économie et finance - Page 216
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La casse économique et sociale : de la responsabilité des élites. Novelli - Gave - Pascot
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Pourquoi le cabinet McKinsey et d’autres sociétés privées ont-ils pu s’emparer de tous les rouages de la campagne de vaccination en France ?
Les liens étranges entre le cabinet McKinsey et Emmanuel Macron ont déjà fait l’objet de bien des articles, y compris même parmi la presse subsidiée.
Au fil des semaines, on s’aperçoit que c’est ce cabinet privé de consultants et quelques concurrents qui préparent tous les dossiers chauds du gouvernement.
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La France bat son triste record de déficit commercial en 2020…
Par Olivier Piacentini, essayiste dissident (ses livres ici) :
« Les chiffres de déficit commercial de la France sont tombés, et ils ne sont guère flatteurs pour notre pays : en 2020, le déficit commercial récurrent de la France s’est encore creusé, à près de 84 milliards, record battu après les 70 milliards de l’année 2019… Nos exportations reculent encore, nos importations se maintiennent, tous les indicateurs sont dans le rouge.
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La vraie pandémie dont souffre la France ? Le gaspillage public... par Agnès Verdier-Molinié.
Agnès Verdier-Molinié à Paris, le 2 février 2021. — © JOEL SAGET/AFP
Dans son essai "La France peut-elle tenir encore longtemps ?", l’essayiste libérale pourfend la tentation hexagonale d’une hausse illimitée des dépenses publiques. Le mur de la dette existe...
Nous sommes d'accord avec l'analyse d'Agnès Verdier-Molinié.
Nous nous contenterons juste de rappeler que l'on dit toujours "en France", ou "la France", ou "chez nous" mais, pour nous, cette formulation est une erreur : c'est "le Système" qu'il faut dire, pas "la France". Avec la Royauté, nous avions un régime qui était "la flèche du progrès" (expression de Pierre Debray); c'est la République idéologique, instaurée en 1875, qui a transformé ce pays-phare, par et à cause du monstre étatique obèse, impuissant et paralysant qu'il a engendré.
C'est donc ce Système qu'il faut remettre en cause si l'on veut remettre en ordre.
Il faut abolir ce Système néfaste, et redevenir ce que nous étions "avant" : "la flèche du progrès.
Pour cela, il nous faut retrouver l'Institution qui nous est naturelle et consubstantielle, puisque c'est elle qui a fait la France, et qui en a fait le premier pays du monde, au moment où a éclaté la funeste Révolution : notre Royauté traditionnelle...
Voici le texte d'Agnès Verdier-Molinié :
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L’Etat veut mettre la main sur les 200 milliards d’euros épargnés par les Français
Faudra-t-il rembourser la dette contractée durant le Covid ? D’Esther Duflot (prix nobel d’économie) à Marine Le Pen, en passant par Bruno Le Maire, quasiment tout le monde pense qu’il faudra bien rembourser. Reste à savoir comment…
Le gouvernement avance qu’il n’y aura pas de hausse des impôts et « en même temps » un endettement illimité (« quoi qu’il en coûte »). On se demande par quelle baguette magique, l’Etat va régler le sujet… Depuis quelques jours, l’Etat a sorti cette baguette magique : c’est l’épargne des Français.
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Lamballe (Côte d’Armor) : les Jeunes agriculteurs bloquent l’entrée de Leclerc et Aldi
Après avoir semé le désordre dans les rayons de plusieurs grandes surfaces, samedi 20 février, à Lamballe (Côtes-d’Armor), les agriculteurs continuent, ce mardi 23 février leurs actions pour dénoncer
le manque de rémunération
de leurs produits. -
La dette française est la plus internationale après celle des Etats-Unis. Mauvaise nouvelle !
C’est une mauvaise nouvelle pour tous ceux qui rêvent d’annuler la dette de notre pays d’un simple trait de stylo. Annuler la dette est nettement plus difficile quand on la doit aux autres, aux investisseurs institutionnels et internationaux plutôt qu’à ses propres citoyens comme c’est le cas au Japon par exemple.
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Biden a choisit l'inflation et cela change tout !!
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Premières craintes d’inflation et d’augmentation des taux d’intérêt
Marc Rousset
L’indice CAC 40 a progressé de 1,23 %, au terme d’une semaine où ont ressurgi les inquiétudes liées à un grand retour de l’inflation dans les pays développés. Le Dow Jones a grappillé 0,11 %, mais le Nasdaq et le S&P 500 ont baissé respectivement de 1,5 % et 0,71 %. Les investisseurs apprécient les politiques monétaires laxistes pour tenter de raviver l’inflation et la croissance dans un monde déflationniste, mais beaucoup moins les risques réels d’inflation et de hausse des taux d’intérêt obligataires, ce qui les rend nerveux. Les banques centrales se montrent toujours accommodantes, mais leur position pourrait rapidement apparaître intenable ; elles pourraient être amenées à changer, plus rapidement que prévu, de braquet et de politique monétaire.
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La vraie liberté : le protectionnisme par les normes
Les normes sont souvent envahissantes, mais elles peuvent constituer d’efficaces barrières protectionnistes - et protéger par là nos assiettes, nos élevages et nos éleveurs.
Il n’y a pas que l’automobiliste dans sa voiture ou le télespectateur sur son canapé qui souffrent des effets d'une sédentarité excessive. Il en va de même pour le porc ou la vache en stabulation entravée. L’animal a alors tendance à accumuler davantage de graisse dans ses tissus musculaires. Qu’à cela ne tienne ! La ractopamine est là pour arranger ce problème. Donnée à des animaux d’élevage, cette molécule, appartenant aux médicaments bêta-agonistes, diminue la teneur en graisse de leur viande. Dope à la ractopamine, un porc parvient a maturité en seulement trois mois, contre six a sept mois habituellement. Les trois quarts des pays du monde, dont la Chine, la Russie et l'Union européenne, en interdisent l'usage, tandis que l’industrie agro-alimentaire des États-Unis et du Canada y a largement recours - sauf pour la viande destinée à l’exportation. Ce type de norme est un exemple, parmi tant d’autres, de ces « barrières non-tarifaires » qui sont des cibles pour les promoteurs du libre-échange, en l’occurrence dans le cadre des négociations sur le Traité transatlantique.