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élections - Page 103

  • Ils ont remporté l'élection à Madrid : bravo à nos amis de VOX et à notre ami Santiago Abascal ! (1/2)

    Madrid devient une des capitales les plus à droite d’Europe. L’ultra-conservatrice du Partido Popular Isabel Diaz Ayuso remporte le scrutin avec 64 sièges au parlement rėgional sur 137. Elle aura besoin au minimum d’une abstention des conseillers rėgionaux d’extrême-droite pour diriger la rėgion. Il n’y aura pas de cordon sanitaire.

    (source : Equinox)

    C’est l’équivalent de la région Île-de-France. Les près de 8 millions d’habitants de Madrid et ses 178 villes de banlieue étaient convoqués ce mardi aux urnes pour accorder la victoire à Isabel Diaz Ayuso. La présidente sortante, représentante de l’aile dure du Partido Popular, a encore musclé son discours durant une campagne menée à la lisière avec l’extrême-droite.

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  • Pendant que LR et LREM s’entretuent, le RN engrange des ralliements

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    Certes ce ne sont pas des personnalités de premier plan mais c’est le signe que d’autres pourraient suivre.

    Dans le Grand-Est, l’ancien député UMP et suppléant de Nadine Morano, Philippe Morenvillier, passé par DLF, vient de rejoindre le Rassemblement National et la liste de Laurent Jacobelli.

    Évènement assez rare, le journaliste de LCI Thierry Balland vient de rejoindre le RN comme tête de liste à Paris et déclare même, avec courage, avoir toujours voté FN même à l’époque de Jean-Marie Le Pen. De quoi faire hurler les bien-pensants :

    Une quarantaine d’années passées derrière l’écran et l’envie de «prendre son risque» dans la bataille électorale. Journaliste historique de LCI, la chaîne du groupe TF1 lancée en 1994, Philippe Ballard a été désigné tête de liste du Rassemblement national à Paris pour les élections régionales de juin prochain, comme le rapporte le Figaro, ce mardi. Il mènera campagne aux côtés du député européen et vice-président du RN, Jordan Bardella. «C’est avec un immense honneur que je serai tête de liste du Rassemblement national à Paris pour les régionales 2021», s’est réjoui l’intéressé sur Twitter.

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  • Madrid : Le parti populaire (PP) triomphe et noue une coalition avec Vox (extrême-droite)

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    Dommage que cela n’inspire pas davantage LR en France et il faut noter que l’électorat a également été mobilisé car la candidate du PP, Isabel Díaz Ayuso, a refusé d’imposer une dictature sanitaire à ses administrés :

    Isabel Díaz Ayuso, présidente sortante de la région et membre du Parti Populaire (PP), a doublé son score du dernier scrutin régional, datant de mai 2019, en remportant 64 sièges sur 136 au parlement régional et totalisant plus de 43% des voix.

    Le PP ne disposant pas de la majorité absolue, fixée à 69 sièges, il sera contraint de nouer une alliance avec le parti d’extrême droite Vox (13 sièges), qui soutenait déjà Isabel Díaz Ayuso depuis deux ans.

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  • Dénaturalisations pour cause d’inadéquation à notre civilisation

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    Bernard Plouvier

    Manifestement, la campagne pour les Présidentielles françaises de 2022 est lancée avec une année d’avance sur le calendrier. En est cause la nullité absolue de l’équipe exerçant les apparences du pouvoir.

    Une campagne électorale est une affaire de démagogie et pas du tout l’époque des réflexions de fond. Tant pis ! La France crève d’un excès d’opportunisme ; il serait temps d’en revenir aux fondements de notre civilisation, qui est européenne.

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  • Incompétence, soutien des médias… Annalena Baerbock, l’écolo qui pourrait succéder à Angela Merkel

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    Par François Stecher, correspondant en Allemagne de Polémia ♦ Le 19 avril dernier, le parti écologiste allemand, Bündnis90/Die Grünen, a désigné Annalena Baerbock comme sa candidate à la chancellerie dans le cadre des élections au Bundestag qui se tiendront le 26 septembre prochain. Le choix s’est porté sur elle, sans aucune surprise, face à son partenaire Robert Habeck, avec lequel elle assurait la direction bicéphale du parti depuis janvier 2018, et les tentatives de rendre le processus de sélection haletant ont échoué à la perfection. Il est désormais temps, pour les Français, de faire connaissance avec celle qui a désormais toutes les chances de succéder à Merkel à la chancellerie.

    Une pure politicienne

    Née à Hanovre à la fin de l’année 1980 dans un milieu assez aisé – père ingénieur, mère diplômée en sciences sociales, elle doit à ses parents ses premiers pas en politique et ses premières contestations, puisqu’ils l’emmènent très tôt manifester contre le nucléaire ou faire la chaîne humaine contre la course aux armements – preuve, s’il en est, que ni la « Manif’ pour tous » ni les Querdenker n’ont été des précurseurs pour ce qui est de brandir une poussette face aux forces de l’ordre. Précisons ici que ces hauts faits eurent lieu alors que la petite Annalena n’avait pas encore toute sa conscience, ce qui ne l’empêche pas de les évoquer comme l’origine et l’éveil de son engagement politique.

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  • La dérive électoraliste de Jean-Luc Mélenchon : erreur de calcul dangereuse et tremplin pour l’islamisme

    Comme il faut bien, aujourd’hui, tweeter pour exister, Jean-Luc Mélenchon s’est fendu du service minimum : « Révoltant meurtre à #. Condoléances à la famille et aux proches de la victime. Devoir de sang-froid, exigence de . »

    Serait-il en retard de quelques septennats ? Ce commentaire était-il destiné à alerter l’opinion sur la découverte du cadavre du ministre du Travail de Giscard, Robert Boulin, dans un étang de la forêt de Rambouillet, en octobre 1979 ? Oui, tout concorde. À condition d’accréditer la thèse complotiste d’un crime maquillé en suicide. Oui, « révoltant meurtre » !

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  • Thomas Joly est le candidat de la droite nationale non reniée à l'élection partielle qui se déroulera dans l'Oise le 30 mai prochain

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    Il a répondu aux questions posées par le site Jeune Nation cliquez ici :
    Vous vous êtes donc déclaré candidat à la succession d’Olivier Dassault, qu’attendez-vous de cette élection ?
    Une élection législative, même partielle, est une élection nationale et permet de faire connaître aux Français notre projet de redressement national, identitaire et populaire. C’est un moyen – et non une fin – pour faire connaître nos idées au plus grand nombre. Face à des candidats du Système, j’incarnerai une alternative de droite nationale. Et je suis d’autant plus légitime à concourir à cette élection puisqu’il s’agit de la circonscription où j’habite et où je me présente pour la quatrième fois.

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  • Nicolas Tardy-Joubert : « Souvenez-vous de François Fillon qui, dans les minutes qui ont suivi l’annonce des résultats, appelait à voter pour Macron… »

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    Réaction de Nicolas Tardy-Joubert, conseiller régional en Île-de-France, à l’accord Castex-Muselier en PACA. Il évoque aussi la situation de  dans son département (78) et pour les régionales en Île-de-France.

    Comment réagissez-vous à la déclaration de Jean Castex annonçant le retrait de la liste LREM et un accord avec Renaud Muselier qui le demandait ?

    LREM est usée après quatre ans de pouvoir macronien et cherche, malgré tout, les moyens de s’implanter localement. Seuls, ils ne peuvent gagner. Ils joueraient les supplétifs dans les conseils régionaux après des triangulaires ou quadrangulaires.

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  • Muselier, incarnation de cette hypocrisie qui mine la droite

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    Immense stupéfaction d’apprendre que pour les régionales en PACA, LREM accepte la proposition de liste commune dès le 1er tour avec LR. Cette annonce a semé le doute de beaucoup de sympathisants de droite qui, tout logiquement, se sont demandés comment il est possible de se présenter comme opposant à la majorité actuelle puis faire alliance avec elle dans le cadre d’une élection. Donc LR attaque LREM chaque jour sur ses choix politiques pour, ensuite, accepter une alliance avec les personnes responsables des actions dénoncées. Quelle hypocrisie !

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