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élections - Page 129

  • Purée de nous autres : Enrico Macias quitte la France si Marine Le Pen est élue

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    Comme si le Covid-19 et la crise économique ne suffisaient pas à notre malheur, voici qu’un autre séisme de grande amplitude nous menace : CNews annonce, en effet, qu’«  quittera la France si Marine le Pen est élue présidente en  » !

    Allons, « l’Oriental », ce ne serait pas si grave… Ni même la première fois qu’un·e candidat·e de gauche – favorable à l’ISF – arriverait au pouvoir ! Regarde Mitterrand, que tu soutenais en 1988 : on s’en est remis… Dans un sale état, d’accord, mais on s’en est remis. Et Anne Hidalgo, que tu soutins aussi pour la mairie de Paris ? Là, à part les rats, personne ne s’en remet, et surtout pas les automobilistes, mais avec une bonne trottinette…

    « Je ne sais pas où j’irai », te lamentes-tu, avant qu’une forte torsion du bras ne te force à évoquer tout de même Israël comme destination possible.

    Ça, alors, l’hypothèse ne nous avait pas effleurés, mais à la réflexion, c’est peut-être prudent. Même pour un mendiant « de l’amour » de 81 ans, un pays qui n’extrade pas est toujours préférable ; surtout quand il se voit sommé de rembourser la modeste somme de 30 millions d’euros.

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  • Mort du “front républicain” dans les Hauts-de-France

    Mort du “front républicain” dans les Hauts-de-France

    Alors qu’en 2015, les socialistes avaient décidé de se retirer entre les deux tours en faveur de Xavier Bertrand, alors LR, pour « faire barrage au Front national » (25 % des voix contre 40,64% pour Marine Le Pen au 1er tour), le candidat probable des socialistes en mars 2021, Patrick Kanner, prévient qu’il refusera cette fois de « se sacrifier ». 5 ans sans élus, c’est dur à vivre pour ces apparatchiks…

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  • Le Samedi Politique avec Gérald Olivier – Covid, Etat profond, « fake-news media » : Trump contre tous ?

    Le 3 novembre prochain, dans moins d’un mois, le verdict tombera… ou pas !

    En route pour un deuxième mandat, Donald Trump aura vécu une année 2020 particulièrement mouvementée. Son bilan économique est largement chahuté par l’épidémie de Covid-19. Un point sur lequel le camp démocrate, fébrilement emmené par Joe Biden, a bien l’intention d’insister. La mort de George Floyd a également mis le feu aux poudres dans de nombreux Etats démocrates, donnant lieu à des situations véritablement insurrectionnelles agitées par des officines antiracistes, notamment financées par Soros.

    De leur côté, les médias, comme en 2016, s’en donnent à cœur joie pour jouer leur partition simple à résumer : »Haro sur Trump ! ».

    Journaliste spécialiste de la politique américaine et des Républicains, Gérald Olivier (Sur la route de la Maison Blanche Ed Jean Picollec) dessine le panorama de la dernière ligne droite de la présidentielle américaine. Une présidentielle tellement incertaine que nul ne peut affirmer aujourd’hui que le prochain président des Etats-Unis sera connu le 3 novembre prochain.


    https://www.tvlibertes.com/le-samedi-politique-avec-gerald-olivier-covid-etat-profond-fake-news-media-trump-contre-tous

  • Contre Joe Biden, Donald Trump s’en prend aux tabous de l’Amérique médiatique

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    Ceux qui n’attendaient pas grand-chose du premier débat entre  et  n’ont pas été déçus. Quant à ceux qui en attendaient quelque chose, ils ont dû l’être tout autant, chacun ayant campé sur ses positions. Trump pensait faire craquer son challenger démocrate : en vain ; tandis que Biden empruntait le vocabulaire et le style de son adversaire républicain, le traitant de « clown » et lui intimant l’ordre de « la fermer », ce qui n’a pas aidé à rehausser le niveau de cette soirée.

    Dans ce jeu à somme nulle, c’est encore l’actuel président qui sort le mieux parce que demeurant le plus crédible. Lui au moins, croit en ce qu’il dit et ce qu’il entend représenter, alors que Joe Biden n’est jamais qu’un candidat par défaut, au contraire d’un Barack Obama qui lui, incarnait véritablement l’autre Amérique, celle des côtes Est et Ouest, contre celle du milieu, celle de Donald Trump. Les élites méprisantes contre le peuple méprisé ; on n’en sort pas, on n’en sort plus.

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  • Pologne : des mauvais perdants

    L’élection présidentielle, en Pologne a vu la victoire du PiS, le Parti Chrétien Conservateur. Au grand dam des européistes des mondialistes.

    Réélu à la présidence de la Pologne le 12 juillet dernier, Andrzej Duda doit faire face à une contestation en justice de son adversaire malheureux. Mais surtout à l'opposition d'une grande part de la classe politico-médiatique européenne qui n'admet toujours pas que l'élu conservateur du PiS puisse avoir le soutien d'une majorité de Polonais alors que Bruxelles n'apprécie guère son indépendance politique.

    On donnait les deux hommes au coude à coude. Et, de fait, Andrzej Duda, le président sortant et candidat du PiS, et Rafal Trzaskowski, son adversaire libéral de la Plate-forme civique, auront eu des résultats très proches : 51,2% contre 48,8%. Aussi n'a-t-on pas tardé à entendre grincer bien des dents...

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  • Des élections sénatoriales dans l’indifférence total

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    Les élections sénatoriales se sont déroulées dans l’indifférence la plus totale des Français. Dans la Ve République, l’exécutif l’emporte sur le législatif. Celui-ci n’existe que dans la mesure où il y a cohabitation et lorsque la majorité de l’Assemblée nationale soutient un gouvernement opposé au président de la République. Le quinquennat et l’élection des députés dans la foulée de celle du Président ont fermé cette hypothèse pour donner systématiquement au chef de l’État des majorités introuvables. Et cette fois, elle est à peine croyable par son mélange d’incompétence et de soumission. L’Assemblée vidée de son rôle de contrôle du gouvernement, comme l’ont montré les commissions d’enquête dirigées depuis l’Élysée, le , dont le rôle est marginal depuis 1959, incarne une opposition limitée dans la forme et presque nulle sur le fond. Certes, il peut bloquer toute modification parlementaire de la Constitution, mais ne peut que freiner les lois voulues par le pouvoir et par la majorité de l’Assemblée nationale qui finissent par s’imposer au bout de la « navette ».

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  • Donald Trump nomme Amy Coney Barrett juge à la Cour Suprême

    Donald Trump nomme Amy Coney Barrett juge à la Cour Suprême

    Il l’a donc fait : le président des Etats-Unis a choisi Amy Coney Barrett, professeur à la faculté de droit de l’université Notre-Dame (Indiana), mère de 7 enfants (dont 2 adoptés), déjà nommée par Trump juge à la 7e cour d’appel fédérale (Chicago) en 2017, catholique et pro-vie.

    En 2017, le choix de Trump avait été ratifié par le Sénat des États-Unis par 55 voix contre 43, alors que le Sénat ne comptait alors que 51 membres Républicains (ils sont 53 actuellement) : preuve que plusieurs sénateurs Démocrates avaient alors voté pour elle.

    Il reste au Sénat de confirmer la nomination de cette brillante magistrate de 48 ans. Dans son discours à la Maison Blanche, Donald Trump a salué Mme Barrett :

    « C’est une femme qui a connu des réussites sans pareille, à l’intelligence hors pair, aux compétences remarquables ».

    Jeanne Smits souligne qu’elle sera la seule femme ayant des enfants à exercer la fonction de juge à la Cour suprême. Sonia Sotomayor, nommée par le président Barack Obama, est divorcée et n’a jamais eu d’enfants, tandis qu’Elena Kagan, également nommée par Obama, ne s’est jamais mariée.

    https://www.lesalonbeige.fr/donald-trump-nomme-amy-coney-barrett-juge-a-la-cour-supreme/

  • Rachida Dati : cap sur l’Elysée ?

    « Gagner l’élection présidentielle de 2022 » : Rachida Dati a levé le voile sur ses intentions. Dans un entretien accordé au quotidien britannique The Times, le maire LR du VIIème arrondissement de Paris a dévoilé son objectif : devenir Présidente de la République en 2022.

    L’ancien Garde des Sceaux de 2007 à 2009 se dit prête à « mener cette bataille », et présente dans les colonnes du quotidien les problèmes auxquels la France fait face : « Le chômage est élevé et nous avons des niveaux de chômage des jeunes sans précédent. Nous avons des manifestations tout le temps, le taux de criminalité a explosé et nous avons une dette exponentielle » .

    Lors de l’élection municipale de cette année, Rachida Dati avait obtenu 33,80% des voix face au maire sortant Anne Hidalgo, gagnante avec 48,70 %. Si Rachida Dati s’engage bien dans la course à l’Elysée, elle pourrait se retrouver encore une fois face à Anne Hidalgo ; en effet, le maire de la Capitale laisse planer le doute quant à une éventuelle candidature aux futures présidentielles. La sociologie de la France sera toutefois bien différente de l’électorat typique de la Capitale.

    https://www.tvlibertes.com/actus/rachida-dati-cap-sur-lelysee