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écologie et environnement - Page 97

  • Huile de palme : ordre, puis contre-ordre, égale désordre. Ou : y a-t-il une guerre civile entre le gouvernement et ses députés ?

    Récapitulons, parce que plus personne n'y comprend rien :

    1. (avant-hier) Macron/le gouvernement annoncent la fin des avantages fiscaux dont bénéficie l'huile de palme : voilà un bon gouvernement, qui oeuvre pour la planète. Greta (Thunberg pour les intimes) va être contente ! On respire...

    2. (hier) En fait, Macron a été élu par l'argent (grands groupes, Drahi et compagnie) : ces groupes se rappellent à son bon souvenir, et le gouvernement, presque en cachette (il nous prend vraiment pour ce qu'on n'est pas...), fait voter le report de la fin de la niche fiscale sur l'huile de palme en 2026.

    3. (aujourd'hui) Patatras : ce qui devait arriver arrive, le tollé est là et tout le monde est furieux : contre "ces" députés et Larem, contre le gouvernement, contre Macron...

    4. (re-aujourd'hui) En catastrophe, le gouvernement fait annuler le vote de la veille. Mais Elisabeth Borne s'était prononcé en faveur de l'amendement voté puis supprimé, alors que le Premier ministre avait demandé un nouveau vote...

    Vous avez mal au crâne ? Vous n'y comprenez plus rien ? Rassurez-vous, vous n'êtes pas les seuls : il semble qu'au gouvernement aussi, on n'y comprenne plus rien, et que le sujet soit, disons, "glissant" !

    Ce qui est sûr, c'est que l'opinion s'est manifestée fortement - et nous avec - et que cette réactivité a fait reculer ceux qui veulent nous imposer ce qui n'est rien d'autre - pardonnez l'expression, mais il y a des moments où il faut parler clair - une cochonnerie.

    Bayard vous explique rapidement ci-après les méfaits de l'huile de palme (il en fera d'ailleurs un de ses prochains articles de sa chronique Alimentaire/Santé)...

    Dans l'huile de palme, il y a beaucoup de mauvaises graisses. La part des acides gras saturés est relativement élevée dans l'huile de palme puisqu'elle se situe aux alentours de 45-55 %, contre une moyenne de 15 % dans les autres huiles. Or, ces acides gras saturés ont un effet hypercholestérolémiant mais avec un effet modéré sur le "bon" cholestérol, le HDL. Par ailleurs, elle est relativement pauvre en acides gras polyinsaturés (de "bons" acides gras comme les Oméga 3 et 6). Les acides gras de l'huile de palme sont effectivement hypercholestérolémiants car ils sont constitués de chaînes longues.

    On retrouve également ces acides gras saturés à chaîne longue dans les produits carnés. Si la viande, les charcuteries… comportent effectivement plus ou moins d'acides gras saturés, ces aliments contiennent aussi d'autres nutriments (fer, minéraux etc.). Néanmoins, leur consommation doit rester modérée et ne pas dépasser 300 g de viande rouge par semaine. La France importe 130 000 tonnes d'huile de palme : 80 % sont destinés à l'industrie agro-alimentaire, 19 % à l'oléochimie (bougies, cosmétiques, etc.) et 1 % aux biodiesels. On la retrouve dans les biscuits/pâtisseries, les margarines, les pâtes à tartiner, les pâtes feuilletées/brisées, les plats cuisinés…

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    Si elle est autant utilisée, c'est à cause de sa richesse en acides gras saturés qui lui confère sa caractéristique principale : cette graisse a la particularité d'être solide à température constante. Son faible coût contribue également à en faire un produit largement répandu dans l'industrie agro-alimentaire et il est également possible de s'en servir en huile de friture. C'est en raison de sa richesse en acides gras saturés que l'huile de palme est notamment accusée d'accroître les risques cardiovasculaires.

    La plupart du temps, l'huile de palme n'est pas indiquée dans la liste des ingrédients et n'est donc pas visible sur les étiquettes des produits de consommation. On la retrouve cachée dans l'appellation lacunaire d'" huiles et/ou matières grasses végétales". Malgré tout, la réglementation actuelle oblige d'énumérer les origines spécifiques en cas de mélanges avec des graisses végétales, d'indiquer l'information nutritionnelle dont les matières grasses et les acides gras saturés ainsi que le type d'hydrogénation (partielle ou totale). Néanmoins, les teneurs en acides gras trans ne sont plus indiquées.

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    On évalue la surface d'exploitation des palmiers à huile à 13 millions d'hectares, principalement en Indonésie/Malaisie d'où la déforestation de l'Asie du Sud Est. Ce sont d'ailleurs les principaux pays consommateurs (tout comme l'Inde, la Thaïlande, etc.). Pour répondre à la demande croissante en matières grasses, les pays tropicaux et particulièrement ceux d'Asie du Sud-Est, se sont mis à largement exploiter leurs terres pour y planter des palmiers à huile. En effet, avec des coûts de production peu élevés et un rendement important, cette culture s'y est largement développée. Si les exploitations agro-industrielles sont majoritaires, il existe également des exploitations familiales.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/11/16/huile-de-palme-pour-francois-6190991.html#more

  • Hôpital public : le mouvement social de trop ? – Journal du jeudi 14 novembre 2019

     

    Hôpital public : le mouvement social de trop ?

    A quelques semaines d’un mouvement social qui s’annonce rude avec la mobilisation de la SNCF notamment, les personnels des hôpitaux publics se mettent en branle et menacent le gouvernement face au manque de moyen dont ils se disent victime.
    La fin de l’année 2019 pourrait bien s’annoncer très compliquée pour l’exécutif.

    Trump : le show télé des démocrates

    Lancée depuis six semaines, l’enquête en vue d’une éventuelle destitution de Donald trump est entrée dans une nouvelle phase. Après une première session à huis clos, les auditions ont été retransmises en direct à la télévision avec pour but d’influencer l’opinion à l’approche de l’élection présidentielle.

    Venise sous les eaux et dans la panade

    La ville de Venise sous les eaux et dans de beaux draps. Ce joyau italien de l’Adriatique voit son existence menacée par les éléments mais aussi par le tourisme de masse et surtout par l’incapacité de finir le projet Mose qui vise à isoler la lagune.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/hopital-public-le-mouvement-social-de-trop-journal-du-jeudi-14-novembre-2019

  • L’éolienne, le grand art de vendre du vent !

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    Guy-Alexandre Le Roux dans L'Etudiant Libre 

    Devant les limites effectives de la production énergétique nucléaire, il est apparu que l’éolienne serait une réponse durable au défi énergétique. Si Don Quichotte voyait dans la moindre auberge un château enchanté, le gouvernement voit dans l’éolienne la panacée de notre transition énergétique. 

    La loi de transition énergétique d’août 2015 prévoit de limiter le nucléaire de 50% vers 2025/2030, or le nucléaire représente 48% de la capacité de production d’électricité, mais produit 75% de notre électricité ! La réforme qu’entend poursuivre Emmanuel Macron repose donc sur une transition quasi-complète de la production énergétique, désastreuse autant sur le plan économique que écologique car elle veut reposer sur l’éolienne.

    Quatre arguments majeurs sont avancés lors des débats :

    - l’éolienne va couvrir durablement la consommation d’électricité ;

    - l’éolienne va soigner le climat ;

    - l’éolienne va réduire la dépendance énergétique de la France ;

    - l’éolienne va remplacer une partie des réacteurs nucléaires pour la sécurité intérieure.

    D’abord, la France n’a pas besoin d’un supplément éolien pour couvrir durablement sa consommation d’énergie car elle exporte 11% de sa production électrique, à prix bradé. La production d’une éolienne est « intermittente » et ne peut fonctionner s’il n’y pas de vent… ni s’il y a trop de vent ! C’est donc une production de basse qualité puisque on ne peut la maîtriser. Au contraire, la production électrique du nucléaire est stable et constante, dite « pilotable », et donc de bonne qualité puisqu’on peut maîtriser sa production en fonction des besoins des consommateurs. De plus, la durée de vie d’une éolienne est de vingt ans en moyenne, alors que le réacteur nucléaire peut être prolongé de vingt ou quarante ans grâce au grand-carénage. Allons demander aux américains ce que leurs 14.000 éoliennes abandonnées ont rapporté.

    On reproche aux centrales nucléaires de polluer et qu’il faut soigner le climat… Un champ d’éoliennes n’est-il pas une pollution visuelle ? Le bruit, les ondes, les blocs de béton enfoncés à des mètres de profondeur, les arbres en fer de 150 mètres de haut, les matériaux utilisés, ne sont-ils pas une pollution grave ? Aujourd’hui, la production d’électricité en France ne représente que 3,6% des émissions de CO2 et cela se réduit encore. La légitimité « verte » et climatique ne tient pas.

    En outre, un supplément éolien ne réduirait pas vraiment la dépendance énergétique de la France. En effet, le nucléaire est dépendant de l’uranium que l’on trouve dans des régions sûres (Australie, Canada) et les recherches aboutissent sur des « générateurs à très faible consommation ». Mais l’éolienne est fabriquée avec des métaux rares comme le tantale dont la fourniture est très compliquée. Elle est en plus généralement fabriquée par des entreprises étrangères, et installées bien souvent par des travailleurs détachés. Admettons qu’en indépendance énergétique, on fait mieux.

    Depuis Fukushima ou Tchernobyl, le risque de l’accident nucléaire civil hante les esprits. La catastrophe japonaise a été causée par un raz-de-marée, ce qui n’arrive jamais en France. D’autre part, l’Autorité de Sûreté Nucléaire est très stricte et vérifie méthodiquement chaque installation. Le risque d’accident est donc extrêmement faible.

    L’éolien n’est donc absolument pas une réponse suffisante ni durable aux limites du nucléaire (pollution, réacteurs, déchets nucléaires, … ), c’est même l’effet inverse ! Un retour au bon sens est nécessaire dans nos politiques. Nous n’avons pas encore développé de producteurs énergétiques qui permettent de faire la transition : attendons quelques années et dépensons notre argent dans les recherches plutôt que dans des installations ultra-coûteuses et court-termistes. L’éolien est un grand mythe, appuyé par des lobbies avec lesquels Emmanuel Macron compte s’entendre en affaires. C’est un grand art que de vendre du vent ! Pas plus qu’on ne combat de géants en Espagne on ne résout notre dépendance énergétique en bâtissant des éoliennes : mais après, comment en vouloir à Jupiter de cultiver des mythes ?

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/11/14/l-eolienne-le-grand-art-de-vendre-du-vent-6190395.html

  • La mission de Greta et les enfants esclaves du Congo

    Par Andrew Korybko − Le 27 octobre 2019 − Source oneworld.press

    Pour quiconque faisant preuve d’éthique, il est impossible de soutenir la mission de Greta en faveur d’énergies durables sans commencer par libérer les enfants esclaves dans les mines de Cobalt du Congo, dont le sacrifice quotidien est aujourd’hui préliminaire à une utilisation en masse de véhicules électrique.La mission de Greta Thunberg, visant à soutenir les énergies propres pour promulguer ce dont elle s’est elle-même convaincue, ainsi que ses millions de followers dans l’apocalypse climatique à venir, implique l’utilisation en masse de véhicules électrique, une alternative réaliste à l’utilisation de combustibles fossiles, mais l’immense problème de cette campagne est qu’elle fait commodément l’impasse sur un fait dérangeant : des dizaines de milliers d’enfants sont réduits en esclavage dans les mines de Cobalt du Congo pour extraire le minerai permettant de fabriquer les batteries nécessaires à cette technologie.
    Même en négligeant le problème de savoir quelle méthode utiliser pour générer l’énergie électrique permettant de charger ces véhicules [ainsi que d’autres « détails » , NdSF], il s’agit d’un grave problème, qui doit être traité aussitôt que possible par les activistes de l’enfance, sans quoi il n’y a aucune voie éthique pour soutenir les positions promulguées par Greta.
    Le journal britannique The Guardian a publié en 2018 l’information selon laquelle au moins 35 000 enfants esclaves, dont certains n’ont pas plus de six ans, travaillent pour cette industrie totalement dérégulée, dans l’un des États les plus pauvres et les plus ravagés par les conflits du monde ; le Congo lutte encore pour sortir de la série de guerres consécutives, qui ont tué plus de cinq millions de personnes au cours des deux dernières décennies, principalement du fait de la famine et des maladies résultant directement de ces conflits.
    Cela fait déjà tache sur la conscience mondiale : ce cobalt extrait par des enfants esclaves est utilisé quotidiennement par des milliards de gens, du fait de leur usage de toutes sortes de gadgets modernes, tels que les smartphones et les ordinateurs, sans que personne ne sache ni même ne s’intéresse aux atrocités commises quotidiennement pour permettre ce niveau de vie, mais tout ceci ne va qu’empirer si les gouvernements du monde prennent au sérieux la mission de Greta et se mettent à subventionner ou favoriser l’achat de véhicules électriques sans prendre le soin de mettre en place des protections humanitaires pour empêcher que des enfants soient traités en esclaves par cette industrie.
    Et ce n’est pas tout, on peut parfaitement avancer l’argument moral suivant : il faut commencer par libérer les 35 000 enfants esclaves, contraints de sacrifier leur vie dans les mines de cobalt du Congo, et leur donner la vie qu’ils méritent, y compris le droit à l’éducation, et des conditions de vie sûres. Tant que cela n’aura pas été réalisé, la mission de Greta ne fera qu’augmenter les souffrances de ces âmes innocentes, qu’elle en ait conscience ou non ; il relève d’ailleurs du devoir de tous ses soutiens de la prévenir de ce qui se passe dans ces mines, afin qu’elle oriente une partie de son activisme pour que ce problème majeur soit traité : ses projets de résolution de la crise climatique en dépendent.
    Si cela n’arrive pas, l’institutionnalisation sans fin d’une hiérarchie du travail racialisée s’en verra établie, où le « milliard de privilégiés », et leurs inférieurs, disposent de niveaux de vie modernes soutenus par les sacrifices des 35 000 enfants esclaves du Congo, qui triment tous les jours dans l’un des environnements de travail les plus dangereux du monde pour extraire les ressources nécessaires à la civilisation contemporaine, comprenant non seulement les gadgets connectés aux technologies de l’information, que pratiquement chacun utilise d’une manière ou d’une autre, mais aussi les véhicules électriques dont dépend la réussite des projets de Greta.
    Quelle honte sur la communauté activiste internationale si ceux qui affirment défendre bec et ongles le bien-être collectif de la planète ne s’intéressent pas aux souffrances des 35 000 enfants esclaves du Congo, dont le travail forcé est à la racine de l’avenir durable qu’ils promeuvent.
    Certains peuvent ignorer cet état de fait, mais d’autres le savent fort bien, et n’estiment simplement pas que cette cause soit assez importante pour qu’on la défende : ils considèrent comme un fait établi le statut d’esclave de ces enfants du Congo, et se sont donc résignés à croire que tel est le prix à payer pour un monde meilleur [On en revient à Voltaire, « C’est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe » , NdSF].
    Une telle attitude est absolument inacceptable, comme le serait celle de refuser avec apathie de partager ces informations avec d’autres activistes en les apprenant : il relève du pouvoir collectif des millions de soutiens de Greta d’unir leurs efforts pour que la solution qu’elle promeut, d’utiliser en masse des véhicules électriques, soit menée conformément aux normes de travail internationalement établies, interdisant le travail forcé des enfants.
    Cette communauté pourrait également lever les fonds nécessaires à la libération de ces enfants esclaves, et assurer qu’eux et leurs familles vivent une vie digne une fois libérés des mines, ou bien, a minima, faire pression sur les gouvernements pour qu’ils fassent quelque chose de tangible en leur nom.
    Il est donc de la plus haute importance que les soutiens de Greta, et d’autres dans la communauté activiste internationale, mettent la priorité sur la libération des enfants esclaves des mines de cobalt du Congo : c’est la première étape pour assurer que la solution envisagée au problème climatique, supposant l’utilisation de véhicules électriques et d’autres technologies voisines, sera éthique.
    Faute de quoi, les efforts de cette communauté ne feront que nourrir involontairement le problème, et contribueront non seulement à ce que les souffrances de ces enfants innocents se poursuivent, mais perpétueront l’institutionnalisation d’une hiérarchie du travail racialisée voulant que des enfants esclaves doivent sacrifier leur vie au travail.
    Andrew Korybko est un analyste politique américain, établi à Moscou, spécialisé dans les relations entre la stratégie étasunienne en Afrique et en Eurasie, les nouvelles Routes de la soie chinoises, et la Guerre hybride.
    Traduit par José Martí, relu par Kira pour le Saker Francophone
    SourceLE SAKER FRANCOPHONE
    http://by-jipp.blogspot.com/2019/11/la-mission-de-greta-et-les-enfants.html
  • Ça chauffe pour les escrocs du climat !

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    Le coup d’œil de Philippe Randa

    Thierry Michaud-Nérard s’en prend sur le site LesObservateurs.ch au Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) qui « ne doute pas que le réchauffement climatique contemporain est directement lié aux activités humaines et aux émissions de gaz à effet de serre » ; un « raisonnement qui ne se vérifie pas systématiquement à travers les chiffres. »

    Ainsi, rappelle-t-il, « pour expliquer la pause du réchauffement climatique, des hypothèses sont émises telles la capacité des océans à absorber davantage de chaleur que prévu, le rôle des multiples éruptions volcaniques qui diffusent des aérosols dans la haute atmosphère et qui filtrent un pourcentage du rayonnement solaire ou la baisse d’activité du cycle solaire en cours depuis 10 ans. »

    Parmi les « climatosceptiques » ou « climato-agnostiques » ou encore « climato-réalistes » – soit tous ceux qui ont le « mauvais goût » (sic !) de rappeler la faiblesse des fondements scientifiques de la théorie de l’origine humaine du réchauffement climatique – Patrick Moore, un des premiers présidents de Greenpeace, s’est exprimée dans les colonnes du magazine Breitbart News pour « dénoncer le canular mondial du réchauffement climatique anthropique. »

    « Moore a expliqué comment les partisans du changement climatique ont su tirer parti et avantages de l’instrumentalisation de la peur et du mythe de la culpabilité artificielle de la propagande anti-diesel anti-CO2. (Il) rapporte que les scientifiques sont cooptés et corrompus par les politiciens et les bureaucraties investies dans la propagande du changement climatique afin de centraliser davantage le pouvoir et le contrôle politiques. »

    Douter du réchauffement climatique dû aux activités humaines – ou seulement déclarer ne pas avoir d’opinion tranchée sur la question – suffit à faire de vous le nouvel hérétique du XXIe siècle. Et pourtant, de plus en plus de voix s’élèvent pour dénoncer la supercherie. Comme quoi, il ne faut jamais désespérer de l’espèce humaine.

    Article paru dans les colonnes du quotidien Présent et sur EuroLibertés.

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • L’inéluctable retour à la terre et ses vertus (Stéphanie Bignon)

    Stéphanie Bignon est une femme atypique : ingénieur, spécialiste des fonds sous-marins, elle a retrouvé l’enracinement par la Foi et le retour à la terre et en parle avec évidence.

  • Les mensonges à répétition des alarmistes du Climat

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    Les climatologues nous mènent en bateau depuis des décennies passant de la prédiction d’une ère glaciaire à la mise en garde contre les dangers d’un réchauffement planétaire.

    Puis lorsque les données ont contredit leur théorie du réchauffement, ils ont encore changé d’avis et remplacé les termes de «réchauffement climatique» par «changement climatique». C’est là qu’en est rendue Sainte Greta Thunberg qui nous supplie de suivre la «science» ! Mais justement que disent les vrais scientifiques ?

    Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Gil Gutknecht*, paru sur le site de Townhall, le 3 novembre.

    Où sont les vrais scientifiques ?

    Il y a environ 45 ans, une poignée de climatologues a accepté de nouvelles preuves et a changé de camp. Ils sont passés de la prédiction d’une ère glaciaire imminente à la mise en garde contre les dangers d’un réchauffement planétaire imminent.

    Grâce à la promesse d’un déluge de subventions fédérales, ils ont été rejoints par un nombre croissant d’universitaires. Ils ont commencé à déclencher les alarmes de réchauffement comme ça se passerait dans une maison remplie de détecteurs de fumée défectueux.

    Aujourd’hui, cette théorie est devenue si courante dans le milieu universitaire que quiconque la remet en question sera banni du campus.

    Sans beaucoup de preuves empiriques, ils ont attribué la responsabilité de leurs prédictions de la calamité atmosphérique à venir. C’était le CO2. Plus précisément, il s’agissait de l’activité humaine en général et de la demande insatiable des Américains en énergie fossile en particulier. Peu importe que le dioxyde de carbone ne représente qu’une infime partie de notre atmosphère.

    https://www.alterinfo.ch/2019/11/06/les-mensonges-a-repetition-des-alarmistes-du-climat/

  • Des nouvelles de Greta Thunberg : c’est la panne sèche !

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    C’est un véritable appel au secours que Greta Thunberg lance au monde entier via Twitter : « J’ai besoin de trouver un moyen pour traverser l’Atlantique en novembre… Si quelqu’un pouvait me trouver un moyen de transport, je serais extrêmement reconnaissante. »

    Car il y urgence pour elle : depuis que l’Espagne a décidé d’organiser la COP25 en lieu et place du Chili, la pauvre Greta est prise de court. Elle le dit elle-même : « Il s’avère que j’ai traversé la moitié du globe dans le mauvais sens. »

    Comique de situation : celle qui, il y a quelques semaines, s’élançait pour une transatlantique de luxe à bord de son voilier décarboné à plusieurs millions d’euros se retrouve coincée sur une grande île, l’Amérique. D’où son appel à l’aide pour un moyen de transport, des financements, ou les deux. Elle qui a tant reproché aux adultes de ne penser qu’au pognon et pas à l’urgence climatique, voilà qu’elle ne cracherait pas dessus si ça pouvait lui permettre d’arriver à bon port…

    Mais attention, pour elle, le voyage par les airs est exclu. Car la demoiselle souffre d’un deuxième syndrome, en plus de celui d’Asperger, le « flysgkam ». Jamais entendu parler ? C’est normal, car Greta Thunberg en est à la fois la créatrice et la victime. C’est une maladie de la honte. Celle de prendre un avion. Elle touche d’autres concitoyens, paraît-il, qui ont une conscience très aiguë des désordres climatiques. Ce n’est pas donné à tout le monde, certes, mais c’est pris très au sérieux. Par la Commission européenne, notamment, qui réfléchit à créer une taxe sur le trafic aérien.

    De quoi faire plaisir à la petite Greta mais qui, pour l’instant, ne règle en rien son urgence du moment : se rendre en Espagne.

    Effectuer la traversée sur son beau voilier dans l’autre sens est inenvisageable : dame Nature l’interdit et ne cédera pas aux coups de gueule et supplications, même d’une adolescente. L’été n’est pas l’hiver et les dépressions et coups de vent en océan Atlantique ne sont pas propices à une telle croisière, aussi médiatique soit-elle.
    L’option traversée sur un cargo ? Pas très sexy pour Greta : un des moyens de transport les plus polluants, paraît-il.

    Et une croisière sur le Queen Mary 2 ? Avec cabine privée, repas à bord et prestiges ? Un peu bling-bling pour l’égérie de la croisade pour la planète. Encore que, des incongruités, on en a vu d’autres dans l’épopée de Greta. Comme, par exemple, le fait que les skippers de la croisière de cet été ont dû faire le voyage en avion pour récupérer le voilier décarboné.

    Il n’empêche, ce SOS tombe à point nommé pour rappeler l’existence de la miss à la conscience du monde. Ses invectives, accusations et crises de larmes avaient fini par lasser. Même Emmanuel Macron s’est agacé. Avec l’affaire du voile, les banlieues à feu et à sang, les Français regardaient ailleurs.
    Le sortilège est peut-être rompu…

    Bonne chance, petite Greta, et surtout, bon vent !

    Sabine de Villeroché

    https://www.bvoltaire.fr/des-nouvelles-de-greta-thunberg-cest-la-panne-seche/

  • Militants écologistes radicaux vs Gilets jaunes : une « convergence » difficile

    Depuis plusieurs mois, les militants écologistes, dont peu sont issus de milieux populaires, multiplient les coups d’éclat. Le durcissement concerne autant leurs modalités d’action que leur projet politique. Ils ne croient plus la préservation de l’écosystème compatible avec le modèle capitaliste de croissance. Cette nébuleuse saura-t-elle pour autant se rapprocher d’autres luttes, comme des Gilets jaunes, et s’entendre sur des stratégies susceptibles de renverser l’ordre établi ?

    Décrochages du portrait du président de la République, grèves pour le climat, blocages de sites d’Amazon, de Monsanto ou de BNP Paribas, actions locales tous azimuts : pas une semaine ne se passe sans un coup d’éclat mené au nom de la défense de la planète. De nombreuses personnes qui n’avaient jamais milité auparavant s’investissent et bousculent les organisations traditionnelles comme Greenpeace, les Amis de la Terre, Attac ou France Nature Environnement. Toutes se disent radicales, c’est-à-dire en premier lieu attachées à prendre les problèmes à la racine, au cœur du système économique et social qui les engendre. […]

    Si des convergences avec les marches pour le climat ont eu lieu dans de nombreuses petites villes, le soulèvement des « gilets jaunes » a mis en lumière une fracture sociale, éclatante à Paris. « Gilet jaune » de Villefranche-sur-Saône sensible depuis longtemps à l’écologie, M. Jérôme Cassiot raconte sa journée du 16 mars 2019 : «[…]On revenait des Champs-Élysées, où c’était quasiment la guerre, et on arrive place de la République, où la ‘Marche du siècle’ pour le climat arrivait. Le contraste était tellement choquant, au niveau visuel, olfactif. Je me suis dit : ‘Là, c’est le monde des bisounours et des bobos. Ils ne veulent pas voir ce qui se passe à côté.’ On était peut-être une trentaine de ‘gilets jaunes’ à ce moment-là et on était transparents. Personne ne nous regardait. » M. Mathieu Bourbonneux, « gilet jaune » à Nantes, nuance : « Certains groupes d’écolos plus radicaux ont préféré manifester directement avec les ‘gilets jaunes’, qui ne sont pas dans la négociation mais pour un changement de régime.» Président des Amis de la Terre, M. Khaled Gaiji l’avoue humblement : «On a raté ce rendez-vous. On a mis du temps à réagir. Il y avait un peu le syndrome ‘bonnets rouges’, avec la peur de l’extrême droite. Ce n’était pas facile, aussi, car les ‘gilets jaunes’ étaient dans des lieux où nos militants n’étaient pas. On a essayé de corriger le tir. Depuis avril, il y a des rapprochements. Mais il y a une question de codes culturels, ce n’est pas naturel, on fait connaissance. » […]

    Le Monde diplomatique

    http://www.fdesouche.com/1292915-militants-ecologistes-radicaux-vs-gilets-jaunes-une-convergence-difficile

  • Changement climatique sur la RTS : Le grand mensonge

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    Pendant que la RTS nous annonce que l’Autriche, eldorado du ski, se prépare à une nouvelle ère sans neige… le Nouvelliste nous dit que des mètres de neige paralysent le pays, à tel point que 66 élèves doivent être évacués en hélicoptère. Cherchez l’erreur…

    La Vérité

    Des mètres de neige sont tombés dans l’ouest et le centre de l’Autriche depuis jeudi dernier. Cette partie du pays est paralysée. Vendredi, 66 élèves d’un camp de sports d’hiver ont été évacués à l’aide d’un hélicoptère militaire.

    Le séjour de sports d’hiver d’un groupe de collégiens allemands en Autriche s’est terminé vendredi, à défaut de ski, par une évacuation en hélicoptère militaire. Ils étaient confinés depuis une semaine dans leur auberge en raison des chutes de neige record.

    L’armée autrichienne a indiqué avoir envoyé deux hélicoptères pour permettre aux 66 élèves et enseignants des environs de Dortmund (ouest de l’Allemagne) de quitter la station de Kasberg in Grünau (centre de l’Autriche) où ils étaient arrivés samedi pour un séjour de ski rapidement avorté en raison des mètres de neige tombés sur une grande partie du pays.

    Le grand mensonge de la RTS

    En revanche, selon la RTS, il paraîtrait que les effets du changement climatique forcent toutefois les stations à adapter leur stratégie pour survivre, arguant que les conséquences du changement climatique se font toutefois déjà sentir dans de nombreuses stations de ski.

    De savoir qui de la poule ou de l’œuf à créé l’autre, on dirait bien que les éminents journalistes de la RTS, payés grassement par nos contributions, ont trouvé la réponse !

    Source RTS

    https://www.alterinfo.ch/2019/03/09/changement-climatique-sur-la-rts-le-grand-mensonge/