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élections - Page 148

  • L’affaire Griveaux et la gluante comédie mélodémocratique

    L’affaire Griveaux et la gluante comédie mélodémocratique

    Author: Pierrick Tillet

    Quand est sortie ce matin la nouvelle de la sextape de Benjamin Griveaux en Rocco Siffredi de série Z, je me suis dit que cette affaire vaseuse allait donner l’occasion  à un personnel politico-médiatique déconsidéré de se redonner une vertu à bon compte. Bingo !
    Entendons-nous, je me fous de “la bite à Griveaux” comme d’une guigne.
    Une histoire de cul ne concerne que le propriétaire du cul (et celles ou ceux avec qui il le partage). Dans une société saine, une petite branlette devrait juste faire rire, et même rassurer sur la santé de celle ou celui qui s’y adonne.
    Et bim, c’est quand Griveaux nous prouve la sienne qu’il tombe !
    J’avoue avoir éprouvé une certaine frustration de voir cet imbécile tomber pour une vidéo privée même pas bandante, alors que ce sont ses moult égarements précédents, sur les hommages aux victimes du Vel’ d’Hiv’, sur la délocalisation de la gare de l’Est, sur les fréquentations d’un musée Carnavalet fermé pour cause de rénovation, qui auraient dû instantanément l’expédier dans la fausse commune des salopards.
    Une classe polico-médiatique dégoulinante jusqu’à l’écoeurement
    À peine ce pâle vermisseau humilié, la classe politico-médiatique se mit à dégouliner à n’en plus finir sur la démocratie bafouée ?
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  • Benjamin Griveaux jette l’éponge à Paris : La République en marche s’ébranle…

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    Nicolas Gauthier Boulevard Voltaire cliquez ici

    C’est le gag matinal de ce vendredi 14 février. Benjamin Griveaux est l’invité d’Alba Ventura sur RTL. Et Yves Calvi d’annoncer que l’entretien a été annulé au dernier moment pour raison de « vidéo à caractère sexuel » impliquant l’ancien porte-parole du gouvernement et prétendant à la mairie de Paris.

    Enquête faite dans les heures qui suivent, la vidéo existe bel et bien. Elle est très explicite. Mais, comment dire… Manifestement filmée sur téléphone portable, le principal incriminé, fort d’un réveil triomphant, s’y livre à un assez joli exercice de tirlipompon sur le chihuahua. Un polissage de chinois ; en plein coronavirus, ça tombe à pic. Un cinq contre un, si vous préférez. On n’y voit, certes, pas son visage, mais l’essentiel y est, dira-t-on.

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  • Etats-Unis : faible enthousiasme pour la primaire démocrate

    Etats-Unis : faible enthousiasme pour la primaire démocrate

    Selon Christian Daisug dans Présent :

    […] Trois remarques sur ces primaires qui dureront jusqu’à l’été : une faible participation dénuée d’enthousiasme, surtout parmi les jeunes ; avec Sanders, le succès – très relatif – d’un socialiste révolutionnaire qui n’emporte l’adhésion que d’un quart de la gauche ; enfin, le tassement de la campagne de Biden qui représentait jusqu’ici l’espoir des libéraux.

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  • Griveaux : quand la République cannibale dévore ses valets.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Un peu plus d'un an après avoir courageusement fui de son ministère lors d'une manifestation des Gilets jaunes, Benjamin Griveaux, tout à la fois méprisable petit marquis poudré et roquet aboyant de la macronie, doit être à nouveau exfiltré : cette fois, de sa campagne municipale parisienne.
    Décidément, l'ancien Porte parole du gouvernement n'a guère de chance avec les engins élévateurs...
    Benjamin Griveaux n'est, pour autant et quelques soient ses frasques, que l'enseigne blème d'un régime décomposé, d'un Système liquéfié, d'un État décadent et corrompu, d'une République agonisante devenue — transparence oblige, réseaux sociaux commandent et règlements de comptes exigent — cannibale de ses propres valets.
    Non l'affaire Griveaux n'est pas une menace mortelle pour la démocratie comme le répète depuis ce vendredi matin la voix officielle du totalitarisme bienpensant. 
    C'est, au contraire ce que la Caste au pouvoir nomme démocratie qui est la mort des peuples.
  • Donald Trump ridiculise Nancy Pelosi

    Donald Trump ridiculise Nancy Pelosi

    Nancy Pelosi, présidente démocrate de la Chambre des représentants, s’est acharnée à traîner Donald Trump dans la boue, avec la procédure d’impeachment, qui a échoué au Sénat. Lors du traditionnel discours sur l’état de l’Union, le 5 février, à la fin de l’allocution, Nancy Pelosi a déchiré ostensiblement le texte du discours.

    Le lendemain, Donald Trump a publié une vidéo visant à critiquer ce geste médiatique. Intitulée « De puissantes histoires américaines réduites en pièces par Nancy Pelosi », elle dure cinq minutes et enchaîne plusieurs extraits du discours. On y voit, entre autres, Donald Trump rendre hommage à des soldats américains, saluer la baisse du chômage chez les Afro-Américains, annoncer à une jeune fille qu’elle disposera d’une bourse pour ses études et révéler à une femme en larmes que son époux militaire est de retour du terrain, le tout accompagné d’une musique larmoyante. Chacune de ces séquences est ponctuée de l’image de Nancy Pelosi déchirant le discours du président américain.

    Voir le Tweet

    Pris au piège, le clan Pelosi a tenté de censurer cette vidéo. Mais ni Facebook, où la vidéo a engrangé plus de 3 millions de vues, ni Twitter (près de 10 millions) n’ont accepté de retirer la vidéo. Un porte-parole de Facebook a publié cette réponse :

    « Excusez-moi, prétendez-vous que le président n’a pas prononcé ces mots et que [Nancy Pelosi] n’a pas déchiré le discours ? »  « Si je vous demande si les choses qui apparaissent dans cette vidéo ont bel et bien existé, c’est parce que cela est central dans nos règles qui encadrent ce type de contenus. »

    Twitter a également refusé de bannir la vidéo. Tim Murtaugh, un des porte-parole de la campagne de Donald Trump, a ajouté :

    « Si Nancy Pelosi craint les images d’elle déchirant le discours, alors c’est qu’elle n’aurait pas dû déchirer le discours ».

    https://www.lesalonbeige.fr/donald-trump-ridiculise-nancy-pelosi/

  • Joachim Son-Forget : « Cette vidéo de Benjamin Griveaux circulait déjà chez tous les cadres de la Macronie »

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    Le candidat de La République en marche à la mairie de Paris, a retiré sa candidature, vendredi 14 février, après la diffusion, sur Internet, de vidéos à caractère sexuel.

    Joachim Son-Forget fait partie des premiers qui ont diffusé ces informations. Au micro de Boulevard Voltaire, il donne des précisions sur la chronologie de cette affaire. Selon lui, la vidéo circulait depuis un certain temps, dans les rédactions et à La République en marche. Il dénonce « l’hypocrisie du petit milieu parisien qui se drape maintenant dans la vertu morale ».

    Benjamin Griveaux a retiré sa candidature suite à la diffusion de captures d’écran de conversations privées et de photos intimes. Ces dernières ont été diffusées par un blog intitulé pornopolitique.
    Pourquoi avoir été le premier à diffuser cette information ?

    Tous les cadres de la macronie les diffusaient depuis une journée. Beaucoup de gens savaient que c’était orchestré par des figures d’extrême gauche et que cela avait été mijoté depuis plusieurs mois. C’est un coup monté avec plusieurs victimes potentielles.

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  • Deux mauvaises raisons de voter pour Macron et deux bonnes de voter contre

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    À l’approche des élections municipales, chacun est amené à examiner les critères de choix qui conditionneront sa vie quotidienne, à l’écart d’une « élite » bobo-parisienne déracinée.

    À vouloir être d’accord avec tout le monde, Macron n’est Président de personne « Ni pour, ni contre, bien au contraire » : cette citation d’un ancien candidat à la présidence qui ne se prenait pas au sérieux pourrait être sa devise, l’humour en moins (Coluche). Est-ce ce qu’on attend d’un président de la République ?

    Or, on ne peut pas se plaindre indéfiniment des conséquences dont on soutient les causes. Face à deux mauvaises raisons qui expliquent une attirance aveugle et répandue pour Macron, apparence et activisme, deux bonnes raisons justifient son rejet des urnes : résistance et renaissance.

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  • Tout comprendre du séisme politique en Allemagne suite aux élections en Thuringe

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    Par François Stecher, correspondant en Allemagne de Polémia ♦ La nouvelle crise qui secoue l‘Allemagne depuis quelques jours, et qui menace une nouvelle fois d’emporter l’insubmersible Angela, est vraisemblablement incompréhensible pour beaucoup d’observateurs étrangers – et singulièrement pour les Français, habitués au centralisme démocratique parisien. Comment une élection régionale – c’est comme cela qu’elle est analysée en France – de surcroît dans un Land qui ne pèse pas spécialement lourd sur l’échiquier économique et politique allemand peut-elle ainsi conduire la présidente de la puissante CDU à renoncer à briguer l’héritage promis et à annoncer sa démission de la dite présidence, menaçant par ricochet la très résiliente chancelière ?

    Pour comprendre le mécanisme infernal qui pourrait broyer la vieille union démocrate-chrétienne et mettre fin prématurément – ayant déjà à plusieurs reprises osé le pronostic, devrais-je dire le vœu, de cette fin prématurée, je prendrais ici quelques précautions, tant la bête est coriace, bourrelée qu’elle est de morale et des certitudes de la nouvelle foi – au quatrième et dernier mandat d’Angela Merkel, il faut faire un petit retour en arrière, et l’effort de considérer les effets et dommages collatéraux de la politique de la chancelière dans les Länder de l’Est.

    Démocratie en Thuringe

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  • La chute de la maison Griveaux, bien pire pour Macron que Benalla/Gilets jaunes/Retraites et Compagnie...

    Ce quinquennat, c'est un long chemin de Croix, une lente agonie, une descente aux enfers... comparable - dans le pire et en inversé - aux espoirs fanfarons qu'avait suscités "le hold-up du siècle" et la prise de pouvoir par le jeune et sémillant Macron et son équipe d'extra terrestres qui marchaient sur l'eau (du moins le croyaient-ils...).

    "On" lui fait aujourd'hui le coup de Fillon, mais à ses dépens cette fois-ci.

    Qui, "on" ?

    En voilà une bonne question !

    Il est toujours risqué de promettre le "nouveau monde", de jurer qu'on ne fera plus jamais "comme hier" et autres fadaises et engagements plus faciles à promettre qu'à tenir : Griveaux, honteux et confus, jure maintenant, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendra plus...

    Si on ne peut encore s'accorder sur la personne de ce "On", ce qui par contre est absolument certain c'est que la principale victime de ce retrait est... Emmanuel Macron !

    (Dans la presse écrite et parlée, rapide résumé du retrait du candidat LaRem) 

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  • Fréjus : David Rachline (RN) l’emporterait dès le premier tour avec 51% face à l’alliance LR-LReM-Modem-EELV

    Fréjus : David Rachline (RN) l’emporterait dès le premier tour avec 51% face à l’alliance LR-LReM-Modem-EELV

    Davis Rachline (RN) l’emporterait à Fréjus dans tous les cas de figure et une victoire au premier tour est même possible :