S’il y en a bien un qui pouvait en vouloir à Marine Le Pen, c’est bien lui, son père, Jean-Marie Le Pen. Récemment interrogé par Le Point, l’ancien président du Front national rappelle ainsi : « Elle m’a quand même exclu de mon propre parti, du jamais-vu dans le monde ! » Ce qui ne l’empêche pas d’ajouter aussitôt : « Marine Le Pen fait un sans-faute, pour l’instant. » Comme quoi le Menhir sait faire passer le sens politique avant celui de la famille.
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Candidature Zemmour et droite hors les murs : Jean-Marie Le Pen siffle la fin de la récréation !
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Le RN arrivera au pouvoir par l’immigration
Dans l’Incorrect, Maël Pellan, estime que le Rassemblement National peut accéder au pouvoir en raison du problème majeur qu’est l’immigration :
[…] la mouvance RN arrivera au pouvoir par l’immigration. Car l’immigration est le seul problème dont on sait qu’il ne peut pas s’améliorer. L’économie peut connaître un rebond dans l’après-covid, la pollution diminuer d’année en année, le pouvoir d’achat éventuellement augmenter mais l’immigration est une plaie pleine de pus qui ne fera que s’envenimer avec le temps. Des bateaux entiers arrivent chaque jour et ceux qui sont ici sont en pleine dés-intégration. Sachant de surcroît qu’ils vont faire des petits…
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Élection de 2022 : nous voulons un vrai débat présidentiel !, par Natacha Polony.
Le tour de valse de Renaud Muselier avec La République en marche pour les régionales en Provence-Alpes-Côte d’Azur a des airs de scène de boulevard...
© Hannah AssoulineÀ un an de l’élection présidentielle, il semblerait que Les Républicains s’emploient avec ferveur à rendre impossible l’émergence d’un candidat capable de rivaliser avec les duettistes dont les Français ne veulent pas. Et la gauche n’est pas en meilleur état…
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Cédric Delapierre : « Le spectacle pitoyable de LR depuis dimanche matin me confirme dans mon choix »
Conseiller régional et secrétaire général du groupe UEDC (LR-UDI) en région Occitanie, Cédric Delapierre explique son ralliement à la liste RN-Droite populaire de Jean-Paul Garraud. « La droite de conviction, elle est auprès de Jean-Paul Garraud. »
Vous étiez le secrétaire général du groupe UEDC, LR UDI au conseil régional d’Occitanie, le groupe d’opposition à Carole Delga représentant Les Républicains et l’UDI. Dans une tribune dans Valeurs actuelles, vous avez fait le choix d’officialiser votre ralliement à la lutte menée par Jean-Paul Garraud, ex-membre des Républicains et actuel tête de liste du Rassemblement national. Pourquoi quitter le bateau des Républicains ?
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Elections régionales : LR poursuit son rapprochement avec LREM
À Bordeaux, l’ex-maire Nicolas Florian bloque les candidatures LR face pour soutenir des candidats Macron-compatibles, pour le plus grand regret des militants.
En Ile-de-France, Valérie Pécresse n’a pas retenu Caroline Carmantrand sur la liste que conduira Philippe Juvin dans les Hauts-de-Seine. Présidente de la commission de la Famille à la région, elle a pu soutenir, financer et accompagner un certain nombre d’associations comme :
- Tombée du nid, qui offre des solutions concrètes aux parents d’enfants handicapés ;
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APRÈS LA PALINODIE MARSEILLAISE, L’UNION DES DROITES !
En 2010, j’avais considéré que l’alliance de l’UMP et du FN était inéluctable si la droite française voulait gagner les élections à venir, garder le pouvoir en 2012 et bâtir enfin la politique que beaucoup de Français attendaient, car nécessaire à l’intérêt supérieur de notre pays. Je m’étais à l’époque appuyé sur l’exemple italien. Il me paraissait contraire au bon sens que la droite française persiste à perdre les élections, notamment régionales, en refusant un accord avec “l’extrême-droite”, encore minoritaire, alors que la droite italienne l’emportait en rassemblant jusqu’aux héritiers de Mussolini. On pouvait penser que la répulsion pour une dictature qui a conduit à la compromission avec le nazisme et à la guerre serait plus forte que celle que pouvait susciter en France un mouvement qui avait abandonné les outrances provocatrices de son fondateur, et dont la composition était diverse.
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Ils ont remporté l'élection à Madrid : bravo à nos amis de VOX et à notre ami Santiago Abascal ! (1/2)
Madrid devient une des capitales les plus à droite d’Europe. L’ultra-conservatrice du Partido Popular Isabel Diaz Ayuso remporte le scrutin avec 64 sièges au parlement rėgional sur 137. Elle aura besoin au minimum d’une abstention des conseillers rėgionaux d’extrême-droite pour diriger la rėgion. Il n’y aura pas de cordon sanitaire.
(source : Equinox)
C’est l’équivalent de la région Île-de-France. Les près de 8 millions d’habitants de Madrid et ses 178 villes de banlieue étaient convoqués ce mardi aux urnes pour accorder la victoire à Isabel Diaz Ayuso. La présidente sortante, représentante de l’aile dure du Partido Popular, a encore musclé son discours durant une campagne menée à la lisière avec l’extrême-droite.
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ÉLECTIONS DÉPARTEMENTALES ET RÉGIONALES : VOTRE MOBILISATION EST CAPITALE !
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Pendant que LR et LREM s’entretuent, le RN engrange des ralliements
Certes ce ne sont pas des personnalités de premier plan mais c’est le signe que d’autres pourraient suivre.
Dans le Grand-Est, l’ancien député UMP et suppléant de Nadine Morano, Philippe Morenvillier, passé par DLF, vient de rejoindre le Rassemblement National et la liste de Laurent Jacobelli.
Évènement assez rare, le journaliste de LCI Thierry Balland vient de rejoindre le RN comme tête de liste à Paris et déclare même, avec courage, avoir toujours voté FN même à l’époque de Jean-Marie Le Pen. De quoi faire hurler les bien-pensants :
Une quarantaine d’années passées derrière l’écran et l’envie de «prendre son risque» dans la bataille électorale. Journaliste historique de LCI, la chaîne du groupe TF1 lancée en 1994, Philippe Ballard a été désigné tête de liste du Rassemblement national à Paris pour les élections régionales de juin prochain, comme le rapporte le Figaro, ce mardi. Il mènera campagne aux côtés du député européen et vice-président du RN, Jordan Bardella. «C’est avec un immense honneur que je serai tête de liste du Rassemblement national à Paris pour les régionales 2021», s’est réjoui l’intéressé sur Twitter.
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Madrid : Le parti populaire (PP) triomphe et noue une coalition avec Vox (extrême-droite)
Dommage que cela n’inspire pas davantage LR en France et il faut noter que l’électorat a également été mobilisé car la candidate du PP, Isabel Díaz Ayuso, a refusé d’imposer une dictature sanitaire à ses administrés :
Isabel Díaz Ayuso, présidente sortante de la région et membre du Parti Populaire (PP), a doublé son score du dernier scrutin régional, datant de mai 2019, en remportant 64 sièges sur 136 au parlement régional et totalisant plus de 43% des voix.
Le PP ne disposant pas de la majorité absolue, fixée à 69 sièges, il sera contraint de nouer une alliance avec le parti d’extrême droite Vox (13 sièges), qui soutenait déjà Isabel Díaz Ayuso depuis deux ans.