culture et histoire - Page 815
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Passe Présent n° 205 – Le monde rêvé de Marie-Antoinette
Ce soir dans “Passé-Présent”, une rediffusion sur l’histoire du service militaire puis Philippe Conrad reçoit Jean des Cars pour la présentation de son ouvrage “Le Hameau de la Reine – Le monde rêvé de Marie-Antoinette”.
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Roland Hélie était ce matin invité à la matinale de Radio Libertés
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LPH 106 – Leipzig, la première défaite de Napoléon
En 1812, Napoléon rentre de la terrible campagne de Russie qui a décimé son armée. À sa poursuite, les Russes et les Prussiens, bientôt rejoint par les Autrichiens, les Suédois, les princes allemands, l’Espagne, le Portugal… le tout soutenu et financé par l’or de l’Angleterre. Après une nouvelle levée de conscrits, très jeunes, l’Empereur affronte cette Europe coalisée en octobre 1813, à la bataille de Leipzig, où se concentrent quelques 500 000 hommes. Pour Napoléon, ce sera une première grande défaite et surtout, inexorablement, le début de la fin.
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La fierté blanche dans le développement du monde
"L'essentiel de la pression pour la construction de chemins de fer en Inde est venu de Londres dans les années 1840. Pendant un siècle, les politiques de base et la gestion finale des chemins de fer indiens ont été émises à partir de Londres." Par
Nous offrons ici à nos lecteurs une traduction en français de cet article paru le 3 juillet 2018 sur . Texte original en anglais de Ricardo Duchesne (photo ci-dessous), sociologue, professeur à l’Université de New Brunswick.
Les Blancs sont la seule race dont il est interdit d’avoir de la fierté envers leurs ancêtres. Des millions d’étudiants blancs à travers l’Occident se font dire quotidiennement que leur histoire est une litanie de crimes, tandis que les immigrants étrangers se font dire d’être fiers de leur héritage et de croire que sans le racisme blanc et l’exploitation impériale, leur culture se serait épanouie au-delà de tout ce que l’Occident a vu.
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Zoom : TV Libertés à la découverte de Belgrade et de la Serbie
Nicolas de Lamberterie s’est rendu en Serbie et plus particulièrement à Belgrade à l’occasion d’une conférence sur le potentiel touristique de la Serbie organisée par Sladjana Novakovic, directrice exécutive de Dest Travel et infatigable promotrice du tourisme en Serbie pour le public francophone. Ce reportage fait découvrir aux téléspectateurs de TV Libertés une nation profondément attachante, qui va de l’avant malgré la guerre injuste et cruelle qui lui a été faite.
Avec les commentaires d’Alexis Troude, spécialiste des Balkans et auteur du premier guide touristique paru en langue française sur la Serbie-Monténégro, découvrez Belgrade de jour comme de nuit, avant de survoler les autres régions de la Serbie : Novi Sad et la Voïvodine, les monts Fruška gora et bien d’autres lieux encore.
https://www.tvlibertes.com/2018/07/24/24488/zoom-tv-libertes-a-decouverte-de-belgrade-de-serbie
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Interview de Jean Robin à propos du manifeste d'Anders Breivik
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Camp Maxime Real del Sarte Université d'été 2018
150 nuances de Maurras : des repères pour le XXIe siècle
Cent cinquante ans après la naissance de Charles Maurras, la France a connu de nombreuses mutations, le contexte et les enjeux auxquels notre pays est confronté ont bien évidemment changés. Pour autant, demeure le souci du bien commun et de l’homme dans toutes ses dimensions.
Le rôle de l’Action française n’a jamais été de réciter un catéchisme, mais bien plutôt de réfléchir aux conditions d’un redressement. Face aux défis que notre époque impose (Union européenne, PMA/GPA, immigration, écologie, question sociale etc.), la pensée maurrassienne fournit un certain nombre de repères.
Le cinquantième anniversaire de Mai 68 nous offre également l’occasion d’un regard rétrospectif sur une époque charnière dans la rupture anthropologique, qui a accouché de multiples velléités de transgression de la nature humaine (antispécisme, transhumanisme, etc.), qu’il nous importe de défendre comme condition du politique.
Bénéficiez d'un tarif préférentiel
pour toute inscription avant le 31 juillet !Je m'inscris Conférences
Vous ne pouvez participer à notre camp d'été ?
Permettez à un jeune d'y prendre part !
La génération qui vient a besoin d'un enseignement solide, d'une formation continue pour décrypter l'actualité, s'engager dans le débat et servir la cité.
Avec 120 euros vous permettez à l'un de nos jeunes de partager avec ses camarades une semaine de formation exigeante et complète.J'aide un jeune CMRDS : du 19 au 26 août
Camp de formation Maxime Real Del Sarte, pour étudiants, lycéens et jeunes travailleurs (15-35 ans)
Conférences magistrales, cercles d'étude, ateliers pratiques, sport et camaraderie !Tarif préférentiel pour toute inscription avant le 31 juillet :
- 100 euros (adhérents)
- 130 eurosTarif normal pour les inscriptions à partir du 1er août :
- 120 euros (adhérents)
- 150 eurosIl vous est également possible de ne venir que quelques jours : 25 euros la journée
UDT le 25 août
Université d’Été de l'Action française, ouverte à tous :
25 eurosInformations pratiques
- A proximité de Roanne (gare SNCF à 5 kilomètres, navettes organisées)
- Arrivée souhaitée entre 15h et18h le dimanche 19 août
- Départ possible entre 9h et 13h le dimanche 26 aoûtAction française
10, rue Croix-des-Petits-Champs
75001 Paris
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L'empire des hittites - Les Civilisations Perdues
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Parution du Cahier d'Histoire du nationalisme sur Oswald Mosley : UN ENTRETIEN AVEC RÉMI TREMBLAY, SON AUTEUR, SUR EUROLIBERTÉS
Source EuroLibertés cliquez ici
« Bien qu’il fût un homme d’action, Oswald Mosley fut aussi un homme de réflexion et beaucoup de ses idées restent d’une actualité brûlante. Au niveau économique, sa critique du libre-échangisme et de la mondialisation semble aujourd’hui quasi prophétique »
En quoi Mosley reste-t-il pertinent en 2018 ?
Outre le fait que, comme le pensait François Duprat, nous nous devons de connaître l’histoire du nationalisme, de ses échecs et réussites, pour pouvoir apprendre des erreurs et succès passés, l’étude de Mosley et de ses politiques est extrêmement importante.
Tout d’abord, bien qu’il fût un homme d’action, il fut aussi un homme de réflexion et beaucoup de ses idées restent d’une actualité brûlante. Au niveau économique, sa critique du libre-échangisme et de la mondialisation semble aujourd’hui quasi prophétique. Mais il n’a pas fait que prévoir les problèmes qui allaient surgir, il a offert des pistes de sortie et ceux qui s’opposent au mondialisme y verront des solutions concrètes pour se sortir de l’impasse actuelle. On peut facilement imaginer que, s’il n’avait pas revêtu la chemise noire avant la guerre, il serait devenu l’un des penseurs les plus influents en matière d’économie, à l’instar de son ami John Maynard Keynes.
Au niveau géopolitique aussi, particulièrement dans les dernières décennies de sa vie, il se démarqua en mettant en avant une Europe unie dans un monde multipolaire. En ce sens, il précède l’eurasiste Alexandre Douguine, et contrairement à des penseurs comme Jean Thiriart, il ne sombra pas dans la vision d’une Europe jacobine qui aurait nié les identités régionales ou même nationales. Avec l’échec de l’Europe de Bruxelles, l’alternative qu’il présente reste tout à fait pertinente.
Contrairement à ce que l’on entend parfois, Mosley était loin d’être un marginal…
Tout à fait ! Mosley était un aristocrate fort apprécié de la haute société et il se maria d’abord avec Cynthia Curzon, dont le père Lord Curzon était un homme important, ayant notamment été vice-roi des Indes. Lors du mariage, nombre d’aristocrates furent présents, y compris le couple royal belge. Dans ses premières années en politique, il était une véritable vedette de par son éloquence, sa rigueur et l’originalité de sa pensée. Tant au Parti conservateur que plus tard au Parti travailliste, il était pressenti pour un jour gouverner le Royaume-Uni. Mais, il préféra défendre ses convictions, plutôt que de se compromettre, risquant et sacrifiant sa carrière politicienne qui, aux dires de tous les historiens sérieux, l’aurait mené à de grandes responsabilités.
Il faut ajouter que même lorsqu’il quitta les partis dits respectables pour fonder la British Union of Fascists, il continua à jouir du respect d’une partie de la haute société britannique et d’une partie de l’intelligentsia.
On connaît le Mosley de l’avant-guerre, mais qu’en est-il du Mosley de l’après-guerre ?
C’est bien là un des drames de la vie de Mosley qui considérait que la période de l’après-guerre fut sa période la plus féconde et aussi, faut-il le mentionner, la plus longue. Après la guerre, durant laquelle il put lire et étudier à cause de son internement, il développa l’idée d’une « Nation Europe » basée sur un socialisme européen qui n’a rien à voir avec celui promu par les Soviétiques ou même les Travaillistes. Il développa aussi une critique constructive de l’œuvre nietzschéenne, jetant les bases d’une pensée européenne, inspirée autant par Goethe que par les philosophes grecs, dans laquelle la volonté d’accomplir devient l’ambition ultime de l’homme.
Dans le domaine plus concret et terre à terre, il fut également l’un des premiers politiciens à proposer la remigration et à entrevoir les défis démographiques et sociaux liés à une immigration de masse qui ne faisait à l’époque que débuter.
Rémi Tremblay, directeur du magazine québécois Le Harfang, cliquez ici, est aussi l'auteur d'un autre Cahier d'Histoire du nationalisme consacré à Adrien Arcandcliquez là
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