Bruno Hirout, Secrétaire général du Parti de la France : « Je suis officiellement candidat à l'élection sénatoriale du 27 septembre dans le Calvados. Merci à mes colistiers pour la confiance qu'ils accordent à notre projet de redressement de la France avec le PdF, la vraie droite nationale ! »
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Sénatoriales : une liste du PdF dans le Calvados
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Si Trump gagne l'élection, les démocrates tenteront un coup d'état militaire
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Robert Ménard : « Pour la présidentielle de 2022, il faut un aventurier de droite ! »
Entretien exclusif
Dernièrement, Robert Ménard s’est montré relativement critique vis-à-vis de la candidature de Marine Le Pen à l’élection présidentielle, tout en réaffirmant sa proximité sur de nombreux sujets, tels que « la sécurité, l’immigration et l’identité ».
Il souhaite « poser des questions » et se pencher sur quelle pourrait être la candidature qui permettrait à son courant politique de gagner en 2022.
Emmanuel Macron s’est engagé à introduire de la proportionnelle dans les prochaines élections législatives. Est-ce une bonne nouvelle pour nous ? Ce souhait était longuement avancé notamment par le Rassemblement national.
Dans l’absolu, oui. Quand vous voyez 5 ou 6 élus en tout et pour tout du Rassemblement national comme députés, alors que le Rassemblement national c’est 20 % de l’électorat, il y a une vraie injustice. Spontanément, ma première réaction est de dire qu’il faut de la proportionnelle. En même temps, la proportionnelle est le règne des partis. Ce sont les partis qui décident pour les électeurs et qui seront en tête de liste. On ne vote plus pour quelqu’un, mais on vote pour un parti. Oui, parce que cela introduit un peu de justice, mais il n’en faut pas trop parce que normalement on vote pour des hommes et des femmes de chair et de sang et pas simplement pour le logo d’un parti.
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Robert Ménard : « Estrosi, c'est une droite qui a honte d'elle-même », par Géraldine Woessner.
Source : https://www.lepoint.fr/
Le maire de Béziers revendique une parole décomplexée et étrille les leaders de la droite traditionnelle.
Des étoiles à nouveau alignées… Et une ambiance morose. Quelque 200 élus du Rassemblement national se réunissent à Fréjus (Var) ce week-end, pour une rentrée politique qui marque le lancement de la campagne de Marine Le Pen.
Officiellement, le parti se sent les voiles gonflées : la sécurité, angle mort de la politique d'Emmanuel Macron, est à nouveau au premier rang des préoccupations des Français, et la droite parle de tant de voix qu'elle reste inaudible. « Ensauvagement », « localisme », « souverainisme »… Les idées longtemps portées par le Rassemblement national sont à la mode.
Et pourtant, les élus RN ont pris le train, vendredi soir, en traînant des pieds : le parti, financièrement à genoux, a mangé la poussière aux dernières municipales. « C'est un répulsif », tranche le maire de Béziers, Robert Ménard, élu en 2014 avec le soutien du RN (et réélu ce printemps au premier tour), mais qui n'en a jamais été membre. Et qui, aujourd'hui, s'impatiente : si Marine Le Pen et son parti ont longtemps incarné et servi les idées des électeurs les plus à droite, les mêmes plombent aujourd'hui leurs chances, pense-t-il, d'accéder au pouvoir. Entretien.
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Gilbert Collard : « Personne ne sait qui peut gagner et qui peut perdre en 2022 »
Au lendemain de la rentrée du Rassemblement national à Fréjus, l’avocat Gilbert Collard dénonce « l’emprise idéologico-religieuse-intégriste-extrémiste-radicale qui est en train de coiffer de son voile effrayant tout le pays ». Il sait que les Français sont bien conscients des problèmes posés par le multiculturalisme. Désormais, « ce qu’il faut, c’est qu’ils passent à l’action électorale ».
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Election présidentielle : deux tiers des Français s’opposent à un soutien de la droite à Emmanuel Macron
Un soutien des Républicains à Emmanuel Macron pour l’élection présidentielle de 2022 ? La proposition, formulée par Christian Estrosi, ne trouve pas un écho favorable parmi les Français. Selon un sondage Ifop pour le Journal du Dimanche, ils sont seulement 35% (10% « tout à fait » et 25% « plutôt ») à répondre « oui » à cette idée. A l’inverse, 65% se disent opposés. Cette proposition est néanmoins approuvée par 72% des électeurs du président de la République en 2017. Mais seulement 37% des personnes qui avaient voté pour François Fillon lors du dernier scrutin présidentielle y sont favorable.
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CANDIDAT NATIONALISTE & IDENTITAIRE À L'ÉLECTION PARTIELLE DU MAINE-ET-LOIRE (3e circ.), JEAN-EUDES GANNAT S'EXPLIQUE
Source Breizh-infos cliquez ici
Militant identitaire et porte-parole de l’Alvarium, Jean-Eudes Gannat se lance dans la bataille des élections législatives. Il sera en effet candidat à l’élection législative partielle de Saumur Nord, les 20 et 27 septembre prochain.
Avec lui, l’élection législative partielle comptera sept candidats. Outre Daphnée Raveneau (EELV) et Patricia Peillon (LO), Anne-Laure Blin (LR), Guy Bertin (DVD), Adrien Denis (DVD), Patrice Lancien (RN) et Jean-Eudes Gannat (DVD) se disputeront le fauteuil laissé vacant par Jean-Charles Taugourdeau (LR), élu maire de Beaufort-en-Anjou fin juin. Il s’agit de la 3ème circonscription de Maine-et-Loire : Saumur-nord.
Nous l’avons interrogé alors que la campagne s’annonce brève.
Breizh-info.com : Pouvez vous vous présenter à nos lecteurs ?
Jean-Eudes Gannat : j’ai 25 ans, je suis marié et père de famille. Après un parcours professionnel riche en rebondissements (j’ai beaucoup voyagé puis été viré plusieurs fois pour mon engagement politique, et n’ayant pas fait de grandes études, j’ai enchaîné les boulots précaires ou temporaires, de serveur à vélo taxi en passant par l’assurance, l’usine, le métier de croque-mort etc) je suis désormais à mon compte.
Militant nationaliste depuis plusieurs années, je suis aussi le porte-parole de l’Alvarium, implanté en Anjou.
Breizh-info.com : Tout d’abord, qu’est-ce qui explique l’élection législative partielle à laquelle vous vous présenter ? Quel bilan du député sortant ?
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Les 5 hypothèses électorales de Robert Ménard
Alors que 200 élus du Rassemblement national se réunissent à Fréjus ce week-end, pour la rentrée politique du parti, Robert Ménard fait part de ses remarques dans le Point :
Si elle est candidate à la présidentielle de 2022, vous lui prédisez une défaite…
Je pense que, aujourd’hui, elle n’est pas en position de gagner. Ça l’exaspère quand je dis cela, mais cela n’a rien contre elle ; je pense simplement que le courant de la droite qu’elle incarne n’est pas suffisant pour gagner. Le discours qu’elle tient sur les questions économiques n’est pas en phase avec ce dont notre pays a besoin.
C’est-à-dire ?
Marine Le Pen n’arrive pas à reconnaître qu’une personne qui n’est pas de son bord politique puisse, parfois, avoir raison. Sur la réforme de la SNCF, même si je serais allé plus loin que lui, Emmanuel Macron a fait de bonnes choses. Et sur les retraites aussi ! Pardon, mais on ne peut pas continuer, comme le fait le Rassemblement national, à faire croire aux Français qu’un statu quo soit envisageable, vivable, ou même souhaitable ! Je ne partage pas les analyses très gauchisantes du RN sur les questions économiques et sociales. Mais cela ne veut pas dire qu’on ne peut pas travailler ensemble. […]
Quel avenir voyez-vous pour votre courant de pensée ?
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La droite condamnée au populisme ? (2019)
La droite en France joue actuellement son avenir. Il avait fallu rien moins que Charles de Gaulle pour la réintroduire dans la vie politique. La nullité de ses épigones semble siffler la fin de l’intermède. Y aura-t-il encore une droite capable de remporter une élection dans les décennies qui viennent ?
Il existe une particularité de la vie politique française qui depuis des années frappe tous les commentateurs : c'est l'absence d'un vrai parti conservateur. Les Torries en Angleterre structurent la vie politique et même, lorsque passe un Churchill, déterminent la stature internationale de la perfide Albion. De leur côté, les chrétiens démocrates font, avec leurs alliés bavarois du CSU la pluie et le beau temps Outre Rhin. Dans l'Hexagone, rien de tel. Les conservateurs existent à la marge dans un parti comme le Centre National des Indépendants et Paysans, le parti d'Antoine Pinay qui est aujourd'hui un parti résiduel. Ils ne parviennent pas à s organiser longtemps, victimes sans doute de la Révolution française, victimes de cette identification fantasmée entre la France et sa Révolution, qui empêche toute perspective contre-révolutionnaire, tout conservatisme, d'émerger de manière durable.
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Election partielle dans la 3e circonscription du Maine-et-Loire : Jean-Eude Gannat annonce sa candidature
Jean-Eude Gannat intervenant lors du Rendez-vous "Bleu Blanc Rouge" de Synthèse nationale en octobre 2019.
Un communiqué de Jean-Eude Gannat :
Après quatre années d’engagement local au service des français, j’ai décidé de me présenter à l’élection législative partielle de Saumur Nord avec le soutien de l’Alvarium, afin de proposer aux électeurs un choix de droite authentiquement nationale, sociale et populaire.
Alors que notre pays n’en finit plus de s’enfoncer dans la crise économique et migratoire et semble être à deux doigts d’une guerre civile, je veux être à l’Assemblée Nationale la voix de la liberté d’entreprendre, de l’identité française, de la justice sociale et des campagnes oubliées qui meurent en silence. Tandis que les politiciens se contentent de se pavaner sur les réseaux sociaux et les plateaux de télévisions, les habitants de la 3e circonscription ont l’occasion avec moi d’élire quelqu’un qui agit dans le réel depuis plusieurs années, en dépit des persécutions politico-médiatiques, et qui les défendra sans faiblir face aux lobbies et à la bien-pensance.
Dans les jours qui viennent, j’irai à la rencontre des habitants pour leur présenter notre projet de redressement et notre message d’espoir pour la France.
La France est aux Français !