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culture et histoire - Page 612

  • 12 juillet 1790 : la Constitution civile du clergé, origine de la guerre de Vendée

    Oui, ce fut une véritable guerre qui coûta la vie à 200 000 Blancs et à 300 000 Bleus. Oui, ce fut une véritable guerre, dont, au début, les faux retournées étaient l'arme unique pour les paysans de 600 paroisses qui se soulevèrent spontanément et appelèrent leurs "messieurs" à l'aide.

    « L'Ouest, a dit Romier est l'imagination de la France. » Aux premières heures de la Révolution, comme dans l'ensemble du pays, l'Ouest souhaitait des réformes, et les catholiques de ces régions y étaient si favorables que leurs curés, délégués aux États généraux, furent les premiers à quitter l'ordre du Clergé pour se joindre au Tiers État et à former la Constituante.

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  • Lawrence d'Arabie, faux ami des Arabes : deuxième partie

    « Le sionisme, écrivait donc Lawrence dans le document précité, ne constitue pas un GOUVERNEMENT. Il n'est d'ailleurs pas anglais. Par conséquent, son action ne viole pas les termes de l'accord Sykes-Picot. Et puis les sionistes sont des Sémites et des Palestiniens (?) et le gouvernement de Feyçal n'en est pas effrayé, puisque les Arabes sont en mesure de leur couper la gorge quand ils voudront. » Admirons la casuistique !

    Les sionistes, ajoutait Lawrence, financeront tout le Moyen-Orient et j'espère la Syrie (alors sous mandat français) comme toute la Mésopotamie. Il est vrai, ajoutait-il, que les « Grands Juifs » ne tiennent guère à mettre beaucoup d'argent en Palestine, l'attrait qu'exerce sur eux ce pays étant purement sentimental. D'ailleurs, « ils exigent un intérêt de 6 % ». Les affaires sont les affaires ! Voilà qui cadre à merveille avec la définition classique « Un sioniste est un Juif qui en envoie un second en Palestine avec l'argent d'un troisième. »

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  • La préface de Roland Hélie du Cahier d'Histoire du nationalisme (n°18) consacré à Honoré d'Estienne d'Orves

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    En ce printemps 2020, il va beaucoup être question de « la campagne de 1940 ». La France va se souvenir que, quatre-vingts ans auparavant, au terme de « la drôle de guerre », elle a été écrasée par la force mécanique de l’armée allemande et envahie.

    Gageons qu’une nouvelle fois, cette période d’effondrement et de sidération, si peu glorieuse pour notre pays, va nous être présentée à travers la grille de lecture idéologique des tenants de la pensée dominante. Une nouvelle fois, leur vision partielle, partiale, et pour tout dire caricaturale de cette partie de notre Histoire va nous être imposée, nous être assénée…

    La défaite de mai-juin 1940 et la débâcle qui l’a accompagnée, malgré la défense désespérée de notre armée, étaient inéluctables. Elles n’ont été que l’aboutissement prévisible du Traité de Versailles du 28 juin 1919, de la perte de savoir-faire militaires, des errances et des erreurs d’une politique de défense prisonnière d’options dépassées...

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  • Sur Sacr TV, l'extermination une valeur sûre de la république.

     Que la foudre éclate par humanité ! ayons le courage de marcher sur des cadavres, pour arriver à la liberté »

    Fouché de Nantes

    D’autres témoignages, émanant de diverses documentations, sont également disponibles :

    Comme dans la réimpression du « Tableau des crimes du Comité révolutionnaire de Moulins, et des citoyens de l’Allier » datée de 1874, ou on y lit à la page 24 : « Voilà les agens de ce monstrueux projet enfanté par Robespierre, de réduire la population pour procurer une abondance faussement calculée. Ce nouveau Cromwel sacrifiait les hommes aisés et instruits pour mieux asservir la classe indigente et sans énergie.

    Voilà les fanatiques en liberté qui faisaient naître l'âge de fer pour vous réduire à l'esclavage. »

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  • Quand les pacifistes font la guerre, ils la font n’importe comment

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    André Posokhow 

    Il est particulièrement exaspérant de voir appliquer au personnage empreint des plus hautes vertus humaines et militaires que fut le général Maxime Weygand, l’épithète de "défaitiste". Celui-ci a accepté de prendre en charge avec abnégation le désastre militaire qu’avait préparé les politiciens idéologues et incompétents de la IIIe République et le lamentable Général Gamelin.

    Etre défaitiste, c’est refuser un affrontement par crainte d’une défaite éventuelle et non certaine. Lorsque la défaite est consommée et, en l’occurrence, aussi catastrophique, en faire le constat n’est pas du défaitisme mais de la lucidité.

    Le 14 juin 1940 la défaite était actée avec la chute de Paris, trois jours après l’issue funeste de la bataille de la Somme. En réalité elle était apparue évidente aux yeux de beaucoup dès le 15 mai avec la chute de Sedan et pour certains bien avant.

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  • 18 juin : réconciliation nationale, oui ! Amnésie, non !

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Le 18 juin est une date importante dans l'histoire de France, marquée par deux batailles majeures, l'une victorieuse — celle de Pattay en 1429 par laquelle Jeanne d'Arc ouvrit la voir au couronnement du dauphin Charles à Reims un mois plus tard — l'autre une défaite glorieuse, Watterloo en 1815.
    Il est fâcheux que ce jour historique soit désormais uniquement ancré dans l'imaginaire national en raison de l'OPA que fit en 1940 sur la France depuis Londres un général de brigade à titre provisoire.
    Mais l'état dramatique dans lequel se trouve notre pays, l'accumulation des menaces qui pèsent sur lui imposet à tous les nationalistes et tous les nationaux de se ranger derrière l'étendard de la réconciliation nationale. Hors de question pour nous de ranimer les braises.
    L'anti-gaullisme fut une nécessité nationale vitale. Les combats pour l'Algerie française un impératif d'honneur et une base fondatrice de l'engagement de dizaines de milliers de militants. Nous n'oublierons jamais mais nous regardons devant nous avec pour volonté la seule union nationale.
    Pour autant nous le disons clairement : la manière dont Marine Le Pen se fait aujourd'hui, sur l'île de Sein où elle s'est rendue en catimini rendre hommage à son grand homme, l'apologiste du fondateur de la Cinquième République, et de l'imposture comme de l'illusionnisme qui en furent la marque, est déshonorante, minable et pitoyable.