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élections - Page 147

  • Donald Trump ridiculise Nancy Pelosi

    Donald Trump ridiculise Nancy Pelosi

    Nancy Pelosi, présidente démocrate de la Chambre des représentants, s’est acharnée à traîner Donald Trump dans la boue, avec la procédure d’impeachment, qui a échoué au Sénat. Lors du traditionnel discours sur l’état de l’Union, le 5 février, à la fin de l’allocution, Nancy Pelosi a déchiré ostensiblement le texte du discours.

    Le lendemain, Donald Trump a publié une vidéo visant à critiquer ce geste médiatique. Intitulée « De puissantes histoires américaines réduites en pièces par Nancy Pelosi », elle dure cinq minutes et enchaîne plusieurs extraits du discours. On y voit, entre autres, Donald Trump rendre hommage à des soldats américains, saluer la baisse du chômage chez les Afro-Américains, annoncer à une jeune fille qu’elle disposera d’une bourse pour ses études et révéler à une femme en larmes que son époux militaire est de retour du terrain, le tout accompagné d’une musique larmoyante. Chacune de ces séquences est ponctuée de l’image de Nancy Pelosi déchirant le discours du président américain.

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    Pris au piège, le clan Pelosi a tenté de censurer cette vidéo. Mais ni Facebook, où la vidéo a engrangé plus de 3 millions de vues, ni Twitter (près de 10 millions) n’ont accepté de retirer la vidéo. Un porte-parole de Facebook a publié cette réponse :

    « Excusez-moi, prétendez-vous que le président n’a pas prononcé ces mots et que [Nancy Pelosi] n’a pas déchiré le discours ? »  « Si je vous demande si les choses qui apparaissent dans cette vidéo ont bel et bien existé, c’est parce que cela est central dans nos règles qui encadrent ce type de contenus. »

    Twitter a également refusé de bannir la vidéo. Tim Murtaugh, un des porte-parole de la campagne de Donald Trump, a ajouté :

    « Si Nancy Pelosi craint les images d’elle déchirant le discours, alors c’est qu’elle n’aurait pas dû déchirer le discours ».

    https://www.lesalonbeige.fr/donald-trump-ridiculise-nancy-pelosi/

  • Joachim Son-Forget : « Cette vidéo de Benjamin Griveaux circulait déjà chez tous les cadres de la Macronie »

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    Le candidat de La République en marche à la mairie de Paris, a retiré sa candidature, vendredi 14 février, après la diffusion, sur Internet, de vidéos à caractère sexuel.

    Joachim Son-Forget fait partie des premiers qui ont diffusé ces informations. Au micro de Boulevard Voltaire, il donne des précisions sur la chronologie de cette affaire. Selon lui, la vidéo circulait depuis un certain temps, dans les rédactions et à La République en marche. Il dénonce « l’hypocrisie du petit milieu parisien qui se drape maintenant dans la vertu morale ».

    Benjamin Griveaux a retiré sa candidature suite à la diffusion de captures d’écran de conversations privées et de photos intimes. Ces dernières ont été diffusées par un blog intitulé pornopolitique.
    Pourquoi avoir été le premier à diffuser cette information ?

    Tous les cadres de la macronie les diffusaient depuis une journée. Beaucoup de gens savaient que c’était orchestré par des figures d’extrême gauche et que cela avait été mijoté depuis plusieurs mois. C’est un coup monté avec plusieurs victimes potentielles.

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  • Deux mauvaises raisons de voter pour Macron et deux bonnes de voter contre

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    À l’approche des élections municipales, chacun est amené à examiner les critères de choix qui conditionneront sa vie quotidienne, à l’écart d’une « élite » bobo-parisienne déracinée.

    À vouloir être d’accord avec tout le monde, Macron n’est Président de personne « Ni pour, ni contre, bien au contraire » : cette citation d’un ancien candidat à la présidence qui ne se prenait pas au sérieux pourrait être sa devise, l’humour en moins (Coluche). Est-ce ce qu’on attend d’un président de la République ?

    Or, on ne peut pas se plaindre indéfiniment des conséquences dont on soutient les causes. Face à deux mauvaises raisons qui expliquent une attirance aveugle et répandue pour Macron, apparence et activisme, deux bonnes raisons justifient son rejet des urnes : résistance et renaissance.

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  • Tout comprendre du séisme politique en Allemagne suite aux élections en Thuringe

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    Par François Stecher, correspondant en Allemagne de Polémia ♦ La nouvelle crise qui secoue l‘Allemagne depuis quelques jours, et qui menace une nouvelle fois d’emporter l’insubmersible Angela, est vraisemblablement incompréhensible pour beaucoup d’observateurs étrangers – et singulièrement pour les Français, habitués au centralisme démocratique parisien. Comment une élection régionale – c’est comme cela qu’elle est analysée en France – de surcroît dans un Land qui ne pèse pas spécialement lourd sur l’échiquier économique et politique allemand peut-elle ainsi conduire la présidente de la puissante CDU à renoncer à briguer l’héritage promis et à annoncer sa démission de la dite présidence, menaçant par ricochet la très résiliente chancelière ?

    Pour comprendre le mécanisme infernal qui pourrait broyer la vieille union démocrate-chrétienne et mettre fin prématurément – ayant déjà à plusieurs reprises osé le pronostic, devrais-je dire le vœu, de cette fin prématurée, je prendrais ici quelques précautions, tant la bête est coriace, bourrelée qu’elle est de morale et des certitudes de la nouvelle foi – au quatrième et dernier mandat d’Angela Merkel, il faut faire un petit retour en arrière, et l’effort de considérer les effets et dommages collatéraux de la politique de la chancelière dans les Länder de l’Est.

    Démocratie en Thuringe

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  • La chute de la maison Griveaux, bien pire pour Macron que Benalla/Gilets jaunes/Retraites et Compagnie...

    Ce quinquennat, c'est un long chemin de Croix, une lente agonie, une descente aux enfers... comparable - dans le pire et en inversé - aux espoirs fanfarons qu'avait suscités "le hold-up du siècle" et la prise de pouvoir par le jeune et sémillant Macron et son équipe d'extra terrestres qui marchaient sur l'eau (du moins le croyaient-ils...).

    "On" lui fait aujourd'hui le coup de Fillon, mais à ses dépens cette fois-ci.

    Qui, "on" ?

    En voilà une bonne question !

    Il est toujours risqué de promettre le "nouveau monde", de jurer qu'on ne fera plus jamais "comme hier" et autres fadaises et engagements plus faciles à promettre qu'à tenir : Griveaux, honteux et confus, jure maintenant, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendra plus...

    Si on ne peut encore s'accorder sur la personne de ce "On", ce qui par contre est absolument certain c'est que la principale victime de ce retrait est... Emmanuel Macron !

    (Dans la presse écrite et parlée, rapide résumé du retrait du candidat LaRem) 

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  • Fréjus : David Rachline (RN) l’emporterait dès le premier tour avec 51% face à l’alliance LR-LReM-Modem-EELV

    Fréjus : David Rachline (RN) l’emporterait dès le premier tour avec 51% face à l’alliance LR-LReM-Modem-EELV

    Davis Rachline (RN) l’emporterait à Fréjus dans tous les cas de figure et une victoire au premier tour est même possible :

  • RÉFÉRENDUM D’INITIATIVE POPULAIRE : LA DROITE HELVETIQUE VICTIME D’UN « COUP DE BOOMERANG » !

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Dimanche 12 janvier, la loi condamnant l’homophobie a été adoptée par référendum avec 62% des électeurs suisses qui avaient fait le déplacement. Mais, paradoxe et pas des moindres, ce sont les partis conservateurs qui l’avaient provoqué, - et qui espéraient, bien sûr, un tout autre résultat -, qui en ont été pour leurs frais.

    En effet, il s’agissait d’un référendum d’initiative populaire au résultat ayant abouti à l’inverse de  celui qu’espéraient ses promoteurs. Il y avait un petit parti chrétien, l’UDF emmené par Marc Frueh allié pour la circonstance à l’UDC, Union démocratique du Centre, premier parti de Suisse, - on pourrait dire qu’il est de nos amis en dépit de son appellation centriste -, comme initiateurs de cette consultation électorale. La question était d’approuver oui ou non, la réforme du code pénal suisse interdisant la discrimination fondée sur l’orientation sexuelle et, surtout, désormais, la pénalisant. Il s’est trouvé une majorité d’Helvètes, - rappelons le pourcentage : 62% -, pour l’approuver. La nouvelle loi ainsi  sanctifiée, élargit un dispositif déjà copieux, comme en France, qui sanctionne les appels à la haine raciale.

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  • Municipales: Emmanuel Macron ne renonce devant rien et tente de se faire passer pour un champion de la défense de la nature

    Le président Macron en campagne municipale ne renonce devant rien et tente de se faire passer pour un champion de la défense de la nature… et ce n’est pas gagné.

    Après le handicap l’écologie

    Une visite de la Mer de Glace pour se faire passer pour un écolo. Le président Emmanuel Macron était en déplacement jeudi du côté de Chamonix en Haute Savoie pour distiller quelques annonces superficielles en matière de protection de l’environnement. 

    Après s’être attelé brièvement à la question du handicap, le chef d’Etat en campagne, amateur des plans com’ et autres algorithmes s’attaque donc à ce qu’il perçoit comme un autre segment de marché électoral : l’écologie. 

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  • L’AfD plonge la fausse droite allemande dans la crise, par Olivier Bault

    9553-20200214.jpgD’abord un petit rappel utile : l’Alternative pour l’Allemagne (Alternative für Deutschland, AfD) est le premier parti d’opposition au Bundestag, la chambre basse du parlement fédéral allemand, face à la grande coalition gouvernementale réunissant la CDU-CSU (la fausse droite libérale-libertaire héritière de la démocratie chrétienne) et le SPD (la fausse gauche libérale-libertaire héritière de la démocratie sociale). Créé en 2013, le parti modérément conservateur et modérément souverainiste AfD est aujourd’hui représenté au parlement de chacun des seize Länder. En ex-Allemagne de l’Est, il a été le parti recueillant le plus de votes en 2019, année où il y a eu trois élections régionales : en Saxe, au Brandebourg et en Thuringe. Officiellement, la CDU dirigée par Angela Merkel et, depuis décembre 2018, par Annegret Kramp-Karrenbauer, l’actuelle ministre de la Défense, a toujours refusé toute alliance avec l’AfD, un parti qui subit en Allemagne l’équivalent du très mal nommé « front républicain » visant le RN en France.

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  • 60% des Français pensent qu’un second tour Macron/Le Pen est probable, mais 80% ne le souhaitent pas, selon un sondage

    6 Français sur 10 pensent que la prochaine présidentielle sera un duel Macron-Le Pen. Toutefois, 80% des personnes interrogées par l’institut Elabe pour BFMTV ne sont pas satisfait de ce duel annoncé. Ils sont, par ailleurs, 72% à se dire insatisfait de l’offre politique actuelle. (BFMTV)