économie et finance - Page 215
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Alerte Cygne Noir. Et si Trump ne partait pas? La 2ème révolution américaine !
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Fraude fiscale : qui est coupable ? (texte de 2015)
On assiste en ce moment à une intensification internationale de la lutte contre la fraude fiscale. Mais s'attaque-t-on toujours aux vrais coupables ?
Pas une semaine sans qu'un nouveau scandale de fraude fiscale n'apparaisse. La banque HSBC est aujourd'hui accusée d'avoir favorisé l’évasion fiscale vers la Suisse de 180 Mds d'euros. Et la liste des coupables diffusée par la presse cite pêle-mêle les rois du Maroc et de Jordanie, le coiffeur Jacques Dessange, le footballeur Christophe Dugarry, le comique-troupier Gad Elmaleh ou encore la couturière Diane von Furstenberg. Tant de monde que l'on en vient à se demander s'il est si grave que cela de placer son argent en Suisse.
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Le budget de la CAF du 9-3 est deux fois supérieur à celui du ministère de la Santé
Incroyable : le département sinistré et colonisé de Seine-Saint-Denis a un budget CAF (Caisse d’allocations familiales) de 2,6 milliards d’euros par an alors que celui du Ministère de la Santé n’est que de 1,4 milliard d’euros !
Et certains osent encore affirmer que l’immigration est une richesse pour la France… -
La traque de l’évasion fiscale s’intensifie
Grâce à des méthodes de police pointues, pas moins de 155 grands fraudeurs ont été identifiés l’année dernière.
De lourds nuages noirs pèsent sur le royaume des grands fraudeurs. À la pointe d’une traque de plus en plus acérée, la Brigade nationale de répression de la délinquance fiscale (BNRDF) combine la puissance de feu de la Direction centrale de la police judiciaire et l’expertise des agents du ministère des Finances. Le cocktail, devenu redoutable, a fait de ce service d’enquête le plus rentable de France. Son tableau de chasse est ébouriffant: alors qu’il célèbre ses dix ans, ce dernier a été saisi de 423 dossiers, dont 269 clôturés, pour des résultats financiers et fiscaux qui avoisinent les 700 millions d’euros.
https://www.tvlibertes.com/actus/la-traque-de-levasion-fiscale-sintensifie
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Un chroniqueur du Point propose une taxe de 10 % sur les retraites
Julien Damon est chroniqueur au Point et aux Échos, et professeur associé à Sciences Po. Il dirige, également, une société de conseil et a appartenu, un temps, au cabinet de M. Fillon, alors Premier ministre.
Dans un article du Point, il propose une mesure révolutionnaire : taxer les pensions des retraités de 10 %. Bien sûr, M. Damon suggère que les titulaires du minimum vieillesse ou ceux qui perçoivent de petites retraites soient épargnés, mais que tous les autres soient assujettis à ce prélèvement confiscatoire.
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Maître Di Vizio - "Le gouvernement ne décide de rien, il y a des intérêts financiers derrière !"
Lobbying pharmaceutique, guerre d'influences entre Remdesivir et hydroxychloroquine, plainte visant le Pr Raoult, course au vaccin, Fabrice Di Vizio est au micro d'André Bercoff, ce 23 novembre 2020
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Si, maintenant, Monoprix s’y met…
« Quand les peuples cessent d’estimer, ils cessent d’obéir », disait Rivarol. Mais avant de désobéir, ils passent par une phase de contestation dont l’humour est un élément très important. Cela commence dans le cercle intime, s’enhardit au comptoir des bistrots, se poursuit chez les humoristes professionnels avant de gagner les médias non inféodés.
Le monde du commerce, lui, s’était toujours bien gardé d’afficher toute opinion politique, et encore moins factieuse, vis-à-vis du pouvoir, préférant surfer sur les vagues à la mode : il ne faut rebuter aucun client potentiel. Alors, aujourd’hui, on vend équitable, on vend bio, on vend sans C02, on vend métissé… un art de la flagornerie dont Decathlon est le nouveau Léonard de Vinci.
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La junte sanitaire à l’action pour les « petits commerces ». Assemblée nationale, le 17 novembre
Il faut savoir que le gouvernement Castex comporte un ministre délégué chargé des petites et moyennes entreprises, ayant lui-même une expérience d’entrepreneur. C’est formidable.
Il faut savoir que le 17 novembre était un mardi et donc jour de questions/réponses au gouvernement à l’Assemblée nationale.
Pour juger de l’audace et de la force avec lesquels la junte sanitaire traite le cas des commerces dits « petits », voilà la question posée par le député Mme Isabelle Valentin (LR) et la réponse de Monsieur le ministre :
Mme Isabelle Valentin. Monsieur le Premier ministre, lors de son discours du 28 octobre dernier, le Président Macron a dit : « Je ne crois pas à l’opposition entre santé et économie. »… Si vous ne réagissez pas rapidement, vous pourrez investir des millions d’euros dans des programmes de revitalisation et faire tous les grands discours que vous voulez sur la cohésion des territoires, quand vous aurez tué la plupart de nos commerces, vous aurez tué l’âme et la dynamique de tous nos territoires. Monsieur le Premier ministre, avez-vous décidé de rouvrir les commerces le 26 novembre ?
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Budget français Paris ou Bruxelles, qui commande ? (texte de 2014)
Le match entre le gouvernement français et la Commission européenne menace de se prolonger, aucun des protagonistes ne voulant céder sur la question délicate du budget 2015. D'un côté, Manuel Valls et ses ministres n'entendent pas provoquer davantage une base qui menace, au point de voir se rétrécir dangereusement l'horizon 2017; de l'autre, Bruxelles, que ces considérations laissent de marbre, rappelle Paris à ses engagements d’État-membre. Qui est le patron ?
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Le libéralisme, voilà l'ennemi ! (texte de 2014)
Charles Robin vient de publier aux éditions Krisis La Gauche du Capital, un livre qui fait la somme de ses travaux sur l'idéologie libérale. Venant d'un autre bord, comme autrefois Philippe Muray ou comme son maître à Montpellier Jean-Claude Michéa, il retrouve sans le vouloir et sans le savoir le vieux diagnostic social et politique des papes antilibéraux de la fin du XIXe siècle... Un prodigieux raccourci !
Vous ne vous cachez pas d'être un ancien du Nouveau Parti Anticapitaliste d'Olivier Besancenot, mais vous montrez dans votre livre que les vieilles catégories de « droite » et de « gauche » sont périmées par le lent avènement d'une idéologie globale partagée peu ou prou par l'ensemble de la classe politique - idéologie du Marché que vous appelez le libéralisme. Comment le définiriez-vous en quelques mots ?