Le bradage de la branche Energie d'Alstom à General Electrique fin 2014, relève de la haute trahison. Il a eu pour conséquence de placer entre les mains des Américains, non seulement notre indépendance énergétique, mais aussi notre force de dissuasion nucléaire, puisque Alstom produit à la fois les turbines de nos centrales nucléaires et des pièces importantes du porte-avion Charles-de-Gaulle et de nos sous-marins nucléaires. Or, Emmanuel Macron a joué dans cette affaire un rôle suffisamment trouble pour qu'une enquête ait été ouverte par le Parquet national financier, à la demande du député Olivier Marleix, président de la commission d'enquête parlementaire sur les décisions de l’État en matière de politique industrielle. L'actuel Président de la République, qui avait donné son feu vert à cette vente lorsqu'il était ministre de l’Économie, en 2014, est suspecté d'avoir bénéficié d'un « pacte de corruption » qui lui aurait permis de financer sa campagne électorale.
Lire la suite