De quelles alternatives au pétrole et aux myriades de ses dérivés dont notre espace social est saturé, disposons-nous ? À ceux mentionnées précédemment, ajoutons les agro carburants dont on n'ignore plus, outre leur forte capacité à polluer, qu'ils privent le marché alimentaire de millions de tonnes de céréales. Quant au moteur à hydrogène on est loin d'en maîtriser la technique. Les différentes méthodes de synthèse du dihydrogène font pour le moment appel aux énergies habituelles. Son stockage et son transport n'ont pas trouvé de solution. Enfin les fuites de dihydrogène ne peuvent être évitées et, se mêlant à l'oxygène, sont susceptibles de perturber gravement la couche d'ozone. Une fois encore la preuve est faite que ces «énergies alternatives» ne résolvent pas les graves disfonctionnements provoqués par les énergies fossiles quand elles n'en génèrent pas de nouveaux comme c'est le cas avec les bio-carburants, les éoliennes et même le photo-voltaïque. Si on réduit la part du nucléaire, on sait bien qu'on augmente celle du charbon en particulier en Chine ce qui n'est pas tolérable au regard du dogme de l'effet de serre anthropique. D'ailleurs plus le nucléaire stagne, plus la pression exercée sur les autres ressources se renforce, c'est-à-dire que les prix s'élèvent et le coût social se révèle insupportable.
écologie et environnement - Page 97
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Gaz de schiste, charbon, nucléaire : le mythe des énergies alternatives au pétrole 2/3
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Gaz de schiste, charbon, nucléaire : le mythe des énergies alternatives au pétrole 1/3
Seule la décroissance économique et démographique peut sauver la planète.
Comment peut-on croire sérieusement que les événements survenus au Japon aient une réelle influence sur le maintien des 400 centrales nucléaires en fonction dans le monde. Ou qu'une seule des 150 prévues soit annulée. Sans doute fermera-t-on dans un grand tintamarre médiatique quelques établissements antédiluviens dont il aurait fallu de toutes façons se débarrasser. Quelques projets, pour amuser la galerie, prendront un peu de retard. Mais les puissances globales ont fait depuis longtemps le pari du développement nucléaire. Parce qu'elles ont un besoin démesuré d'énergie afin de poursuivre leur paradigme obligé de croissance illimitée. Or, alors que la population mondiale prolifère et que s'emballent ses exigences de confort et de luxe, les réserves de pétrole plafonnent.
Cette société de la sur-consommation est irriguée par les énergies fossiles et les forces hégémoniques qui ont émergé avec elles sont peu disposées à abandonner leur pouvoir. Aussi l'atome, qui permet de concurrencer le charbon mis à l'index par la charlatanerie du CO2 anthropique, représente-t-il un moment essentiel dans la progression technologique du mythe progressiste. Il suffit de voir l'adulation qui entoure ses pionniers. Quels que soient les avatars subis par les nations, l'idéal prométhéen dont il se pare ne soulève aucune des contestations qu'il rencontre habituellement.
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Sur TV Libertés, écologie : ce que les Verts ne sauront jamais faire, avec Philippe Murer.
Pour une transition écologique respectueuse de notre environnement, restauratrice de nos territoires, valorisante pour les emplois, protectrice de l'avenir... Dans son dernier ouvrage, "Comment réaliser la transition écologie - Un défi passionnant" l'économiste Philippe Murer propose dans un programme détaillé, loin du capitalisme vert comme du catastrophisme ambiant, une méthode simple, pleine de bon sens, avec des mesures concrètes à prendre immédiatement, à rebours de l'écologie telle qu'elle est matraquée dans les médias. Tout ce que les Verts ne sauront jamais faire...
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Sur TV Libertés, écologie : ce que les Verts ne sauront jamais faire, avec Philippe Murer.
Pour une transition écologique respectueuse de notre environnement, restauratrice de nos territoires, valorisante pour les emplois, protectrice de l'avenir... Dans son dernier ouvrage, "Comment réaliser la transition écologie - Un défi passionnant" l'économiste Philippe Murer propose dans un programme détaillé, loin du capitalisme vert comme du catastrophisme ambiant, une méthode simple, pleine de bon sens, avec des mesures concrètes à prendre immédiatement, à rebours de l'écologie telle qu'elle est matraquée dans les médias. Tout ce que les Verts ne sauront jamais faire...
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Les confessions d’un écologiste : pourquoi et comment il a menti en plaidant la cause du catastrophisme climatique
Militant américain de la cause écologiste, Michael Shellenberger publie un livre dans lequel il explique pourquoi et comment il a menti en plaidant la cause du catastrophisme. Témoignage censuré par la bien-pensance. Michael Shellenberger dénonce les déclarations apocalyptiques sur le climat qui sont scientifiquement erronées et politiquement contre-productives. Dans un article censuré par Forbes, il présente ses excuses pour avoir répandu la peur climatique. La version française du texte original en anglais de sa déclaration publiée sur le site du think tank GWPF, a été traduite par l’Association des climato-réalistes. Extrait :
Au nom des écologistes du monde entier, je voudrais m’excuser pour la peur climatique que nous avons créée au cours des 30 dernières années.
Le changement climatique se produit. Ce n’est pas la fin du monde. Ce n’est même pas notre problème environnemental le plus grave. Il peut paraître étrange que je dise tout cela. J’ai milité pour le climat pendant 20 ans et été un écologiste pendant 30 ans. Mais en tant qu’expert en énergie invité par le Congrès à fournir un témoignage objectif, et invité par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) à être expert examinateur de son prochain rapport d’évaluation, je me sens une obligation de demander des excuses pour la façon dont nous, les écologistes, avons trompé le public.
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Le Réchauffement Climatique est devenu un lobby criminel 4/4
L’idéologie du réchauffement responsable des drames du Queensland
Ces considérations sont totalement confirmées par Stewart Franks un hydrologue de l'Université de Newcastle dans les Nouvelle Galles du Sud qui avait montré dès 2003 qu'il était possible de prévoir les inondations en Australie dès lors que le phénomène ENSO (El Niño/Southern Oscillation) subirait l'influence d'un autre phénomène conditionné lui aussi par la température des eaux de surface, l’IPO (Interdecadal/Pacific Oscillation) et selon que celui-ci se trouverait dans une phase positive ou négative. C'est justement le cas en ce moment et cela Franks l'avait prévu en février 2009 lorsqu'il annonçait sur son blog que le climat montrait des signes d'entrée dans une nouvelle phase humide et que le gouvernement devait s'attendre au retour d'une période de 29 à 40 ans dominés par La Niña. En avril 2010, un IPO négatif se mettait en place en présence d'un puissant La Niña. La scène était prête pour des pluies diluviennes.
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Le Réchauffement Climatique est devenu un lobby criminel 3/4
Puisque, justement, l'inénarrable Al Gore dénonce leur fonte accélérée, parlons des glaciers. Concernant l'Himalaya, pris la main dans le sac les zélateurs du réchauffement ont dû reconnaître qu'ils avaient menti. Mais pour le reste ?
D'abord le Mont-Blanc dont on évoque un peu moins ces derniers temps la future disparition. On apprenait en 2010 que le sommet des Alpes non seulement avait augmenté de deux mètres en quatre ans mais que sa glace était passée entre 2003 et 2007 de 14 300 m3 à 24 100 m3. Un phénomène observé à peu près partout dans le monde. Le Moreno en Argentine, le Pio XI au Chili, le Mt Logan au Canada. Tous les glaciers de Norvège. Cinquante en Nouvelle-Zélande. Le Juneau Icefield, le Hubbarb, le Icy Bay en Alaska. Les sept glaciers californiens du Mount Shasta. Dans l’État de Washington le Glacier Peak, le Emmons, le Nisqually, le Crater. Et il manque de glaciologues pour contrôler les milliers de glaciers en vie. À quoi il faut ajouter ce qui se passe aux Pôles. Selon le journal Science des photos satellites montrent que la banquise du Groenland a recommencé à se renforcer et à épaissir, surtout en altitude. S'interroge-t-on sur la raison pour laquelle depuis deux ans plus personne n'évoque l'ouverture pérenne du Passage du Nord-Ouest dans l'Arctique qu'on nous annonçait pour imminente en 2008 ? D'après les Australiens de la Division Antarctique, la glace de mer s'est étendue au cours des 30 dernières années en Antarctique. La portion qui à l'ouest a fondu ne représente qu'un cinquantième de la taille du continent où elle s'est renforcée.
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Le Réchauffement Climatique est devenu un lobby criminel 2/4
Robert Ferguson, président du SPPI, y ajoute cette intéressante remarque : « En dépit des milliards dépensés sur des affirmations officielles concernant la prétendue menace d'un "réchauffement Climatique" anthropique catastrophique, les sondages montrent que le public n'y croit plus. La principale raison pour laquelle les électeurs ont cessé de se faire embarquer c'est que la petite clique, très bien introduite, d'un Climategate copieusement arrosé continue à se faire pincer en train de manipuler les données scientifiques ».
Ce qui s'accorde bien avec le point de vue de Richard Lindzen, physicien atmosphérique de renommée mondiale, bête noire du GIECC, dont il ne cesse depuis des années de contester les affirmations. « Dans la science climatique, écrit-il, inévitablement, lorsque les données entrent en conflit avec les modèles, on peut être assuré qu'une petite coterie de scientifiques sera toujours là pour modifier les données, ce qui est la preuve de l'existence d'une certaine corruption dans la communauté scientifique du climat ».
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L'association "Stop éolien 87" lance une campagne pédagogique sur les éoliennes
Imaginez la multiplication de ces matériaux et de leur impact écologique par 10, 20 ou 30 000 éoliennes comme la Programmation Pluriannuelle de l'Énergie nous l'impose et vous aurez un désastre écologique.
Et voici une seconde leçon qui résume simplement les principaux aspects destructeurs de l'environnement par des machines qui prétendent le sauver. Aucune infrastructure aussi imposante et développant des forces mécaniques sur des surfaces aériennes de presque 2 hectares n'a été implantée dans nos horizons et multipliée par 10, 20 ou 30 000 lieux de nuisances. Il n'y a que des idéologues fanatiques pour croire que cela n'a aucune incidence désastreuse sur l'environnement.
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Il y a plus de glace au Pôle sud qu’il y a 40 ans
Le réchauffement climatique se fait vraiment attendre… L’étendue de la banquise en Antarctique a atteint 13,2 millions de km² en moyenne en juin 2020 : elle est nettement supérieure aux valeurs enregistrées en juin au cours des 3 dernières années, selon les données du Copernicus Climate Change Service (C3S). L’étendue de la banquise en juin 1980 était de 12,5 millions de km².
La concentration de glace de mer en juin 2020 était de 10,6 millions de km² (9,6 millions de km² en juin 1980).
Le pôle Sud est toujours le pôle Sud : froid. Les températures moyennes annuelles ont établi un record de -47 ° C en 2018.
https://www.lesalonbeige.fr/il-y-a-plus-de-glace-au-pole-sud-quil-y-a-40-ans/