Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

culture et histoire - Page 706

  • Un livre à lire cet été : Le 1er Bataillon de Zouaves de Louisiane

    51zZwtlmcrL._SX348_BO1,204,203,200_.jpg

    Peu de gens le savent : durant la guerre de Sécession un bataillon de Zouaves français s'est battu aux côtés des Confédérés. C'est cette aventure surprenante faite de multiples rebondissements que nous raconte avec brio dans un livre sorti récemment à l'Atelier Fol'fer, Eric Vieux de Morzadec.

    En lisant Le 1er Bataillon de Zouaves de Louisiane non seulement vous passerez un bon moment, et, en plus, vous apprendrez beaucoup sur cette guerre qui déchira les Etats-Unis au XIXe siècle dont les causes sont bien souvent réduites à quelques fadaises adaptées à la pensée dominante d'aujourd'hui.

    Les choses n'étaient pas aussi simples... Loin de se résumer à une caricaturale affaire d'esclavagisme, cette guerre vit s'affronter deux conceptions de l'Union : celle du Nord libéral et affairiste et celle du Sud traditionnel et identitaire... Et il est bien dommage que ce soit le Nord qui en sorti vainqueur...

    R.H.

    Voici la note de l'éditeur :

    Un régiment français dans l'armée confédérée durant la guerre de Sécession
    Eric Vieux de Morzadec

    La guerre de Sécession est revenue récemment sur le devant de la scène avec les tentatives de destruction des monuments mémoriaux du Sud. Un Sud qui s’est battu pour combattre l’invasion de son territoire, décidée en toute illégalité. Dans les deux camps, des Français de naissance ou d’origine se sont engagés avec détermination. La Louisiane, État de culture française, prit le parti de la Sécession et mit sur pied des unités pour renforcer l’armée de la Confédération.

    À La Nouvelle-Orléans, la famille Coppens, originaire du Nord de la France et de Belgique, leva un bataillon de zouaves qui allait participer à la plupart des grandes batailles de cette guerre.

    Ce livre raconte l’histoire de ces hommes qui, loin de leur patrie d’origine que certains avaient servie en Crimée et en Italie, ont mis leur vie et leur honneur au service des États confédérés d’Amérique. Le Premier Bataillon de Zouaves de Louisiane se distingua à chacun de ses engagements. Il est temps de rendre justice à ces soldats français oubliés. Malheur aux vaincus ! Mais gloire aux combattants !

    Éric Vieux de Morzadec, ancien officier de carrière, a participé à des opérations extérieures sur le terrain. Il est membre de l’Association des Fils des Combattants de la Confédération. Il connaît bien le Sud des États-Unis auquel des liens particuliers l’attachent. Chroniqueur occasionnel sur l’antenne de Radio-Courtoisie, il y évoque régulièrement avec Alain Sanders l’épopée du Sud, pour rétablir une vérité occultée et déformée depuis 1865 par le politiquement correct.

    Le commander à l'éditeur cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/08/10/un-livre-a-lire-cet-ete-le-1er-bataillon-de-zouaves-de-louis-6169385.html

  • Alexandre Soljenitsyne : quand un Prix Nobel appelle à « tuer les mouchards »

    Boulevard-voltaire36
    Pour cette deuxième édition des « Jeudis de l’Iliade », François Bousquet, rédacteur en chef de la revue Éléments et directeur de La Nouvelle Librairie, a présenté "Le Déclin du courage" et la leçon de dissidence du grand Russe :
    1°) résister au déclin du courage ;
    2°) ne pas vivre dans le mensonge ;
    3°) comment se débarrasser des traîtres...

  • Le plan Kalergi: le génocide des peuples

     

  • 9 AOÛT 1945 : À NAGASAKI, LE DIABLE L’EMPORTE

    nagasaki-bombardement.jpg

    Francis Goumain dans Jeune-Nation

    Et si la reddition du Japon avait été retardée pour pouvoir lancer les deux bombes atomiques ? Il est maintenant admis par tout le monde que la reddition du Japon n’était pas l’objectif des deux bombes lancées les 6 et 9 août dans ce qui restera une sorte de 69 atomique « américain ».

    Le Japon avait déjà proposé sa reddition à partir d’avril 1945, dans des termes très proches de ceux finalement retenus, la seule condition qu’ils avaient : qu’on ne touche pas à l’Empereur. Refusée par les Américains, alors que pourtant, par la suite, non seulement les Américains ne vont pas toucher à l’Empereur (en le faisant comparaître pour crime de guerre), mais qu’ils vont s’appuyer sur lui pour gérer l’après-guerre. Pourquoi alors avoir retardé la reddition ? Parce que les bombes n’étaient pas prêtes !

    Deux raisons ont été jusqu’ici avancées pour expliquer ces deux bombardements : marquer de façon spectaculaire l’ouverture de la période de domination américaine, et faire peur à Staline et à l’Armée rouge qui menaçaient de déferler sur le reste de l’Europe.

    En voici une troisième : et si ces deux bombes avaient eu pour but d'ouvrir « l’âge atomique », sous-entendu, de fermer l’ère chrétienne ? L’expression « âge atomique » est due au journaliste du New York Times William Laurence né Leib Wolf Siew, un Juif Lituanien, il était présent dans le bombardier au-dessus de Nagasaki.

    Trois éléments très antichrétiens, vérifiables par tout le monde, sont à relever :

    1 – Le premier essai de la bombe atomique de toute l’histoire de l’humanité a lieu le 16 juillet 1945 près de la ville de Socorro, le nom du test : « Trinity ». Quel blasphème ! La trinité, c’est le Père, le Fils et le Saint-Esprit, la circulation de la vie et de l’amour dans ce Trois qui est Un. Utiliser ce nom pour désigner une arme capable de détruire tout ce que Dieu a créé est évidemment une insulte, un crachat.

    Notons la date de l’essai, 16 juillet 1945, il n’était donc pas possible de lancer les vraies bombes avant ! Lancement des deux bombes, trois semaines après le test. La chronologie parle d’elle-même : qu’il aurait été dommage de recevoir la reddition du Japon en mai 1945 alors qu’on était si proche du but côté bombe atomique, n’est-ce pas ?

    2 – La bombe à destination de Nagasaki, « Fat Man » a été bénie par le chapelain de la base de départ du B-29, Tinian dans les Mariannes : détail sadique qui fait le délice de tous les francs-maçons.

    3 – Seules deux bombes atomiques ont été lancées « pour de vrai » dans toute l’histoire de l’humanité, l’une des deux tombe sur la seule ville catholique du Japon : Nagasaki. Elle ne tombe même pas sur le port militaire de Nagasaki, qui reste intact, mais sur la ville où se trouvent quasiment les seules cathédrales et églises de tout l’archipel.

    Erreur de tir ? Il y avait des nuages ? Mais est-ce qu’on s’imagine qu’il était prévu de lancer une bombe atomique au jugé ? Et le radar embarqué à bord du B-29, hors d’usage ?

    Résultat, 7 000 des 14 000 catholiques de Nagasaki tués sur le coup, mais aussi des prisonniers de guerre américains dont on savait qu’ils étaient retenus là.

    Ruines de la cathédrale Sainte-Marie d’Urakami de Nagasaki en 1945

    Voilà, si on le souhaite, on peut maintenant quitter le domaine des éléments vérifiables (qui se suffisent à eux-mêmes) pour consulter cette vidéo (voir ci-dessous). Elle comporte une dose de conspirationnisme que beaucoup refuseront d’ingurgiter, mais qui apporte des éléments très intéressants (dont beaucoup sont également vérifiables), comme elle est en anglais, voici la trame :

    Le projet de bombe atomique a dès le départ été infiltré et capté à son profit par une secte « the brotherhood of death » (la fraternité de la mort).

    Le 13 septembre 1942 se tient au siège de cette confrérie, le Bohemian Club, situé à San Francisco en Californie une conférence à laquelle participent de nombreux membres du comité S1, l’ancêtre du projet Manhattan, comme par exemple :

    Vannevar Bush, ingénieur (un personnage tout à fait remarquable d’ailleurs).

    Bernard Baruch, personnage proéminent de la secte à l’époque également membre du comité S1, conseiller de Franklin Delano Roosevelt dont le père, Simon Baruch est un Juif émigré d’Allemagne, et sa mère une juive sépharade. Eisenhower dira que ce qu’il avait de mieux dans sa vie pour la suite de sa carrière, c’était de faire la connaissance de Bernard Baruch.

    Henry Stimson autre membre d’une importance capitale pour le sujet, il est secrétaire à la guerre, l’idée de Nagasaki est de lui.

    Le général Leslie Richard Groves, responsable du projet Manhattan

    Le journaliste William Lawrence déjà cité, seul civil à assister au test puis à monter dans les avions pour Hiroshima et Nagasaki, désigné pour ces missions par le général Leslie Groves à la demande de Bernard Baruch.

    Harry Truman qu’on ne présente pas.

    Dès le départ, alors qu’il n’y a qu’une bombe de prête, Stimson annonce avoir en tête Nagasaki.

    Hiroshima est visée la première dans un but de camouflage, selon la théorie marketing de toujours être le premier dans sa catégorie, personne ne se souvient du deuxième.

    William Lawrence qui devait monter dans l’avion pour Hiroshima, arrive en retard exprès et manque le vol, sa mission pour Nagasaki est trop importante pour qu’on le risque sur Hiroshima.

    C’est en effet lui qui doit communiquer au dernier moment, dans l’avion en vol, l’ordre de viser la ville de Nagasaki au commandant de vol Charles Sweeney et à son armurier et viseur Frederick Ashworth (les deux n’étant pas dans la conspiration)

    Nagasaki n’aurait jamais dû être une cible, la ville surtout, n’avait aucun intérêt militaire et elle abritait un camp de prisonniers de guerre américains et Coréens ce que les Américains savaient. D’autre part, Nagasaki avait fait l’objet d’un bombardement conventionnel le 1er août, or, pour pouvoir étudier l’effet de l’arme atomique, il avait été décidé de ne pas faire de bombardement conventionnel sur les cibles potentielles des bombes atomiques.

    Le 9 août, l’avion se dirige vers Kokura, sa cible officiellement désignée, mais il s’en détourne parce qu’il y a des nuages : ce n’est pas vrai, ce jour-là, il faisait beau sur Kokura.

    C’est que William Lawrence a donné le véritable objectif, Nagasaki. Là, il y a des nuages. L’avion se dirige grâce à son radar, mais ensuite, pour larguer la bombe, il doit y avoir contact visuel, on ne lâche évidemment pas une bombe A au jugé. Et puis, après plusieurs passages, il y a un trou dans les nuages, et Ashworth (Ash = cendre, worth = valeur !) voit la cible, il dit « I got it », ce qu’il voit, c’est bien une ville, pas un port. Il lâche la bombe et l’équipage fait son rapport, objectif atteint à 500 yards près.

    Par la suite, les Américains aident à reconstruire les cathédrales, à condition que les ruines des anciennes ne soient pas préservées.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/08/09/9-aout-1945-a-nagasaki-le-diable-l-emporte-6169238.html#more

  • NOTRE FEUILLETON ESTIVAL : UN ETE AVEC JACQUES BAINVILLE... (19)

    Aujourd'hui : 22. Belgique : le dernier cadeau de la monarchie...

    De Jacques Bainville, Histoire de France, chapitre XIX, La Monarchie de juillet :

    "...Déjà, une grave question était posée. Avant les journées de Juillet, les Belges s'étaient soulevés contre la domination hollandaise. Les événements de Paris les avaient encouragés à se délivrer de leurs maîtres et ils étaient portés à chercher aide et protection du côté de la France. Le moment n'était-il pas venu de terminer, dans les meilleures conditions, une des plus grandes affaires de notre histoire, celle qui n'avait jamais pu être résolue, celle des Flandres ? N'était-ce pas l'heure de réunir la Belgique, puisqu'elle semblait le demander ?

    Mais pas plus alors qu'en 1792 ou à n'importe quelle autre date, l'Angleterre n'eût permis cette annexion, et si la foule méconnaissait cette loi, comme la Révolution l'avait méconnue, Louis-Philippe ne l'ignorait pas. Il avait tout de suite envoyé comme ambassadeur à Londres l'homme que Louis XVIII avait choisi pour le Congrès de Vienne : Talleyrand devait encore trouver la solution, concilier la paix avec la sécurité et la dignité de la France. Tâche rendue difficile par le « parti ardent » qui agitait Paris. On a comparé avec raison la diplomatie de Louis-Philippe et de Talleyrand à celle de Fleury qui, un siècle plus tôt, malgré les cabales, l'indignation, les mépris, avait sauvegardé la paix.

    Louis-Philippe et Talleyrand ont réglé l'antique problème belge, cette « pierre d'achoppement de l'Europe », de la manière la plus satisfaisante pour tous. Malgré la Belgique elle-même, oubliant alors, par haine et crainte de la Hollande, qu'elle n'avait jamais tenu à devenir province française, ils lui donnèrent d'être une nation. Le Congrès national belge voulait un prince français, le duc de Nemours, ou, à son défaut, le fils d'Eugène de Beauharnais.

    Le duc de Nemours fut élu roi le 3 février 1831 et Louis-Philippe refusa cette couronne pour son fils. L'acceptation eût été une réunion déguisée, la guerre certaine avec les puissances. Déjà il était assez difficile de retoucher sur ce point les traités de 1815, de soustraire la Belgique à la domination hollandaise. Si une insurrection des Polonais n'eût éclaté à ce moment-là, paralysant la Russie et, avec elle la Prusse, il n'est même pas sûr que les Belges eussent été affranchis; la Pologne fut écrasée, mais sa diversion avait sauvé la Belgique comme elle avait, sous la Révolution, sauvé la France - La Belgique indépendante était fondée. Elle l'était, parce que la monarchie de Juillet, à la Conférence de Londres, avait joué le même rôle, suivi la même politique que la Restauration au Congrès de Vienne.

    Les puissances avaient voulu que la Belgique libre fût neutre, et sa neutralité garantie par l'Europe pour interdire à jamais aux Français de l'annexer. Cette neutralité était dirigée contre la France; elle devait, dans l'esprit du traité d'Utrecht, servir de « barrière » à nos ambitions. Louis-Philippe l'accepta, la signa, la respecta. Et, quatre-vingts ans plus tard, c'est la Prusse, signataire et garante aussi, qui l'a violée. Alors la précaution prise contre la France s'est retournée contre l'Allemagne, elle a déterminé l'Angleterre hésitante à intervenir et, en fin de compte, nous a profité. Il a fallu près d'un siècle pour que le service rendu par Louis-Philippe fût compris et apprécié...."

    Tiré de notre Album "Maîtres et témoins"... (II) : Jacques Bainville" (186 photos)

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/08/01/notre-feuilleton-estival-un-ete-avec-jacques-bainville-6167820.html

  • François Bousquet : « Au cœur du Quartier latin, nous sommes la librairie de la France périphérique ! »

    fran-ois-bousquet-8220-avec-le-d-part-de-kotarac-c-8217-est-la-fin-du-populisme-de-gauche-de-m-lenchon-de-2017-8221-TAFH4Pwwf1U-845x475.jpg

    François Bousquet fait le bilan d’une année riche pour La Nouvelle Librairie avec les polémiques (Zemmour, gilets jaunes, etc.), mais replace aussi l’événement dans le cadre plus large du combat culturel et annonce aussi des surprises et des « scandales » pour la deuxième année !

    https://www.bvoltaire.fr/francois-bousquet-au-coeur-du-quartier-latin-nous-sommes-la-librairie-de-la-france-peripherique/

  • Rendez-vous Bleu Blanc Rouge : RETENEZ DÈS MAINTENANT VOTRE PLACE AU BANQUET PATRIOTIQUE DU SAMEDI 12 OCTOBRE À RUNGIS

    2019 13 JNI BANQUET.jpg

    Dans le cadre du rendez-vous Bleu Blanc Rouge des 12 et 13 octobre prochains (13e Journées de Synthèse nationale), samedi 12 octobre à partir de 19 h 30, vous pourrez participer au banquet patriotique qui se déroulera dans une grande salle réservée spécialement à cet effet sur place dans l'Espace Jean Monnet à Rungis.

    Ce banquet amical, réalisé par un traiteur alsacien, sera accompagné d'une animation musicale.

    Pour nous simplifier la tâche, nous vous invitons à vous inscrire dès maintenant à cette soirée festive.

    Participation : 30 euros par personne (indépendante du ticket d'entrée) 

    Vous pouvez aussi envoyer vos réservations à Synthèse nationale 9 rue Parrot (CS 72809) 75012 Paris (correspondance uniquement, chèque à l'ordre de Synthèse nationale).

    Réservation en ligne cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • NOTRE FEUILLETON ESTIVAL : UN ETE AVEC JACQUES BAINVILLE... (18)

    Aujourd'hui : 21. Retour à Bismarck : Pour affaiblir la France, la mettre en République !

    Pour affaiblir la France, la mettre en République.

    (De l'Histoire de deux peuples", Chapitre VI, Causes générales de la guerre de 1914, page 287) :
    "...Au cours des années qui ont immédiatement suivi le traité de Francfort, on peut dire que la démocratie a véritablement fait son examen de conscience. Il est vrai qu'elle ne l'a pas conclu en reconnaissant ses erreurs. Oubliant le mandat impératif qu'elle avait donné à Napoléon III, les approbations répétées qu'elle avait apportées à sa politique, elle fit retomber toutes les responsabilités du désastre sur le "pouvoir personnel". Les monarchistes eux-mêmes, à l'Assemblée nationale, furent en grand nombre convaincus que le pouvoir personnel avait été la cause de nos malheurs. C'est le sentiment qu'exprimait le duc d'Audiffret-Pasquier lorsqu'il disait : "Nous ramènerons le roi ficelé comme un saucisson."
    Le résultat fut qu'il n'y eut pas de roi du tout, ni "ficelé" ni autrement. 
    C'est essentiellement sur cette idée qu'échoua la restauration de la monarchie. Le régime républicain parlementaire, la démocratie intégrale eurent dès lors partie gagnée et Bismarck, il ne s'en est pas caché, accepta cette solution avec plaisir. Même il s'est vanté d'avoir, à plusieurs dates critiques de nos luttes intérieures, "mis les choses en scène à Berlin". 
    La monarchie des Hohenzollern rendait à la France ce que les Capétiens avaient fait autrefois à l'Allemagne : elle voyait chez nous avec faveur des institutions qui étaient le contraire des siennes. Et, quant à l'attitude à prendre vis-à-vis des affaires de France, Bismarck donnait à son maître le même conseil que Pierre Dubois avait donné à Philippe le Bel et Marillac à Henri II pour les affaires d'Allemagne...."

    Tiré de notre Album "Maîtres et témoins"... (II) : Jacques Bainville" (186 photos)

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/08/08/notre-feuilleton-estival-un-ete-avec-jacques-bainville-6167819.html