On nous casse tout le temps les pieds à droite ou à gauche avec le néo-libéralisme – ou l’ultra-libéralisme. En réalité ce sont les libertariens qui ont raison et on est plutôt victimes de l’ultra-socialisme et de l’ultra-parasitisme en ces temps de la fin si digne de la Rome ancienne et assistée, qui désespérait tant notre camarade Juvénal et quelques dizaines d’autres. Nos dettes et nos prélèvements montrent que l’on est tout sauf libéraux. On est dans le sozial qui exaspérait Céline, et dans rien d’autre. Sauf que certains (les banquiers ou les fonctionnaires) en profitent mieux que d’autres (les salariés ou la jeunesse calcinée de Todd). Et ce n’est pas nouveau.
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Comment Gramsci décrit la dégénérescence socialiste
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#77 - Jacques SAPIR pour son livre "Chroniques stratégiques"
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Voyage au coeur du système financier avec l'ex-trader Anice Lajnef
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L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" AVEC MICHEL VIAL, SUR TV LIBERTÉS
Alors qu'il était lycéen, Michel Vial s'est engagé dans le combat nationaliste. Nous étions aux lendemains de mai 1968 et, à cette époque, les gauchistes de toutes obédiences faisaient régner leur terreur dans les établissements scolaires et sur les campus. Cet engagement le conduisit, quelques années plus tard, jusqu'à Beyrouth où il alla se battre aux côtés des phalangistes contre les islamistes qui voulaient jeter les chrétiens libanais à la mer. S'en suivit une carrière dans la communication au cours de laquelle il put étudier tous les facteurs qui ont mené à la situation que nous vivons aujourd'hui, à savoir l'assassinat de notre civilisation européenne. Dans son livre "La chute de l'empire occidental", édité par Synthèse nationale, Michel Vial analyse une à une chacune de ces raisons. Il s'en entretient dans cette nouvelle émission "Synthèse" avec Roland Hélie et Philippe Randa.
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Les derniers paysans
Un historien raconte la trajectoire, sur quatre ou cinq générations, de familles qui incarnent d’authentiques dynasties paysannes.
Vers 1950, la France était encore une nation rurale dont les paysans formaient le tiers de la population. Aujourd’hui, plus de huit Français sur dix vivent en ville, tandis que les agriculteurs ne représentent plus que 1 % de la population active.
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FRACTION - Dictature sanitaire (clip)
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Philippe Murer / Pierre-Yves Rougeyron : Le Grand Reset (entretien)
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Un grand Européen : Jean Thiriart
Le 23 novembre 1992, mourait un grand nationaliste européen, Jean Thiriart, dont nous voulons achever ici le portrait. En effet, nous lui avons déjà consacré deux articles dans les numéros 19 et 20 de Devenir, mais nous n’avions pas encore eu l’occasion d’aborder les vingt dernières années de sa vie, ni d’évoquer sa personnalité, ni de souligner les grands traits de son idéologie qui mériterait une relecture et étude plus approfondie.
Issu d’une famille libérale laïque, Jean Thiriart s’engagea à 16 ans dans la Jeune Garde socialiste unifiée, un mouvement qui se sait sur la gauche du Parti Ouvrier belge, il milita également pour l’Union socialiste antifasciste. Pendant la guerre, il fréquenta la Fichte Bund, un groupe descendant du courant national-bolchevique de Hambourg dans les années ‘20 et, comme beaucoup de militants socialistes, il s’inscrit à l’Association des Amis du Grand Reich allemand. Pourtant, il n’était pas hitlérien, d’ailleurs il critiquera souvent dans ses écrits ultérieurs le chancelier, parce qu’il avait manqué l’occasion historique d’unifier l’Europe en magnifiant le petit nationalisme allemand au détriment du grand patriotisme européen. Condamné à trois ans de prison au sortir de la guerre, il ne fit plus guère entendre parler de lui pendant quelques années.
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Point de Vue n°1 - la Nation
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Vive le Roi : interview avec l'Action française, par Ciaran Brennan. 3/5
Ce n'est pas difficile à réfuter, mais la nature humaine rend plus facile de refuser de comprendre les arguments plutôt que d'accepter votre propre ignorance. Et les derniers savent que l'AF est la deuxième grande formation politique du XXe siècle en France, donc ils ont beaucoup de respect même s'ils ne croient pas aux mêmes choses.
J'ai travaillé avec beaucoup d'intellectuels et je ne cache jamais mes opinions, la plupart du temps les ennemis vous respectent pour être qui vous êtes sans excès. Et pour être honnête, c'est amusant pour quelqu'un d'avoir son ami royaliste.