écologie et environnement - Page 94
-
Philippe Murer : comment réaliser la transition écologique (ouvrage)
-
Convention pour le climat : voici venir la charia écolo.
Les offensives de déstabilisation de notre Nation et de ses intérêts fondamentaux, loin de s'isoler les unes des autres ou de se disperser, se conjuguent et, en quelque sorte, se mutualisent.Tandis que se développe et se radicalise la pression racialiste contre la France de toujours, que se renforcent les organisations gauchistes, que repart à la hausse la lame migratoire, que nombre de nos villes sont le cadre de combats de rues, que les cités s'installent dans la sécession et que l'islamisme attend son heure, les ayatollahs du totalitarisme vert tentent d'imposer leur loi avec la complicité bienveillante d'Emmanuel Macron et la bienveillance lâche d'une grande partie de la classe politique comme de la quasi-totalité des médias et des pseudos intellectuels tétanisés à l'idée d'aller contre le vent qu'ils croient porteurs de l'air du progrès. -
La pression étrangère sur l’éolien français
André Posokhow redaction@present.fr
Le 21avril dernier, en pleine épidémie du Covid, le gouvernement a fait paraître en catimini un décret relatif à la « programmation pluriannuelle de l’énergie » (PPE) qui annonce ce que doit être l’avenir énergétique de la France.
Elle annonce un objectif de doublement de la puissance éolienne industrielle en France (35 GW contre environ 16 GW fin 2019) en neuf ans. Cela pourrait représenter un quasi-doublement du nombre d’éoliennes, qui est aujourd’hui de 8 000. Ce seront des machines de plus en plus monstrueuses, dont la taille, plus de 200 mètres aujourd’hui, se rapproche de celle de la tour Eiffel.
En Allemagne, la transition énergétique, décidée il y a près de dix ans, se trouve en crise. Senvion, important fabricant de turbines en Allemagne et troisième constructeur de parcs éoliens en France, a déposé son bilan et sera vendu à la découpe. La cause en est l’effondrement du marché de l’éolien terrestre en Allemagne. Le marché français, déjà largement maîtrisé par l’étranger, apparaît ainsi aux acteurs, extérieurs et surtout allemands, de l’éolien comme un grand marché de remplacement.
-
Pendant le confinement, les émissions de CO2 n’ont cessé d’augmenter !
Un constat : la majorité des avions cloués au sol, une circulation automobile quasi inexistante, des industries à l’arrêt, tout cela durant deux mois, dans les 69 pays les plus développés de la planète, responsables de 97 % des émissions, dites anthropiques, de dioxyde de carbone (CO2). Cette diminution a été évaluée à 58 % en Europe, selon static.climato-realistes.fr, durant le confinement. De ce scénario rêvé par les écologistes, on pouvait donc s’attendre (naïvement) à voir les courbes d’émissions s’effondrer ou, au moins, se stabiliser, ces courbes dont on nous rebat les oreilles à la veille de chaque grand-messe sur le climat, le GIEC estimant que l’augmentation de la concentration en CO2 atmosphérique de ces dernières années est presque exclusivement déterminée par les émissions anthropiques, et qu’elle est responsable de la hausse globale des températures au cours de l’ère industrielle.
-
Éoliennes et remplacisme global
Par le Conseil national de la résistance européenne, présidé par Renaud Camus ♦ Nous partageons avec nos lecteurs ce communiqué du CNRE sur un sujet qui pourrait paraître accessoire à première vue mais qui, en réalité, fait partie d’un même projet global de destruction de la civilisation européenne.
PolémiaLe Conseil National de la Résistance Européenne est farouchement opposé à la prolifération des éoliennes, et se déclare bien sûr ulcéré par le nouveau renversement de doctrine du président de la République à ce propos, tel que marqué par le décret du 21 mai 2020, portant programmation pluriannuelle de l’Énergie (PPE), et prévoyant une vive accélération des constructions, c’est-à-dire du massacre des paysages.
-
Les OGM augmentent l'usage des pesticides et ne réduisent pas la pauvreté
Le 13 février dernier un nouveau rapport des Amis de la Terre (1) a révélé que, très loin des affirmations réitérées et des assurances données, le recours aux organismes génétiquement modifiés (OGM) a en réalité conduit à une hausse massive de l'usage des pesticides et n'a pas réussi à augmenter les rendements ou à vaincre la faim et la pauvreté dans le monde. Ce rapport coïncide avec la sortie annuelle des données de l'industrie des biotechnologies sur les cultures OGM à travers le monde.
Pour Christian Berdot, en charge des OGM aux Amis de la Terre France : « Les OGM ont échoué à apporter les bénéfices promis depuis des années par l'industrie des biotechnologies. À la place, l'augmentation de l'usage des pesticides causé par ces cultures menace l'environnement et les populations à travers le monde. »
-
Masques, gants, mouchoirs… les ordures m’ont « tuer », pas le Covid-19 !
On s’énerve, au ministère de la Transition écologique et solidaire. Le cabinet de Brune Poirson le dit et le répète : « Un masque par terre, en plus de générer une pollution, c’est une rupture dans notre chaîne commune de protection face au virus, car c’est potentiellement un déchet infecté que l’on met dans l’espace public… » Voilà en effet une évidence qui, à l’évidence, ne s’impose pas à tout le monde.
Eh oui ! On en voit de plus en plus, de ces masques qui traînent dans les caniveaux, dans l’eau des fontaines, sur les bords de plage, entre papiers gras et canettes abandonnés là au cours de nuits festives… On s’en étonne au ministère : « Il y a quelque chose d’assez paradoxal à chercher à se protéger soi-même du virus tout en participant potentiellement par ailleurs à sa propagation. »
-
Que faire pour sauver la planète ? Il faut tourner la page du mondialisme criminel !
Nous reprenons notre enquête sur les suites de la crise que nous venons de subir. Aujourd'hui la parole est à l'écrivain et essayiste Franck Abed, qui fut un précurseur dans la réalisation, au début des années 2010, d'entretiens filmés de qualité et qui est aussi animateur de plusieurs sites consacrés en particulier à la littérature non-conformiste.
S.N.
Franck Abed
Avant toute chose, il convient de ne pas contribuer à la confusion généralisée qui existe quant à l’utilisation des termes mondialisation et mondialisme (1).
La mondialisation est un phénomène naturel de brassage des civilisations, résultant du développement des moyens de communication, des transports et des médias au sens large du terme. Elle est plus vieille que le concept de mondialisme. Effectivement, dans l’histoire antique, les Phéniciens, avant la fondation de Carthage, établissaient déjà des comptoirs pour le commerce en Afrique du Nord. Les Grecs voyageaient également dans toute la Méditerranée et les Vikings allèrent encore plus loin que les mondes connus. Personne ou presque ne peut vivre en autarcie. De plus, je rappellerai que l’échange entre les hommes est un don de Dieu, car l’Homme se construit, entre autres, avec l’altérité.
-
GIEC : Les prédicateurs de la mondialisation
Auteur : CLOJACOn peut pardonner à sainte Greta la simplette son ignorance. Mais que dire de ces pseudo-savants qui soutiennent des énormités anti-scientifiques ? Auraient-ils trouvé leurs diplômes dans des pochettes-surprises ? Entre lyssenkisme et homme de Piltdown ? Ou sont-ils stipendiés pour colporter une grande peur irraisonnée sur laquelle s'engraissent toutes sortes de personnages troubles ? (Voir * Réchauffardsle casse du siècle *)
Le dioxyde carbone n'est pas un poison
Bien au contraire, il est indispensable à la vie ! C'est l'aliment de base des plantes. Avec l'eau et le rayonnement solaire. Sans CO2 il n'y aurait pas de plantes et une grande partie de l'atmosphère que nous respirons ne se renouvellerait plus. D'ailleurs, si la concentration de CO2 dans l'atmosphère a légèrement augmenté ces 30 dernières années, dans le même temps la surface couverte par la végétation sur la terre s'est accrue de 20%.
Au temps des dinosaures, le niveau de CO2 a atteint des valeurs proches de 10.000 ppm (partie par million ou 106 ) soit 25 fois la concentration actuelle. Ce fut pourtant l'époque d'une flore et d'une faune géantes d'une extraordinaire diversité.
-
Le cinéaste gauchiste américain Michael Moore contre les énergies renouvelables
Contrairement à presque tous les éminents climato-bien-pensants comme Robert De Niro, Madonna, Nicolas Hulot ou l’inénarrable chanteuse Angèle, ces repus de la société de consommation confinés dans leur loft ou dans leur « mansion » à la campagne, contrairement à Juliette Binoche qui est à l’initiative de cette pétition « Non à un retour à la normale » qu’ils ont signée, Michael Moore a finalement admis que le roi de l’énergie renouvelable était nu. Loin d’être une énergie « propre », les énergies renouvelables sont en vérité un échec, qui plus est sale, laid et destructeur de la planète.
Planet of the Humans, le documentaire environnemental produit par Moore et réalisé par Jeff Gibbs, compte maintenant plus de sept millions de vues sur YouTube. Mais leurs alliés naturels de gauche ne sont pas du tout contents. « Il faudrait être de marbre pour ne pas rire des gémissements, des grincements de dents et de la décoloration générale au sein du mouvement vert provoquée par cette bombe anti-énergie renouvelables », s’amuse Delingpole, l’auteur de Pastèques : comment les écologistes tuent la planète, détruisent l’économie et volent l’avenir de vos enfants.