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culture et histoire - Page 610

  • Jérôme Bourbon « Les défenses immunitaires de notre peupleront été abattues. »

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    Avec Réfléchir&Agir, Rivarol incarne le pendant le plus radical de la presse française. Nous en sommes fiers car le souci de réalisme et de vérité l'emporte chez nous sur des positions d'esthète et des demi-mesures qui, finalement, ne dénoncent ni ne règlent strictement rien. Directeur de Rivarol, Jérôme Bourbon a accepté de faire avec nous un tour d'horizon de l'actualité de notre combat.

    Jérôme Bourbon, qu'est-ce qui vous a poussé à vous engager en politique ?

    J'ai grandi dans une famille de centre droit. Le déclencheur a été l'émission L'Heure de Vérité de Jean-Marie Le Pen dans les années 80. Je l'avais trouvé génial, maniant la langue française comme personne. Et il tranchait avec les autres politiciens en parlant avec son coeur et ses tripes. Ses réponses durant l'émission étaient pleines de bon sens, de courage et de lucidité. Mais je dois avouer que la forme, chez lui, m'a encore plus séduit que le fond. J'étais à peine adolescent.

    Comme vous, j'ai adhéré au FN à la même époque en ne venant pas d'une famille d'extrême droite. Mais outre l'émergence médiatique de Jean-Marie Le Pen et ma révolte devant l'immigration, la mort de la paysannerie française aussi, la lecture d'auteurs comme Brasillach, Céline ou Drieu a autant fait pour ma conversion au fascisme...

    Je l'ai fait après car j'avais juste quinze ans quand j'ai été conquis par Le Pen. Ensuite bien entendu, j'ai lu Bardèche, Drumont, et toute la presse de droite nationale. Curieusement, j'ai commencé par Minute, puis j'ai lu National Hebdo, Présent, Rivarol...

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  • Papacito « Une fête médiévale, c’est aussi utile que nos livres et nos revues. »

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    Difficile d'échapper au phénomène Papacito-Marsault. Leur humour corrosif leur punch décomplexé et leur jeune âge font qu'ils séduisent une part importante de la jeunesse (il n'est que voir le nombre de vues de leurs vidéos aussi).

    propos recueillis par Pierre Gillieth

    L'avenir énergétique de l'Europe libre 1.jpegEt leur BD Fils de pute de la mode (textes de Papacito, dessins de Marsault) s'est vendue à 25 000 exemplaires. Il m'est arrivé souvent de voir, dans un bar ou un restaurant toulousains, des jeunes de moins de trente ans venir vers Papacito pour le féliciter ou lui demander un selfie. C'est très impressionnant. Je n'avais jamais vu ça, ou alors quand j'ai interviouvé des gens comme Brigitte Bardot ou Eric Zemmour. J'ai connu Papacito par mon ami Eric. Tous trois avons, à des époques différentes, lustré le ring d'un même vénérable club de boxe toulousain. J'ai découvert d'emblée un garçon de 32 ans, attachant, courageux, drôle, au parcours atypique. Un bon mec comme on dit. Alors, bien sûr, on n'est pas d'accord sur tout (et cet entretien se propose à la fois de mieux faire connaître Papacito à nos lecteurs mais aussi de parler - comme des amis - de nos désaccords). Mais dans un pays où on adule David Guetta, Calogero ou Gad Elmaleh, un garçon dont le film préféré est Nous avons gagné ce soir de Robert Wise ne peut pas être mauvais.

    Qui es-tu et où as-tu grandi ?

    Je suis né à Toulouse dans une famille d'origine espagnole républicaine (mes parents ont été naturalisés français dans leur enfance). Mes deux grands-pères étaient communiste et anarchiste, l'un venant de la Mancha, l'autre de l'Aragon.

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  • Mai 68 du gauchisme juvénile au capitalisme libéral-libertaire

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    Mai 68 du gauchisme juvénile au capitalisme libéral-libertaire 1.jpegMai 68 n'est pas un phénomène né spontanément en France. Il est la rupture d'un point d'équilibre au sein d'une société qui défend encore des valeurs traditionnelles dont le général De Gaulle a épuré les meilleurs défenseurs (en 1944 à la Libération puis en 1962 à la fin de l'Algérie française).

    Mai 68 a ainsi fait place nette aux forces de la subversion, mais aussi à un courant déconstructiviste souterrain qui, depuis plus de cinquante ans, travaillait à détruire l'ordre ancien pour donner naissance à une société ouverte, permissive, fluide. De fait, les gauchistes ont contribué à faire tomber les dernières digues qui empêchaient la mainmise totale du marché sur nos existences.

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  • Comment en est-on arrivé là ? (Partie 1), par Frederic Poretti-Winkler.

    En relisant Marie Madeleine Martin...
    « Toutes les révolutions ont été faites par des livres » Bonald

    On ne peut distinguer le social du politique. C’est une grave erreur (XVIIIe siècle) et une utopie d’imaginer une distinction entre les deux. De tous temps il y eut des idées « subversives » voir destructrices, nommées idées nouvelles. Nous voulons dire des idées qui, selon l’étude attentive du passé, bref l’empirisme, entraînent les sociétés vers le chaos et finalement l’abime…Ces idées sont souvent sortis d’esprits tourmentés et chimériques, essayant d’imposer leurs idées, souvent égoïstes et mues par des cerveaux dérangés, à une société, qui selon eux, devrait être construite à leur image…En général et l’histoire, le montre continuellement, les utopies finissent vite dans le chaos, le sang et les charniers.

    Certaines sociétés arrivent mieux à endiguer de tels déviances mais d’autres, plus fragiles, y succombent. Les arguments de ces fauteurs de trouble sont souvent les mêmes : « progrès, liberté, égalité, modernisme, vertu » Lorsque ceux-ci arrivent au pouvoir, les belles idées sont vite oubliés pour que les vainqueurs se servent. Ces expériences amènent régression, guerres (civiles ou extérieures) et massacres. Une caste plus « égalitaire » que les autres, devient privilégiée et entraînera dans ses chimères le peuple vers le néant…

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  • Bonne nouvelle : réouverture aujourd'hui des librairies non-conformistes parisiennes

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    Avoir été obligées de fermer deux mois durant est un exercice hasardeux dont se seraient volontiers passées les librairies libres de Paris (et de province). Les éditeurs, comme nous, aussi d'ailleurs... Mais les "pires moments" ont toujours une fin et, ce matin, nous sommes en mesure de vous annoncer la réouverture de, au moins, cinq bonnes librairies parisiennes :

    - La Nouvelle Librairie, 11 rue de Médicis Paris 6e

    - La Librairie Duquesne diffusion, 27 avenue Duquesne Paris 7e

    - La Librairie Vincent, 15 avenue de la Bourdonnais 7e

    - La Librairie française, 5 rue Auguste Bartholdi Paris 15e

    - Notre Dame de France, 33 rue Galande Paris 5e

    pour ne citer qu'elles.

    Ces librairies sont des espaces de libertés et il est indispensable que nous les soutenions toutes. Alors, amis lecteurs, si vous passez à proximité de l'une d'entre elles, n'hésitez pas à pousser la porte. Vous pourrez en profiter pour vous y procurer les livres que nous publions cliquez ici ainsi que la revue Synthèse nationale et les Cahiers d'Histoire du nationalisme.

    Et, ne l'oubliez jamais : lire et s'instruire, ainsi qu'instruire et faire lire, sont des actes militants de base.

    S.N.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/05/11/reouverture-aujourd-hui-des-librairies-non-conformistes-pari-6237577.html

  • La Petite Histoire : Le jour où la France a mis fin à la suprématie espagnole

    Le 19 mai 1643, en pleine guerre de Trente Ans, le jeune duc d’Enghien, plus connu sous le nom de Grand Condé, triomphe à Rocroi face à l’Espagne belliqueuse. Par cette victoire, en nette infériorité numérique, la France met ainsi un terme à la suprématie espagnole et surtout à l’invincibilité des « tercios », redoutables carrés d’infanterie bardés de longues piques. C’est le grand retour du royaume de France, dont le règne du jeune Louis XIV vient tout juste de commencer sous de très bons auspices, en tant que grande puissance. Le traité de Westphalie qui mettra fin à cette guerre en 1648 lui permettra de dicter à nouveau l’ordre européen, et au Roi Soleil de rayonner sur le monde.

    https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-le-jour-ou-la-france-a-mis-fin-a-la-suprematie-espagnole

  • Tribune libre : Oui, le 8 mai 1945 est une date à célébrer.

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    Suite à la publication sur Synthèse nationale, il y a quelques jours, d'une tribune de notre Ami Bernard Plouvier sur la commémoration du 8 mai 1945 cliquez là, nous avons reçu un certain nombre de réactions, parfois contradictoires, sur ce sujet. Je dois dire que je ne pensais pas que, 75 ans plus tard, cette date susciterait autant de discussions. Quoiqu'il en soit, dans un souci de "Synthèse", nous mettons en ligne aujourd'hui cet article d'André Posokhow, bien connu pour ses chroniques sur divers sites non-conformistes. Chacun se fera ainsi son idée...

    Il est vrai que la Seconde Guerre mondiale est trop souvent racontée d'une manière simplifiée. Les choses n'étaient certainement pas aussi manichéennes que l'on veut bien le dire et les lignes de fractures sans doute beaucoup plus complexes. Dans le très prochain Cahier d'Histoire du nationalisme (n°18), consacré à Honoré d'Estienne d'Orves et à la résistance monarchiste, initialement prévu pour mars dernier mais qui va bientôt sortir cliquez ici, Didier Lecerf revient d'ailleurs sur cette période pour le moins controversée de notre Histoire. 

    R.H.

    André Posokhow

    Certes pour nous, Français, la date du 8 mai 1945 ne peut revêtir la même importance et soulever la même ferveur que le 11 novembre, même pollué par un macron, symbole de la victoire sur l’armée allemande et des sacrifices de nos combattants.

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