consultation auprès des évêques du monde entier à propos de l’application dans leurs diocèses du « Motu Proprio Summorum Pontificum » libérant la célébration de la messe traditionnelle. La CEF vient de publier une synthèse de ces réponses pour la France. Le père Jean-François Thomas (s.j.) analyse ce document aussi affligeant sur la forme que partial sur le fond.

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