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élections - Page 144

  • Paris : Hidalgo, les Verts et les Marcheurs sont très divisés. La droite unie peut l’emporter

    Paris : Hidalgo, les Verts et les Marcheurs sont très divisés. La droite unie peut l’emporter

    Nouvelles de France a rencontré Serge Federbusch, candidat de l’union des droites à Paris (soutenu notamment par le RN et le PCD) :

    Vous êtes candidat aux municipales à paris. Pourquoi ?

    Paris, la ville qui possède le patrimoine historique, artistique, architectural et urbain le plus divers au monde est pourtant menacé. Une politique démagogique s’en prend à la beauté de ses avenues, encombre ses rues d’édicules disgracieux et inutiles, l’endette, désorganise ses services publics les plus essentiels comme celui de la propreté, fait monter artificiellement les prix immobiliers ce qui en chasse sa population d’origine au bénéfice de clientèles subventionnées. Et l’éventuelle réélection d’Anne Hidalgo pousserait cette évolution délétère à un paroxysme.

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  • Marseille : Stéphane Ravier (RN) serait largement en tête et le candidat LREM bon dernier…

    Marseille : Stéphane Ravier (RN) serait largement en tête et le candidat LREM bon dernier…

    Ce serait la panique à Matignon :

    C’est la première fois que le RN est donné en tête. Pour l’instant c’est un sondage qui circule sous le manteau.

    D’après cette enquête officieuse, Stéphane Ravier serait largement en tête au 1er tour avec 25% des intentions de vote devant le Printemps marseillais, qui regroupe plusieurs partis de gauche, donné à 17%. Ils sont suivis par la candidate LR Martine Vassal, qui était jusque-là en pole position, et par le candidat écologiste Sébastien Barle, tous les deux ex-aequo à 15%. L’ancien LR Bruno Gilles, qui se présente sans étiquette, les talonnerait à 14%. L’ex-socialiste Samia Ghali serait à 9%.

    Le candidat de la majorité se retrouve en queue de peloton : Yvon Berland est crédité de seulement 5% des intentions de vote. Une catastrophe pour la majorité, au point que Matignon aurait décidé de s’en mêler. Un candidat raconte qu’un émissaire du Premier ministre est venu le voir la semaine dernière pour lui proposer une alliance avec le candidat de LREM.

    https://www.lesalonbeige.fr/marseille-stephane-ravier-rn-serait-largement-en-tete-et-le-candidat-lrem-bon-dernier/

  • Buzyn passe aux aveux

    6a00d8341c715453ef0240a50e3552200b-320wi.jpgDans le Parisien du 19 février était publié un entretien révélateur, à de nombreux égards, de ce que vaut la candidature d'Agnès Buzyn à la mairie de Paris.

    Entre autres fadaises plutôt ridicules, sur le thème "Candidate à Paris, j’en ai toujours rêvé", et "en même temps" elle dit avoir "dû prendre ma décision d'être candidate en 24 heures".

    Deux jours avant la publication de cet article, le député macronien de Paris Sylvain Maillard avait été interrogé par Nicolas Beytout patron de L'Opinion. Il formulait sans complexe un pronostic plus risible encore, pour ne pas dire hallucinant. Car, pour les Municipales à Paris, il ose claironner : « Buzyn va gagner, car 60 % des Parisiens ne veulent plus d’Hidalgo ! ».

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  • Le Parti de la France soutient la liste de Stéphane Ravier à Marseille

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    Jean-François Touzé Délégué général du PdF

    Le Parti de la France annonçait, début février, son soutien plein et entier à la candidature de Stéphane Ravier, militant de toujours, sénateur courageux et patriote exemplaire.

    La dynamique existe. Elle est forte. Un sondage place Stéphane Ravier en tête. Tout, oui tout doit être fait pour assurer le succès de la droite nationale et son arrivée aux responsabilités municipales. Plus de 45 ans de combats militants, tant de grandes figures de notre camp engagés pour Marseille ville française, doivent aboutir à la libération de la cité phocéenne.

    Pas une voix nationale ne doit manquer à Stéphane Ravier. Dès le premier tour !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • LR, LREM, EELV, LFI, PC, NPA… « Tout sauf Aliot », vers un nouveau front républicain à Perpignan ?

    Front républicain contre Front national, la recette a souvent fonctionné. Face à Louis Aliot, crédité de 30 % des voix au premier tour, les candidats se bousculent, en s’érigeant en grands rassembleurs pour défaire le candidat du RN.

    En 2014, le maire sortant LR Jean-Marc Pujol avait battu Louis Aliot, lors d’un duel au second tour (55-45%), grâce au désistement du candidat PS. Cette année, « ça paraît nettement plus difficile », observe l’historien Nicolas Lebourg.

    « On a vu lors de la présidentielle que le tir de barrage anti-FN reste puissant à Perpignan« , note-t-il, mais si l’opposition à Marine Le Pen est « forte », « elle est moindre contre Aliot, il s’est créé une image plus soft. Ce n’est pas gagné d’avance, mais il y a une vraie possibilité » qu’il soit élu maire de Perpignan.

    Avec un maigre score pour un maire sortant (19%), Pujol devance la candidate EELV Agnès Langevine et vice-présidente du Conseil régional (15%), le député En Marche Romain Grau (13%) et Caroline Forgues, une ingénieure à la tête d’une liste citoyenne soutenue par la France insoumise, le PCF et le NPA (10%). […]

    Le Point

    https://www.fdesouche.com/1340805-lr-lrem-eelv-lfi-pc-npa-tout-sauf-aliot-vers-un-nouveau-front-republicain-a-perpignan

  • Paris et la politique, au-delà des municipales, par Jean- Philippe Chauvin.

    1625963078.jpgLa campagne des élections municipales a pris un tour national fort peu ragoûtant et souvent inappropriée aux souhaits des électeurs comme aux nécessités communales et civiques. Il est vrai que l’affaire des images de M. Griveaux a mobilisé les grands médias plus que la raison et la simple décence n’auraient dû le permettre, et ce péché d’orgueil de l’ancien porte-parole élyséen lui a coûté une élection qui, de toute façon, semblait ne pas lui être vraiment promise. Mais, au-delà du grivois et de la fin d’une carrière politique, cette histoire révèle aussi quelques uns des travers de notre système politique particulier hérité des bouleversements principiels de la Révolution française.

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  • Alain de Benoist : « La descente aux enfers d’Emmanuel Macron est-elle forcément une bonne nouvelle pour Marine Le Pen ? »

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    Le quinquennat Macron n’avait pas trop mal commencé avec l’épisode du Louvre. Mais l’état de grâce n’a pas duré très longtemps et la situation ne cesse de se dégrader, alors même qu’ avait affirmé que s’il ne réussissait pas, un ou une populiste lui succéderait à l’Élysée. Cela en prend-il le chemin ?

    En matière d’élection présidentielle, vous le savez bien, toute prédiction faite plus de trois mois avant le scrutin n’a aucune valeur. On peut, en revanche, dresser un rapport d’étape. Tout le monde a longtemps répété qu’en 2022, on allait assister à la répétition de ce qui s’est passé en 2017 : un duel Macron-Marine Le Pen au second tour, avec le résultat qu’on sait. Inutile de s’interroger : c’était plié d’avance. Mais deux nouvelles questions se posent : Macron sera-t-il à nouveau candidat en 2022 ? Et s’il se représente, sera-t-il présent au second tour ? Nous n’en savons rien, bien sûr, mais le simple fait qu’on puisse se poser ces questions montre que beaucoup de choses ont changé. Les gilets jaunes sont passés par là, les grèves aussi. Pour faire adopter ses réformes, Macron a été obligé de passer en force. Après avoir voulu séduire tout le monde, il a déçu partout. On parle régulièrement de sa « baisse de popularité », mais on n’en est même plus là. Nous avons un Président qui ne peut plus mettre un pied en dehors de l’Élysée sans se heurter à des manifestants qui exigent sa démission en brandissant, en effigie pour l’instant, sa tête au bout d’une pique ! Chirac, Giscard, Hollande, Sarkozy ont pu être impopulaires. Macron n’est pas seulement impopulaire, il est détesté, exécré, haï des Français à un degré rarement vu. Il n’est donc pas certain qu’il veuille (ou puisse) se représenter, ni qu’il soit présent au second tour s’il le faisait. Ajoutons, puisqu’il a été mis en place pour adapter la France aux exigences de la mondialisation libérale, que ceux qui l’ont patronné se disent peut-être aussi qu’ils n’ont pas misé sur le bon cheval et qu’il serait peut-être temps d’en trouver un autre.

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  • Le Samedi Politique – Griveaux : d’une légèreté à la censure


    Vengeance personnelle, performance artistique ou déstabilisation étrangère, les suppositions fusent après la publication des vidéos sexuelles du candidat à la mairie de Paris par Piotr Pavlensky… Une seule certitude, nous avons tous passé une meilleure Saint-Valentin que Benjamin Griveaux.

    La classe politique a été presque unanime pour condamner la diffusion de ces vidéos. A croire que certains voyaient l’affaire comme une mise en garde.
    La classe politico-médiatique a joué son rôle habituel de garde champêtre des réseaux sociaux pour avancer vers un peu plus de censure.
    Pourtant, « l’affaire Griveaux » pose de nombreuses questions. Au-delà de l’intégrité des personnels politiques, elle questionne leur souveraineté et leur capacité à prendre des décisions exemptes de pressions extérieures.

    Pour cette émission, les invités sont Alexis Poulin, journaliste et co-fondateur de la revue « Monde Moderne« , et Jean Messiha, délégué national du Rassemblement National.

    https://www.tvlibertes.com/le-samedi-politique-griveaux-dune-legerete-a-la-censure

  • Comment museler les réseaux sociaux avant 2022 ?

    Pour Brune Poirson, secrétaire d'état, l'affaire Griveaux révèle le tropisme totalitaire des réseaux sociaux, qui piétinent allègrement la vie privée. 
    Et quand c'est un ministre de l'intérieur qui le fait, c'est moins grave ?
    Pour Olivier Veran, nouveau ministre de la santé, la Chine est admirable, elle a su canaliser les réseaux sociaux.
    La Chine, ce ne serait pas un pays totalitaire par hasard ?
    Est-ce rassurant de voir un ministre s'extasier sur la façon dont la Chine maitrise la liberté d'expression ?
    Ce gouvernement est une collection d'amateurs, qui parlent sans mesurer les mots qu'ils emploient, et s'évertuent à justifier sans aucun talent ni aucune culture minimale l'injustifiable, sur demande de leur patron.
    Heureusement que les réseaux sociaux sont là pour les pointer du doigt, car le pouvoir compte déjà sur le soutien sans faille des médias, les cas récents de BFM et LCI le démontre admirablement.
    Museler les réseaux sociaux, cela voudrait dire museler la vox populi, museler la seule opposition qui ait encore le droit de s'exprimer, contre le pire gouvernement depuis 1945.

  • Buzyn passe aux aveux

    6a00d8341c715453ef0240a50e3552200b-320wiDans le Parisien du 19 février était publié un entretien révélateur, à de nombreux égards, de ce que vaut la candidature d'Agnès Buzyn à la mairie de Paris.

    Entre autres fadaises plutôt ridicules, sur le thème "Candidate à Paris, j’en ai toujours rêvé", et "en même temps" elle dit avoir "dû prendre ma décision d'être candidate en 24 heures".

    Deux jours avant la publication de cet article, le député macronien de Paris Sylvain Maillard avait été interrogé par Nicolas Beytout patron de L'Opinion. Il formulait sans complexe un pronostic plus risible encore, pour ne pas dire hallucinant. Car, pour les Municipales à Paris, il ose claironner : « Buzyn va gagner, car 60 % des Parisiens ne veulent plus d’Hidalgo ! ».

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