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Auteur fondamental, Jean-Claude Michéa s'est toujours opposée à la « servitude libérale ».
Son dernier essai s'inscrit dans cette veine, et l'approfondit : L'« empire du moindre mal », c'est notre civilisation. Dont l'état est plutôt morose...
À l'opposé des «mutins de Panurge», ces légions de faux rebelles que le «système» fabrique à la chaîne pour qu'ils saturent de leurs bavardages l'espace dévolu à la contestation autorisée, Jean-Claude Michéa n'est pas un subversif à gages. Il est inconnu à la télévision et pratiquement impossible à interviewer. Disciple d'Orwell et de Christopher Lasch, il publie avec L'empire du moindre mal un livre brillant et, certes, érudit, mais troussé d'une ironie mordante qui donne à sa lecture un indéniable plaisir.
Ce titre veut accrocher votre attention en reliant l'alphabet phénicien et notre chère langue française. J'essaierai de montrer un cheminement possible. Quoi qu'il en soit, les signes idéographiques, qui auraient pu mieux préciser les variations subtiles de la pensée celtique, furent délaissés. Une possibilité d'écriture disparue.
À contrario nous pouvons constater que les chiffres arabes ont un dessin unique; ils se prononcent de multiples façons mais se comprennent très précisément par tous. Que serait notre monde s’il y avait la confusion des chiffres autant que celles des vocables ?
Quand nous regardons les moyens de communiquer entre les hommes, nous ne pouvons qu'être frappés par l'importance des signes muets. Un geste, une mimique, une attitude sont nos premiers dialogues. En fréquence, en importance, ils sont beaucoup plus nombreux que tout autre moyen d'expression. Il semblerait même qu'avant d'arriver à l'oral, il y ait l'image.
Dans la région d’Autun (Saône-et-Loire) les recherches préventives, entamées avant le démarrage du chantier d’une maison, ont permis la découverte d’une nécropole paléochrétienne. Nicolas Tisserand, l’un des huit archéologues procédant aux recherches n’en revient toujours pas : c’est
« une très belle découverte, car il s’agit de la plus grande sépulture trouvée à la fois sur Autun et sur le nord de la France ».
« l’une des premières mentions du Christ en Gaule, l’inscription de Pektorios, datée du IVe siècle ».
Fondée au Ier siècle avant notre ère, la cité romaine d’Autun – à la charnière de l’Antiquité et du Moyen Age – a été un des hauts lieux de la chrétienté médiévale.
Autre découverte d’importance : celle d’un sarcophage de grès, vieux de plus 1 500 ans, abritant un cercueil en plomb « potentiellement hermétique », qui pourrait contenir
« une dépouille bien conservée, avec peut-être ses vêtements et d’autres éléments non dégradés par les bactéries », espère Nicolas Tisserand.
Contient-il les restes mortels d’Amator, le premier évêque d’Autun, mort à la fin du IIIe siècle ?
https://www.lesalonbeige.fr/autun-decouverte-dune-necropole-paleochretienne/
Par Michel Geoffroy, auteur de La Super-classe mondiale contre les peuples et La Nouvelle guerre des mondes ♦ L’association Yellowsphere[1] vient de publier un très bel ouvrage sur le mouvement des Gilets jaunes en France, dont on recommandera l’acquisition et la lecture.
Intitulé sobrement Gilets jaunes – Une année d’insurrection et de révolte dans Paris, il se présente sous la forme d’un épais recueil de photographies[2] prises tout au long des manifestations parisiennes, pendant une année, de novembre 2018 à novembre 2019.
Trois photographes : Marie-Anne Goncora-Ristroph, Jean Grody et Justin Rouhier ont réalisé cet exceptionnel reportage photo, agrémenté d’un commentaire réalisé par Yvan Hardoy et de différentes contributions. Édouard Limonov, aujourd’hui décédé, a d’ailleurs préfacé cet ouvrage de référence.
Belle révolte, magnifiques photos
Les photos sont à vrai dire magnifiques : une symphonie multicolore ! Le jaune des manifestants, le rouge des fumigènes, la fumée blanche des gaz lacrymogènes, le noir des casseurs ou des « forces de l’ordre », le bleu des gendarmes ou le sang des blessés s’entremêlent ainsi sur chaque page.
La journaliste politique de CNews Véronique Jacquier a fait réagir sur les réseaux sociaux en affirmant, le jeudi 16 juillet, que « la France a colonisé l’Algérie pour mettre fin à la piraterie barbaresque et à l’esclavage en Méditerranée pratiqué par les musulmans ».
Elle s’en explique au micro de Boulevard Voltaire.
Dans leur pertinente collection « Le devoir de mémoire », nos amis d'Ars Magna rééditent un opuscule méconnu de Robert Brasillach consacré à Léon Degrelle et au mouvement rexiste. Journaliste à Je suis partout, Brasillach part en reportage en Belgique et y rencontre son charismatique fondateur. « Je ne suis pas un théoricien politique, dit-il avec force. La politique, c'est une chose qui se sent, c'est un instinct. Si on n'a pas cet instinct, il est inutile de chercher quoi que ce soit. » Robert Brasillach avançait auparavant que « s'il est vrai qu'un certain rayonnement physique, qu'une certaine animalité soient nécessaires à un meneur d'hommes, il est sûr que Léon Degrelle possède ce rayonnement et cette animalité ». Il s'intéresse en outre à cette force originale - le rexisme - qui ose concilier anti-communisme, fidélité dynastique, question sociale et souhait de vouloir une Belgique qui s'accepterait enfin entre Flamands et Wallons. De bien belles pages écrites avant 1940...
GFT Réfléchir&Agir N°60 Automne 2018
Robert Brasillach Léon Degrelle et l'avenir de Rex (ARS MAGNA) 28 €
Brown, depuis des années, insiste sur la lecture erronée des prévisions de Malthus... qui ne pouvait imaginer la révolution génétique née près d'un siècle plus tard des découvertes du moine autrichien Gregor Mendel ! Ni celle des amendements chimiques NPK conçus par le chimiste allemand Justus von Liebig dont est issue l'agriculture chimique qui, en un siècle et demi, a stérilisé des millions d'hectares dans le monde. Pas plus qu'il ne pouvait imaginer une organisation mondiale autiste qui entretient dans des camps des millions de moribonds et alimente 1,5 milliard d'autres dont l'unique activité est de se reproduire.
À ses yeux, la révolution céréalière fut le résultat de trois avancées scientifiques et techniques arrivées à leur terme.
La première concerne la photosyntate, produit par la photosynthèse dont 20 % parviennent dans la nature à la semence. Plus de la moitié aura été détournée vers la graine, dynamisant la plante et permettant de produire 100 qx/h au lieu de 20. Mais 60 % devraient être la limite et on ne fera pas produire plus aux céréales. Probablement moins, étant donné la limitation forcée de l'irrigation et des intrants dérivés pétroliers.
En 1950, à la veille de la révolution agronomique, 14 millions de tonnes d'engrais chimique azote, potasse, phosphore - étaient utilisées dans le monde contre 140 millions en 1990. Aujourd'hui, y compris en Chine, ils ont cessé d'avoir l'efficacité d'hier dans des terres de plus en plus stériles tandis que leur coût tend à en limiter l'usage.
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