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économie et finance - Page 217

  • Renationalisons les autoroutes !, par Nicolas Dupont-Aignan.

    "Cet été, vous allez sans doute prendre l'autoroute et vous faire racketter à chaque péage ! Mais saviez-vous qu'un scandale d'Etat se cache derrière la privatisation des autoroutes depuis 2006 ?
    Renationalisons-les pour les rendre gratuites : c'est possible et ce serait une bonne affaire pour le contribuable !"

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/08/16/renationalisons-les-autoroutes-par-nicolas-dupont-aignan-6257806.html

  • Crise : après une simple correction, l’or va continuer de grimper

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    Après une correction spectaculaire, ce mardi 11 août, la plus importante depuis 2013, les métaux précieux sont repartis à la hausse. Alors qu’il avait dépassé les 2.070 dollars l’once, l’or est très vite repassé sous les 2.000 dollars, et même sous la barre des 1.900 dollars, mais pour terminer à 1.936,20 dollars, ce vendredi 14 août. La correction a été initiée suite à une prise de profits, mais du côté des fondamentaux économiques, rien n’a changé car les dettes, les créations monétaires, les dépenses publiques et déficits publics, quelques conflits possibles sont toujours présents.

    L’endettement va empirer et la seule porte de sortie est l’inflation. La plupart des pays sont engagés dans des programmes de relance sans précédent. Simultanément, la pression de la  qui a permis de limiter l’inflation diminue. Même en cas de signes d’inflation, les  centrales ne relèveront pas les taux d’intérêt pour la maîtriser, de peur d’empêcher une éventuelle reprise économique et de diminuer l’inflation qui aide à résoudre le problème de la dette irremboursable.

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  • L'horreur économique, c'est maintenant

    L’utilisation de l’intelligence artificielle à grande échelle au sein des géants économiques mondiaux risque d’envoyer à la casse toutes les structures économiques existantes… Tant pis pour les travailleurs vive le salaire universel !

    Des masses occupées à se divertir, libérées des travaux aliénants ou répétitifs, confiés à des machines et des ordinateurs de plus en plus « intelligents ». Il ne s'agit pas d'une énième dystopie, prétexte à un film de SF au scénario léché, mais du programme que nous concoctent les élites mondiales de Davos et du G7.

    Les plus grands décideurs politiques et économiques ont vanté, lors du sommet de Davos de janvier dernier, la « quatrième révolution industrielle », celle de l'Intelligence artificielle (IA), de la robotique, des biotechnologies. Un thème déjà au centre des préoccupations des éditions 2016 et 2017. Cette révolution consiste à faire faire par l'IA, « toutes les tâches effectuées par des machines, qui seraient considérées comme intelligentes si elles étaient faites par l'homme », pour reprendre une définition du MIT (Massachusetts Institute of Technology), les perspectives sont ébouriffantes.

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  • 7,2 milliards d’euros: en moins de dix ans, les subventions de l’État aux associations ont été multipliées par cinq

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    Par 

    Jamais autant d’argent n’avait été distribué par l’État français aux structures associatives. Leur nombre a sensiblement augmenté depuis plusieurs années, contribuant à faire exploser la note pour le contribuable. Gabegie ou réelle utilité publique? Analyse.

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  • La maladie infantile du capitalisme 2/2

    Il en va différemment pour la contre-culture. Elle a tiré le texte freudien du côté de Wilhelm Reich et de Michel Foucault, du côté du « ça », du monde des pulsions et de l'« histoire de la folie ». L'important, c'est l'inconscient, le refoulé, la maladie mentale, le monde des rêves. Le désir est innocent en soi. La déviation est politique. La révolte nous libère. Mais de quoi ? Des autres. Car c'est une liberté à l'usage d'autistes. Les néolibéraux vont logiquement la privatiser. Il n'y a plus de chose publique, puisque la société est le heu de l'arbitraire et de l'aliénation bourgeoise. « La société ? Ça n'existe pas ! », clamait Margaret Thatcher. Reich ne l'aurait sûrement pas démenti, lui qui s'accrochait à son délire phalanstérien et à son pansexualisme cosmique. Marcuse rectifiera le tir. La révolution continuera d'être perçue chez lui comme un immense camp nudiste, mais du moins cherchera-t-il à surmonter - en vain - les apories de la libération du désir, laquelle revient à libérer sa violence et à déchaîner les instincts. Mais aux yeux de l'auteur d'Eros et civilisation, cette fatalité de la violence, qu'il ne niait pas, trouvait son explication dans la rareté des biens disponibles et la rivalité pour s'en emparer, en aucun cas dans des racines anthropologiques plus profondes. Une société d'abondance corrigerait ce vice d'origine des sociétés humaines (et non pas de la nature humaine) et (r)établirait un monde édénique. La violence des passions se résorbera d'elle-même dans le surplus de la production. On peut rêver.

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  • La maladie infantile du capitalisme 1/2

    De l’avant-garde élitiste à la contre-culture de masse, la révolte antibourgeoise est tombée sans crier gare dans le chaudron de la cuisine libérale... C'est là la grande leçon du XXe siècle : le meurtre du père aura laissé la table rase. Dès lors, la rébellion permanente et consentante n'est plus guère que le régime de croisière du capitalisme. Il faudra décidément trouver autre chose !

    La rébellion est la maladie infantile du capitalisme, au sens où Lénine disait du gauchisme que c'était la maladie infantile du communisme. L'expérience inutile que requiert l'adhésion à la société marchande. À travers elle, les démocraties de marché célèbrent une liberté dérisoire qu'elles ont d'ores et déjà concédée à chacun. La rébellion décrit une immense antiphrase, un conformisme pris par la queue : le conformisme de l'anticonformisme. Un non qui ne dit pas son oui. « Le nouveau rebelle est très facile à identifier : c'est celui qui dit "oui" », disait déjà Philippe Muray. C'est en déviant qu'il s'aligne, en contestant qu'il consent, en s'opposant qu'il s'intègre.

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  • Augmentation du cours de l’or jusqu’à l’effondrement du Système, par Marc Rousset.

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

    Le lingot cote déjà 55.630 euros, à , soit +27,01 % depuis le début de l’année. À Londres, l’once d’or est passée, en un an, de 1.500 à 2.030 dollars. Ces 30 derniers jours, son prix a grimpé de 1.800 à 2.030 dollars. Jusqu’où l’or et l’argent vont-ils monter ? Réponse : augmentation continue du cours de l’or jusqu’au déclenchement de l’hyperinflation au printemps 2021, puis augmentation accélérée et à la verticale du cours de l’or, avec explosion probable, entre-temps, de la zone euro, jusqu’à l’effondrement du Système en 2022. Bref, le schéma exact de la République de Weimar en 1923. Le seul élément réjouissant de la folle saga qui nous attend : Macron, le beau parleur, ne sera pas réélu.

    L’once d’or a dépassé, pour la première fois, la barre symbolique des 2.000 dollars, le mardi 4 août, à 16 h 15 GMT. L’or n’est pas le reflet d’une angoisse injustifiée mais le reflet de la politique irresponsable du n’importe quoi des autorités politiques et monétaires des démocraties occidentales, et tout particulièrement en France depuis quarante ans.

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  • Photonis : le Régime brade encore à l’étranger une entreprise stratégique française

    Le Régime brade encore une entreprise stratégique française (Photonis est un groupe français, fondé en 1937, qui fabrique principalement des instruments de mesure et d’enregistrement optiques à des fins scientifiques, techniques et militaires) !
    Sur ce thème scandaleux, on pourra lire notamment le livre La France vendue à la découpe, de Laurent Izard.

    « Photonis deviendra américain aurait décidé l’Élysée. Pour pallier la perte de souveraineté provoquée par la cession de cette entreprise stratégique, la France entend imposer au groupe américain des «conditions». Une stratégie qui, par le passé, s’est avérée peu concluante… en témoignent les fiascos des cessions d’Alstom et d’Alcatel-Lucent.

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  • Déficit de la Sécurité sociale : les seniors seront-ils encore spoliés ?

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    Le magazine Capital a interrogé Cyrille Isaac-Sibille, député MoDem du Rhône, rapporteur pour la partie assurance-vieillesse du projet de la Sécurité sociale qui sera voté avant la fin de 2020. Selon ce député, il est encore trop tôt pour évaluer les pertes de cotisations sociales en 2021 liées à la crise sanitaire et les dépenses supplémentaires, surtout qu’on ne connaît pas l’évolution de la pandémie.

    Selon Les Échos, en 2020, le déficit propre à la Sécurité sociale serait de 50 milliards alors que, fin 2019, on ne prévoyait que 5,6 milliards. Le trou accumulé serait, en 2024, de 130 milliards d’euros avant une éventuelle stabilisation. De ce fait, le prélèvement de la CRDS (0,5 % sur tous les revenus) qui ne sert qu’à rembourser le trou de la Sécurité sociale et qui aurait, en principe, dû se terminer en 2024 (mais on a rarement vu des impôts disparaître…), sera prolongé au moins jusqu’en 2033, sinon plus, si nos comptes sociaux ont du mal à se rétablir. Objectivement, il s’agit de la création d’un nouvel impôt alors que M. Macron et son gouvernement avaient juré qu’ils ne feraient pas payer la crise aux Français.

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  • Annulons les charges de nos TPE/PME !, par Nicolas Dupont-Aignan.

    "Pourquoi ne pas faire bénéficier à l'ensemble des TPE/PME de l'annulation des charges du 2nd trimestre, qui a été accordée aux restaurateurs !? Cela coûterait 35 milliards € ! Macron refuse, alors qu'il va donner 40 milliards € de nos impôts à l'Union européenne et a versé des dizaines de milliards € à des grands groupes qui délocalisent, comme Renault !"

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/index-1.html