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économie et finance - Page 209

  • Lidl : la face sombre du hard-discount

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    Arnaud Raffard de Brienne

    Les récentes bousculades et piétinements dans les magasins Lidl prouvent, contre toute évidence, la pugnacité de nos concitoyens dès lors qu’il s’agit de lutter pour de nobles causes. En l’occurrence, pour bénéficier de prix particulièrement bas sur un robot de cuisine, le Monsieur Cuisine Connect que la chaîne de supermarchés Lidl avait décidé de déstocker avant une possible interdiction de vente imposée par voie judiciaire au motif d’une contrefaçon présumée au détriment d’un robot aux fonctions identiques de la société Vorwerk mais vendu près de quatre fois plus cher.

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  • Politique & Eco n°291 avec Valérie Bugault : De l’Etat profond au gouvernement mondial

    ère interdisant le libre arbitre au profit de puissances financières qui se sont emparées du pouvoir et de la technologie. Aujourd’hui, la machine s’emballe. L’Etat profond, outil de l’oligarchie, a installé une dictature sanitaire dont le port du masque est le symbole de sa toute-puissance… le Grand Test de la soumission avant le Grand Reset, sorte de nouveau contrat social et environnemental permettant l’avènement d’un gouvernement mondial d’essence totalitaire. Pour empêcher un tel plan, Valérie Bugault, ancienne avocate fiscaliste reconvertie dans la géopolitique juridique et économique, propose de réformer le droit, moyen essentiel qui véhicule une culture, une conception du monde et de la vie en commun. Réformer notre droit, soumis au droit anglo-saxon utilisé comme arme de destruction des peuples. Valérie Bugault est l’invitée de « Politique &Eco ».


    https://www.tvlibertes.com/politique-eco-n291-avec-valerie-bugault-de-letat-profond-au-gouvernement-mondial

  • Aujourd’hui les bulles, demain l’inflation, après-demain l’explosion

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    Marc Rousset

    La flambée récente du Bitcoin, actif spéculatif sans valeur intrinsèque, au-dessus de 60.000 dollars, qui évolue en fonction de l’offre et de la demande, relève de la bulle. Un CAC 40 à 6.000 points, parce que les taux d’intérêt sont ridicules, au lieu d’être normalement à 8 % et 10 % pour une France et une Italie en faillite, avec des Bourses au tapis, relève de la bulle. Il n’y a qu’aux États-Unis où le « Commandeur » taux d’intérêt rappelle sa présence, avec un taux à 10 ans sur les obligations d’État américaines à 1,6177 %, soit son plus haut niveau depuis février 2020. Les indices des Bourses américaines sont préoccupés par l’inflation qui pourrait arriver plus vite que prévu. Les marchés volent de record en record car il n’y a plus de limites, avec l’endettement sans fin des États (les 1.900 milliards de dollars du plan Biden) ainsi qu’avec les soutiens non conventionnels de la Fed et de la BCE, mais le Système évolue d’une façon irréversible vers l’inflation, la perte de confiance dans les monnaies et l’explosion à terme.

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  • Les conséquences économiques, sociales, psychologiques risquent de causer plus de dégâts que le Covid-19

    Les conséquences économiques, sociales, psychologiques risquent de causer plus de dégâts que le Covid-19

    Extrait d’une tribune de Jean-Loup Bonnamy dans le dernier numéro de la Nef (intégrale ici). La partie que nous reproduisons reflète assez bien la situation :

    « 73ème.

    Telle est notre exécrable position dans le classement des pays au regard de leur gestion de la crise du Covid-19 publié par l’institut australien Lowy. Triste contre-performance pour la sixième puissance mondiale. Et le journal allemand Die Zeit qualifiait la France confinée « d’Absurdistan ». L’erreur de la France a été d’axer toute sa stratégie sur une approche punitive et restrictive (confinement, couvre-feu, fermeture des bars et restaurants…) destinée à faire baisser la circulation du virus.

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  • Antibiotiques Les cliniciens aboient, l’industrie prospère (2016)

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    Les générations successives de familles d’antibiotiques ont toutes engendré des formes nouvelles d’antibiorésistance. On assiste même aujourd'hui à l’émergence de bactéries dites « hautement résistantes ». Lesquelles sont de redoutables tueuses. Pas moins de 10 millions de morts annuelles à l’horizon 2050. Passée un certain seuil critique, la médecine nuit à la santé, disait Ivan Illich. Il appelait cela la contre-productivité. La preuve par les antibiotiques ?

    Les voies du salut sanitaire ne sont pas pénétrable. Elles sont seulement mortelles. C’est la leçon des antibiothérapies. Les morticoles s’agitent. Un cas chinois publié en décembre 2015, et un cas américain publié en mai 2016, ont montré que les résistances bactériennes aux antibiotiques ont évolué. Jusqu’alors, la plupart des résistances relevaient d’une mutation chromosomique dans une bactérie, laquelle bactérie transmettait à ses descendantes son caractère muté, ce qui permettait le développement d’une nouvelle souche antibiorésistante.

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  • Le Covid-19 enrichit les milliardaires et appauvrit le reste du monde

    Deux rapports publiés la semaine dernière documentent la disparité considérablement croissante entre les personnes les plus riches du monde et le nombre croissant de familles vivant dans la pauvreté en raison des politiques gouvernementales COVID-19.

    Un rapport de l’Organisation internationale du travail (OIT) des Nations Unies a révélé que «8,8% des heures de travail dans le monde ont été perdues par rapport au quatrième trimestre de 2019, ce qui équivaut à 255 millions d’emplois à temps plein». Cela équivaut à une perte d’emploi «environ quatre fois plus importante que lors de la crise financière mondiale en 2009.»

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  • Le corporatisme au service du localisme. Le nouveau livre de Guillaume Travers.

    Le corporatisme a mauvaise presse, il est quasiment devenu synonyme d’immobilisme. Mais à l’heure des « bullshit jobs », il pourrait redonner un sens au travail. Dans un nouvel essai, clair, synthétique et dense, qui ne surévalue pas les vertus de son objet (pas plus qu’il ne les sous-estime), « Corporations et corporatisme. Des institutions féodales aux expériences modernes », paru aux éditions de la Nouvelle Librairie, Guillaume Travers retrace l’histoire de ce qui fut bien plus qu’un mode d’organisation des métiers : l’expression d’une vision de l’ordre social. Avec ce nouveau volume, l’économiste d’« Éléments » et de l’Institut Iliade poursuit ainsi son exploration du temps long économique, en quête d’expériences et de modèles susceptibles de constituer des alternatives au rouleau compresseur de l’économiquement correct.

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  • Vive le nucléaire *

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    Gaëtan de Capèle

    Faut-il rayer le nucléaire de la carte du monde ? Les écologistes en rêvent depuis la catastrophe de Fukushima. Cet événement, né d’un tsunami et non d’une défaillance de la centrale japonaise, a marqué un tournant dans la guerre entre ati et pro-atome. Le choix radical de l’Allemagne d’y renoncer quasiment du jour au lendemain a galvanisé les procureurs verts. Chez nous, la promesse de fermer Fessenheim, arrachée à François Hollande et exécutée par Emmanuel Macron, leur donne des ailes pour exiger une sortie définitive du nucléaire.

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  • Le nucléaire: un atout stratégique crucial pour l’Europe (Présent)

    L’explosion démographique du tiers-monde est le fait historique majeur de la seconde moitié du XXe siècle, quoiqu’il ne soit inscrit dans aucun livre d’histoire, faute d’un événement capable de le matérialiser, au moins symboliquement. Cette explosion a donné trois enfants : une Afrique à la démographie gigantesque, pouvant submerger les continents et subcontinents voisins ; une Chine à la démographie stagnante mais à la masse critique colossale, orientée vers la techno-dictature et en phase d’ascendance géostratégique via les puissances militaire et financière ; et l’Inde, à mi-chemin entre les deux. Ces populations ont désormais des désirs de consommation occidentaux, avec les besoins que cela implique. Deux problèmes : la nourriture et l’énergie.

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