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culture et histoire - Page 702

  • VINCENT VAUCLIN : LES ACTIONS CONCRÈTES DE LA DISSIDENCE FRANÇAISE AU SERVICE DES FRANÇAIS.

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    Discours de Vincent Vauclin, Président de la Dissidence française, aux 13ème Journées de Synthèse nationale, le dimanche 13 octobre 2019 à Rungis.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • PIERRE VIAL : « LA RÉVOLUTION NATIONALISTE VA ARRIVÉR TÔT OU TARD CAR LE VIEUX MONDE EST FINI. »

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    Discours de Pierre Vial, Président de Terre et Peuple, aux 13ème Journées de Synthèse Nationale, le dimanche 13 octobre 2019 à Rungis.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/10/21/pierre-vial-la-revolution-nationaliste-va-arriver-tot-ou-tar-6184538.html

  • L’ère des catacombes. Anne-Sophie Chazaud

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    Dès les débuts du mouvement populaire des Gilets Jaunes et face à la réaction répressive de l’exécutif, j’avais alerté sur la caractéristique fondamentale du macronisme que j’avais surtout explorée à travers l’étude de son versant rhétorique : provoquer les clivages et la division jusqu’à l’extrême, designer l’adversaire en ennemi, monter toutes les portions du peuple français les unes contre les autres afin de pouvoir, pendant ce temps, poursuivre le dépeçage et la prédation des Biens Communs, du patrimoine et de la souveraineté nationale.

     J’avais notamment produit un article (publié chez Causeur https://www.causeur.fr/peuple-police-macron-castaner-violence-158219 )    mettant en garde contre l’instrumentalisation de la police à des fins de basse politique.
    J’y rappelais que la police est républicaine parce qu’elle protège et émane du peuple qui lui transfère délibérément cette légitimité (en l’occurrence, celle de la violence dite « légitime » et qui, donc, ne l’est que parce qu’elle émane du peuple qui accepte, en échange de sa protection, de lui « remettre » les armes.
    L’œuvre du macronisme aura pourtant consisté à monter le peuple contre sa police –une police dont le savoir-faire en matière de maintien de l’ordre nous était pendant des années envié et exporté dans le monde entier-, monter, la police contre son peuple, à monter absolument tout le monde contre tout le monde et c’est cette division profonde que retiendra l’Histoire.
    Jamais dans son histoire récente notre pays n’a été aussi divisé et hystérisé, et l’état du débat public comme de l’espace public matériel lui-même semblent relever du film d’horreur ou du cauchemar historique.
    Cet esprit intrinsèque de division perverse de la communauté nationale a été poussé à son insupportable acmé lors de la répression symboliquement et concrètement insupportable de la manifestation des Pompiers en colère.
     
    Photo Isa Harsin
    Après avoir éborgné des Gilets Jaunes, arrosé de gaz lacrymogènes les marcheurs pour le climat, nous avons pu assister au spectacle tout simplement hallucinant d’une police qui, obéissant aux ordres (et probablement pour certains avec tristesse et colère), s’en prend à nos pompiers, lesquels sont probablement les acteurs de la sécurité les plus appréciés de la population. 
    Devant ce gouffre dans lequel l’Etat semble s’être effondré, il prend parfois envie de simplement mettre la clé sous la porte et de partir très loin, sauf qu’on ne voit même pas où les choses seraient meilleures.

    L’ère des catacombes

    Un jour, il y a quelques années, l’écrivain que j’aime et admire, Pierre Bergounioux, que j’avais invité au Centre Pompidou, me confiait, à propos du vide culturel qui s’ouvrait sous nos pas, que nous entrions dans «l’ère des catacombes».
    Cette phrase résonne de plus en plus sombrement dans mon esprit.
    Il faudra bien que quelque chose advienne pour nous en faire sortir…
    source
    http://by-jipp.blogspot.com/2019/10/lere-des-catacombes-anne-sophie-chazaud.html
  • "L'Eurovision pour les peuples", le nouveau livre de Bernard Monot, est aussi diffusé par Synthèse nationale

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    L’Union européenne est en train de tuer l’Europe et la France – économiquement, politiquement et culturellement. Certes, à terme, elle s’effondrera d’elle-même, comme toutes les utopies. Mais il est temps de préparer l’après-Union européenne et l’après-euro, en lien avec les pays qui ont déjà recouvré leurs libertés.

    C’est à quoi nous invite cet ouvrage. Réquisitoire impitoyable contre les échecs de Bruxelles, c’est aussi un livre de solutions concrètes et d’espoir pour les 28 peuples d’Europe. 

    Non, nous ne sommes pas condamnés au lent déclin sous la garde vigilante des eurotechnocrates de l’Union européenne fédéraliste ! Oui, une « Europe des patries » indépendante est possible ! C’est une question de volonté politique. 

    À l’approche du pire krach financier occidental, l’heure des choix est venue pour tous les Européens. 

    L’auteur : Homme des marchés financiers et excellent connaisseur des arcanes politiques bruxelloises, Bernard Monot a travaillé dans des groupes privés et une institution financière publique, avant de devenir député européen en 2014. Il est intervenu lors des 13es Journées de Synthèse nationale le 13 octobre 2019 à Rungis.

    Pour le commander cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • L'intervention de Daniel Conservano lors des Journées Bleu Blanc Rouge de Synthèse nationale

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    Daniel Conversano, fondateur de Suavélos, présente sa vision du combat politique.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/10/21/l-intervention-de-daniel-conservano-lors-des-journees-bleu-b-6184536.html

  • La race n'est pas raciste

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    Les Anciens, c’est à dire nos ancêtres greco-germano-gallo- slavo-illyro-romains, étaient fort conscients des causes héréditaires de la décadence quoiqu’ils attribuassent à cette notion des noms fort variés. La notion de décadence, ainsi que sa réalité existent depuis toujours alors que sa dénomination actuelle ne s’implante solidement dans la langue française qu’au XVIIIème siècle, dans les écrits de Montesquieu. Plus tard, vers la fin du XIXème siècle, les poètes dits « décadents », en France, étaient même bien vus et bien lus dans les milieux littéraires traditionalistes, ceux que l’on désigne aujourd’hui, de façon commode, comme les milieux « d’extrême droite ». Par la suite, ces poètes et écrivains décadents du XIXème siècle nous ont beaucoup marqués, malgré leurs mœurs souvent débridées, métissées, alcoolisées et narcotisées, c’est-à-dire malgré leur train de vie décadent.

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/10/20/la-race-n-est-pas-raciste-6184352.html

  • Un bon Vent d’Est sur l’Alsace !

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    Assurer la défense et la promotion du patrimoine culturel alsacien, la remise en cause du système mondialiste et la promotion du travail social et solidaire. Vent d’Est qui a vu le jour à Strasbourg s’avère un mouvement prometteur par ses actions mais également par sa philosophie de l’enracinement, essentielle,  pour faire face à la déliquescence de la société française. 

     Pourquoi avez-vous décidé de mettre en place un mouvement de solidarité nationale ?
    Vent d’Est : Vent d’Est n’est pas juste une réponse à la répression étatique (physique ou administrative) ou une démonstration de persévérance face à cette dernière. Nous avons à l’esprit la forme précise que nous voulons donner à notre société, à notre temps, et à notre échelle, nous tentons d’en poser les premières pierres. De fait, Vent d’Est n’a pas vocation à organiser des actions qui ne seraient que des réponses aux mesures gouvernementales et aux tares sociétales contemporaines, mais à passer outre ces dernières en appliquant dans la rue notamment, les objectifs que nous sommes déterminés à atteindre, en profondeur, sur le temps long si cela est nécessaire. Si nous sommes bien sûr attentifs à l’actualité nationale et internationale, nous souhaitons rester ancrés dans le concret, dans le réel, et investir notre énergie à l’échelle locale sur des thématiques qui nous sont chères, en toute indépendance, dans une perspective d’enracinement, de justice sociale, d’écologie, dans un esprit de communauté et d’amitié, « dont nous voudrions qu’il s’élève jusqu’à l’amitié nationale », comme dirait l’autre. Et, évidemment, Vent d’Est n’a pas non plus vocation à être une enclave idéologique hermétique. Si nous sommes là, c’est pour rassembler, unir, construire. Comme tu as pu le lire sur nos réseaux, nos portes sont grandes ouvertes à tous les Alsaciens et Alsaciennes ayant la fougue de mettre en action leur idéal de solidarité, de justice, de réappropriation.

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  • LUMIÈRE SUR LE VÉRITABLE LOUIS XI

    Un roi cynique et tortueux, toujours couvert de son drôle de chapeau, qui inspectait les cages de fer où étaient enfermés ses adversaires. Il est resté quelque chose de ce cliché du XIXe siècle, empêchant Louis XI d’être un personnage populaire. Au début des années 1970, Paul Murray Kendall, un universitaire américain, lui consacra une biographie (chez Fayard) qui marqua une génération parce que, traduite en français, elle fut, avec 200 000 exemplaires vendus, un des plus étonnants best-sellers de cette période faste pour l’édition d’histoire. Voir un professeur de l’Ohio qualifier Louis XI d’« homme aux capacités exceptionnelles » rompait avec la légende noire installée dans la mémoire nationale. D’autres historiens français ont ensuite relevé le gant, parmi lesquels Jacques Heers (Perrin, 1999), Jean Favier (Fayard, 2001) ou Amable Sablon du Corail (Belin, 2011). Lydwine Scordia, agrégée et docteur en histoire, maître de conférences en histoire médiévale à l’université de Rouen, brosse à son tour un portrait du monarque. Pour ce faire, elle examine d’abord comment ses pairs, du XVe siècle à nos jours, ont perçu Louis XI. Passionnante synthèse historiographique qui reconstitue, époque après époque, les mythes accumulés autour du souverain, alternativement vu comme gallican, absolutiste ou bourgeois. Afin d’approcher la réalité, l’auteur choisit au contraire de « redonner la parole au roi » tout en exposant les derniers résultats de la recherche sur un règne qui a joué un rôle considérable dans l’histoire de France. Affrontement avec les féodaux lors de la guerre du Bien public, rivalité avec la maison de Bourgogne et intégration de son héritage après la mort de Charles le Téméraire, création de nouveaux parlements, unification administrative et fiscale du royaume : ces pages éclairent l’oeuvre immense de Louis XI. Lydwine Scordia insiste sur la religiosité du roi qui, à l’instar de son prédécesseur Saint-Louis, assistait à la messe tous les jours, se confessait chaque semaine, faisait l’aumône et lavait les pieds des pauvres. En conclusion, l’historienne établit une autre comparaison, plus originale : Louis XIV ressemblera à Louis XI, explique-t-elle, parce que, comme lui, il était indifférent à l’opinion d’autrui.

    Jean Sévillia

    Louis XI, de Lydwine Scordia, Ellipses, 528 p., 26 €.

    Sources :  (Edition du  vendredi 15 janvier 2016)

    https://www.jeansevillia.com/2016/02/02/lumiere-sur-le-veritable-louis-xi/