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culture et histoire - Page 503

  • Des Lumières à la Révolution, le règne de la violence 2/5

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    La violence économique

    La notion de violence économique est récente. Mais la chose est ancienne.

    Retour sur ce bouleversement, ce changement de paradigme qui va mener au renversement de la royauté et au chaos révolutionnaire.

    Dès la fin de la guerre de Sept ans, qui correspond à la chute des jésuites, (seule opposition sérieuse à l’influence des Lumières), le roi se laisse tenter par le mirage qui va résoudre tous ses problèmes : le libre-change. Ou libéralisme. On sait déjà que le peuple ne va pas être d’accord… on va donc lui imposer la liberté.

    Merci à l’association Le Castellaras qui m’a invitée le 25 mai 2018 à Ventabren, et a produit la vidéo.

    http://re-histoire-pourtous.com/des-lumieres-a-la-revolution-le-regne-de-la-violence-2-5/

  • Anatoly Livry - Europe d'hier et d'aujourd'hui - retour sur Ingmar Bergman, l'Artiste et l'hitlérien

  • Des Lumières à la Révolution, le règne de la violence 1/5

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    LeFranc de Pompignan

    Les Lumières ou la violence verbale

    Trente ans avant le déchaînement des atrocités révolutionnaires les héros des Lumières vont lâcher contre leurs opposant des torrents de violence verbale.

    Le maître en la matière fut Voltaire, qui sut haïr jusqu’à la mort, et même au-delà, ceux qu ‘il considérait en travers de son chemin.

    S’il est un domaine où Voltaire excella, c’est bien celui de la haine totalement gratuite. Mieux qu’un autre il sut détruire ses ennemis par la violence de sa plume vipérine.

  • Retour sur les penseurs des Lumières

    Les Lumières ? Économie de marché, promotion de l’égoïsme, du vice et du profit…

    Interrogée par Radio Maria, je reviens sur un sujet maintes fois traité : ma découverte de ce que fut la philosophie des Lumières.

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  • Evola, une éthique chevaleresque au service de l’Europe 3/3

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    Le contre-modèle de l’Empire, auquel Evola a consacré quelques-unes de ses meilleures pages, est tout aussi parlant. L’empire romain-germanique a incontestablement mieux respecté l’organicité de la société que l’État-nation. Mais il l’a mieux respectée dans la mesure où son pouvoir était, non pas absolu et inconditionné, mais au contraire relativement faible, où la souveraineté y était partagée ou répartie, et où le pouvoir se souciait moins d’imposer sa « forme » aux différentes collectivités locales que de respecter le plus possible leur autonomie.

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  • Chasse aux sorcières à Marseille : Franck Ferrand mis à l’index !

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    Décidément, la liberté d’expression n’est pas la tasse de thé d’une certaine gauche. Marsactu, journal local d’investigation, nous apprend que la ville de  « supprime son podcast avec Franck Ferrand, jugé trop à droite ». Jean-Marc Coppola, adjoint chargé de la culture, croyant justifier cette décision, a déclaré à l’AFP : « Ce n’est pas le contenu de ces podcasts qui pose problème, c’est leur auteur », ajoutant : « Je ne souhaite pas que la ville de Marseille soit associée à ce personnage, qui porte des valeurs qui divisent. »

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  • Evola, une éthique chevaleresque au service de l’Europe 2/3

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    Maurras et Evola : royauté nationale et royauté sacrée

    Evola défend une monarchie d’inspiration métaphysique, par quoi il faut entendre, non pas tant une monarchie “de droit divin”, au sens classique de cette expression, qu’une monarchie fondée sur des principes dérivant eux-mêmes de ce qu’Evola appelle la « Tradition primordiale ». Cette « Tradition primordiale » reste à mes yeux aussi nébuleuse qu’hypothétique, mais là n’est pas la question. Ce qui est sûr, c’est que J. Evola se fait de la monarchie une idée assez différente de celle de la plupart des théoriciens royalistes contemporains. Une étude comparative des idées de Charles Maurras et d’Evola, étude qui n’a pas encore été réalisée, serait de ce point de vue des plus utiles.

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