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écologie et environnement - Page 91

  • Pourquoi les producteurs de gaz et de charbon (rejet de Co2) sont-ils très favorables aux éoliennes ?

    Pourquoi les producteurs de gaz et de charbon (rejet de Co2) sont-ils très favorables aux éoliennes ?

    Dans un précédent article, nous avions pointé du doigt la grande hypocrisie des écolos-gauchistes à propos des éoliennes en raison de leur atteinte à la beauté des paysages et à cause de pollution liée au bétonnage que cela induit. Aujourd’hui, nous vous proposons cette courte vidéo qui explique l’aberration du système de production d’électricité d’origine éolienne :

    Quelques explications supplémentaires :

    En France continentale, les éoliennes fonctionnent à équivalent pleine puissance environ 20% du temps; les réacteurs nucléaires 80%, donc 4 fois plus. Or l’unité de puissance installée a sensiblement le même coût d’investissement dans les deux cas. Les 27 milliards d’€ du projet éolien français continental produiront donc, chaque année, 4 fois moins de KWh électriques que s’ils étaient investis dans l’énergie nucléaire. Et chaque éolienne vivra, on le sait maintenant, 2 à 3 fois moins longtemps que les réacteurs nucléaires.

    https://www.lesalonbeige.fr/pour-quoi-les-producteurs-de-gaz-et-donc-de-co2-sont-tres-favorables-aux-eoliennes/

  • Fessenheim : le totalitarisme vert contre la Nation.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    La fermeture de la centrale de Fessenheim est un gage donné par le pouvoir au totalitarisme vert. Le Premier ministre, Édouard Philippe, l'avoue : "cette fermeture est une première étape vers le rééquilibrage en faveur des énergies renouvelables".
    Rappelons le prix énergétique de cette "transition écologique" imposée par l'idéologie dominante: une hausse constante du prix de l'électricité depuis 2013, + 1,23 % en juin 2019, + 2,4 % en février 2020, en attendant la prochaine augmentation déjà programmée. Sans parler du coût social de l'abandon de nos centrales.
    L'énergie nucléaire est non seulement propre, non productrice de carbone, génératrice d'emplois, mais elle est aussi bon marché. Elle est enfin un atout majeur de notre indépendance nationale.
  • Éoliennes et massacre de nos paysages : la grande hypocrisie des écolos-gauchistes

    Éoliennes et massacre de nos paysages  : la grande hypocrisie des écolos-gauchistes

    L’essayiste Grégory Roose a publié une tribune dans Valeurs actuelles pour dénoncer les éoliennes et le massacre de nos paysages. Extraits :

    Alors que le gouvernement vient de décider de doubler le nombre d’éoliennes d’ici 2028, les Français ne cachent plus leur agacement envers ces installations industrielles dont l’imposante verticalité brouille l’harmonie visuelle des campagnes et des bords de mer (…) Notre patrimoine paysager est la première victime de cette « lutte contre le réchauffement climatique » qui se trompe d’adversaire. L’enlaidissement des villes n’aura pas servi à éviter celui des campagnes (…) Après le temps de l’urbanisation sauvage, vient celui de l’écologisation organisée, c’est-à-dire du massacre planifié des paysages légitimé par la sacro-sainte « lutte contre le réchauffement climatique » (…)

    Contrairement aux idées émises, elles ne contribuent presque pas à réduire les gaz à effet de serre, et donc le réchauffement climatique, dans une France qui consomme déjà près de 85 % d’électricité décarbonnée grâce aux centrales nucléaires et à l’hydraulique. Par pur dogmatisme, le Gouvernement veut continuer à tartiner la France d’éoliennes pour réduire la part du nucléaire à l’horizon 2035. Mais pour couvrir les besoins énergétiques de la France, il faudrait des centaines de milliers d’éoliennes implantées sur des millions d’hectares. Avec 8.000 éoliennes en service en 2019, la France a déjà dépassé le seuil de tolérance. Dans ces conditions, pourquoi encourager ce viol esthétique de nos paysages, partie intégrante du patrimoine identitaire de la France ?(…)

    L’implantation d’éoliennes répond à une puissante idéologie « anti-nucléaire » (…) En imposant l’éolien, le lobby écolo « anti-nucléaire » prétend à tort réduire le réchauffement climatique et s’arroge par conséquent le droit d’infliger aux Français de nombreuses atteintes à l’environnement : dégradation du cadre de vie, augmentation de la mortalité des oiseaux, extraction d’acier et de métaux rares, bétonnage intensif de bonnes terres agricoles.

    Pour illustrer l’hypocrisie des écolos-gauchistes, la situation du village de Saint-Pierre de Colombier en Ardèche est assez parlante. Une poignée d’écolo-gauchistes s’oppose au projet de la Famille Missionnaire de Notre-Dame de construire au nouvelle église dans le village (voir ici). Les arguments les plus fallacieuxainsi que la diffusion de fake news sont bons à utiliser au nom de l’écologie alors que le combat est en réalité un combat anti-chrétien (voir iciici et ici). Le slogan principal de ces opposants écolos-gauchistes est “Stop béton“.

    Or, l’Ardèche a inauguré en 2017 le plus gros parc éolien de la région :

    Le nouveau parc éolien de la montagne ardéchoise s’étend sur six communes du plateau ardéchois. 29 éoliennes sont réparties sur ce vaste territoire. L’ensemble délivre une puissance de 73,5 mégawatts, ce qui équivaut à la consommation électrique annuelle de 80 000 habitants. C’est le plus gros parc éolien de la région Auvergne-Rhône-Alpes et avec lui, le département de l’Ardèche devient le premier département de la région en matière d’énergie renouvelable (…) Il aura fallu 10 ans pour sortir de terre ces machines aux allures de danseuses hautes de 85 mètres.

    Or, il se trouve qu’il faut énormément de béton pour construire des éoliennes (environ 1 200 tonnes) et que ce béton ne sera jamais recyclé à la fin de fin de l’éolienne. Et là, silence complet des écolos-gauchistes :

    Ces éoliennes seront dotées de mâts hauts de 85 m, supporteront des pales de 41 m de long. Un gigantisme qui induit des efforts importants sur socles béton (massifs poids), ces derniers reprenant toutes les charges de l’éolienne (…) Chaque socle consomme 425 m3 de béton. Plus de quarante tonnes d’acier sont utilisées pour chaque socle.

    Pour soutenir le projet de la famille Missionnaire de Colombier, un site dédié est accessible.

  • L’écologisme, ce faux-nez du mondialisme, par Ivan Rioufol

    L’écologisme, dans sa version macronienne, s’annonce comme une autre manière de promouvoir la mondialisation et le jeunisme, ces deux mamelles du progressisme asséché.

    Ce mercredi 12 février, le chef de l’Etat entend lancer son “tournant vert” aux allures de faux-nez. Emmanuel Macron doit faire oublier la démission de son ministre dépité, Nicolas Hulot, il y a un an et demi. Le président veut surtout sortir de la tempête qu’il a créée sur les retraites, afin de flatter plus sereinement l’idéologie universaliste qui structure sa démarche. Après avoir réuni ce matin son Conseil de défense écologique, il doit se rendre ce soir au pied du Mont Blanc. Reste que son soutien convenu à Greta Thunberg, l’enfant-robot qui prône “la grève de l’école pour le climat”, cautionne une vision politisée et extrémiste de la protection de la planète. Dans une tribune qu’elle a cosignée le 29 novembre 2019, Greta, 16 ans, explique la crise climatique par “les systèmes d’oppression coloniaux, racistes et patriarcaux (qui) l’ont créée et alimentée” ; des systèmes qu’elle et ses amis se proposent de “démanteler”. La mise à sac, lundi, des locaux parisiens du gestionnaire de fonds BlackRock par des militants écolos d’Extinction Rebellion est une manifestation supplémentaire du sectarisme de ce mouvement plus rouge que vert. Il désigne l’Occident, le capitalisme et le mâle blanc comme des ennemis. Le fondateur d’Extinction Rebellion, Roger Hallam, dont la section française a pu bloquer impunément la place du Chatelet à Paris durant cinq jours en octobre, a qualifié la Shoah, le 20 novembre, de “simple connerie de plus dans l’histoire humaine”. L’outrance a été pardonnée par les sermonnaires. Or c’est vers ce gauchisme frustre que penche Macron.

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  • Europe Écologie Les Verts, l’écologie politique à l’extrême gauche

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    Les prochaines élections municipales risquent de se traduire par une forte poussée du vote en faveur des candidats estampillés écologistes. De nombreuses listes qui se présentent ont verdi leur programme. Pourtant, à y regarder de près, l’écologie politique adopte de nombreuses causes qui sont loin de servir la défense de l’environnement. L’enfer est parfois pavé de bonnes intentions.

    Vous l’avez peut-être remarqué autour de vous, la défense de l’environnement, la réduction des déchets et la consommation locale sont des sujets omniprésents, particulièrement parmi les jeunes. Les médias multiplient les reportages à ce sujet et portent la défense de l’environnement au rang de cause nationale. L’époque semble favorable à l’écologie politique.

    Une analyse des positions d’Europe Écologie Les Verts (EELV) montre pourtant que ce parti incarne parfois bien mal la cause qu’il prétend servir. Sur certains thèmes, il se rallie aux propositions les plus radicales et hors sol de la gauche.

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  • Les arnaques de la révolution verte

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    Ecologie, développement durable, économie circulaire, j’en passe et des meilleurs, on n’a que ces mots à la bouche pour caractériser les effets du réchauffement climatique. Sauf que l’on emprunte des chemins  qui ne sont pas les bons et que toute cette tambouille revient à ripoliner les programmes des partis politiques qui n’ont plus d’idées, plus d’électeurs non plus d’ailleurs, et encore moins de saints vers lesquels se tourner, hormis les oiseaux de mauvais augures que sont tous ces zozos estampillés écolos. Mickaël Fonton, dans Valeurs actuelles remet les pendules à l’heure.

    A lire ICI

  • Fessenheim : la rançon électorale à 10 milliards d’euros

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    Un grand rassemblement est programmé, le 22 février prochain, devant la centrale de Fessenheim, entre 15 et 18 heures, organisé par l’association Fessenheim notre énergie, par les Écologistes pour le nucléaire (AEPN), par l’association Voix du nucléaire, par WONUC (World Council of Nuclear Workers) et par un collectif de vétérans du programme industriel historique auquel les Français doivent l’actuel parc de production.

    Ce jour ô combien sinistre de la chute réputée définitive des barres de Fessenheim 1, il sera symboliquement important que ce dernier collectif clame haut et fort la réprobation qu’inspire à de nombreux compatriotes la deuxième forfaiture d’État ayant consisté à attenter, par contrat électoral, à l’intégrité de l’inestimable outil industriel dont ces vétérans dotèrent, non sans mal, le pays et dont ils demeurent très fiers.

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  • Écologie : Marion Maréchal, l’anti-Greta Thunberg ?

    Marion Maréchal a lancé un message clair à Greta Thunberg: le monopole du progressisme sur l’écologie, c’est terminé. Mais la construction d’un « conservatisme vert » peine à émerger, analyse l’essayiste Grégory Roose.

    L’immigration et l’écologie sont les deux défis majeurs que le monde occidental devra relever au cours du XXIe siècle. Lors de la National Conservatism Conference, les 3 et 4 février à Rome, Marion Maréchal a-t-elle amorcé l’idée d’un nouveau «Club de Rome» en annonçant son engagement pour une écologie conservatrice, amorcé lors de la Convention de la droite ?

    Dans un discours où elle s’adresse au pantin verdâtre Greta Thunberg, Marion Maréchal donne clairement le ton : le monopole de l’idéologie progressiste sur l’écologie est terminé. Mais si l’écologie est un combat «naturel» des conservateurs, la construction d’un « conservatisme vert » peine à émerger.

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  • L’empire écologique

    Issue en principe de la droite, car elle aspire à défendre un patrimoine naturel, l'écologie a pourtant été récupérée par la gauche de la gauche et le système mondialiste Cache-sexe de l'extrême gauche pour défendre la submersion démographique du continent européen, elle est aujourd'hui une des cartes maîtresses de l'oligarchie mondialiste pour sa stratégie de prise de pouvoir. Chronique et décryptage des manipulations.

    Personne plus que les combattants identitaires ne souhaite la préservation de l'environnement et des sites qui font le charme de nos pays enracinés. Nous avons hérité d'un patrimoine que notre mère nature a mis des milliards d'années à créer, et que nous avons le devoir de défendre, au même titre que nos terres assaillies par des masses d'allogènes inassimilables. Ce n'est pourtant pas une raison pour cautionner les mensonges actuels qui servent d'ailleurs à dissimuler les vrais problèmes : déforestation, menace sur la biodiversité, saccage des sites par le capitalisme apatride, baisse des réserves halieutiques, disparition des abeilles...

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  • Sur Sud Radio avec André Bercoff, François Gervais - "La France n’est responsable que de 0,9% des émissions de carbone"

    François Gervais, physicien, auteur « L’Urgence climatique est un leurre » est l'invité d'André Bercoff sur Sud Radio.


    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/02/06/sur-sud-radio-avec-andre-bercoff-francois-gervais-la-france-6210647.html