Cette hypothèse très crédible est naturellement passée sous silence par tous les journalistes et politiques qui vivent sous l’emprise de Greta Thunberg. Et pourtant, la responsabilité d’une politique imposée par les Verts refusant le débroussaillage pour préserver la biodiversité pourrait être en cause dans le cas précis de l’Australie (sources en fin d’article) :
Pour la presse française, un seul coupable possible : le réchauffement climatique et surtout la posture climato-septique du premier Ministre australien Scott Morrison, libéral de surcroît, qu’il fallait punir.