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écologie et environnement - Page 95

  • Des batteries quasi éternelles fabriquées à partir de déchets nucléaires.

    Vous êtes nombreux, maintenant, à être fidèles au rendez-vous hebdomadaire que vous donne Bayard, chaque jeudi, avec sa Chronique Alimentaire/Santé. Et vous appréciez la sûreté et l'abondance des renseignements très précis et très pratiques qu'il vous y donne. Il va aujourd'hui quitter sa spécialité habituelle, pour vous entretenir ici d'une information scientifique extrêmement intéressante, dont le proche avenir dira vite ce qu'il faut en penser...

    François Davin, Blogmestre

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  • La théorie du réchauffement anthropique mise à mal par le coronavirus

    Il y en a une qui va peut-être voir son business, ou plutôt celui des personnes qui la manipulent, s’effondrer, c’est Greta Thunberg.

    Car le coronavirus semble avoir au moins la peau d’une idéologie du politiquement correct, celle du réchauffement climatique anthropique.

    Malgré l’arrêt de pans entiers de l’économie mondiale, du trafic aérien, du trafic de voitures, des usines chimiques, sidérurgiques, cimenteries, etc., qui en tout état de cause, selon la doxa du réchauffement climatique anthropique aurait donc du entraîner la chute des émissions mondiales de CO2, le taux de CO2 atmosphérique a cru plus vite en avril entre 2019 et 2020 qu’entre 2018 et 2019 !

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/la-theorie-du-rechauffement-anthropique-mise-a-mal-par-le-coronavirus/120312/

  • Les antinucléaires précipitent le réchauffement climatique, par Jean-Marc Frenove.

    Source : https://lalettrepatriote.com/

    On a tous en tête la décision germanique de fermer les centrales nucléaires et en conséquence, l’augmentation inéluctable de la part du charbon. Les anti-nucléaires allemands prétendaient remplacer l’énergie manquante par des énergies renouvelables, le solaire et l’éolien.

    Ça n’a pas marché.

    Car le solaire et l’éolien sont des énergies intermittentes, aléatoires, et beaucoup trop diffuses pour remplacer les centrales.

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  • Aux Mercredis de la NAR : #55 - François Gerlotto pour son livre “Cataclysme ou transition ? : L'écologie au pied du mur”.

    Mercredi 9 octobre, aux “Mercredis de la NAR” nous recevions François Gerlotto pour son livre “Cataclysme ou transition ? : L'écologie au pied du mur”. Directeur de recherche en écologie marine, François Gerlotto a longtemps publié dans “Royaliste” des articles sur l’écologie et sur l’actualité scientifique sous le pseudonyme de François Villemonteix avant de signer depuis peu sous son nom. Notre collaborateur, membre du Conseil national de la NAR, a publié cet été un livre qui rassemble ses observations et réflexions : “Cataclysme ou transition ? : L'écologie au pied du mur”. Entre les annonces apocalyptiques et la négation radicale de l’urgence écologique, il est impossible de faire un choix raisonné car les discours antagonistes ont une base scientifique faible ou inexistante. C’est à partir d’une connaissance précise des phénomènes démographiques et climatiques qu’il est possible d’anticiper des bouleversements qui ne menacent pas la planète, comme on le dit trop souvent, mais notre civilisation. Il est encore possible de répondre à l’urgence écologique mais à des conditions politiques qui seront explicitées par notre invité.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/index-1.html

  • Bernanos, l'écologie face au modernisme, par Frédéric Poretti-Winkler.

    2633540965.jpgNous n’assistons pas à la fin naturelle d'une grande civilisation humaine, mais à la naissance d'une civilisation inhumaine qui ne saurait s'établir que grâce d’une vaste, à une immense, à une universelle stérilisation valeurs de la vie. Car, on dépit de ce que j’écrivais tout à l’heure, il s’agit beaucoup moins de corruption que de pétrification. » (Georges Bernanos, La France contre les robots)

    Bernanos est aussi un apôtre de l’écologie dans son combat contre la société mécanique, à l’image de Léon Bloy, Simone Weil, Gabriel Marcel, Nicolas Berdiaëff. Il s’insurge contre cette société déclinant vers un monde de « robots » : « dévorée par ses mécaniques comme une bête malade par ses poux ». Cette marche en avant de la technique mène la société vers la catastrophe. Il se retrouve ainsi comme d’autres écrivains comme Jean Giono, Genevoix, Jules Romains, Charles Peguy… La densité comme le nombre des machines, comme les techniques toujours plus sophistiquées ne sont pas sans conséquences sur la vie en société. Une certaine standardisation de celle-ci tend à discipliner de plus en plus l’individu à son rythme mécanique. La rapidité de l’évolution technologique amène des questionnements quant à l’assujettissement de l’homme à la machine. Est-ce que la fin de l’homme sera imposée par les machines ?

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  • « ENTRE 1995 ET 2015, LES RÉSERVES PÉTROLIÈRES ONT AUGMENTÉ DE 52% ! »

    Alban d'Arquin Entre 1995 et 2015 les réserves pétrolières ont augmenté de 52% ! 1.jpeg

    Alban d'Arquin Entre 1995 et 2015 les réserves pétrolières ont augmenté de 52% !.jpegAlban d Arguin est le premier dans notre mouvance à dénoncer clairement les mensonges et les intérêts financiers représentés par l'éolien dans un ouvrage limpide et sans concession paru chez nos amis de Synthèse Nationale. À faire lire absolument aux écolos des villes et aux nouveaux bobos des champs !

    propos recueillis par Eugène Krampon

    Selon vous, sur quoi repose le modèle énergétique français ?

    La France dispose d'un modèle, envié par de nombreux pays, qui combine une production électrique grandement majoritaire provenant des centrales nucléaires, et une production d'origine hydraulique (nos barrages alpins et pyrénéens). Ces deux sources produisent aujourd'hui plus de 90 % de notre électricité. La variable d'ajustement se fait avec un peu d'éolien et de solaire auxquels s'ajoute le thermique (gaz et fuel). Si ce modèle est jalousé, c'est parce qu'il est aujourd'hui nettement moins coûteux que celui d'autres pays et qu'il nous assure une indépendance énergétique appréciable. Mieux, dans la balance des paiements de la France, l'exportation d'électricité occupe une part non négligeable. Se lancer à corps perdu comme certains le voudraient dans les énergies soi-disant renouvelables est un non-sens et une aberration politique, économique et énergétique.

    En vue de la raréfaction annoncée des énergies fossiles, l'éolien ne peut-il pas être une alternative crédible et bon marché ?

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  • Sur le gaz de schiste

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    Le 22 décembre 2017, la cour administrative d'appel de Versailles confirmait l'annulation du permis de rechercher des hydrocarbures dont le gaz de schiste dans le Sud-Est de la France. Si Total peut encore contester cette décision devant le Conseil d'État, c'est une belle victoire pour les opposants qu manifestaient en nombre à Barjac (Gard) en février 2016.

    Les méfaits du gaz de schiste ont été popularisés par le documentaire américain de Josh Fox, Gasland, en 2010, malgré un contre-documentaire, TruthLand, sorti trois ans plus tard.

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  • Fermeture de 14 réacteurs : un gâchis financier, humain et climatique, par Philippe Murer.

    Sources : https://www.causeur.fr/

    http://leblogdephilippemurer.com/

    Un décret du gouvernement du 23 avril, passé inaperçu dans cette période d’épidémie, grave dans le marbre la fermeture de 14 réacteurs nucléaires pour les 15 années à venir[1].

    Un terrible gâchis climatique, financier et humain.

    Ces 14 réacteurs représentent le quart du parc nucléaire français. Les centrales nucléaires, décriées par les écologistes, ont pourtant rendu un sacré service au climat en économisant depuis 40 ans de gigantesques quantités d’émission de CO2. Elles rendent aussi un service important à l’emploi et à l’économie française puisque la filière nucléaire emploie 250.000 personnes. Le gâchis financier qui résulterait de leur mise à la casse est lui aussi énorme, la construction des centrales françaises ayant coûté 96 milliards d’euros selon la Cour des Comptes.

    Mettre à la casse de telles unités de production d’électricité, avant leur fin programmée, est un gâchis : gâchis d’argent par dizaines de milliards d’euros, gâchis d’emplois bien rémunérés, gâchis dans la lutte contre le réchauffement climatique.

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  • La révolution est dans l’assiette

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    Par Périco Légasse*

    Alors que l’agriculture paysanne se met en ordre de bataille pour maintenir et renforcer les circuits courts malgré le confinement, que des élus, des associations de consommateurs, des citoyens engagés se démènent pour développer des réseaux de proximité, notamment avec l’installation de drives paysans, permettant aux Français d’accéder à des aliments de qualité tout en soutenant les producteurs émérites durant cette période de crise, une autre France, souvent la même à l’heure de la débâcle, se précipite vers les fast-foods ayant rouvert leur vente à emporter. Files interminables, malgré l’attente, pour arracher un petit paquet de merde saturé de sucres et de gras insalubres. Les scènes font frémir en ce sens que, quoi qu’il arrive, les addictions de masse vers la mal- bouffe semblent inscrites dans certains gènes sociétaux.

    Tout continue donc comme avant... Les plus pessimistes considèrent en effet qu’au-delà des promesses politiques et des serments philosophiques, une fois l’ouragan calmé et quelques gestes symboliques concédés en guise de B.A., les vieux réflexes reprendront vite le dessus. Ni Wall Street ni les Gafam ne se laisseront si facilement déposséder des outils du profit néolibéral globalisé. Comptons sur leurs séides et leurs satrapes pour veiller au grain.

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  • Le nucléaire et les énergies renouvables, notre humanisme.

    « Faisons remarquer, en passant, que ce n'est pas être belliciste, que d'être partisan de la défense armée de la vie, pas plus que ce n'est pas être fasciste que d'être sincèrement DEMOPHILE, sous l'égide d'une direction sociale unique, continue et traditionnelle et non pas démocrate, dans le désordre permanent des multiplicités de directions incompétentes... » (Docteur P. CARTON). Nos études sur le sujet remontent aux années 80 où sous ce titre, une chronique était publiée dans « Le Paysan Biologiste » et dans « France Paysanne et Rurale ».

    Dans la « Rubrique Ecologique » du journal : « Le Paysan Biologiste » (num. 55, 1er trimestre 1988), j'écrivais à propos du nucléaire : Cette forme d'énergie représente aux yeux de certains (EDF, gouvernement) une solution « propre ». On ne remplace pas le pétrole et le charbon par une source énergétique dont on ne maîtrise ni les conséquences (en général catastrophiques) en cas d'accident, ni le stockage illimité des rebus de sa production... Les cités et lieux de travail pourraient parfaitement jouir pour le chauffage et l'éclairage d'un mélange de gaz, de géothermie, de solaire, etc. Les solutions existent encore faut-il ne pas les nier. La radioactivité est une menace qui peut durer et se chiffrer en milliers d'années. Le péril chimique est plus contrôlable mais n'en demeure pas moins un grave danger. Le développement économique ne doit pas s'exercer, comme ce fut le cas pendant le XIXe siècle, sur la misère populaire. Cette fois-ci le martyre, serait dans une dégradation inévitable de la santé due aux retombées chimiques néfastes, mal contrôlées, d'une production industrielle ubuesque. Après Tchernobyl, de sinistre mémoire, ce fut une désinformation totale de la part de la république antisociale, qui nous a expliqués sans ciller que le nuage radioactif venu d'Ukraine s'était arrêté aux frontières de la France. La catastrophe Japonaise de Fukushima nous fut livrée, par les mass-médias, aux ordre de l’Etat, comme sans conséquence (sic) pour notre santé. Il est vrai que la situation avec le nucléaire vendu comme indispensable, à force d'arguments économiques et scientifiques, nous fait penser à une politique de « gribouille », d'apprentis sorciers des premiers âges de notre civilisation… A la moindre alerte catastrophique, cette énergie non maîtrisée entraîne de graves conséquences, souvent irréductibles. Il ne reste alors que les incantations, triste situation au XXIe siècle, de la part d'une société matérialiste redécouvrant l'humilité, en étant acculée à la prière dans un ultime appel à Dieu, bref pourquoi pas… On nous dit qu'il y avait plus de morts avec le charbon, mais doit-on pour cela faire de telles comparaisons et cela voudrait-il dire que nous regrettons le charbon ?

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