culture et histoire - Page 814
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JOUISSEZ-VOUS DU « PRIVILÈGE BLANC » ?
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Ce qui caractérise le discours gauchiste en France depuis 1974, c’est la compulsion de répétition, signe de son impuissance
Malgré la critique répétée que Kaczynski adresse aux gauchistes, ceux-ci se sont reconnus dans son texte, ou plutôt ils ont perçu à la fois ses affinités avec leur perspective radicale et ce qui manquait aux extrémistes français. C’est comme si, dans sa solitude et sa folie, Unabomber avait retrouvé un secret qui était perdu depuis longtemps. En d’autres termes, il me semble que ce qui a fasciné dans le cas de Theodore Kaczynski, c’est qu’il soit passé à l’acte. Il a embrassé la « propagande par le fait » qui fut si chère aux anarchistes de la fin du XIXe siècle. Kaczynski, on le sait aujourd’hui, s’est inspiré dans son action de quelques œuvres littéraires qui l’avaient marqué, en particulier un roman de Joseph Conrad datant de 1907, L’Agent secret, qu’il possédait dans sa cabane du Montana. Si par ailleurs il existe un modèle historique sur lequel il a voulu modeler son comportement, c’est celui des anarchistes de la fin du XIXe siècle, que ce soit ceux de Chicago ou ceux de Paris. Theodore Kaczynski paraît plus proche de la démarche d’Emile Henry que de celle de Jean-Marc Rouillan. Or, ce qui caractérise le discours gauchiste en France depuis 1974, c’est la compulsion de répétition, signe de son impuissance. Il est devenu davantage une posture intellectuelle que l’expression d’une action véritable. Pour pouvoir être entendus, les gauchistes parlent plus haut qu’ils n’agissent ; le verbe a dans ces milieux perdu toute sa force. C’est la raison pour laquelle ils ne cessent de faire de la surenchère verbale plutôt que d’analyser lucidement les conditions présentes du développement économique et social, et de considérer ce qu’il est humainement possible de faire pour améliorer la situation. Ainsi, en refusant de regarder le réel en face, leurs propos ne débouchent que sur du vide ou des actions dérisoires.Leur mal vient de plus loin. Il a sa source dans l’influence délétère d’un virus qui a d’abord contaminé en France les intellectuels médiatiques. Les symptômes de cette maladie sont avant tout une perte de puissance des mots, avec l’impossibilité de communiquer vraiment qui en est la conséquence. Le virus s’est manifesté pour la première fois à la fin des années 1960, au moment du mariage entre la télévision et l’intelligentsia française. Une telle union s’est faite au détriment de cette dernière : pour se faire voir dans les étranges lucarnes, les intellectuels médiatiques ont renoncé depuis plus de trente ans à dire quoi que ce soit de véridique, de mesuré ou d’original, afin de reproduire le discours sans saveur et sans aspérité des médias. Peu à peu, le mal à gagné toute la classe intellectuelle, à droite comme à gauche, ainsi que le milieu universitaire. La notoriété des auteurs n’y fait rien, au contraire. On dirait que les écrivains qui jouissent du succès le plus grand sont aussi ceux dont l’œuvre possède le moins d’impact sur le réel. Dès qu’ils présentent leurs livres à la télévision, leurs propos sont frappés d’impuissance ; ils se réduisent au statut d’un divertissement ; ils ne comportent plus aucun enjeu véritable. Par la suite, c’est l’ensemble du travail intellectuel qui a perdu sa force et sa légitimité. Entre la génération des baby-boomers et celle qui a suivi, la transmission intellectuelle a été interrompue, laissant la nouvelle génération sans repères pour guider son action.Theodore Kaczynski, L’avenir de la société industriellehttp://www.oragesdacier.info/2018/07/ce-qui-caracterise-le-discours.html -
Sois radical, aie des principes, sois absolu
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Passé Présent n°203 – Madeleine Charnaux : l’artiste et l’aviatrice
Philippe Conrad évoque les compagnies de Jéhu. Anne Sicard dresse ensuite le portrait de l’artiste et aviatrice Madeleine Charnaux. Enfin, Marc Fourny présente son ouvrage “Versailles confidentiel : Amours et intrigues à la cour du roi de France”.
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Quand la ministre des Affaires étrangères autrichienne félicite Jean Raspail
Source Breizh info cliquez ici
Jean Raspail, qui fêtait le 4 juillet dernier son anniversaire – 93 ans au compteur – a eu la surprise de recevoir un appel téléphonique de Karin Kneissl, la ministre des Affaires étrangères d’Autriche.
La nouvelle est donnée par Le Figaro (09/07/18). Madame Kneissl a tenu à féliciter Jean Raspail pour son roman Le Camp des saints, paru en 1973, qui annonce l’invasion soudaine de l’Europe par une masse de migrants. La ministre a également souligné l’intérêt de la préface à la réédition de ce roman, dans laquelle Jean Raspail a créé le concept de « Big Other », cet Autre dominateur.
Karin Kneissl a été nommée ministre des Affaires étrangères en décembre 2017 dans le gouvernement présidé par Sebastian Kurz, en qualité de personnalité indépendante proposée par le FPÖ. Après de brillantes études, cette diplomate a travaillé au ministère des Affaires étrangères avant d’entamer une carrière de journaliste indépendante. Karin Kneissl s’est fait notamment remarquer par ses prises de positions sur l’immigration.
« Qu’aujourd’hui la ministre des Affaires étrangères d’Autriche félicite Jean Raspail pour « Le Camp des saints » est révélateur d’un état d’esprit. Les choses bougent en Europe – l’Autriche est à la tête de l’UE jusqu’à la fin de l’année – et ce n’est semble-t-il pas fini… », remarque un observateur avisé de la politique internationale.
« Et si Raspail, avec Le Camp des Saints, n’était ni un prophète ni un romancier visionnaire, mais simplement un implacable historien de notre futur ? » s’interrogeait déjà Jean Cau lors de la sortie du roman.
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Zoom – Alain Sanders : Le hussard fonce dans le tas
Journaliste, grand reporter et écrivain, Alain Sanders est une des figures les plus connues et les plus appréciées de la droite nationale. Quittant quelques instants sa mission au sein du quotidien Présent, il publie un succulent roman policier. On nage dans le Paris d’Audiard et de Nimier, on pense à Holeindre ou aux grands auteurs de romans policiers : A.D.G, Peter Randa ou Guy des Cars. Bref, c’est le roman de vos vacances…
https://www.tvlibertes.com/2018/07/10/24162/alain-sanders-hussard-fonce-tas
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La petite histoire : Pizarro et la conquête de l’empire inca
Dans un précédent épisode, nous avons parlé de la conquête de l’empire aztèque par Hernan Cortès. Cette fois, il va être question de la conquête d’un autre immense empire sud-américain, l’empire inca. Une conquête plus brutale menée par un aventurier qui l’est tout autant, Francisco Pizarro, qui n’hésitera pas à user de ruses et de violence pour s’approprier les fabuleuses richesses des Andes.
https://www.tvlibertes.com/2018/07/10/24142/pizarro-conquete-de-lempire-inca
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Placer l’enfant au centre de nos discours est une nécessité pour combattre la gauche morale – Cyril Raul (Les Identitaires)
On se souvient des terribles photographies du corps d’Aylan étendu sur une plage. On se rappelle des réactions scandalisées aux positions de Marine Le Pen sur l’école gratuite pour les enfants de clandestins. On a vu, il y a quelques jours, la campagne médiatique dirigée contre Donald Trump accusé de séparer les enfants d’immigrés illégaux de leurs parents à la frontière avec le Mexique. Campagne durant laquelle les médias mainstream américains ont procédé à des manipulations grossières notamment en couverture du prestigieux Times.
Tous ces faits ont été savamment relayés par une gauche pro-migrants dont la mort idéologique ne fait plus de doute. Une gauche zombie à qui il ne reste plus que le pathos comme arme politique. Et quoi de mieux que le sujet des enfants pour émouvoir l’opinion et tenter de la faire basculer ? Une posture efficace puisqu’elle fait appel aux sentiments : le recours au pathos a la force de transformer une idée bancale et mortifère en argument quasi-infaillible dans une époque où l’image et l’émotion guident bien souvent les opinions.
Naturellement, il ne s’agit ici que d’une posture. Cette gauche qui se pose en défenseur des enfants ne défend en vérité froidement que ceux susceptibles de servir sa cause et lui permettre d’alimenter son idéologie sans-frontiériste, pourtant massivement rejetée par les peuples européens.
Car cette même gauche médiatique néglige complètement d’autres enfants : les nôtres. Elle nie l’existence du racisme anti-blanc ou, a minima, le relativise ou le minimise. Elle défend la discrimination positive. Elle méprise la France périphérique blanche qu’elle laisse volontiers dépérir. Elle encourage la submersion migratoire en cours qui ne peut mener que vers le chaos.
Toutes ces positions ne ciblent pas que les « mâles blancs de plus de 50 ans ». Elles visent d’abord les gamins « de souche », qui seront les premiers concernés par cette France de demain que le gouvernement Macron leur prépare : celui de la discrimination sur le marché de l’emploi, celui de la violence anti-française justifiée et (donc) excusée à leur encontre, celui de la relégation des territoires de la France périphérique (qui perd ses écoles, ses médecins, ses hôpitaux) au profit des zones REP+. Désavantagés sur le marché de l’emploi, attaqués pour leur couleur de peau, vivotant dans des territoires abandonnés… Ce sont d’abord les gamins français d’aujourd’hui qui paieront le prix politique de la repentance, de la haine de soi et de la négation du racisme-blancs.
Sur le temps long, avec la submersion migratoire en cours, l’islamisation, le développement massif de « cités » en France (plus une seule ville moyenne sans son « quartier sensible » immigré), c’est potentiellement le chaos, le terrorisme et l’insécurité qui attendent cette génération d’enfants.
Face à ce constat révoltant et de plus en plus partagé, le pathos sur les enfants de migrants est la dernière arme de la gauche, la seule qui lui reste mais une arme aujourd’hui implacable. C’est l’ultime coup d’un boxeur acculé dans les cordes, un coup en dessous de la ceinture, mais un coup encore gagnant.
Un jour ou l’autre, il faudra pourtant bien dépasser et surmonter cette arme ultime de l’adversaire.
Cela suppose d’abord de mettre parallèlement en avant l’avenir de nos propres enfants, de les défendre coûte que coûte, viscéralement, face au sort qui les attend et à cette « France d’après » qui les guette.
Cela nécessite ensuite, face à l’hystérie entretenue par les médias et les politiques sur les enfants de migrants, d’adopter une attitude dépassionnée et apaisée en mettant en lumière la submersion migratoire en cours, qui passe d’abord par les naissances, et donc les enfants. Aujourd’hui, 40 % des Africains ont moins de 15 ans. Et selon le journaliste américain Stephen Smith, « d’ici à 2100, trois personnes sur quatre qui viendront au monde naîtront au sud du Sahara. » Des chiffres inquiétants à l’heure où nous ne sommes qu’au début d’une crise migratoire qui sera l’affaire du siècle. Mais la situation est aujourd’hui déjà critique. Selon un rapport officiel, les Blancs ne représentent par exemple plus que 40 % des enfants de Birmingham (personnes mineures), la deuxième plus grande ville du Royaume-Uni.
Il faut enfin replacer l’enfant au cœur du discours politique, que cet enfant soit d’ici ou d’ailleurs, afin de le défendre réellement en combattant toute forme de manipulation de son sort à des fins idéologiques.
À l’instar des questions bio-éthiques, où la gauche prétend qu’un enfant n’a pas besoin de père pour grandir, l’idéologie pro-migrants met, elle aussi, en danger les droits de l’enfant. Qui peut affirmer qu’un enfant peut décemment s’épanouir et grandir dans le chaos migratoire, au milieu des rancoeurs et des conflits latents ? Face au déracinement, chaque enfant doit se voir reconnaître, indépendamment des considérations des adultes, un droit à l’enracinement, c’est-à-dire le droit de vivre et grandir dans un cadre solide et apaisé, auprès de sa famille et sur la terre de ses ancêtres.Cyril Raul
Texte repris du site de : Les Identitaires
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La décadence occidentale – Le déclin de la culture
Par Ivan Blot, ENA, docteur ès sciences économiques, inspecteur général honoraire de l’administration ♦
Les lecteurs de Polémia connaissent bien Ivan Blot qui fournit régulièrement des textes éclairant, tant sur l’actualité que sur divers concepts philosophiques et historiques. C’est avec plaisir que nous partageons avec vous le troisième volet d’une série de quatre articles consacrée aux grands facteurs de la décadence occidentale.
PolémiaAprès l’analyse du déclin religieux et du déclin politique, on en vient au déclin de la culture. Au départ, la culture et la science ne font qu’un, puis la science constitue son domaine propre à la recherche du vrai. La culture conserve plutôt la recherche du bien et du beau. Sans un minimum de socle moral, la recherche du vrai est impossible. La science en Occident se porte plutôt bien. Encore que la censure existe parfois et relève la tête… C’est le politiquement correct au nom d’un intégrisme égalitaire répressif : on ne peut plus porter des jugements généraux sur les femmes ou les Noirs par exemple, ce qui est une marque de parfaite intolérance.
Mais le phénomène majeur est lié à l’effacement de la mémoire historique tant dans l’art que dans la morale.
L’effacement de la mémoire historique artistique et l’appauvrissement de l’art
L’art dit contemporain est un art d’une société atteinte collectivement de la maladie d’Alzheimer. Le rejet de toute tradition est la cause de ce dramatique appauvrissement. Il est lié au déclin religieux qui fournissait la majorité des thèmes. Mais, il va au-delà pour « déconstruire » toute représentation du réel. On ne voit plus ni les paysages de la patrie ni les visages de nos compatriotes (sauf en Europe de l’Est). Les tableaux « abstraits » occupent les murs des bâtiments officiels et constituent un nouvel « art officiel » promu par les oligarques cosmopolites au pouvoir. Byzance a connu cela il y a plus de 1 000 ans avec l’iconoclasme qui engendra des guerres civiles mais qui fut vaincu jusqu’à maintenant. On a eu des poussées iconoclastes avec le protestantisme (destruction de statues des églises notamment) et lors de la Révolution française (dénoncées comme vandales par l’Abbé Grégoire). On défend la liberté mais en son nom, on détruit l’héritage des traditions. On ignore la distinction hiérarchisant et nécessaire des trois fonctions souveraine, religieuses et guerrières tournée vers l’économie et tout est réduit à la fonction marchande qui demande en moyenne moins de vertus morales.
Les artistes figuratifs sont alors martyrisés ou marginalisés sauf sans doute en Europe de l’Est et en Russie. Le savoir artistique décline : un Bach est-il possible aujourd’hui ?
Le déclin de la morale est lié au déclin de la tradition
La morale est liée à des traditions anciennes qui ont fait leurs preuves. Le prix Nobel Hayek explique pourquoi : parmi les savoirs humains, certains sont formalisés, c’est le cas dans les sciences. Mais d’autres savoirs sont transmis par des millions de pratiques. Le meilleur exemple est notre langue. Personne n’a créé par un projet délibéré et planifié la langue française qui est une merveille. La morale traditionnelle, c’est pareil. Sur les points essentiels, toutes les morales traditionnelles disent la même chose : famille, avortement, interdiction d’assassiner, honnêteté, etc… Les expériences des siècles dans les peuples divers donnent des résultats identiques : les peuples qui méprisent la famille disparaissent et ceux qui méprisent la propriété tombent dans la misère. L’URSS qui sous Lénine voulait détruire la famille est revenue en arrière avec Staline. Mais pour la propriété, il a fallu dissoudre l’URSS elle-même.
Or, le drame est que les injonctions de la morale ne satisfont ni nos instincts primitifs ni notre raison logique. Maintenir une morale salutaire suppose combattre sur ces deux fronts. L’Occident a un siècle de retard en ignorant ce savoir qui n’est ni instinctif ni rationnel. Le patriarche russe Cyrille l’explique très bien dans son livre traduit en français aux éditions du Cerf L’Evangile et la Liberté ; les valeurs de la Tradition dans la société laïque. En Occident, écrit le patriarche, « l’homme est transformé progressivement en un esclave de ses instincts et perd ses repères vitaux. L’image de Dieu s’efface en lui et il cesse d’être homme au sens propre du terme, se réduisant à une sorte d’animal de consommation ». Une foule impersonnelle se forme autour d‘une anti-culture qui est une régression vers la barbarie. Le déracinement produit par l’immigration de masse renforce cette régression culturelle, morale et esthétique.
Les anciens Grecs qui nous ont transmis la culture classique commençaient l’enseignement non par l’informatique mais par la morale du héros Achille puisée dans l’Iliade. La volonté d’exceller, le courage de combattre (agon en grec), la capacité à garder la mesure et à fuir les excès (metron), la culture de l’amitié entre citoyens (philia) étaient essentiels. Nous avons « liberté, égalité, fraternité », mais Dostoïevski montre dans son œuvre Les Frères Karamazov que sans l’amour chrétien, ces trois termes ne mènent à rien : la liberté peut mener au crime (c’est pourquoi le gangster américain Al Capone en faisait l’éloge sans limites), l’égalité pousse à la haine sociale d’où les massacres de la Révolution française et du bolchevisme, la fraternité sans amour est un principe mafieux.
C’est pourquoi l’exemple russe post communiste est si important. La culture occidentale inspirée de Platon et du Christianisme s’est effondrée suite à la révolution française et aux idéologies socialistes du 20e siècle. Les années 1960 ont continué à détruire les traditions au nom des instincts et d’une raison dévoyés. Mais nous avons un critère pour juger des réformes politiques : servent-elles la mort ou la vie ?
La culture (souvent très liée à la religion) a été inventée pour préserver la vie. Or, les signes d’une culture de mort (comme disait le pape Jean-Paul II) se multiplient dans la modernité : effondrement de la natalité, avortements en masse, euthanasie légale en progression, laxisme pénal, dont le point d’orgue est la suppression de la peine de mort, plus généralement montée du crime et des incivilités.
Le remède est de comprendre l’importance de la sauvegarde des traditions (voir les philosophes Pascal, Burke, Hayek, Berdiaev entre autres) et de s’appuyer pour les défendre sur une démocratie authentique (la Suisse rurale étant un assez bon exemple selon Soljenitsyne dans son livre Le Grain tombé entre les Meules).
« Le poisson pourrit toujours d’abord par la tête » dit un proverbe du peuple. C’est ce qui nous arrive à l’Ouest. Le peuple reste sain dans ses réflexes esthétiques et moraux, en majorité et cela s’améliore chez les plus jeunes. Les vieilles élites soixante-huitardes sont les plus pourries en majorité. Le mouvement culturel de retour aux traditions a commencé à l’est mais se propage à l’ouest. Ce sera bientôt un séisme politique. Les compromis seront très difficiles car les élites refusent l’expérience populaire et sont murées dans une idéologie qui a un siècle de retard. Quelles formes ce conflit prendra ? L’avenir proche va nous le dire.
Ivan Blot 06/07/2018
https://www.polemia.com/decadence-occidentale-declin-culture-ivan-blot/
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Zoom – Jean-Christophe Buisson : Il faut lire Maurras !
C’est le livre indispensable de l’été : la publication chez Bouquins-Robert Laffont d’œuvres importantes mais souvent introuvables du plus grand intellectuel de la première moitié du XXe siècle : Charles Maurras. Dans une impeccable préface, Jean-Christophe Buisson, directeur adjoint du Figaro-Magazine, évoque sans rien cacher ou éluder, la personnalité hors norme de Maurras qu’il faut lire malgré les interdits du ministre de la Culture du moment.
https://www.tvlibertes.com/2018/07/09/24111/jean-christophe-buisson-faut-lire-maurras